Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
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Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
Un topic pour vous donner l'occasion de poster des faits divers disons "secondaires" voir même quasi-inutiles mais qui se font remarquer par leur bêtise,leur stupidité et leurs raisons jusqu'à la finalité de ces derniers.....
Je sais que certains trouveront cela stupide et inintéressant mais il s'agit avant tout d'en sourire ou d'en râler.
Et cela n'empêche pas les membres d'en discuter si ils le désirent.
Il va de soit que si l'Administration ne valide pas ce Topic elle sera dans son Droit de prendre les mesures nécessaires.
(Je ne l'ai pas posté ailleurs parce que c'est tout de même de l' "actualité réelle")
Je sais que certains trouveront cela stupide et inintéressant mais il s'agit avant tout d'en sourire ou d'en râler.
Et cela n'empêche pas les membres d'en discuter si ils le désirent.
Il va de soit que si l'Administration ne valide pas ce Topic elle sera dans son Droit de prendre les mesures nécessaires.
(Je ne l'ai pas posté ailleurs parce que c'est tout de même de l' "actualité réelle")
Modifié en dernier par Crapulax le 07 octobre 2017 06:39, modifié 2 fois.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
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Re: Faits divers ou "mauvaises blagues" à rire ou en pleurer.
Le 3 octobre dernier, un homme de 28 ans avait été retrouvé au bord de la RN 141, au niveau de la commune de Ruelle, près d’Angoulême. Il était ligoté et portait un sac en plastique sur la tête.
L’affaire a fait grand bruit et la supposée victime avait tout de suite indiqué avoir subi un enlèvement. Il avait signalé aux enquêteurs qu’il avait été agressé sur l’aire de repos de Trottechien, non loin de là, et que les malfrats lui avaient volé son camion dans lequel il transportait une Audi.
Les motivations restent floues
Suite à ces faits, il avait été transporté à l’hôpital de Girac. La police judiciaire de Limoges avait ensuite été saisi des faits et entendu ce ressortissant portugais, qui a finalement reconnu avoir menti et tout mis en scène.
Pourquoi ? Le Parquet évoque une histoire en lien avec des voitures.
L’enquête doit déterminer les étranges motivations de cet homme de 28 ans qui a été déféré devant le parquet d’Angoulême ce vendredi. Il a été placé en garde à vue et est poursuivi pour des faits de dénonciation d’infractions imaginaires. Il encourt jusqu’à 6 mois d’emprisonnement et 7500€ d’amende.
Source:Sud-Ouest.
L’affaire a fait grand bruit et la supposée victime avait tout de suite indiqué avoir subi un enlèvement. Il avait signalé aux enquêteurs qu’il avait été agressé sur l’aire de repos de Trottechien, non loin de là, et que les malfrats lui avaient volé son camion dans lequel il transportait une Audi.
Les motivations restent floues
Suite à ces faits, il avait été transporté à l’hôpital de Girac. La police judiciaire de Limoges avait ensuite été saisi des faits et entendu ce ressortissant portugais, qui a finalement reconnu avoir menti et tout mis en scène.
Pourquoi ? Le Parquet évoque une histoire en lien avec des voitures.
L’enquête doit déterminer les étranges motivations de cet homme de 28 ans qui a été déféré devant le parquet d’Angoulême ce vendredi. Il a été placé en garde à vue et est poursuivi pour des faits de dénonciation d’infractions imaginaires. Il encourt jusqu’à 6 mois d’emprisonnement et 7500€ d’amende.
Source:Sud-Ouest.
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Re: Faits divers ou "mauvaises blagues" à rire ou en pleurer.
Panique et inquiétude en Suisse. Dans un quartier de Zurich, un homme emménage et décide, quelques jours plus tard, de hisser deux drapeaux sur son toit, un de l’Italie et un de la célèbre marque de whisky "Jack Daniel’s", révèle la version suisse de 20 Minutes.
Sauf que… l’initiative a suscité l’inquiétude dans le voisinage. Le drapeau noir avec des inscriptions blanches de "Jack Daniel’s" a été confondu par ses voisins avec l’étendard du groupe jihadiste Daesh.
"Êtes vous des sympathisants ?"
Le nouvel habitant de Regensdorf a ainsi reçu un courrier, écrit par ses voisins. "Devrions-nous avoir peur de vous ? D’abord un drapeau italien maintenant le drapeau noir et blanc de la mort. Êtes-vous des sympathisants ?", s’interrogent-ils.
Le jeune homme de 29 ans n’a pas apprécié le message et pense à porter plainte pour "diffamation". Il a décidé de ne pas toucher à ses drapeaux sur le toit de sa maison.
Ce n’est pas la première fois qu’une confusion de ce genre est signalée. En 2016, le drapeau de la Vendée avait été confondu avec celui de Daesh à Nice.
Source:Sud-Ouest.
