Guerre sans fin : suite à l'attaque du Hamas et la répression de gaza, un nouvel attentat

[Once]

qui soutiens les terroristes du hamas, si ce n'est Netanyahou avec ses politiques d'éradication qui maintiennent le terrorisme en vie,et lui malgré ses affaires au pouvoir?
c'est sa survie.
il fait tout pour.

C'est une autre équation du problème : Netanyaou n'est plus la solution, il est clairement le problème. En train de se refaire cyniquement une santé sur le dos du 7 octobre.

En fait, il pourrait même remercier le Hamas pour le 7 octobre qui lui aura rendu un sacré service sans le savoir.

Si les israéliens pouvaient enfin se débarrasser de ce repris de justice et de ses acolytes extrémistes, les fous furieux de Yavhé (à mettre sur le même plan que les fous d' Allah), peut-être que de nouvelles perspectives se dégageraient.

Au moins, juste pour que chaque camp respire un moment en essayant de retrouver ses esprits.

[da capo]

En effet, c'est hélas une conséquence inévitable d'une politique visant à exterminer l'adversaire sans chercher à négocier. Aux israléiens de décider s'ils veulent vraiment continuer dans cette voie.

Depuis 75 ans, c.a.d. depuis le Mufti Amid Al Husseini pote des nazis, un seul des deux camps exprime régulièrement et ouvertement son projet d'extermination de l'adversaire.
De nos jours, la formule employée est un slogan repris en choeur par des benêts occidentaux qui n'en saisissent pas toujours le sens :
'' Palestine libre, du fleuve à la mer ''.

Netanyahou au pouvoir, ce n'est pas le résultat d'un prétendu complot des puissants comme le croient ces benêts, mais de l'exaspération d'une majorité d' Israëliens qui ne croit plus en la cohabitation pacifique de deux États juxtaposés.
15 ans de préparation dans les sous-sols de Gaza, une pluie incessante de roquettes et les diverses factions arabes sur le pied de guerre sont des faits qui tendent à lui donner raison.

[Kelenner]

En effet, c'est hélas une conséquence inévitable d'une politique visant à exterminer l'adversaire sans chercher à négocier. Aux israléiens de décider s'ils veulent vraiment continuer dans cette voie.

Depuis 75 ans, c.a.d. depuis le Mufti Amid Al Husseini pote des nazis, un seul des deux camps exprime régulièrement et ouvertement son projet d'extermination de l'adversaire.
De nos jours, la formule employée est un slogan repris en choeur par des benêts occidentaux qui n'en saisissent pas toujours le sens :
'' Palestine libre, du fleuve à la mer ''.

Netanyahou au pouvoir, ce n'est pas le résultat d'un prétendu complot des puissants comme le croient ces benêts, mais de l'exaspération d'une majorité d' Israëliens qui ne croit plus en la cohabitation pacifique de deux États juxtaposés.
15 ans de préparation dans les sous-sols de Gaza, une pluie incessante de roquettes et les diverses factions arabes sur le pied de guerre sont des faits qui tendent à lui donner raison.

Les palestiniens brament des slogans pas franchement suivis d'effets, à part des attentats aveugles qui ne menacent pas sérieusement la sécurité d'Israël. Israël massacre les civils palestiniens dans des proportions qui n'ont rien à voir avec ce qu'ils subissent. Ca, c'est la réalité de faits. Que les israéliens ne souhaitent pas la paix, c'est leur affaire. Mais ils ne peuvent pas soutenir une telle politique de guerre permanente et se plaindre des répercussions inévitables sur leur propre sécurité, c'est contradictoire. Ils soutiennent le massacre d'une population civile et la spoliation d'un peuple de sa terre légitime, il continuera à y avoir des attentats en représailles, c'est malheureusement inévitable. S'ils choisissent de vivre comme ça, après tout, c'est leur problème.

[Once]

En effet, c'est hélas une conséquence inévitable d'une politique visant à exterminer l'adversaire sans chercher à négocier. Aux israléiens de décider s'ils veulent vraiment continuer dans cette voie.

Depuis 75 ans, c.a.d. depuis le Mufti Amid Al Husseini pote des nazis, un seul des deux camps exprime régulièrement et ouvertement son projet d'extermination de l'adversaire.

Balle au centre. En fait, les deux mêmes projets "d'éradication" se rejoignent. Mais pas de la même nature ni de la même manière.

Oui car, depuis bien avant 75 ans, un autre camp, lui, a exprimé plus "discrètement" et de manière plus "humaniste" son projet d'expulsion des Arabes de Palestine dès 1895 :

"Nous devons exproprier avec délicatesse... Nous essaierons de pousser la population sans le sou de l'autre côté de la frontière en lui donnant des emplois dans les pays de transit, tout en lui refusant le travail dans notre pays."

