Le procès des femmes radicalisées

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The Rat Pack
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Re: Le procès des femmes radicalisées

Message par The Rat Pack » 26 septembre 2019 12:31

le chimple a écrit : 26 septembre 2019 08:55 Non , the pack ..... :icon_winks:
Ca , c'est de la démission , c'est ce que font la plupart des migrants ..
Eux ont quitté leur pays pour aller voir si l'herbe était plus verte ..
Perso , je suis pour faire en sorte qu'on continue à vivre bien , et combattre ceux , par leur incompétence, qui veulent nous la pourrir ..
Je parle de nos dirigeants laxistes .
S'il y en a qui doivent partir , ce n'est pas nous , ce sont eux !
Et leur devoir notamment , est de veiller au grain ...et prendre des mesures en conséquence .comme par exemple ne pas laisser les indésirables sur notre sol !
Si Macron est touché par la grace et commence , au grand désespoir de la gauche , à revoir les droits des migrants , si ce n'est pas un effet d'annonce , je suis d'accord ..
On a le vote pour ça ...
En ce moment, sur BFM , une folle du front de gauche Clémentine Autain est entrain de nous expliquer qu'il faut accueillir encore plus la misère du monde ... :combat208
Nous en avons les moyens , qu'elle dit ......elle peut etre !
Vous ne m'avez pas compris, je dis exactement le contraire: c'est à ceux que la France ne satisfait pas (doux euphémisme) de partir!!!
Pour reprendre une expression qui a fait florès, même si elle est de Sarko Ier: La France, tu l'aimes ou tu la quittes!
Y'a de plus en plus de cons chaque année. Mais cette année, j'ai l'impression que les cons de l'année prochaine sont déjà là.
Patrick Timsit

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Re: Le procès des femmes radicalisées

Message par Crapulax » 27 septembre 2019 04:51

...........................................Attentat raté de Notre-Dame :La fausse naïveté d’Inès Madani.......................................

Au quatrième jour du procès de l’attentat raté de Notre-Dame, la personnalité de la jeune femme était au centre des questions. Décrite comme l’instigatrice de l’opération, elle a rejeté la faute sur sa complice.

En avril dernier, Ines Madani a été condamnée à huit ans de prison pour son rôle de mentor et de recruteur sur les réseaux sociaux entre 2015 et 2016.

« Je ne suis pas né de la dernière pluie… Soyons sérieux! » Voilà près de deux heures qu'Inès Madani est interrogée par la cour d'assises spéciale quand son président, pourtant plein de prévenance, finit par montrer des signes d'agacement face à cette accusée qui semble nier l'évidence. Inès Madani, en dépit de son jeune âge - 19 ans en 2016 - est, souligne-t-il, le « fil conducteur » de ce dossier atypique, le premier d'un commando de femmes terroristes, jugées depuis lundi pour un attentat raté à la voiture piégée près de Notre-Dame de Paris, puis une attaque au couteau, en septembre 2016.

D'un ton monocorde et parfois plaintif, mais, somme toute, assurée dans son expression, la jeune femme charge consciencieusement Ornella Gilligman, sa complice à Notre-Dame : non contente de lui attribuer la paternité du projet, Inès Madani assure désormais qu'elle imaginait en fait une « opération martyr » lors de laquelle elle-même resterait à bord du véhicule, censé exploser devant un restaurant bondé.

Elle repartira en fait avec Ornella Gilligmann, avant d'entamer une cavale. Assise à un mètre, sa co-accusée, à qui elle sera confrontée lundi, bout sur son banc. « Je savais que je voulais mourir, je ne savais juste pas encore dans quelles conditions ça se ferait », justifie encore Inès Madani, répétant avoir voulu se faire abattre par les policiers lors de son interpellation avec le reste du commando, quatre jours plus tard, à Boussy-Saint-Antoine (Essonne).

Tentative avortée de départ en Syrie:

Mais les faits sont têtus, et la candeur un brin surjouée de l'accusée peine à convaincre. « Redoutablement intelligente », dit une psychiatre l'ayant examinée de longues heures, douée d'une « capacité innée de duplicité et de dissimulation », résume le président, Inès Madani n'était pas seulement cette post-ado en souffrance que ses proches ont vu, impuissants, sombrer dans l'idéologie mortifère de l'Etat islamique (EI). Elle était aussi « Abou Souleyman », un double masculin qu'elle s'était inventé sur les réseaux sociaux pour attirer des aspirants djihadistes, hommes et femmes. Des faits pour lesquels elle a été condamnée au printemps à huit ans de prison.

