«Feignasses pas rentables» : pourquoi tout le monde dénigre les fonctionnaires

[Fonck1]

je fais minimum 39 heures par semaine.
souvent plus.

Allons Fonck. Même si ça a pu avoir lieu comme tu le prétends c'est du passé, vu que tu es retraité depuis pas mal d'années.

j'ai 53 ans.
je suis en poste depuis 16 ans.
je travaille 39 heures hebdo.
j'ai des astreintes de soir et we. (pas payées plus évidement sinon c'est pas marrant)

mais j'en connais qui ne dépassnet jamais leurs heures, ou d'autres qui partent un quart d'heure avant.
là, j'ai commencé ce matin une heure plus tôt, je devrais être parti depuis 40 minutes.
d'ailleurs je me barre

[oups]

Le montant de la retraite c’est pas du hasard, juste la concrétisation d’une carrière plus ou moins bien conduite dans une activité choisie , nous le savons tous .Après certains préfèrent l’oublier pour un temps plus ou moins long en fonction de considérations X ou Y souvent louables des fois moins
Par contre au bout du bout , ce passe ce qui était prévisible, c’est comme ca , des fois "injuste " peut etre mais juste comme ca

quand tu fais du secrétariat, t'as pas trop de possibilités de "monter".

On connaît tous des assistantes, certaines resteront attachées auchef de bureau a Saint Flour et d'autres se dirigeront vers le bureau du Préfet avec l'échelon et la considération qui va avec .Après dire qu'elles" montent" plus ou moins bien , plus ou moins vite , ché pas , j''ose pas

[oups]

Allons Fonck. Même si ça a pu avoir lieu comme tu le prétends c'est du passé, vu que tu es retraité depuis pas mal d'années.

j'ai 53 ans.
je suis en poste depuis 16 ans.
je travaille 39 heures hebdo.
j'ai des astreintes de soir et we. (pas payées plus évidement sinon c'est pas marrant)

mais j'en connais qui ne dépassnet jamais leurs heures, ou d'autres qui partent un quart d'heure avant.
là, j'ai commencé ce matin une heure plus tôt, je devrais être parti depuis 40 minutes.
d'ailleurs je me barre

Faut dire aussi que c est chronophage le forum mais on remercie tout de même

[Fonck1]

quand tu fais du secrétariat, t'as pas trop de possibilités de "monter".

On connaît tous des assistantes, certaines resteront attachées auchef de bureau a Saint Flour et d'autres se dirigeront vers le bureau du Préfet avec l'échelon et la considération qui va avec .Après dire qu'elles" montent" plus ou moins bien , plus ou moins vite , ché pas , j''ose pas

les échelons sont nationaux.
tu ne gagnes pas plus chez le préfet que chez le directeur de composante, puis alors les différences sont tellement minimes question salaires....pour cette BAP J....(branche d'activité professionnelle pour les incultes)
les secrétaires sont clairement pas super bien payées.

[Kelenner]

En fait le "débat" n'a pas de sens. Fonctionnaire, ce n'est pas un métier, c'est un statut, qui recouvre des réalités tellement différentes selon les postes, les FP, les emplois... que faire des généralités sur 5 millions de personnes n'a tout bonnement aucun sens.

Un exemple simple, on parle souvent de "l'emploi à vie", mais il ne concerne véritablement que les fonctionnaires d'Etat, les autres devant se faire embaucher, sans même parler des contractuels qui peuvent sauter du jour au lendemain. Rappelons aussi que la contrepartie de cet avantage, c'est la lourdeur administrative pour changer de poste. Dans mon cas, par exemple, je ne peux pas quitter la région parisienne qui ne libère aucun de ses enseignants, et ce à vie.