(Theodore Herzl/ The Complete Diaries of Theodor Herzl, New York 1960, vol 1, 12 juin 1895)


Puis, plus tard, en 1937 :

" L'évacuation de la communauté arabe des vallées nous donne pour la première fois de notre histoire, un véritable état juif. (...) Nous obtenons la possibilité d'une colonie géante située sur une vaste zone qui serait la propriété exclusive de l'état."

(Journal de David Ben Gourion, 12 juillet 1937, archives Ben Gourion, Seder Boker, Israël.)

Problème pour les sionistes : il y a aujourd'hui bien plus de Palestiniens qu'à ces époques, on compte plusieurs millions de Palestiniens en Palestine, pratiquement autant que les Israéliens.

Et, même si plusieurs centaines de milliers devaient partir aujourd'hui, il en resterait toujours assez pour qu'Israël soit condamné à vivre indéfiniment à leurs côtés.

C'est le destin d'Israël. Et il devra toujours faire avec. C'est son destin.

[Mickey]

C'est ce qui s'appelle un squat.

[Relax]

S'ils choisissent de vivre comme ça, après tout, c'est leur problème.

Le problème c'est d'abord pour la population de Gaza qui n'aura probablement pas d'autre choix que d'aller rejoindre les camps de réfugiés que l’Égypte construit à son attention à sa frontière Nord, si les combats devaient commencer à Rafah dans les jours qui viennent.

Mais d'ici là, les pressions diplomatiques qui s'exercent sur le Qatar et le hamas peuvent encore déboucher sur la reddition du hamas et la libération des 134 otages détenus à Gaza.
C'est une hypothèse mais elle n'est pas très probable, l'intérêt de la population de Gaza n'entre pas en ligne de compte dans les choix du hamas.

Coté israélien, on n'entend pas tellement de voix qui s'insurgent pour demander au gouvernement d'être laxiste avec les palestiniens.
Manifestement, la perspective de la destruction du hamas n'est pas un problème pour les israéliens.

[da capo]

Depuis 75 ans, c.a.d. depuis le Mufti Amid Al Husseini pote des nazis, un seul des deux camps exprime régulièrement et ouvertement son projet d'extermination de l'adversaire.

Balle au centre. En fait, les deux mêmes projets "d'éradication" se rejoignent. Mais pas de la même nature ni de la même manière.

Oui car, depuis bien avant 75 ans, un autre camp, lui, a exprimé plus "discrètement" et de manière plus "humaniste" son projet d'expulsion des Arabes de Palestine dès 1895 :

"Nous devons exproprier avec délicatesse... Nous essaierons de pousser la population sans le sou de l'autre côté de la frontière en lui donnant des emplois dans les pays de transit, tout en lui refusant le travail dans notre pays."

(Theodore Herzl/ The Complete Diaries of Theodor Herzl, New York 1960, vol 1, 12 juin 1895)


Puis, plus tard, en 1937 :

" L'évacuation de la communauté arabe des vallées nous donne pour la première fois de notre histoire, un véritable état juif. (...) Nous obtenons la possibilité d'une colonie géante située sur une vaste zone qui serait la propriété exclusive de l'état."

(Journal de David Ben Gourion, 12 juillet 1937, archives Ben Gourion, Seder Boker, Israël.)

Problème pour les sionistes : il y a aujourd'hui bien plus de Palestiniens qu'à ces époques, on compte plusieurs millions de Palestiniens en Palestine, pratiquement autant que les Israéliens.

Et, même si plusieurs centaines de milliers devaient partir aujourd'hui, il en resterait toujours assez pour qu'Israël soit condamné à vivre indéfiniment à leurs côtés.

C'est le destin d'Israël. Et il devra toujours faire avec. C'est son destin.

Et donc, pas d'éradication ni d'extermination au programme. En revanche, du côté arabe, on entend ce genre de refrain depuis 75 ans :
''Nous vous effacerons de la surface de la Terre [...] Ce sera une guerre d'extermination dont on se souviendra comme des massacres mongols et des croisades'' déclare à New York en 1948 le secrétaire général de la Ligue arabe.

Puisqu'on est dans les souvenirs, rappelons que de novembre 1941 à mai 1945, le grand Mufti et plus d'une vingtaine de de dignitaires arabes demeurent à Berlin où ils sont somptueusement logés, nourris et subventionnés par le Reich. Ils perçoivent des sommes importantes provenant majoritairement du pillage des biens des Juifs d'Europe. En février 1941, un sondage effectué pour le compte du consulat américain à Jérusalem fait état de 88 % des Arabes palestiniens favorables à la victoire de l'Allemagne nazie. (N.Weinstock ''Terre promise'')
Edifiant, non ?