Sauf que… l’initiative a suscité l’inquiétude dans le voisinage. Le drapeau noir avec des inscriptions blanches de "Jack Daniel’s" a été confondu par ses voisins avec l’étendard du groupe jihadiste Daesh.
"Êtes vous des sympathisants ?"
Le nouvel habitant de Regensdorf a ainsi reçu un courrier, écrit par ses voisins. "Devrions-nous avoir peur de vous ? D’abord un drapeau italien maintenant le drapeau noir et blanc de la mort. Êtes-vous des sympathisants ?", s’interrogent-ils.
Le jeune homme de 29 ans n’a pas apprécié le message et pense à porter plainte pour "diffamation". Il a décidé de ne pas toucher à ses drapeaux sur le toit de sa maison.
Ce n’est pas la première fois qu’une confusion de ce genre est signalée. En 2016, le drapeau de la Vendée avait été confondu avec celui de Daesh à Nice.
Source:Sud-Ouest.
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Re: Faits divers ou "mauvaises blagues" à rire ou en pleurer.
Voici quinze jours, Noisette était poignardée à sept reprises. Condamnée, sa maîtresse a dû rendre aussi deux autres de ses chiens, adoptés après un passage par la SPA qui ouvre ce week-end ses portes au public à Chamarande.
Après les coups de couteau, le coup de foudre. Noisette, une chienne de 2 ans, poignardée à sept reprises par sa maîtresse dans le dos, le ventre et le cou, se vidait de son sang lorsqu’elle a été récupérée par les policiers de Corbeil-Essonnes (Essonne) voici 15 jours. Conduite à la clinique vétérinaire, elle a pu être sauvée. Et Marion, l’infirmière qui a participé aux opérations, est tombée sous le charme de ce teckel. Elle a finalement craqué et l’a fait adopter par sa mère Cécile.
Condamnée à six mois de prison ferme pour cet acte de cruauté commis parce que ses « chiens aboyaient », l’ex-propriétaire a aussi rendu aux forces de l’ordre deux autres chiennes. Recueillies au refuge de la SPA à Chamarande, qui organise ce week-end des journées portes ouvertes, les deux copines de Noisette, Pipoune et Chelsea, ont été toutes deux adoptées.
«Ça nous fait plaisir de savoir que tout se termine bien pour tous les animaux», glisse Cécile. Avec son mari, ils cherchaient un compagnon à leur molosse Ipsos. Lorsque leur fille Marion, infirmière-vétérinaire à Corbeil, les a appelés : «Maman, il y a une chienne ici, il faut que tu la prennes, elle est trop mignonne.» Cécile passe à la clinique. Noisette est encore convalescente. «On a craqué immédiatement.».
Dans sa nouvelle maison, Noisette s’est fait sa place. Elle dort dans le lit de ses propriétaires. «Et quand on la sort, c’est la star, car tout le monde a entendu parler de son histoire», sourit le père de famille. Ses poils commencent à repousser et les cicatrices disparaissent un peu. Pas le souvenir de cette agression dans la baignoire. «Noisette reste méfiante quand elle est dans la salle de bains, reconnaît le couple. Mais elle n’en veut pas aux gens, c’est une boule d’amour, elle aime tout le monde.»
Source:Le Parisien.
Après les coups de couteau, le coup de foudre. Noisette, une chienne de 2 ans, poignardée à sept reprises par sa maîtresse dans le dos, le ventre et le cou, se vidait de son sang lorsqu’elle a été récupérée par les policiers de Corbeil-Essonnes (Essonne) voici 15 jours. Conduite à la clinique vétérinaire, elle a pu être sauvée. Et Marion, l’infirmière qui a participé aux opérations, est tombée sous le charme de ce teckel. Elle a finalement craqué et l’a fait adopter par sa mère Cécile.
Condamnée à six mois de prison ferme pour cet acte de cruauté commis parce que ses « chiens aboyaient », l’ex-propriétaire a aussi rendu aux forces de l’ordre deux autres chiennes. Recueillies au refuge de la SPA à Chamarande, qui organise ce week-end des journées portes ouvertes, les deux copines de Noisette, Pipoune et Chelsea, ont été toutes deux adoptées.
«Ça nous fait plaisir de savoir que tout se termine bien pour tous les animaux», glisse Cécile. Avec son mari, ils cherchaient un compagnon à leur molosse Ipsos. Lorsque leur fille Marion, infirmière-vétérinaire à Corbeil, les a appelés : «Maman, il y a une chienne ici, il faut que tu la prennes, elle est trop mignonne.» Cécile passe à la clinique. Noisette est encore convalescente. «On a craqué immédiatement.».