Concernant les clichés sur la compétence ou la fainéantise supposée de certains fonctionnaires, de par mon expérience du secteur privé en tant que salarié et surtout en tant que client, je peux affirmer qu'il n'y en a ni plus ni moins qu'ailleurs, et que contrairement à ce qu'on prétend souvent les nuls du privé ne sont pas systématiquement virés, loin s'en faut, j'ai des exemples à la pelle. Comme partout, il y a des bons et des mauvais, en proportion probablement similaire.

On oublie souvent une chose : les fonctionnaires "de terrain", profs, flics, infirmières, magistrats, globalement la FP d'Etat, sont très exposés et en contact direct avec le public, bien davantage que la majorité des salariés du privé. Ceux qui sont nuls ou fainéants, ils le payent directement, par le mécontentement des usagers, le bordel dans leur classe, la surcharge de boulot, le stress et compagnie. On ne peut tout bonnement pas se planquer dans ces métiers là, contrairement à de nombreux salariés du privé, particulièrement les "cadres" qui font semblant de.

[papibilou]

On ne peut tout bonnement pas se planquer dans ces métiers là, contrairement à de nombreux salariés du privé, particulièrement les "cadres" qui font semblant de.

Et si, au lieu de critiquer les fonctionnaires , on critiquait les cadres du privé ? Voilà qui serait constructif.

[Kelenner]

Il y a sûrement beaucoup plus à dire chez ces gens là, c’est évident.

[da capo]

En fait le "débat" n'a pas de sens. Fonctionnaire, ce n'est pas un métier, c'est un statut, qui recouvre des réalités tellement différentes selon les postes, les FP, les emplois... que faire des généralités sur 5 millions de personnes n'a tout bonnement aucun sens.

Un exemple simple, on parle souvent de "l'emploi à vie", mais il ne concerne véritablement que les fonctionnaires d'Etat, les autres devant se faire embaucher, sans même parler des contractuels qui peuvent sauter du jour au lendemain. Rappelons aussi que la contrepartie de cet avantage, c'est la lourdeur administrative pour changer de poste. Dans mon cas, par exemple, je ne peux pas quitter la région parisienne qui ne libère aucun de ses enseignants, et ce à vie.

Concernant les clichés sur la compétence ou la fainéantise supposée de certains fonctionnaires, de par mon expérience du secteur privé en tant que salarié et surtout en tant que client, je peux affirmer qu'il n'y en a ni plus ni moins qu'ailleurs, et que contrairement à ce qu'on prétend souvent les nuls du privé ne sont pas systématiquement virés, loin s'en faut, j'ai des exemples à la pelle. Comme partout, il y a des bons et des mauvais, en proportion probablement similaire.

On oublie souvent une chose : les fonctionnaires "de terrain", profs, flics, infirmières, magistrats, globalement la FP d'Etat, sont très exposés et en contact direct avec le public, bien davantage que la majorité des salariés du privé. Ceux qui sont nuls ou fainéants, ils le payent directement, par le mécontentement des usagers, le bordel dans leur classe, la surcharge de boulot, le stress et compagnie. On ne peut tout bonnement pas se planquer dans ces métiers là, contrairement à de nombreux salariés du privé, particulièrement les "cadres" qui font semblant de.

Pour rester sur les généralités, dans le privé, lorsque les objectifs ne sont pas atteints, on se penche sur la productivité de chacun des acteurs et on peut agir en conséquence auprès de ces derniers sans devoir s'agenouiller devant des délégués syndicaux qui les protègent par principe, les boulets dont il est impossible de se débarrasser inclus.

[Fonck1]

En fait le "débat" n'a pas de sens. Fonctionnaire, ce n'est pas un métier, c'est un statut, qui recouvre des réalités tellement différentes selon les postes, les FP, les emplois... que faire des généralités sur 5 millions de personnes n'a tout bonnement aucun sens.

Un exemple simple, on parle souvent de "l'emploi à vie", mais il ne concerne véritablement que les fonctionnaires d'Etat, les autres devant se faire embaucher, sans même parler des contractuels qui peuvent sauter du jour au lendemain. Rappelons aussi que la contrepartie de cet avantage, c'est la lourdeur administrative pour changer de poste. Dans mon cas, par exemple, je ne peux pas quitter la région parisienne qui ne libère aucun de ses enseignants, et ce à vie.