Alors que sa famille, après une tentative avortée de départ en Syrie, avait mis en place un « véritable flicage », selon les mots du père, Inès Madani tissait sa toile, échangeant depuis sa chambre des milliers de messages grâce à des téléphones récupérés clandestinement. Des conversations souvent crues avec de nombreuses femmes - dont Ornella Gilligmann - tombées sous le charme de celui qu'elles pensaient être un ex-combattant de l'EI. « Beaucoup de filles lui couraient après » a témoigné jeudi matin l'une de ses conquêtes virtuelles, estomaquée après avoir appris l'identité réelle de son promis. « Je ne suis pas psychologue mais… » glisse le président à ce sujet, qu'il finit par aborder frontalement. « N'y avait-il pas là comme une attirance homosexuelle de votre part? » « Non », assure Inès Madani.

«Une figure soldatesque, vengeresse et réparatrice»:

Mal dans sa peau en raison de son surpoids, en déshérence scolaire en raison d'une hernie discale ayant contrarié son orientation, la jeune femme avait pris le voile intégral deux ans plus tôt après avoir subi deux agressions sexuelles. Elle se liera ensuite d'amitié avec une mère de famille radicalisée, sa porte d'entrée vers l'EI. « Quand un reportage sur la guerre en Syrie passait à la télévision, elle se levait de table et partait pleurer dans sa chambre », a témoigné sa mère au sujet d'Inès, « très sensible » aux injustices, celles vécues par sa mère au travail, ou ses sœurs, mariées à des hommes violents. « C'est une figure soldatesque, vengeresse et réparatrice […] avec un désir de puissance masculine », s'enflamme la psychiatre, avant de nuancer son propos : « elle n'ausculte pas cette jouissance de l'horreur, sa part d'ombre ».

Revenant aux préparatifs de l'attentat, un carnage évité seulement en raison d'un mauvais choix de carburant, le président la questionne. « Avec Ornella, vous demandez à Rachid Kassim (NDLR : instigateur de l'attaque basé en Syrie) s'il y a une différence entre l'essence et le diesel. Pourquoi ne pas attendre sa réponse ? » « Ça devait se faire ce soir-là », répond-elle. « Parce que c'était samedi soir, en raison de la fréquentation dans les restaurants ? » Elle opine du chef. « L'objectif, c'était donc de faire le plus de victimes possible ? » « Oui, c'était l'objectif, lâche-t-elle du même ton monocorde. À ce moment-là, je n'avais pas de problème de conscience ».
Source:Le Parisien.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/a ... 160828.php
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Re: Le procès des femmes radicalisées

Message par Crapulax » 15 octobre 2019 04:56

.............................Attentat raté de Notre-Dame: La cour d'assises spéciale de Paris prononce de très lourdes peines.............................



La justice a condamné les principales accusées du procès dit «des bonbonnes» à 30 et 25 années de prison.
Après le procès Merah, celui de l'attentat raté à la voiture piégée près de Notre-Dame et de l'attaque au couteau de policiers dans l'Essonne était le premier grand procès terroriste faisant suite aux années sanglantes 2015 et 2016, comme l'a rappelé dans sa plaidoirie Me Thibault de Montbrial, avocat des parties civiles.

À l'issue de seize jours d'audience et d'un délibéré de plus de dix heures, la cour d'assises spéciale de Paris a annoncé son verdict ce lundi 14 octobre dans la salle Voltaire de l'ancien Palais de justice de Paris. Les peines infligées sont dans la plupart des cas quasi identiques aux peines réclamées par le parquet national anti-terroriste.

Rachid Kassim est ainsi condamné à la perpétuité, Inès Madani à trente années de prison, Ornella Gilligmann à vingt-cinq ans de prison, Sarah Hervouët et Amel Sakaou à vingt ans d'emprisonnement, Samia Chalel à cinq ans de prison dont un avec sursis, Mohamed Lamine Aberouz à trois ans d'emprisonnement et Selima Aboudi à trois ans de prison avec sursis.

À la sortie de la salle d'audience, Me Laurent Pasquet Marinacce, le conseil d'Inès Madani, a indiqué que «la question d'un appel se posait» après la lourde peine infligée à sa cliente. L'avocat d'Ornella Gilligmann s'est montré plus circonspect. «Si elle fait appel, elle risque de nouveau la perpétuité», a glissé Me Xavier Nogueras

Deux accusées irréconciliables:

Pendant le procès, Inès Madani et Ornella Gilligmann, considérées comme les deux principales accusées, ont soigneusement évité de se regarder. Il faut remonter trois ans en arrière pour comprendre l’histoire de la rencontre entre les deux femmes, digne d’un roman à l’eau de rose avec un parfum d’islam radical.

