.Mesoke a écrit : ↑26 novembre 2020 22:17Personne n'a rien trouvé pour freiner l'évolution du virus. Peut-être parce qu'il n'y a rien à trouver, ou rien d'évident.AAAgora a écrit : ↑26 novembre 2020 21:44 La référence à la perversion intellectuelle ne vous empêche pas de continuer sur le même registre
Je suis donc obligé de vous corriger.
Quand je dis qu'en 8 mois ils n'ont rien trouvé comme traitement pour freiner l'évolution du virus : c'est vrai ou faux ?
Ils ont cherché, je n'en doute pas, mais ils n'ont rien trouvé.
C'est à l'émergence de l'épidémie qu'il fallait répondre.
Seul un "plouc" de Marseille s'y est attelé et surement d'autres médecins moins médiatisés mais plus respectueux du besoin de leurs patients.
Dans ce vide sidérale quelque labo' a essayé de s'y intéresser, mais, à part Gilead, on a pas vu venir autre chose (et Gilead nous écouté cher pour rien).
D'où la question que je me pose : la recherche sanitaire a peut être pris conscience qu'ils n'avaient devant eux le temps nécessaire pour mettre sur le marché un traitement réellement efficace, d'où l'orientation vers le vaccin, pour les batailles futures.
On sacrifie un régiment mais on se préserve les chances du gagner la guerre.
La recherche scientifique a perdu la bataille, mais elle s'est concentrée pour gagner la guerre.
Intention louable, mais on ne peut pas effacer le désastre de la bataille perdue.......plus de 1 millions de morts dans le monde et plus de 50.000 en France.
Le vaccin, bienvenu, s'il va nous protéger à l'avenir.
Le grand chercheur de Marseille (oui, il a un vrai passé de chercheur compétent) a proposé un traitement, sans vérifier s'il fonctionne, et l'administre en affirmant qu'il fonctionne.
Et plein de gens ont testé plein de médicaments. On peut voir une liste ici ou là de médicament testés, et on est loin de n'avoir que la chloroquine grâce à Raoult. Mais à priori aucun médicament ne s'est révélé utile pour traiter cette maladie.
Encore une fois on n'est pas dans un jeu vidéo. Dans la vraie vie on n'a pas un niveau conçu pour avoir une solution. Des fois on n'a juste pas de solution. Plein de maladies qui ont plus d'un an d'existence n'ont pas encore de traitement. Je ne vois pas de complot ou d'incompétence derrière ça. C'est juste que la biologie et la chimie sont plus complexes que la magie ...
Cela ne vous effleure pas l'idée que seule la chloroquine a fait l'objet d'un acharnement d'études pour en démontrer l'inefficacité.
Aucune autre molécule n'a eu droit à tant d'attentions.
Vous pouvez m'expliquer le pourquoi ?
Il n'y avait rien à trouver dites vous !!!
Et à a question que répondez vous : D'où la question que je me pose : la recherche sanitaire a peut être pris conscience qu'ils n'avaient devant eux le temps nécessaire pour mettre sur le marché un traitement réellement efficace, d'où l'orientation vers le vaccin, pour les batailles futures.
On sacrifie un régiment mais on se préserve les chances du gagner la guerre.[/surligne]
D'un côté on plonge la chloroquine en montrant qu'il n'y a rien d'efficace et de l'autre on monte en épingle la recherche d'un vaccin, qui sera la star sauveteur de l'humanité.
J'espère vivement que cette stratégie pourrie sera gagnante pour sauver des vies.