Concernant les clichés sur la compétence ou la fainéantise supposée de certains fonctionnaires, de par mon expérience du secteur privé en tant que salarié et surtout en tant que client, je peux affirmer qu'il n'y en a ni plus ni moins qu'ailleurs, et que contrairement à ce qu'on prétend souvent les nuls du privé ne sont pas systématiquement virés, loin s'en faut, j'ai des exemples à la pelle. Comme partout, il y a des bons et des mauvais, en proportion probablement similaire.

On oublie souvent une chose : les fonctionnaires "de terrain", profs, flics, infirmières, magistrats, globalement la FP d'Etat, sont très exposés et en contact direct avec le public, bien davantage que la majorité des salariés du privé. Ceux qui sont nuls ou fainéants, ils le payent directement, par le mécontentement des usagers, le bordel dans leur classe, la surcharge de boulot, le stress et compagnie. On ne peut tout bonnement pas se planquer dans ces métiers là, contrairement à de nombreux salariés du privé, particulièrement les "cadres" qui font semblant de.

Pour rester sur les généralités, dans le privé, lorsque les objectifs ne sont pas atteints, on se penche sur la productivité de chacun des acteurs et on peut agir en conséquence auprès de ces derniers sans devoir s'agenouiller devant des délégués syndicaux qui les protègent par principe, boulets inclus.

totalement faux.
dans les grosses boites, c'est la même en couleur.
même dans certaines PME.
les syndicats sont obligatoires à partir d'un certain nombre d'employés.

[da capo]

totalement faux.
dans les grosses boites, c'est la même en couleur.
même dans certaines PME.
les syndicats sont obligatoires à partir d'un certain nombre d'employés.

Ben non, vu que dans le privé, défendus par les syndicats ou non, les boulets ne sont pas protégés par leur statut et c'est ce qui fait toute la différence ; on peut les remettre au boulot ou s'en débarrasser.

[Kelenner]

En fait le "débat" n'a pas de sens. Fonctionnaire, ce n'est pas un métier, c'est un statut, qui recouvre des réalités tellement différentes selon les postes, les FP, les emplois... que faire des généralités sur 5 millions de personnes n'a tout bonnement aucun sens.

Un exemple simple, on parle souvent de "l'emploi à vie", mais il ne concerne véritablement que les fonctionnaires d'Etat, les autres devant se faire embaucher, sans même parler des contractuels qui peuvent sauter du jour au lendemain. Rappelons aussi que la contrepartie de cet avantage, c'est la lourdeur administrative pour changer de poste. Dans mon cas, par exemple, je ne peux pas quitter la région parisienne qui ne libère aucun de ses enseignants, et ce à vie.

Concernant les clichés sur la compétence ou la fainéantise supposée de certains fonctionnaires, de par mon expérience du secteur privé en tant que salarié et surtout en tant que client, je peux affirmer qu'il n'y en a ni plus ni moins qu'ailleurs, et que contrairement à ce qu'on prétend souvent les nuls du privé ne sont pas systématiquement virés, loin s'en faut, j'ai des exemples à la pelle. Comme partout, il y a des bons et des mauvais, en proportion probablement similaire.

On oublie souvent une chose : les fonctionnaires "de terrain", profs, flics, infirmières, magistrats, globalement la FP d'Etat, sont très exposés et en contact direct avec le public, bien davantage que la majorité des salariés du privé. Ceux qui sont nuls ou fainéants, ils le payent directement, par le mécontentement des usagers, le bordel dans leur classe, la surcharge de boulot, le stress et compagnie. On ne peut tout bonnement pas se planquer dans ces métiers là, contrairement à de nombreux salariés du privé, particulièrement les "cadres" qui font semblant de.