Dans sa nouvelle maison, Noisette s’est fait sa place. Elle dort dans le lit de ses propriétaires. «Et quand on la sort, c’est la star, car tout le monde a entendu parler de son histoire», sourit le père de famille. Ses poils commencent à repousser et les cicatrices disparaissent un peu. Pas le souvenir de cette agression dans la baignoire. «Noisette reste méfiante quand elle est dans la salle de bains, reconnaît le couple. Mais elle n’en veut pas aux gens, c’est une boule d’amour, elle aime tout le monde.»
Source:Le Parisien.
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Re: Faits divers ou "mauvaises blagues" à rire ou en pleurer.
Brive-la-Gaillarde a décidé de donner le nom d'une avenue à Jacques et Bernadette Chirac. Selon la mairie, c'est la première fois que l'ancien président de la République et son épouse reçoivent un tel hommage.
Comme l'avait révélé La Montagne dans son édition du dimanche 24 septembre, le conseil municipal de Brive-la-Gaillarde a décidé ce jeudi 5 octobre de donner le nom de Jacques et Bernadette Chirac à une avenue de la ville. Et pas n'importe laquelle puisqu'il s'agit de la RD 89, un axe structurant qui relie la sous-préfecture de la Corrèze à Malemort. Cette avenue, qui portait jusqu'ici le nom de John-Fitzgerald Kennedy, vient de faire l'objet d'importants travaux.
"C'est une façon de rendre hommage à deux personnes qui ont fait beaucoup pour Brive en donnant leur nom à une des routes les plus empruntées du département", estime le maire, Frédéric Soulier.
"Votre initiative nous touche infiniment", a indiqué Bernadette Chirac dans un courrier adressé à la mairie de Brive. "C'est un grand honneur pour nous (...). Nous vous en remercions de tout coeur et c'est avec joie que nous acceptons votre proposition."
Je n'ai pas le souvenir de JFK ait fait quelque chose pour Brive:
(Frédéric Soulier, maire de Brive)
Selon Frédéric Soulier, il n'existait jusqu'ici pas de rue au nom du couple Chirac. "On en a trouvé une à Ramallah (Palestine) au nom de Jack Chirac mais c'est tout", détaille le directeur de cabinet du maire de Brive.
Le conseil municipal n'a pas voté cette délibération à l'unanimité. Toute l'opposition, à l'exception de Patricia Bordas (LREM) s'est abstenue, estimant qu'on aurait pu donner le nom des Chirac à une nouvelle rue pour éviter d'en débaptiser une existante, "ce qui va créer des désagréments pour les riverains".
Un argument balayé par le maire de Brive : "Je n'ai pas le souvenir de JFK ait fait quelque chose pour Brive. Et j'ai eu beau chercher, je n'ai trouvé aucun lieu plus marquant que cette avenue pour rendre hommage à Jacques et Bernadette Chirac."
Source:Le Populaire du Centre.
Comme l'avait révélé La Montagne dans son édition du dimanche 24 septembre, le conseil municipal de Brive-la-Gaillarde a décidé ce jeudi 5 octobre de donner le nom de Jacques et Bernadette Chirac à une avenue de la ville. Et pas n'importe laquelle puisqu'il s'agit de la RD 89, un axe structurant qui relie la sous-préfecture de la Corrèze à Malemort. Cette avenue, qui portait jusqu'ici le nom de John-Fitzgerald Kennedy, vient de faire l'objet d'importants travaux.
"C'est une façon de rendre hommage à deux personnes qui ont fait beaucoup pour Brive en donnant leur nom à une des routes les plus empruntées du département", estime le maire, Frédéric Soulier.
"Votre initiative nous touche infiniment", a indiqué Bernadette Chirac dans un courrier adressé à la mairie de Brive. "C'est un grand honneur pour nous (...). Nous vous en remercions de tout coeur et c'est avec joie que nous acceptons votre proposition."
Je n'ai pas le souvenir de JFK ait fait quelque chose pour Brive:
(Frédéric Soulier, maire de Brive)
Selon Frédéric Soulier, il n'existait jusqu'ici pas de rue au nom du couple Chirac. "On en a trouvé une à Ramallah (Palestine) au nom de Jack Chirac mais c'est tout", détaille le directeur de cabinet du maire de Brive.
Le conseil municipal n'a pas voté cette délibération à l'unanimité. Toute l'opposition, à l'exception de Patricia Bordas (LREM) s'est abstenue, estimant qu'on aurait pu donner le nom des Chirac à une nouvelle rue pour éviter d'en débaptiser une existante, "ce qui va créer des désagréments pour les riverains".
Un argument balayé par le maire de Brive : "Je n'ai pas le souvenir de JFK ait fait quelque chose pour Brive. Et j'ai eu beau chercher, je n'ai trouvé aucun lieu plus marquant que cette avenue pour rendre hommage à Jacques et Bernadette Chirac."
Source:Le Populaire du Centre.
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Re: Faits divers ou "mauvaises blagues" à rire ou en pleurer.
