Intéressant. Vous m'avez appris quelque chose ( Peut-être). Je ne suis pas apte à vous donner quitus, mais vous avez peut-être raison.Transfert a écrit : ↑24 juin 2024 19:21FAUX!!!papibilou a écrit : ↑24 juin 2024 19:01
Le problème est que cette dame ne peut en aucune manière être juge de la situation en ayant passé une partie de sa petite enfance dans un camp de réfugiés, comme le rappelle Kellener.
Le fait qu'elle utilise l'expression du fleuve à la mer montre qu'elle reste sur une position de volonté de destruction d'Israël et maintient sa comparaison entre Israël et l'Afrique du Sud avec l'apartheid.
Rima Hassan est née en Syrie, d’une mère syrienne et d’un père issu d’une famille d’Arabes qui ont quitté sous-district d’Acre en 1948 suite à la guerre de l’Indépendance d’Israël. Beaucoup d’habitants du village El-Birwa, où sont nés ses parents, l’ont quitté pour d’autres zones à l’intérieur d’Israël, certains sont partis vers le Liban ou la Syrie. Ceux qui sont restés ont la citoyenneté israélienne aujourd’hui. Le père de Rima Hassan est né en Syrie, et sa mère est syrienne. Hassan a la nationalité syrienne et la nationalité française Elle est née dans un village syrien Neirab, qui était le premier à accueillir des Arabes qui quittaient la Palestine mandataire, suite à l’établissement de l’Etat d’Israël. Parler aujourd’hui de « camp de réfugiés » à propos de ces villages ou villes est un dévoiement de langage. Si au début, il s’agissait, pour certains camps, de constructions temporaires, comme ce fut le cas en Israël, pour les réfugiés juifs du monde arabe, par la suite de nombreux « camps » ont très bien intégré le système urbain syrien, en devenant des quartiers des villes. Ce fut le cas de Neirab, le lieu de naissance de la militante. Il faut bien comprendre que lorsqu’elle se définit comme « réfugiée palestinienne », elle joue sur les contextes de l’utilisation des mots. Dans l’usage commun, le « réfugié » est celui qui a quitté son pays pour échapper à la guerre, aux persécutions etc. Du moment où le réfugié obtient la nationalité du pays qui l’a accueilli, il devient le citoyen de ce pays. Les enfants des Juifs expulsés ou contraints de partir des pays arabes après 1948 ne sont pas des « réfugiés libyens, tunisiens ou algériens ». Ils sont citoyens d’Israël ou de la France ou d’autres pays qui les ont accueillis. La convention de l’ONU de 1951-1967 relative au statut des réfugiés ne mentionne pas les descendants des réfugiés et cesse de s’appliquer au cas où le refugié obtient la nationalité du pays d’accueil.
Elle se targue qu'une qualité qu'elle n'a pas! C'est donc une menteuse!
Rima Hassan : "depuis que je suis en couple avec Garou , j’en ai plus rien à branler de la cause palestinienne" . Je ne sais pas si ce tweet est vai (ça m'étonnerait) mais je le trouve savoureux///
Sur Neirab :
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Neirab
<< le camp de réfugiés palestiniens de Neirab est, en 2024, le camp de réfugiés palestiniens le plus peuplé et l'un des plus pauvres du pays >>.