8 femmes sur 10 ont peur de rentrer seules chez elles le soir...

[Once]

Dans les foyers de certains pays ( pauvres, notamment) l'arrivée d'un bébé de sexe féminin peut être vécue comme une catastrophe.

Par contre, celle d'un garçon, alors là, c'est la fête !

Et on lui pardonnera tout à ce petit garçon, vrai futur petit macho, roi du monde et qui " contrôlera'" la vie de ses sœurs.

[berger141]

Je ne pense pas que le forum change quoi que ce soit au traitement sur les femmes.
Quand à la violence elle est un peu différente aujourd’hui mais c’est grosso modo la même qu’il y a trente ans, la différence c’est qu’on nous la met en pleine poire en direct à la tv dans l’heure où elle s’est produite .
On a l’impression que c’est partout et tout le temps mais je pense que il y a les meme proportions que dans les années 70…

On est loin d'une époque ou en France les femmes s'étaient libérées et pouvaient de promener librement en mini jupes dans tous les quartiers de nos grandes villes. Aujourd'hui c'est plutôt le processus inverse qui est en cours et dans beaucoup de quartiers il est devenu problématique et même très risqué pour une jeune femme de sortir seule le soir.

Ce que l'on sait c'est que l'immigration en France d'un autre peuple, qui a d'autres coutumes, a créé pour les femmes françaises une nouvelle situation , générant pour elles plus de risques le soir.

[olivers]

C'était intelligent, dans notre pays en proie à une délinquance d'une sauvagerie jamais égalée, de couper l'éclairage public
la nuit : moi ça m'a juste couté une marche bien casse-gueule un matin d'hiver,( j'aurais du aller en voiture..),a une femme
ça pourrait couter la vie......

[Jiimmy]

Dans les foyers de certains pays ( pauvres, notamment) l'arrivée d'un bébé de sexe féminin peut être vécue comme une catastrophe.

Par contre, celle d'un garçon, alors là, c'est la fête !

Et on lui pardonnera tout à ce petit garçon, vrai futur petit macho, roi du monde et qui " contrôlera'" la vie de ses sœurs.

Que c'est beau les caricatures. Si seulement cela n'illustrait pas un manque cruel de connaissances (défaut de connaissances qui ne fait nullement barrage à l'expression malheureusement. Et c'est parfois même une condition essentielle, c'est parce que l'on y connait rien que l'on se permettra de s'exprimer, tandis que des rudiments de connaissance occasionnent parfois + de recul).

[Jiimmy]

On est loin d'une époque ou en France les femmes s'étaient libérées et pouvaient de promener librement en mini jupes dans tous les quartiers de nos grandes villes. Aujourd'hui c'est plutôt le processus inverse qui est en cours et dans beaucoup de quartiers il est devenu problématique et même très risqué pour une jeune femme de sortir seule le soir.

Comme dirait Bertrand, on aimerait connaitre cette époque où la délinquance, la criminalité, les agressions n'existaient pas en France et où les femmes pouvaient se promener partout sans la moindre crainte.

[Jiimmy]

Je pense qu'il est plus facile de vivre une vie d'homme qu'une vie de femme.

En vrai, cela dépend des milieux. Dans certains, un homme se doit d'être fort et courageux dans sa jeunesse. Il ne peut pas se permettre de fuir l'adversité et se doit de résister aux provocations multiples auxquelles il aura à faire face (sinon il vivra un calvaire). Le moindre signe de faiblesse, d'apitoiement sur son sort, de tendresse seront connotés négativement ("un homme ça pleure pas"; "un homme ça fait pas ça" etc....).

Ensuite en grandissant il se devra nécessairement de trouver un métier (si possible qui rapporte afin de faire face aux exigences économiques relatives à la prise en charge de sa famille) et de s'y accrocher. Là encore il lui faudra faire preuve d'une solidité mentale à toute épreuve afin de résister sans faillir dans les milieux hostiles qu'il sera susceptible de rencontrer dans son travail. De même qu'au sein de sa famille il se devra d'adopter une posture forte, courageuse et ne pas "sombrer" dans l'excès de tendresse. Sa tristesse, ses déceptions, il se devra de les garder bien au fond de lui sans jamais relâcher ses efforts.

Selon son milieu d'origine, être homme ou femme comporte des avantages et des inconvénients qui varient, mais il n'est pas nécessairement + facile d'être homme et cela également en fonction de notre constitution psycho-organique qui peut décupler les inconvénients. Perso dans le mien (mon milieu), il me parait bien + difficile d'être un homme (je ne dis pas que l'on sera moins heureux, mais que les efforts à faire seront + conséquents pour l'être).

[Once]

QQ'un a écrit sur ce forum qu'il vaut mieux ,aujourd'hui, être un homme qu'une femme .Je partage .