Le propriétaire d’une maison de Servian, près de Béziers dans l’Hérault, a tué jeudi soir un des deux cambrioleurs qui s’étaient introduits armés chez lui en présence de sa famille. Les voleurs l'auraient menacé ainsi que ses proches.
L’un des voleurs est monté à l’étage, et le propriétaire des lieux s’est alors saisi d’une arme, et a tiré mortellement. Les enquêteurs cherchent à déterminer si l’arme appartient au propriétaire ou si c’est celle des cambrioleurs.
Le propriétaire a été placé en garde à vue. L’enquête a été confiée à la section de recherches de la gendarmerie pour déterminer notamment s’il était en situation de légitime défense.
L’autre cambrioleur présumé est en fuite.
Source:Le Progrès.
L’un des voleurs est monté à l’étage, et le propriétaire des lieux s’est alors saisi d’une arme, et a tiré mortellement. Les enquêteurs cherchent à déterminer si l’arme appartient au propriétaire ou si c’est celle des cambrioleurs.
Le propriétaire a été placé en garde à vue. L’enquête a été confiée à la section de recherches de la gendarmerie pour déterminer notamment s’il était en situation de légitime défense.
L’autre cambrioleur présumé est en fuite.
Source:Le Progrès.
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Re: Faits divers ou "mauvaises blagues" à rire ou en pleurer.
Jeudi soir, à 22 heures, rue des Fossés à Saint-Etienne, un homme frappe chez son voisin, âgé de 80 ans. L’octogénaire ouvre la porte à cet homme qu’il connait bien. Sauf que le voisin est cette fois armé d’un couteau et qu’il menace le grand-père. Qui ne s’est pas laissé impressionner le moins du monde.
A l’aide de sa canne, il a frappé son agresseur et l’a désarmé. Une fois en sécurité chez lui, il a contacté la police qui est venu cueillir le violent, un homme de 32 ans. Celui-ci été placé en garde à vue et en est ressorti avec un rappel à la loi.
Une sanction légère donc pour l’assaillant, qui ne se rappelait absolument de rien une fois son méfait commis. La raison ? Une alcoolémie de 2,16 g qui lui a non seulement fait se saisir d’une arme pour en menacer une personne âgée, mais a également anéanti tous les souvenirs de cette agression.
Source:Le Progrès.
A l’aide de sa canne, il a frappé son agresseur et l’a désarmé. Une fois en sécurité chez lui, il a contacté la police qui est venu cueillir le violent, un homme de 32 ans. Celui-ci été placé en garde à vue et en est ressorti avec un rappel à la loi.
Une sanction légère donc pour l’assaillant, qui ne se rappelait absolument de rien une fois son méfait commis. La raison ? Une alcoolémie de 2,16 g qui lui a non seulement fait se saisir d’une arme pour en menacer une personne âgée, mais a également anéanti tous les souvenirs de cette agression.
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Re: Faits divers ou "mauvaises blagues" à rire ou en pleurer.
Un surveillant de la prison de Seysses, âgé de 44 ans, vient d'être interpellé par le SRPJ de Toulouse et écroué. Pendant plus de deux ans, il a fourni de la drogue et des téléphones aux détenus.
C'est une affaire peu banale qu'ont dû démêler les fonctionnaires du service régional de la police judiciaire de Toulouse (SRPJ). Depuis de nombreux mois, des observateurs avaient repéré l'approvisionnement des détenus de la prison de Seysses en téléphones portables et en produits stupéfiants, sans pouvoir en déterminer l'origine.
Les services de police ont donc été mis sur le coup et se sont aperçus du manège d'un homme de 44 ans, surveillant pénitentiaire. Profitant de ses fonctions au sein de la maison d'arrêt, il offrait ses services aux détenus et à leurs proches afin de fournir les objets désirés.
Produits stupéfiants, notamment résine de cannabis, mais aussi téléphones portables… le surveillant, qui savait qu'il ne serait pas fouillé, faisait tout passer, selon les besoins.
Loin d'agir par altruisme, il se faisait rémunérer ses services en argent liquide ou en «cadeaux» divers bien souvent issus de vols.
Le surveillant pénitentiaire a ainsi agi pendant plus de deux ans avant que les policiers du SRPJ de Toulouse ne se penchent sur son cas et le prennent à défaut.
Il a été interpellé cette semaine et placé en garde à vue. À l'issue, il a été présenté à un juge mercredi soir et mis en examen pour «corruption, remise illicite d'objet à détenus, trafic de produits stupéfiants mais aussi recel.»
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Une information judiciaire a été ouverte. À l'issue de son passage devant le juge des libertés et de la détention, mercredi soir, l'homme a été écroué. Il se trouve désormais de l'autre côté des barreaux mais pas à Seysses, le juge ayant préféré le changer de décor en l'emprisonnant à Béziers.