Pour rester sur les généralités, dans le privé, lorsque les objectifs ne sont pas atteints, on se penche sur la productivité de chacun des acteurs et on peut agir en conséquence auprès de ces derniers sans devoir s'agenouiller devant des délégués syndicaux qui les protègent par principe, les boulets dont il est impossible de se débarrasser inclus.

Soyons plus précis : des pseudos « cadres «  dont la majorité sont inutiles, incompétents , pistonnés ou les trois à la fois vont chercher des lampistes pour servir de bouc émissaire à leur propre incapacité.

Mais en filigrane tu en arrives à la vraie raison de ta détestation de la fonction publique : la possibilité pour les agents de ne pas se laisser maltraiter comme les sous fifres du privé.

[Fonck1]

totalement faux.
dans les grosses boites, c'est la même en couleur.
même dans certaines PME.
les syndicats sont obligatoires à partir d'un certain nombre d'employés.

Ben non, vu que dans le privé, défendus par les syndicats ou non, les boulets ne sont pas protégés par leur statut et c'est ce qui fait toute la différence ; on peut les remettre au boulot ou s'en débarrasser.

Notons que le délégué syndical peut occuper une fonction au sein du comité social et économique (CSE). Cette instance, composée de représentants du personnel, est obligatoire dans toutes les entreprises de plus de 11 salariés.
https://www.google.fr/search?q=syndicat ... s-wiz-serp

défendus par les syndicats, il est beaucoup plus aux patrons de virer des salariés, tant la loi est complexe.

[Mickey]

Les fonfonx sont invirables et c'est bien l'origine du fiasco de l'administration.
En attendant, on pourrait les mettre au même régime que les autres ; 3 jours de carence, 5 semaines de congés payés et 65% du salaire en cas d'arrêt maladie.
Ce qui n'en doutons pas, diminuerait la haine de la populace envers cette corporation de nababs. La justice sociale commence par celà.

[da capo]

Pour rester sur les généralités, dans le privé, lorsque les objectifs ne sont pas atteints, on se penche sur la productivité de chacun des acteurs et on peut agir en conséquence auprès de ces derniers sans devoir s'agenouiller devant des délégués syndicaux qui les protègent par principe, les boulets dont il est impossible de se débarrasser inclus.

Soyons plus précis : des pseudos « cadres «  dont la majorité sont inutiles, incompétents , pistonnés ou les trois à la fois vont chercher des lampistes pour servir de bouc émissaire à leur propre incapacité.

Mais en filigrane tu en arrives à la vraie raison de ta détestation de la fonction publique : la possibilité pour les agents de ne pas se laisser maltraiter comme les sous fifres du privé.

Non, je ne fais que dénoncer l'injustice fondamentale du statut, en particulier celui de l'emploi garanti à vie.
Les entreprises privées dont la majorité des cadres seraient inutiles, incompétents et pistonnés (sic) comme s'il n'y avait pas de cooptation et d'embauche d'incompétents dans le public, c'te blague ! ne feraient pas long feu.

Contrairement au public, le privé subit les lois du marché et les aléas des conjonctures.
En règle générale (il y a toujours des exceptions), on y récompensera plutôt le mérite que le statut.
Rien d'étonnant à ce que l'avancement automatique, cet autre promoteur de lascivité, y soit pratiquement inconnu.

[latresne]

Les fonfonx sont invirables et c'est bien l'origine du fiasco de l'administration.
En attendant, on pourrait les mettre au même régime que les autres ; 3 jours de carence, 5 semaines de congés payés et 65% du salaire en cas d'arrêt maladie.
Ce qui n'en doutons pas, diminuerait la haine de la populace envers cette corporation de nababs. La justice sociale commence par celà.

Mon ex belle fille était fonctionnaire adorable et toujours sympa avec tout le monde.Faut dire que son beau père"exemplaire lui aussi " lui remontait souvent le moral.