La préférence masculine : causes et conséquences démographiques

Extraits

"Dans tous des pays du monde, il paraît plus gratifiant d’engendrer un garçon qu’une fille. Cette préférence ancestrale tient aux structures des sociétés, souvent patrimoniales et généralement patrilinéaires. L’Unicef, dans sa convention relative aux droits des enfants, mentionne cette forme de discrimination qui frappe la moitié de la population du monde et dont aucun pays n’est exempt. Elle va de la pointe de fierté à la naissance d’un fils et des stéréotypes sexués infligés aux filles par les parents, les éducateurs et les médias, jusqu’aux pires pratiques d’« exclusion » des filles, attestées par l’inquiétant déséquilibre démographique qui s’installe actuellement en Asie. Par ses avortements sélectifs, ses infanticides et ses mauvais traitements, ce continent se trouve aujourd’hui confronté à un « manque » de 90 millions de femmes.

(...)

Au cours du XXe siècle, les études démographiques avaient noté une mortalité différentielle dans les pays dits alors « sous-développés » : moins bien nourries, moins bien soignées, mariées très jeunes et souvent mères entre 15 et 17 ans (en 1991, 72 % d’entre elles l’étaient encore au Niger), les filles sont souvent aussi moins scolarisées, très tôt dédiées au travail des tâches domestiques. Enfin, elles sont exposées à toutes les formes de violences, particulièrement sexuelles, de l’inceste à la prostitution, sans parler des « meurtres d’honneur », en cas de relations sexuelles hors mariage dans certains pays (Bangladesh, Pakistan, Yémen, entre autres).

(...)

Le déficit de filles en Corée du Sud

Dans la Corée traditionnelle, la préférence pour le nouveau-né de sexe masculin était telle qu’une femme n’ayant pas eu de garçon pouvait être abandonnée par son mari et rejetée par sa famille. Cette préférence persistant après le remarquable essor économique de ce pays, certaines études démographiques prévoyaient que ce désir d’enfant mâle risquait de compromettre les efforts destinés à limiter la fécondité.

(...)

Chine : les filles sacrifiées

La culture chinoise comme ses religions (confucianisme, taoïsme) ont peu de considération pour les femmes. Seuls, les fils peuvent accomplir les rites familiaux de « piété filiale » et assurer une descendance pour perpétuer la famille, alors que la fille, une fois mariée, aidera son mari à prendre soin de ses beaux-parents.

Inde : la malédiction d’être fille

C’est en Inde que la condition féminine est la plus consternante. Au Rajasthan, quand naît une petite fille, naissance considérée indésirable comme dans tout le reste du pays, on organise dans certains villages un rituel de deuil. Car elle est nakusha (non voulue). Au Tali Nadu, elle est chevalu (onéreuse), ou vangal (mauvaise) en langue marathi.

(...)

Conclusions

Dans les prochaines décennies, les quelque 100 millions d’hommes en surplus vont probablement représenter une menace pour la sécurité mondiale. Si la Corée semble être parvenue à maîtriser ce problème et si la Chine est en voie de réussir, il n’en va pas de même pour le continent indien, sans mentionner d’autres pays, comme le Caucase, l’Iran, le Pakistan, le Népal, et le Bangladesh. Ce massacre furtif a-t-il permis une prise de conscience des violences faites aux femmes, et de l’état dramatique de la condition féminine dans certains pays ? Car c’est bien cette discrimination qui constitue le problème. Mais, malgré la mondialisation et l’amélioration des conditions économiques dans certains pays, les coutumes, les traditions, les stéréotypes sexués, les croyances religieuses risquent de perdurer longtemps encore et d’encourager des femmes, en refusant d’avoir des filles, à remettre également en question la valeur de leur propre existence."

https://www.medecinesciences.org/en/art ... p1051.html

[Bertrand]

QQ'un a écrit sur ce forum qu'il vaut mieux ,aujourd'hui, être un homme qu'une femme .Je partage .

La préférence masculine : causes et conséquences démographiques

Extraits

"Dans tous des pays du monde, il paraît plus gratifiant d’engendrer un garçon qu’une fille. Cette préférence ancestrale tient aux structures des sociétés, souvent patrimoniales et généralement patrilinéaires. L’Unicef, dans sa convention relative aux droits des enfants, mentionne cette forme de discrimination qui frappe la moitié de la population du monde et dont aucun pays n’est exempt. Elle va de la pointe de fierté à la naissance d’un fils et des stéréotypes sexués infligés aux filles par les parents, les éducateurs et les médias, jusqu’aux pires pratiques d’« exclusion » des filles, attestées par l’inquiétant déséquilibre démographique qui s’installe actuellement en Asie. Par ses avortements sélectifs, ses infanticides et ses mauvais traitements, ce continent se trouve aujourd’hui confronté à un « manque » de 90 millions de femmes.