L'introduction de téléphones portables et de drogue dans les établissements pénitentiaires est un véritable fléau, dénoncé, régulièrement, par les syndicats de surveillants. À Seysses, des «colis» sont régulièrement jetés par des proches de détenus, depuis l'extérieur, dans l'enceinte de la prison. Chaque année, un millier de téléphones portables sont ainsi retrouvés dans l'établissement. Ils servent à certains détenus à continuer de mener leur «business» depuis les geôles.
Source:La Dépêche du Midi.
C'est une affaire peu banale qu'ont dû démêler les fonctionnaires du service régional de la police judiciaire de Toulouse (SRPJ). Depuis de nombreux mois, des observateurs avaient repéré l'approvisionnement des détenus de la prison de Seysses en téléphones portables et en produits stupéfiants, sans pouvoir en déterminer l'origine.
Les services de police ont donc été mis sur le coup et se sont aperçus du manège d'un homme de 44 ans, surveillant pénitentiaire. Profitant de ses fonctions au sein de la maison d'arrêt, il offrait ses services aux détenus et à leurs proches afin de fournir les objets désirés.
Produits stupéfiants, notamment résine de cannabis, mais aussi téléphones portables… le surveillant, qui savait qu'il ne serait pas fouillé, faisait tout passer, selon les besoins.
Loin d'agir par altruisme, il se faisait rémunérer ses services en argent liquide ou en «cadeaux» divers bien souvent issus de vols.
Le surveillant pénitentiaire a ainsi agi pendant plus de deux ans avant que les policiers du SRPJ de Toulouse ne se penchent sur son cas et le prennent à défaut.
Il a été interpellé cette semaine et placé en garde à vue. À l'issue, il a été présenté à un juge mercredi soir et mis en examen pour «corruption, remise illicite d'objet à détenus, trafic de produits stupéfiants mais aussi recel.»
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Une information judiciaire a été ouverte. À l'issue de son passage devant le juge des libertés et de la détention, mercredi soir, l'homme a été écroué. Il se trouve désormais de l'autre côté des barreaux mais pas à Seysses, le juge ayant préféré le changer de décor en l'emprisonnant à Béziers.
L'introduction de téléphones portables et de drogue dans les établissements pénitentiaires est un véritable fléau, dénoncé, régulièrement, par les syndicats de surveillants. À Seysses, des «colis» sont régulièrement jetés par des proches de détenus, depuis l'extérieur, dans l'enceinte de la prison. Chaque année, un millier de téléphones portables sont ainsi retrouvés dans l'établissement. Ils servent à certains détenus à continuer de mener leur «business» depuis les geôles.
Source:La Dépêche du Midi.
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Re: Faits divers ou "mauvaises blagues" à rire ou en pleurer.
Encore une belle prise. Près d'une demi-tonne de cannabis a été saisie par les douanes lundi, sur l'aire de repos de Marguerittes (Gard) sur l'autoroute A9. Les agents des services des douanes, à la faveur d'un banal contrôle routier, ont intercepté un convoi de trafic de stupéfiants.
Alors qu'ils se trouvaient sur l'aire de repos dans le sens Sud-Nord, les douaniers de la brigade d'Avignon ont été intrigués par la présence d'un homme seul à bord d'un véhicule, une puissante berline de marque BMW. Questionné sur sa provenance - l'Espagne -, le conducteur, un Polonais âgé d'une quarantaine d'années, est resté flou sur le motif de son séjour. Encore plus intéressés après cette explication évasive, les douaniers ont compris qu'ils avaient affaire à la voiture "ouvreuse" d'un convoi de stupéfiants.
Très rapidement, ils ont alors entrepris la fouille des véhicules voisins sur l'aire de repos et notamment les poids lourds stationnés à proximité. Bingo ! Dans l'un des camions qui transportait des fûts de tomates, les agents ont mis au jour des dizaines et des dizaines de cartons à l'intérieur desquels étaient dissimulés le cannabis et la cocaïne. Au total, 440 kg d'herbe de cannabis et 12 kg de cocaïne étaient cachés à l'intérieur des cartons entreposés sur des palettes. Le conducteur du poids lourd a été interpellé. Un lien a pu être établi entre ce chauffeur polonais et le conducteur de la berline. Les deux hommes ont été interpellés.
"400 kg de cannabis, c'est une très belle prise. En volume, c'est énorme, d'autant plus que c'est de l'herbe de cannabis", explique un agent du service des douanes. Les véhicules et les stupéfiants ont été saisis par les douanes. Les Polonais, soupçonnés de se livrer à du trafic de stupéfiants, ont expliqué qu'ils se rendaient en Pologne et qu'ils étaient de retour du Portugal. Ils ont été remis aux policiers du SRPJ de Montpellier et placés en garde à vue.