[da capo]

Ils soutiennent le massacre d'une population civile et la spoliation d'un peuple de sa terre légitime, il continuera à y avoir des attentats en représailles, c'est malheureusement inévitable. S'ils choisissent de vivre comme ça, après tout, c'est leur problème.

Non, ils ne soutiennent pas le massacre délibéré de civils et tu sais parfaitement que malgré les victimes qui en résulte fatalement, ils savent que cette multitude de boucliers humains n'est pas la cible désignée de l'attaque de tsahal, mais le Hamas.

Ensuite, l'inévitable couplet de la spoliation omet généralement ce détail : c'est bien la création de la Jordanie (ex- Transjordanie par l'Émir puis Roi Abdallah) qui a privé les Palestiniens des ¾ du territoire qui leur était alloué par les accords ONU de 1948.
Ces ''spoliateurs''- là sont toujours oubliés, je me demande pourquoi, enfin, j'ai ma p'tite idée..

[Bertrand]

Non, ils ne soutiennent pas le massacre délibéré de civils et tu sais parfaitement que malgré les victimes qui en résulte fatalement, ils savent que cette multitude de boucliers humains n'est pas la cible désignée de l'attaque de tsahal, mais le Hamas.

Mouais. L'attaque de Tsahal vise le Hamas donc ça justifie de faire 15000 victimes civiles. Victimes civiles qui selon toi sont le bouclier humain du Hamas.

Moi dans ce conflit j'essaie d'être objectif, de ne pas trop critiquer Israël qui est concrètement un état démocratique menacé par des organisations terroristes et des états totalitaires.

Mais bon cette opération de répression est, comme d'habitude, un véritable massacre. Et je vois mal comment Israël peut espérer faire disparaître la malveillance qu'il subit de cette façon.
Il ne s'agit aucunement de minimiser le pouvoir de nuisance du Hamas et encore moins de justifier son existence mais seulement d'émettre de sérieux doutes sur les résultats de tout ça.

[Kelenner]

Ils soutiennent le massacre d'une population civile et la spoliation d'un peuple de sa terre légitime, il continuera à y avoir des attentats en représailles, c'est malheureusement inévitable. S'ils choisissent de vivre comme ça, après tout, c'est leur problème.

Non, ils ne soutiennent pas le massacre délibéré de civils et tu sais parfaitement que malgré les victimes qui en résulte fatalement, ils savent que cette multitude de boucliers humains n'est pas la cible désignée de l'attaque de tsahal, mais le Hamas.

Ensuite, l'inévitable couplet de la spoliation omet généralement ce détail : c'est bien la création de la Jordanie (ex- Transjordanie par l'Émir puis Roi Abdallah) qui a privé les Palestiniens des ¾ du territoire qui leur était alloué par les accords ONU de 1948.
Ces ''spoliateurs''- là sont toujours oubliés, je me demande pourquoi, enfin, j'ai ma p'tite idée..

Mais si, c’est ce qu’ils font. Quand on détruit la moitié des bâtiments d’une ville, quand on empêche les civils de fuir les zones de combat, qu’on bombarde aveuglément, on peut bien raconter tous les bobards qu’on veut pour se justifier, il s’agit bien du massacre délibéré d’une population, et les israéliens le savent mieux que quiconque.

Donc, quand on soutient cette politique, on doit accepter l’idée qu’il y aura d’autres attentats en représailles, sûrement encore plus meurtriers. C’est la responsabilité des israéliens de s’y opposer s’ils veulent espérer un jour vivre en paix. S’ils ne font pas, à eux d’en accepter les conséquences.

[Relax]

Non, ils ne soutiennent pas le massacre délibéré de civils et tu sais parfaitement que malgré les victimes qui en résulte fatalement, ils savent que cette multitude de boucliers humains n'est pas la cible désignée de l'attaque de tsahal, mais le Hamas.

Mouais. L'attaque de Tsahal vise le Hamas donc ça justifie de faire 15000 victimes civiles. Victimes civiles qui selon toi sont le bouclier humain du Hamas.

Moi dans ce conflit j'essaie d'être objectif, de ne pas trop critiquer Israël qui est concrètement un état démocratique menacé par des organisations terroristes et des états totalitaires.

Mais bon cette opération de répression est, comme d'habitude, un véritable massacre. Et je vois mal comment Israël peut espérer faire disparaître la malveillance qu'il subit de cette façon.
Il ne s'agit aucunement de minimiser le pouvoir de nuisance du Hamas et encore moins de justifier son existence mais seulement d'émettre de sérieux doutes sur les résultats de tout ça.

