Relax a écrit : ↑21 février 2024 12:28
Chacun a son avis sur le fait que les palestiniens constituent un peuple ou pas, c'est le pluralisme.
en fait non.
c'est juste un fait, la bande de gaza, les frontières d'israel ont été déféinies en matière de droit internationnal, quand israel entre dans la bande de gaza, il viole des frontières.
Le droit international est écrit dans les traités international, les résolutions de l'ONU ne sont pas du droit international ce sont des résolutions comme leur nom l'indique.
tu veux dire les traités internationaux plutôt, déjà vu le niveau, ça commence mal pour faire office de référent en droit.
faudrait peut être que tu révises un peu ton histoire :
L'État d'Israël n'a pas précisé ses délimitations dans sa déclaration d'indépendance. Les frontières internationalement reconnues telles que lors de son admission à l'ONU suivent la ligne verte, c'est-à-dire les lignes d'armistice de la guerre israélo-arabe de 1948.
À la suite de la guerre des six jours de 1967, la résolution 242, approuvée à l’unanimité par le Conseil de sécurité de l’ONU (donc où siège Israel), souligne « l’inadmissibilité de l’acquisition de territoires par la guerre » et insiste sur la « nécessité d’œuvrer pour une paix juste et durable » et demande le « retrait des forces armées israéliennes des territoires occupés au cours du récent conflit »1.
À l'issue de la guerre des Six Jours, Israël a conquis des territoires à la Syrie, à la Jordanie et à l'Égypte. L'accord de paix entre Israël et l'Égypte, aboutit au retrait de la péninsule du Sinaï et à un accord sur la frontière israélo-égyptienne . L'accord de paix entre Israël et la Jordanie aboutit à la stabilisation de la frontière israélo-jordanienne le long du Jourdain, avec des modifications mineures. Israël continue à occuper la Cisjordanie où elle exerce une administration militaire. Israël considère la Cisjordanie comme un « territoire disputé » plutôt que comme un « territoire occupé ». Israël occupe une partie du plateau du Golan qui est divisé par une ligne de cessez-le-feu entre Israël et la Syrie. Le Golan et Jérusalem-Est ont été annexés par Israël respectivement en 1981 et 19802,3 et il y exerce l'administration civile. Toutefois, ces annexions ont été condamnées par une part importante de la communauté internationale. La frontière entre Israël et le Liban résulte de l'accord en 1923 entre les puissances mandataires française au Liban et britannique en Palestine mandataire, à l'exception de la petite superficie des fermes de Sheba.
L'autorité palestinienne veut négocier les frontières d'un état palestinien sur la base des frontières d'Israël d'avant la guerre des six jours de 1967.
donc Israel grignote la terre (qui n'est pas à elle ) par la guerre.
Les résolutions de l'ONU ne créent aucune obligation à quiconque, les états sont souverains.
non mais on a compris que tu soutenais un état guerrier.
Israel n'a aucun droit sur les terres des autres.
et c'est bien ce que dénonce l'ONU, dont des résolution ont été signées et non respectées.
Israel devrait sortir de l'ONU.
En droit international, la bande de Gaza est sous souveraineté israélienne.
source?
En droit international, les palestiniens n'exercent leur souveraineté sur aucun territoire, ils n'ont pas d'état et ils en revendiquent un.
ben ils étaient là
avant la création de l'état d'Israel, encore heureux qu'ils puissent s'en revendiquer comme propriétaires.
Il faut s'en tenir au droit international.
et bien parlons en, du droit international :
Le Hamas et les forces armées israéliennes ont pour obligation d’épargner autant que possible la vie des populations civiles selon le droit international humanitaire, faute de quoi ils peuvent se rendre coupables de crimes de guerre.
les deux sont donc responsables de crimes de guerre.
Qu’est-ce que le droit humanitaire ?
Le droit international humanitaire (DIH), aussi appelé droit des conflits armés internationaux, repose sur plusieurs textes fondateurs ratifiés en partie au lendemain de la seconde guerre mondiale, qui avait été particulièrement meurtrière pour les civils. La quatrième convention de Genève de 1949 est le texte le plus important. Elle énonce plusieurs principes fondamentaux sur la protection des populations civiles en temps de guerre :
la distinction entre civils et combattants ;
la proportionnalité dans l’attaque ;
la précaution dans l’attaque ;
l’interdiction des maux superflus.
Israel ne le respecte pas.
le Hamas non plus.
Peut-on viser des bâtiments civils ou sanitaires ?
Tous les bâtiments civils sont protégés par le DIH et ne peuvent faire l’objet d’une agression de quelque nature que ce soit (bombardement, pillage, invasion, tirs, encerclement, privation d’eau ou d’électricité, etc.).