Les policiers vont devoir éclaircir les versions de ces deux hommes âgés de 38 et 40 ans. La valeur des drogues est estimée à plus de 5 millions d'euros sur le marché illicite de la revente au détail des stups. Hier, les deux hommes étaient toujours entendus. Ils pourraient être déférés aujourd'hui devant le procureur de Nîmes. En plus de la condamnation pénale encourue, ces deux trafiquants présumés s'exposent aussi à une amende douanière pouvant aller jusqu'à un million d'euros au moment de leur passage devant le tribunal.
Source:La Provence.
Alors qu'ils se trouvaient sur l'aire de repos dans le sens Sud-Nord, les douaniers de la brigade d'Avignon ont été intrigués par la présence d'un homme seul à bord d'un véhicule, une puissante berline de marque BMW. Questionné sur sa provenance - l'Espagne -, le conducteur, un Polonais âgé d'une quarantaine d'années, est resté flou sur le motif de son séjour. Encore plus intéressés après cette explication évasive, les douaniers ont compris qu'ils avaient affaire à la voiture "ouvreuse" d'un convoi de stupéfiants.
Très rapidement, ils ont alors entrepris la fouille des véhicules voisins sur l'aire de repos et notamment les poids lourds stationnés à proximité. Bingo ! Dans l'un des camions qui transportait des fûts de tomates, les agents ont mis au jour des dizaines et des dizaines de cartons à l'intérieur desquels étaient dissimulés le cannabis et la cocaïne. Au total, 440 kg d'herbe de cannabis et 12 kg de cocaïne étaient cachés à l'intérieur des cartons entreposés sur des palettes. Le conducteur du poids lourd a été interpellé. Un lien a pu être établi entre ce chauffeur polonais et le conducteur de la berline. Les deux hommes ont été interpellés.
"400 kg de cannabis, c'est une très belle prise. En volume, c'est énorme, d'autant plus que c'est de l'herbe de cannabis", explique un agent du service des douanes. Les véhicules et les stupéfiants ont été saisis par les douanes. Les Polonais, soupçonnés de se livrer à du trafic de stupéfiants, ont expliqué qu'ils se rendaient en Pologne et qu'ils étaient de retour du Portugal. Ils ont été remis aux policiers du SRPJ de Montpellier et placés en garde à vue.
Les policiers vont devoir éclaircir les versions de ces deux hommes âgés de 38 et 40 ans. La valeur des drogues est estimée à plus de 5 millions d'euros sur le marché illicite de la revente au détail des stups. Hier, les deux hommes étaient toujours entendus. Ils pourraient être déférés aujourd'hui devant le procureur de Nîmes. En plus de la condamnation pénale encourue, ces deux trafiquants présumés s'exposent aussi à une amende douanière pouvant aller jusqu'à un million d'euros au moment de leur passage devant le tribunal.
Source:La Provence.
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Re: Faits divers ou "mauvaises blagues" à rire ou en pleurer.
qu'est-ce que ça change que l'arme soit à lui ou pas, il n'y a pas de préméditation dans ce cas précis non?Crapulax a écrit : Le propriétaire d’une maison de Servian, près de Béziers dans l’Hérault, a tué jeudi soir un des deux cambrioleurs qui s’étaient introduits armés chez lui en présence de sa famille. Les voleurs l'auraient menacé ainsi que ses proches.
L’un des voleurs est monté à l’étage, et le propriétaire des lieux s’est alors saisi d’une arme, et a tiré mortellement. Les enquêteurs cherchent à déterminer si l’arme appartient au propriétaire ou si c’est celle des cambrioleurs.
Le propriétaire a été placé en garde à vue. L’enquête a été confiée à la section de recherches de la gendarmerie pour déterminer notamment s’il était en situation de légitime défense.
L’autre cambrioleur présumé est en fuite.
Source:Le Progrès.
Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
plutôt à pleurer ... même dans la mort, place à la discrimination et à la rentabilité économique ... et tant pis pour l'humanité
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Publié le 05/10/2017 à 16:25, Mis à jour le 06/10/2017 à 08:01
Le crématorium lui réclame plus d'argent parce que son mari décédé était en surpoids
Une mauvaise nouvelle n’arrive jamais seule. Régine, une Ariégeoise a pu le constater. Le mardi 19 septembre, son époux Louis décède. Le lendemain, elle se rapproche d’une entreprise funéraire afin d’organiser les obsèques.
" Les volontés de mon mari étant une crémation, l’agent funéraire nous propose d’appeler le crématorium de Pamiers afin de fixer immédiatement une date. Elle est arrêtée au vendredi 22 septembre à 17 h 30. Je donne mon accord pour le devis proposé d’un montant de 782 €. De retour chez moi, je préviens tous mes proches de la date et de l’heure des obsèques", témoigne la veuve.
C’est à ce moment précis que son histoire bascule. Le jeudi en début d’après-midi, elle reçoit un appel de l’entreprise funéraire qui l’informe qu’au regard "du poids important de son mari" la crémation est reportée au lundi suivant. Ce qu’elle refuse, puisque sa famille et ses proches ont déjà planifié leur déplacement.