Pendant plusieurs mois, Inès Madani se fait passer auprès d'Ornella Gilligmann - ainsi que de plusieurs autres femmes - pour un djihadiste de retour en Syrie. Entre badinage et radicalité, Madani se pose en héros de l’Islam et Gilligmann entre dans la surenchère pour plaire à son fiancé virtuel : c’est «à qui sera le meilleur djihadiste».

Une fois les masques tombés, chacune accuse l’autre de l’avoir entraînée dans l'affaire de l'attentat raté à la voiture piégée aux bonbonnes de gaz. Au cours de l'audience, chacune d'elles a déroulé sa version des faits, en opposition frontale avec l’autre. «C’est ma vérité, elle a sa vérité», résumait Inès Madani.

Inès Madani soutenait qu’Ornella Gilligmann avait tout manigancé. De son côté, Ornella Gilligmann affirmait avoir été prise au piège par Inès Madani, mais avoir réussi à déjouer in extremis la tentative d’attentat… Alors, qui croire ? «Ni l’une, ni l’autre», concluait à la barre le célèbre psychiatre Daniel Zagury.

Aberouz, «le plus dangereux du box»:

Comme Inès Madani et Ornella Gilligmann, Sarah Hervouët encourait la prison à perpétuité. Le ministère public avait réclamé vingt ans de prison à son encontre. La cour d'assises spéciale a suivi ces réquisitions en condamnant la jeune femme à vingt années d'emprisonnement.

La native de Lisieux, successivement promise de plusieurs islamistes, était accusée d'avoir envisagé de prendre en otage puis de tuer le maire de sa ville de Cogolin (Var), puis quelques jours plus tard, d'avoir porté un coup de couteau à un policier en civil à Boussy-Saint-Antoine. Ce qu'elle a toujours reconnu.

Samia Chalel était quant à elle accusée d’avoir créé un compte Facebook au faux «Abou Junayd», d’avoir joué les intermédiaires entre Rachid Kassim et Inès Madani, et surtout d’avoir participé de manière «déterminante» à la réunion de Sarah Hervouët, Inès Madani et Amel Sakaou à Boussy-Saint-Antoine.

La jeune femme de 26 ans a été condamnée ce lundi à cinq ans de prison dont un avec sursis pour «association de malfaiteurs terroriste criminelle». Jeudi dernier, l'avocat général avait réclamé dix ans de prison à son encontre.

Deux accusés encouraient une peine bien plus légère que les autres : Selima Aboudi et Mohamed Lamine Aberouz, poursuivis pour non dénonciation de crime terroriste. La première, seule à comparaître libre, a écopé de trois ans de prison avec sursis. Les juges ont eu la main beaucoup plus lourde pour le deuxième, condamnant ce dernier à trois ans d'emprisonnement.

«C'est le plus dangereux du box», avait affirmé l'avocate générale en parlant de cet homme également mis en cause dans le dossier de l'attentat de Magnanville, et en détention provisoire à ce titre. «Je ne suis pas cette personne dangereuse que vous avez présentée», avait répliqué Mohamed Lamine Aberouz lors de ses derniers mots.

Deux grands absents:

Deux ombres ont par ailleurs plané sur le procès. D'abord celle de Rachid Kassim, le «grand absent», celui «sans lequel rien ne serait sûrement produit», selon les avocats généraux. Ce djihadiste franco-algérien est considéré comme le commanditaire des attentats de septembre 2016.

En contact avec au moins cinq des accusées - Madani, Gilligmann, Hervouët, Sakaou, Chalel - il a incité les femmes radicalisées à commettre des attentats en France, inspiré à Madani et Gilligmann la méthode de la voiture piégée, guidé les accusées dans la double séquence criminelle et recueilli leurs vidéos d’allégeance.

Rachid Kassim a été déclaré mort par les Américains après une frappe de drone à Mossoul (Irak) en février 2017. Mais sans preuve de son décès, la justice française l’a tout de même jugé en son absence et l'a condamné à perpétuité, comme l'avait réclamé le ministère public.

Autre absente au procès : Amel Sakaou. Poursuivie pour «association de malfaiteurs terroriste criminelle» et «complicité de tentative d’assassinat en relation avec une entreprise terroriste», la quadragénaire a systématiquement refusé de comparaître devant la cour d'assises spéciale.

Une attitude qui a poussé les représentants du parquet national anti-terroriste à réclamer vingt ans de prison à son encontre. «Si Amel Sakaou était venue s'expliquer face à la justice, la peine requise aurait été inférieure. On ne peut pas ne pas prendre en compte ce positionnement», a affirmé l'avocate générale dans son réquisitoire.

