ReGeorges61 a écrit : ↑05 février 2023 11:40Les milliardaires et multimillionnaire français ont fait la même chose en 1940. Certains ont fait comme le père de Liliane Bettencourt, Eugène Schueller, fondateur de l’Oréal, qui fut un ultra de la collaboration. De ce côté là la France n'a guère de leçons à donner. N'oublions pas nos gros colons pieds noirs qui se sont sauvé en France entre 1957 et 1962.Peracetic a écrit : ↑05 février 2023 10:47 bonjour
C’est au nom de ces « gens là » que leurs peuples se battent et des milliers meurent chaque jour .....mais solidarité oblige !!
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" À Saint-Jean-Cap-Ferrat, la vie rêvée des milliardaires ukrainiens… et russes
Bruno Le Maire veut sanctionner les opérations immobilières et geler les avoirs russes. Mais dans le même temps, on déroule le tapis rouge aux Ukrainiens aux fortunes douteuses.
C’est la plus vaste propriété de Saint-Jean-Cap-Ferrat (Alpes-Maritimes), la plus chère jamais vendue en France et l’une des plus surveillées : la villa Les Cèdres, aux airs de palais vénitien, avec son haut mur d’enceinte, son jardin botanique de 14 hectares, ses serres et ses milliers de plantes tropicales, ses bassins, sa piscine olympique, ses écuries et ses 1 672 mètres carrés habitables en surplomb de la “presqu’île des milliardaires”. Un bien à 200 millions d’euros acquis, en 2019, par l’homme le plus riche d’Ukraine, Rinat Akhmetov (sa fortune atteint 4,3 milliards de dollars selon Forbes), qui a fait fortune dans la sidérurgie et l’énergie et racheté le club de football de Donetsk.
Une villa voisine de l’ancien zoo de la presqu’île, baptisée Park Palace, rachetée pour 20 millions d’euros par le Russe God Nisanov. Derrière, une troisième villa, Le Lac, appartenant au même propriétaire. Curieusement, depuis quelques mois, les trois propriétés communiquent. « Les clôtures ont été ouvertes. Ici, on est loin de la guerre, mais il y a l’ombre de Vladimir Poutine », nous glisse, sous couvert d’anonymat, un agent immobilier, installé sur la Côte d’Azur depuis plus de vingt ans.
Des familles avec nounou
Des propriétés qui s’inscrivent dans un voisinage clairement identifié ukrainien. Boulevard du Général-de-Gaulle, une enfilade de six berlines noires — il y en a parfois jusqu’à 15, nous glisse un chef de chantier —, toutes dotées d’une plaque d’immatriculation ukrainienne, stationnent devant la villa Harmony.
Une nounou, l’air profondément triste, promène deux jeunes enfants. Elle parle à peine le français, mais confirme sa nationalité ukrainienne. « Elle loge sans doute dans 6 mètres carrés en sous-sol. Lorsqu’un de mes clients a acheté une villa, l’an dernier, à 20 millions d’euros, il a commencé par rénover les parties réservées aux employés de maison tellement elles étaient insalubres… », poursuit notre expert immobilier.
Plus loin, dans la même avenue, la villa Sorrentina, à deux pas du Grand-Hôtel du Cap-Ferrat , gardée par un vigile qui se fait menaçant et, toujours, une berline noire avec sa plaque au drapeau jaune et bleu. « Il faut se méfier. J’ai moi-même vendu une villa à un Russe qui roule dans une voiture ukrainienne pour éviter les ennuis », assure notre agent.
« Les Russes, je ne sais pas, mais les Ukrainiens, c’est indéniable, ils sont là », affirme sèchement Gilles Tejedor, de l’agence immobilière John Taylor, située en face de la villa Les Cèdres. « Rapidement, après le début de la guerre, on a vu débarquer des Ukrainiens en Bentley et en Porsche Cayenne, on a été choqué par leur nombre », ajoute notre professionnel. « On a eu une énorme vague de demandes de location saisonnière cet été ; les Ukrainiens commencent par louer en attendant d’en savoir plus sur leur avenir », abonde un responsable de l’agence Barnes. Le plus souvent, Madame et les enfants viennent visiter et font leur choix, puis le mari confirme la location. À des montants parfois vertigineux : « 250 000 euros le mois », pour une « grosse villa ». etc
Ces faits que vous relatez ne justifient en rien l’attitude de ceux que je dénonçais par contre votre réponse est une forme de complaisance pour tout ce qui s’est passé hier et aujourd’hui