(...)

Au cours du XXe siècle, les études démographiques avaient noté une mortalité différentielle dans les pays dits alors « sous-développés » : moins bien nourries, moins bien soignées, mariées très jeunes et souvent mères entre 15 et 17 ans (en 1991, 72 % d’entre elles l’étaient encore au Niger), les filles sont souvent aussi moins scolarisées, très tôt dédiées au travail des tâches domestiques. Enfin, elles sont exposées à toutes les formes de violences, particulièrement sexuelles, de l’inceste à la prostitution, sans parler des « meurtres d’honneur », en cas de relations sexuelles hors mariage dans certains pays (Bangladesh, Pakistan, Yémen, entre autres).

(...)

Le déficit de filles en Corée du Sud

Dans la Corée traditionnelle, la préférence pour le nouveau-né de sexe masculin était telle qu’une femme n’ayant pas eu de garçon pouvait être abandonnée par son mari et rejetée par sa famille. Cette préférence persistant après le remarquable essor économique de ce pays, certaines études démographiques prévoyaient que ce désir d’enfant mâle risquait de compromettre les efforts destinés à limiter la fécondité.

(...)

Chine : les filles sacrifiées

La culture chinoise comme ses religions (confucianisme, taoïsme) ont peu de considération pour les femmes. Seuls, les fils peuvent accomplir les rites familiaux de « piété filiale » et assurer une descendance pour perpétuer la famille, alors que la fille, une fois mariée, aidera son mari à prendre soin de ses beaux-parents.

Inde : la malédiction d’être fille

C’est en Inde que la condition féminine est la plus consternante. Au Rajasthan, quand naît une petite fille, naissance considérée indésirable comme dans tout le reste du pays, on organise dans certains villages un rituel de deuil. Car elle est nakusha (non voulue). Au Tali Nadu, elle est chevalu (onéreuse), ou vangal (mauvaise) en langue marathi.

(...)

Conclusions

Dans les prochaines décennies, les quelque 100 millions d’hommes en surplus vont probablement représenter une menace pour la sécurité mondiale. Si la Corée semble être parvenue à maîtriser ce problème et si la Chine est en voie de réussir, il n’en va pas de même pour le continent indien, sans mentionner d’autres pays, comme le Caucase, l’Iran, le Pakistan, le Népal, et le Bangladesh. Ce massacre furtif a-t-il permis une prise de conscience des violences faites aux femmes, et de l’état dramatique de la condition féminine dans certains pays ? Car c’est bien cette discrimination qui constitue le problème. Mais, malgré la mondialisation et l’amélioration des conditions économiques dans certains pays, les coutumes, les traditions, les stéréotypes sexués, les croyances religieuses risquent de perdurer longtemps encore et d’encourager des femmes, en refusant d’avoir des filles, à remettre également en question la valeur de leur propre existence."

https://www.medecinesciences.org/en/art ... p1051.html

Tout cela est bien vrai malheureusement. Mais alors plus aucun rapport avec le fait que 8 femmes sur 10 aient peur de rentrer seules chez elles le soir en France...

[Once]

La préférence masculine : causes et conséquences démographiques

Extraits

"Dans tous des pays du monde, il paraît plus gratifiant d’engendrer un garçon qu’une fille. Cette préférence ancestrale tient aux structures des sociétés, souvent patrimoniales et généralement patrilinéaires. L’Unicef, dans sa convention relative aux droits des enfants, mentionne cette forme de discrimination qui frappe la moitié de la population du monde et dont aucun pays n’est exempt. Elle va de la pointe de fierté à la naissance d’un fils et des stéréotypes sexués infligés aux filles par les parents, les éducateurs et les médias, jusqu’aux pires pratiques d’« exclusion » des filles, attestées par l’inquiétant déséquilibre démographique qui s’installe actuellement en Asie. Par ses avortements sélectifs, ses infanticides et ses mauvais traitements, ce continent se trouve aujourd’hui confronté à un « manque » de 90 millions de femmes.

(...)

Au cours du XXe siècle, les études démographiques avaient noté une mortalité différentielle dans les pays dits alors « sous-développés » : moins bien nourries, moins bien soignées, mariées très jeunes et souvent mères entre 15 et 17 ans (en 1991, 72 % d’entre elles l’étaient encore au Niger), les filles sont souvent aussi moins scolarisées, très tôt dédiées au travail des tâches domestiques. Enfin, elles sont exposées à toutes les formes de violences, particulièrement sexuelles, de l’inceste à la prostitution, sans parler des « meurtres d’honneur », en cas de relations sexuelles hors mariage dans certains pays (Bangladesh, Pakistan, Yémen, entre autres).