Ce lundi, toujours en son absence, celle qui avait hébergé Inès Madani et Sarah Hervouët dans son appartement de Boussy-Saint-Antoine a finalement été condamnée à vingt ans de réclusion criminelle, malgré l'appel de son avocate commise d'office à ne pas sanctionner son refus d'assister au procès.
Source:Le Figaro.
https://www.lefigaro.fr/actualite-franc ... s-20191014
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Re: Le procès des femmes radicalisées

Message par oscar » 15 octobre 2019 05:25

Attentat raté de Notre-Dame!
Certes, mais Notre-Dame à trinqué "accidentellement "....
"La liberté n'existe pas, seul l’imaginaire à le choix de ses libertés!"

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Re: Le procès des femmes radicalisées

Message par Crapulax » 15 octobre 2019 05:32

Au cours de l'audience, chacune d'elles a déroulé sa version des faits, en opposition frontale avec l’autre. «C’est ma vérité, elle a sa vérité», résumait Inès Madani.
...Pour tuer des innocents ils sont tous frères et soeurs..Mais pour assumer leurs actes il n'y a plus rien de cela... :XD:
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Re: Le procès des femmes radicalisées

Message par berger141 » 15 octobre 2019 06:53

Elles prennent un max, pour une fois la main de la Justice n'a pas tremblé.

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Re: Le procès des femmes radicalisées

Message par Fonck1 » 15 octobre 2019 07:40

berger141 a écrit : 15 octobre 2019 06:53 Elles prennent un max, pour une fois la main de la Justice n'a pas tremblé.
Je ne vois pas pourquoi elle aurait tremblé, elle a juste fait son travail.
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Re: Le procès des femmes radicalisées

Message par Anne32 » 15 octobre 2019 07:53

berger141 a écrit : 15 octobre 2019 06:53 Elles prennent un max, pour une fois la main de la Justice n'a pas tremblé.
Les bons vieux clichés sont de retour
Une chose dont on ne parle pas n'a jamais existé - Oscar Wilde

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Re: Le procès des femmes radicalisées

Message par vivarais » 15 octobre 2019 09:20

Fonck1 a écrit : 15 octobre 2019 07:40 Je ne vois pas pourquoi elle aurait tremblé, elle a juste fait son travail.
avez vous vérifié si quelques temps avant elles n'avaient pas été accompagnatrices de sortie scolaire ;)
n'oubliez pas les consignes de daesh , tuer des mécréants (hommes , femmes et enfants ) par n'importe quel moyen
et c'est en obéissant à ces consignes qu'elles ont tenté l'attentat de notre dame

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Re: Le procès des femmes radicalisées

Message par vivarais » 15 octobre 2019 09:26

Anne32 a écrit : 15 octobre 2019 07:53 Les bons vieux clichés sont de retour
le cliché est qu'il ne devrait pas avoir de mini ou de maxi , ni de confusion des délits et des sanctions
pour chaque chef d'accusation une sanction unique
ainsi comme aux USA , nous n'aurions pas 30 ns avec 15 ns de peine de sureté où les gens sont libérés
mais 20 ou 30 ou 100 ans de prison
par cumul des sanctions
les américains n'ont pas de problèmes pour les retour du djihad car ceux ci seront emprisonné à vie et non condamnés comme en France à une peine de 6 ans et libérés au bout de 2 ans

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Re: Le procès des femmes radicalisées

Message par vivarais » 15 octobre 2019 09:27

vivarais a écrit : 15 octobre 2019 09:26 le cliché est qu'il ne devrait pas avoir de mini ou de maxi , ni de confusion des délits et des sanctions
pour chaque chef d'accusation une sanction unique
ainsi comme aux USA , nous n'aurions pas 30 ns avec 15 ns de peine de sureté où les gens sont libérés
mais 20 ou 30 ou 100 ans de prison
par cumul des sanctions
les américains n'ont pas de problèmes pour les retour du djihad car ceux ci seront emprisonné à vie et non condamnés comme en France à une peine de 6 ans et libérés au bout de 2 ans

le coté ubuesque de la France , c'est qu'elle demande à ce que les djihadistes soient jugés sur place mais qu'elle s'oppose au jugement si c'est la peine de mort :mdr3: :mdr3: :mdr3:

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Re: Le procès des femmes radicalisées

Message par berger141 » 15 octobre 2019 10:10

Anne32 a écrit : 15 octobre 2019 07:53 Les bons vieux clichés sont de retour
ou simplement le constat de la réalité?

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