Tu peux détailler stp ?Fonck1 a écrit : un truc
Monica Belluci
Tu peux détailler stp ?Fonck1 a écrit : un truc
mais tu connais pas l'histoire ?Eve a écrit : Tu peux détailler stp ?
Monica Belluci
Ben nontisiphoné a écrit : mais tu connais pas l'histoire ?
bon ta robe était bleue ?Eve a écrit : Je n'avais compris ok
Je croyais que c'était qq'un du forum. :oops:
Non ! Jupe noiretisiphoné a écrit : bon ta robe était bleue ?
ah là là, tu casses le scénar' et Clint qui se voyait dans le bureau ovaleEve a écrit : Non ! Jupe noire
Il changera de pièce, je ne fais pas dans le réchauffé.tisiphoné a écrit : ah là là, tu casses le scénar' et Clint qui se voyait dans le bureau ovale
pitin t'as besoin d'un coupEve a écrit : Je n'avais compris ok
Je croyais que c'était qq'un du forum. :oops:
Fonck1 a écrit : pitin t'as besoin d'un coup
oscar a écrit : ET UNE OPPORTUNITE ASSEZ EXTRAORDINAIRE A LA CAMPAGNE.
C’était une grande brune au corps de déesse sur un vélo qui descendait un chemin forestier en pente.
Dans le virage, l’inconnue au short saillant tombe…
Je me précipite et je l’aide à se relever.
Son prénom : Brigitte, alors je lui sors ma première boutade.
Seule Brigitte Lahaie est à l’aise dans les passages d’obstacles.
Elle se mit à sourire et je me propose de la raccompagnée à son domicile en portant son vélo abîmé.
Brigitte habitait dans un petit lotissement et son mari était en voyage à l’étranger pour des raisons professionnelles.
Une fois chez elle, je lui ai massé sa cheville et son dos.
Mes doigts parcouraient lentement toutes les zones meurtries, de bas en haut de la cuisse…
Brigitte avait corps extraordinaire.
Des proportions esthétiques corporelles qui auraient fait envie plus d’une femme.
En souriant, je massais avec application du pied jusqu'au haut de la hanche.
Son petit maillot de bain avait une petite ficelle sur le coté.
Chaude ambiance dans cette pièce assez faiblement éclairée qui donnait sur le jardin en fleurs.
Subitement, elle se retourna sur le dos en défaisant le nœud de son slip.
J’étais bouillant avec une curieuse sensation « d’angoisse » heureuse.
Je tremblais à l’idée des prochaines minutes que j’allais passer avec Brigitte.
« Pas de faux pas !... pas de faux pas ! » je me disais dans ma tête.
Alors mes dix doigts rentrèrent en action d’inspection plus prononcée.
Quand Brigitte me fit un léger clin d’œil.
Quel corps !
Des jambes galbées interminables comme une danseuse de l’opéra.
Une paire de fesses rebondies comme une fille du Brésil et des seins arrogants terriblement excitants.
Du jamais vue de ma vie et de si près…
Dans mon pantalon Popaul voulait absolument sortir.
D’ailleurs une énorme bosse tendait le tissu de mon pantalon comme un chapiteau.
Brigitte d’une main faussement hasardeuse touche ma brayette.
Ma respiration a failli se bloquée.
J’entrepris une exploration d’incursion de reconnaissance dans la forêt vierge (que du nom), afin de sonder l’état d entrée de son « puit d’amour ».
Il était chaud, humide, frémissant d’attente de hard soubresaut.
De mon coté, Popaul n’en pouvait plus, déjà, il bavait.
Subitement, Brigitte ouvre avec conviction le haut de mon pantalon.
Popaul se retrouve « nu comme un ver » à l’air libre, devant les yeux étonnés de Brigitte.
Popaul était au maximum de son potentiel d’extension, ses veines de surface étaient gonflées de sang.
J’ai eu droit à une fellation langoureuse pratiqué avec une rare conviction.
J’étais aux anges du paradis du sexe…
A mon tour de reprendre l’initiative.
Après fait une incursion buccale sur l’entrée de « sa pointe bic ».
Popaul voulait à son tour rentrer dans l’action dure.
Depuis le temps, qu’il attendait le pauvre en suant dans sa niche de coton.
Alors la partie de va et viens ébranla dans un même rythme d’osmose nos deux corps dans une tension maxi-male.
Ce coup de foudre d’été, détonateur de nos atomes crochus en folies.
J’ai vite abandonne la position du « missionnaire », pour une posture plus coulissante dominatrice.
Incroyable sensation unique d’une effusion tous nos fluides corporelles en attente du bouquet final.
Dans un dernier mouvement, on n’a atteint le paroxysme d’une conjointe extase.
Oui, c’est les meilleurs moments d’une vie d’homme et aussi peut-être de la femme.
Quand deux êtres ne se connaissant « ni Adam ni d’Ève » s’abandonnent à en perdre connaissance dans un spasme fusionnel naturel.
oscar