(...)

Le déficit de filles en Corée du Sud

Dans la Corée traditionnelle, la préférence pour le nouveau-né de sexe masculin était telle qu’une femme n’ayant pas eu de garçon pouvait être abandonnée par son mari et rejetée par sa famille. Cette préférence persistant après le remarquable essor économique de ce pays, certaines études démographiques prévoyaient que ce désir d’enfant mâle risquait de compromettre les efforts destinés à limiter la fécondité.

(...)

Chine : les filles sacrifiées

La culture chinoise comme ses religions (confucianisme, taoïsme) ont peu de considération pour les femmes. Seuls, les fils peuvent accomplir les rites familiaux de « piété filiale » et assurer une descendance pour perpétuer la famille, alors que la fille, une fois mariée, aidera son mari à prendre soin de ses beaux-parents.

Inde : la malédiction d’être fille

C’est en Inde que la condition féminine est la plus consternante. Au Rajasthan, quand naît une petite fille, naissance considérée indésirable comme dans tout le reste du pays, on organise dans certains villages un rituel de deuil. Car elle est nakusha (non voulue). Au Tali Nadu, elle est chevalu (onéreuse), ou vangal (mauvaise) en langue marathi.

(...)

Conclusions

Dans les prochaines décennies, les quelque 100 millions d’hommes en surplus vont probablement représenter une menace pour la sécurité mondiale. Si la Corée semble être parvenue à maîtriser ce problème et si la Chine est en voie de réussir, il n’en va pas de même pour le continent indien, sans mentionner d’autres pays, comme le Caucase, l’Iran, le Pakistan, le Népal, et le Bangladesh. Ce massacre furtif a-t-il permis une prise de conscience des violences faites aux femmes, et de l’état dramatique de la condition féminine dans certains pays ? Car c’est bien cette discrimination qui constitue le problème. Mais, malgré la mondialisation et l’amélioration des conditions économiques dans certains pays, les coutumes, les traditions, les stéréotypes sexués, les croyances religieuses risquent de perdurer longtemps encore et d’encourager des femmes, en refusant d’avoir des filles, à remettre également en question la valeur de leur propre existence."

https://www.medecinesciences.org/en/art ... p1051.html

Tout cela est bien vrai malheureusement. Mais alors plus aucun rapport avec le fait que 8 femmes sur 10 aient peur de rentrer seules chez elles le soir en France...

Je ne pense pas, non.

[fleur2jasmin]

Parce que réellement vous vous posez la question de savoir si être né homme ou femme est mieux ?
Vous êtes bizarre non ? Faut songer à voir un psychanalyste.

Entre ça et les adeptes de la théorie du genre qui affirment qu’on ne naît pas fille ou garçon mais qu’on le devient…. Nous voilà bien…

Puis faudra nous expliquer le rapport avec le sujet aussi car je ne vois pas…

[Nombrilist]

Il serait intéressant de connaitre le pourcentage des mères qui ont peur de laisser sortir leur fille seule le soir...

Et le pourcentage de pères aussi. Je pense qu'on doit avoisiner les 100%.

[Bertrand]

Il serait intéressant de connaitre le pourcentage des mères qui ont peur de laisser sortir leur fille seule le soir...

Et le pourcentage de pères aussi. Je pense qu'on doit avoisiner les 100%.

Et alors? La peur n'enlève pas le danger et n'est pas non plus proportionnelle au danger.
Y'a pas mal de gens qui ont peur de prendre l'avion...

[latresne]

On peut lire encore la différence de voir la vie pour un h ou une f quand on est musulman ou laïque.
Pour un musulman c'est dur de travailleret ramener un salaire à la maison , la femme musulmane est fière de rester à la maison préparer le repas pour le mari et la progéniture.Dés leur + jeune âge ,on leur inculque ces idées qu'il faut respecter. TTE la diff avec la culture occidentale où la femme veut une certaine indépendance ,une vraie liberté,par ex.travailler si elle le veut .En France ,il y a qqs décennies ,la vie ressemblait à celle ,des musulmans d'aujourd'hui : la femme au foyer , le mari au boulot,mm si il y avait déjà un début d'émancipation.L' évolution a fait le nécessaire.

[Bertrand]

On peut lire encore la différence de voir la vie pour un h ou une f quand on est musulman ou laïque.

Musulman et laïque ne sont pas opposés. On peut être musulman ET laïque. Et on peut être chrétien ou athée et ne pas être laïque.
Renseignez vous.

[Nombrilist]

Et le pourcentage de pères aussi. Je pense qu'on doit avoisiner les 100%.

Et alors? La peur n'enlève pas le danger et n'est pas non plus proportionnelle au danger.
Y'a pas mal de gens qui ont peur de prendre l'avion...

Et donc ?