Un risque de surchauffe du four
"Nous risquions alors de faire surchauffer notre four. Généralement, la crémation ne se fait pas en fin de journée pour les personnes en surcharge pondérale", indique un salarié du crématorium. Finalement, les deux parties trouvent un accord pour maintenir la cérémonie au vendredi soir. " Tout se passe globalement bien", confie Régine.
La surprise intervient quelques jours plus tard, lorsqu’elle reçoit une facture dont le montant dépasse de 600 € la somme inscrite sur le devis, soit 1 337 € à la place des 782€ convenus. " Sur le contrat, il y avait bien la mention jusqu’à 145 kg, mais personne ne m’a dit que s’il pesait plus, j’allais devoir payer plus", explique-t-elle.
" Le coût supplémentaire est justifié"
Le crématorium souligne pour sa part que ce prix correspond bien au montant inscrit sur la grille tarifaire : si le poids d’un individu et de son cercueil oscille entre 165 kg et 185 kg, le prix demandé est de 1 337 €. Cette grille est accessible à la mairie de Pamiers, nous avons pu la consulter et vérifier cette information. " Si un mort est lourd, la crémation dure plus longtemps et monopolise plus de personnel. Le coût supplémentaire est justifié", souligne-t-on du côté du crématorium.
Régine réfléchit également à les attaquer pour discrimination. "Ce n’est pas normal", prévient-elle. Une situation à laquelle les salariés du crématorium de Pamiers sont souvent confrontés. « Le prix prévisionnel est calculé sur des bases habituelles. On ne peut pas deviner la charge pondérale d’un individu. La pesée se fait le jour de la cérémonie. Si un corps est hors gabarit, ça entraîne des frais supplémentaires. La facture est rédigée en fonction », expliquent-ils.
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Publié le 05/10/2017 à 16:25, Mis à jour le 06/10/2017 à 08:01
Le crématorium lui réclame plus d'argent parce que son mari décédé était en surpoids
Une mauvaise nouvelle n’arrive jamais seule. Régine, une Ariégeoise a pu le constater. Le mardi 19 septembre, son époux Louis décède. Le lendemain, elle se rapproche d’une entreprise funéraire afin d’organiser les obsèques.
" Les volontés de mon mari étant une crémation, l’agent funéraire nous propose d’appeler le crématorium de Pamiers afin de fixer immédiatement une date. Elle est arrêtée au vendredi 22 septembre à 17 h 30. Je donne mon accord pour le devis proposé d’un montant de 782 €. De retour chez moi, je préviens tous mes proches de la date et de l’heure des obsèques", témoigne la veuve.
C’est à ce moment précis que son histoire bascule. Le jeudi en début d’après-midi, elle reçoit un appel de l’entreprise funéraire qui l’informe qu’au regard "du poids important de son mari" la crémation est reportée au lundi suivant. Ce qu’elle refuse, puisque sa famille et ses proches ont déjà planifié leur déplacement.
Un risque de surchauffe du four
"Nous risquions alors de faire surchauffer notre four. Généralement, la crémation ne se fait pas en fin de journée pour les personnes en surcharge pondérale", indique un salarié du crématorium. Finalement, les deux parties trouvent un accord pour maintenir la cérémonie au vendredi soir. " Tout se passe globalement bien", confie Régine.
La surprise intervient quelques jours plus tard, lorsqu’elle reçoit une facture dont le montant dépasse de 600 € la somme inscrite sur le devis, soit 1 337 € à la place des 782€ convenus. " Sur le contrat, il y avait bien la mention jusqu’à 145 kg, mais personne ne m’a dit que s’il pesait plus, j’allais devoir payer plus", explique-t-elle.
" Le coût supplémentaire est justifié"
Le crématorium souligne pour sa part que ce prix correspond bien au montant inscrit sur la grille tarifaire : si le poids d’un individu et de son cercueil oscille entre 165 kg et 185 kg, le prix demandé est de 1 337 €. Cette grille est accessible à la mairie de Pamiers, nous avons pu la consulter et vérifier cette information. " Si un mort est lourd, la crémation dure plus longtemps et monopolise plus de personnel. Le coût supplémentaire est justifié", souligne-t-on du côté du crématorium.
Régine réfléchit également à les attaquer pour discrimination. "Ce n’est pas normal", prévient-elle. Une situation à laquelle les salariés du crématorium de Pamiers sont souvent confrontés. « Le prix prévisionnel est calculé sur des bases habituelles. On ne peut pas deviner la charge pondérale d’un individu. La pesée se fait le jour de la cérémonie. Si un corps est hors gabarit, ça entraîne des frais supplémentaires. La facture est rédigée en fonction », expliquent-ils.