La meilleure manière de se prémunir des attaques terroristes, c'est de détruire les organisations terroristes.
Sur le papier, y'a aussi la possibilité de négocier avec les terroristes ou de s'y soumettre, mais c'est pas le choix que les israéliens ont fait.

Je pense qu'il faut faire confiance à Israël qui possède une longue expérience de la lutte contre le terrorisme et qui exprime clairement la volonté politique de l'éradiquer.

[papibilou]

Chaque camp a une possibilité de proposer une trêve. Les israéliens pour permettre aux gazaouis de partir et le Hamas pour rendre les 130 otages. Chacun s'imagine que celui qui fait le premier pas aura perdu.

[Relax]

C’est la responsabilité des israéliens de s’y opposer s’ils veulent espérer un jour vivre en paix. S’ils ne font pas, à eux d’en accepter les conséquences.

Pour vivre en paix chez eux, les israéliens ont entrepris de détruire le hamas.
C'est leur choix : s'accommoder du terrorisme palestinien est plus couteux en vies humaines israéliennes que de le laisser prospérer.

[Bertrand]

La meilleure manière de se prémunir des attaques terroristes, c'est de détruire les organisations terroristes.

Oui. Mais bon on connaît déjà bien la chanson. On a vu les résultats de la "guerre contre le terrorisme" lancée par George W. Bush par exemple : à l'arrivée une augmentation des actes de terrorisme dans le monde et l'émergence de l'état islamique.

Israël peut bien tuer encore 15000 civils de plus je doute très fortement que cela infléchisse le comportement de l'Iran qui est gouverné par des dictateurs radicalisés à côté de qui Sadam Hussein passait pour un progressiste aux yeux de la CIA... (Authentique).

Franchement tout cela est terrible. Je ne dis pas détenir une solution. En réalité je n'en vois aucune. Mais lâcher des bombes sur des civils je ne pense vraiment pas que cela en soit une non plus.

[Once]

Balle au centre. En fait, les deux mêmes projets "d'éradication" se rejoignent. Mais pas de la même nature ni de la même manière.

Oui car, depuis bien avant 75 ans, un autre camp, lui, a exprimé plus "discrètement" et de manière plus "humaniste" son projet d'expulsion des Arabes de Palestine dès 1895 :

"Nous devons exproprier avec délicatesse... Nous essaierons de pousser la population sans le sou de l'autre côté de la frontière en lui donnant des emplois dans les pays de transit, tout en lui refusant le travail dans notre pays."

(Theodore Herzl/ The Complete Diaries of Theodor Herzl, New York 1960, vol 1, 12 juin 1895)


Puis, plus tard, en 1937 :

" L'évacuation de la communauté arabe des vallées nous donne pour la première fois de notre histoire, un véritable état juif. (...) Nous obtenons la possibilité d'une colonie géante située sur une vaste zone qui serait la propriété exclusive de l'état."

(Journal de David Ben Gourion, 12 juillet 1937, archives Ben Gourion, Seder Boker, Israël.)

Problème pour les sionistes : il y a aujourd'hui bien plus de Palestiniens qu'à ces époques, on compte plusieurs millions de Palestiniens en Palestine, pratiquement autant que les Israéliens.

Et, même si plusieurs centaines de milliers devaient partir aujourd'hui, il en resterait toujours assez pour qu'Israël soit condamné à vivre indéfiniment à leurs côtés.

C'est le destin d'Israël. Et il devra toujours faire avec. C'est son destin.

Et donc, pas d'éradication ni d'extermination au programme. En revanche, du côté arabe, on entend ce genre de refrain depuis 75 ans :
''Nous vous effacerons de la surface de la Terre [...] Ce sera une guerre d'extermination dont on se souviendra comme des massacres mongols et des croisades'' déclare à New York en 1948 le secrétaire général de la Ligue arabe.

Il y a une grande différence entre les vociférations extrémistes arabes souhaitant aux yeux et aux oreilles du monde entier la destruction d'Israël (qu'ils savent être incapables de réaliser en fonction des rapports de forces IRL) et la stratégie d'Israël consistant, elle, à ne jamais dire par devant : "je vais" mais à "faire" par derrière et concrètement sur le terrain. Une stratégie consistant à ne jamais crier sur les toits que son projet est de mettre le plus de Palestiniens possible à la porte mais de tout mettre en œuvre IRL pour que cela se fasse discrètement et en prenant le temps (colonisation progressive de la Cisjordanie avec des exactions fiscales accordées aux colons etc etc)