À la télé ils disent tous les jours : 'Y a trois millions de personnes qui veulent du travail.' C'est pas vrai : de l'argent leur suffirait." Coluche
Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
Hier soir dans l'émission "C à vous" 2 invitées de marque :
-La première pour son grand courage ,Maria Alekhina , membre Pussy Riot ,artiste russe auteur de " Jours d'insurrection" ,prisonnière dans un camp d'Oural pendant 22 mois, à l'isolement pendant 4 mois par - 30 l'hiver . 1 jour par semaine d'eau chaude pour la toilette .Les autres jours eau froide.
Pas de soin ,De temps en temps de l'aspirine .Beaucoup de morts .
Chapeau pour cette jeune mère russe qui a eu le courage de manifester contre Poutine en Russie .
Il faut acheter son livre.
C'est tt autre chose que les gesticulatrices Autin, Carrido ou autre Obaumo .Et pas un mot de LFI pour cette héroïne .
-La deuxième C. Bruni ,adorable de gentillesse et de simplicité qui est venue faire la promo de son nouveau disque ..et tjrs amoureuse d'un certain Sarkozy. Ca gratouille chez qqs uns et unes .
Il faut aussi acheter son disque reprise de standards.
-La première pour son grand courage ,Maria Alekhina , membre Pussy Riot ,artiste russe auteur de " Jours d'insurrection" ,prisonnière dans un camp d'Oural pendant 22 mois, à l'isolement pendant 4 mois par - 30 l'hiver . 1 jour par semaine d'eau chaude pour la toilette .Les autres jours eau froide.
Pas de soin ,De temps en temps de l'aspirine .Beaucoup de morts .
Chapeau pour cette jeune mère russe qui a eu le courage de manifester contre Poutine en Russie .
Il faut acheter son livre.
C'est tt autre chose que les gesticulatrices Autin, Carrido ou autre Obaumo .Et pas un mot de LFI pour cette héroïne .
-La deuxième C. Bruni ,adorable de gentillesse et de simplicité qui est venue faire la promo de son nouveau disque ..et tjrs amoureuse d'un certain Sarkozy. Ca gratouille chez qqs uns et unes .
Il faut aussi acheter son disque reprise de standards.
Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
Phrase encore assassine deJLM qui juge Valls extrèmement clivant et proche de l'extrème D .
L'ex Premier ministre a jugé ces "propos ignobles et outranciers" et lui a rappelé qu'il ne s'interessait pas du sort des calédoniens ,mais uniquement que du sien .Aprés avoir critiqué la D ,l'ex D ,l'ex. G ,maintenant les socialistes .
Il a besoin de reconnaissance .
L'ex Premier ministre a jugé ces "propos ignobles et outranciers" et lui a rappelé qu'il ne s'interessait pas du sort des calédoniens ,mais uniquement que du sien .Aprés avoir critiqué la D ,l'ex D ,l'ex. G ,maintenant les socialistes .
Il a besoin de reconnaissance .
Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
Ruquier ,hier soir à onpc ,a essayé de rattrapper ses bavures et celles de Moix et Angot du samedi 30 sept.
C'est la première fois qu'il revenait sur un incident d'une émission passée .
Il a surtout cherché à défendre ses 2 collègues .Il aurait mieux fait de se taire ,il en a rajouté une couche .
C'est la première fois qu'il revenait sur un incident d'une émission passée .
Il a surtout cherché à défendre ses 2 collègues .Il aurait mieux fait de se taire ,il en a rajouté une couche .
- Crapulax
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
Que devient Dominique Strauss-Kahn ? Comme nous l'avons révélé dimanche soir, DSK a épousé ce week-end au Maroc sa compagne, Myriam L’Aouffir. Mardi dernier, il avait déjà refait parler de lui.
Deux fois, déjà, que cet illustre retraité de la vie politique fait parler de lui en une semaine ! Comme nous le révélions mardi soir sur notre site, Dominique Strauss-Kahn a discrètement convolé en justes noces, ce week-end au Maroc. « Oui, il s’est marié avec Myriam (NDLR : L’Aouffir, sa compagne, avec qui il avait officialisé sa relation en 2013) à Marrakech, là où ils vivent », confirme un proche de l’ancien patron du FMI. Il s’agit du quatrième mariage de DSK.
Source:Le Parisien.
Deux fois, déjà, que cet illustre retraité de la vie politique fait parler de lui en une semaine ! Comme nous le révélions mardi soir sur notre site, Dominique Strauss-Kahn a discrètement convolé en justes noces, ce week-end au Maroc. « Oui, il s’est marié avec Myriam (NDLR : L’Aouffir, sa compagne, avec qui il avait officialisé sa relation en 2013) à Marrakech, là où ils vivent », confirme un proche de l’ancien patron du FMI. Il s’agit du quatrième mariage de DSK.
Source:Le Parisien.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!