Les établissements de santé sont spécialement protégés par le droit international. « Ce sont des sanctuaires (...), ils ne peuvent pas constituer des objectifs militaires. Et on parle d’objectif militaire lorsqu’une attaque doit apporter un avantage militaire précis », affirme Caroline Brandao. Cette protection couvre aussi bien les hôpitaux que les laboratoires médicaux, cliniques, postes de secours, centres de transfusion sanguine et pharmacies.
israel ne le respecte pas.
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Le blocus est-il interdit ?
Le blocus d’une ville ou d’un territoire n’est pas à proprement parler interdit par le droit international humanitaire, mais soumis à des règles en ce qui concerne la méthode employée et les éventuelles conséquences humanitaires. Il est par exemple interdit d’affamer une population civile, l’utilisation de la famine comme méthode de guerre constituant un crime de guerre.
Le blocus ne peut ainsi priver les civils des services et biens essentiels à sa survie, sans quoi il devient illégal et s’apparente à une « punition collective », ce qui survient lorsque toute une population civile est punie pour un ou des faits qu’elle n’a pas commis. Un point de droit qu’a récemment rappelé le haut-commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, Volker Türk, aux autorités israéliennes.
israel ne le respecte pas.
Quelles sont les règles sur les otages ?
La prise d’otage est formellement prohibée et considérée comme un crime de guerre, c’est-à-dire une infraction grave à la fois au sens de la convention de Genève, du droit coutumier, de la Cour pénale internationale (CPI), de la législation de très nombreux Etats et pour un grand nombre de manuels militaires.
La prise d’otage du fait des forces armées du Hamas est donc pénalement traduisible en justice devant la CPI.
le hamas ne l'a pas respecté.
Quelles précautions Israël doit-il prendre dans la bande de Gaza ?
Le droit humanitaire impose de prendre toutes les précautions possibles pour éviter ou minimiser les pertes collatérales de vies civiles et les dégâts sur les constructions civiles. Ces règles imposent à l’attaquant de :
vérifier que ses attaques concerne bien des objectifs militaires ;
avertir la population civile environnante des attaques à venir ;
ne pas attaquer si les pertes civiles risquent d’être disproportionnée par rapport au gain militaire recherché,
éviter si possible d’attaquer des objectifs militaires dans une zone densément peuplée ;
évacuer autant que possible les civils proches des cibles avant une attaque.
israel ne le respecte pas.
Le fait de prévenir un endroit peuplé d'un bombardement donne-t-il à Israël le droit de le bombarder ?
Lors d’une attaque dans un lieu densément peuplé, le droit de la guerre impose à l’attaquant d’avertir efficacement les civils. La notion d’efficacité dépend des circonstances, l’enjeu principal étant de donner un temps suffisant aux civils pour évacuer la zone, sans quoi un tel avertissement ne sera pas considéré comme conforme au droit.
Toutefois, le droit international dit que les civils qui n’évacueraient pas la zone menacée doivent être protégés, sans quoi les belligérants auraient de facto le droit de déplacer de force des populations entières et de menacer des populations qui n’ont aucun moyen de se défendre. Cette disposition doit permettre, en outre, d’offrir une protection aux civils qui ne peuvent se déplacer (santé précaire, handicap, etc.).
Israel ne le respecte pas.
Un belligérant a-t-il le droit de refuser l’accès aux convois humanitaires ?
« C’est une obligation pour toutes les parties au conflit de donner un accès humanitaire aux organisations neutres et impartiales », précise Caroline Brandao. Un belligérant n’a donc pas le droit de s’opposer à l’acheminement d’un convoi humanitaire. En revanche, il a le droit de vérifier le contenu des véhicules qu’il laisse passer.
israel s'y est opposé.
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Qu’est-ce qu’un crime de guerre ?
On entend par « crime de guerre » toute violation grave du droit international humanitaire commise à l’encontre de civils ou de combattants ennemis dans le cadre d’un conflit armé. La définition donnée par l’article 8 des statuts de Rome fondant la CPI fait, le plus souvent, autorité. La majorité des crimes de guerre jugés concernent les meurtres ou les atteintes à l’intégrité physique de civils ou de prisonniers de guerre, mais aussi le pillage ou la destruction délibérée et arbitraire de constructions civiles.
Le « crime contre l’humanité » est quelque peu différent, puisqu’il est défini comme une attaque intentionnelle généralisée ou systématique contre toute population civile. Il se différencie du crime de guerre par le fait qu’il peut être commis en temps de paix, à grande échelle et de façon systématique.
Le « crime de génocide » renvoie à des actes commis dans l’intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux. Il peut s’agir de meurtres, mais aussi d’atteintes à la santé physique ou mentale des membres d’un groupe, de sa soumission intentionnelle, de l’atteinte à sa natalité ou de transfert forcé de ses enfants à un autre groupe. Le droit punit également l’entente en vue de commettre le génocide, l’incitation directe et publique à sa commission, la tentative et la complicité.
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on peut donc dire que Israël se rends coupable :
1. de crime de guerre
2. de crime contre l'humanité
3. de crime de génocide.
on peut dire que le Hamas se rends coupable :
1. de crime de guerre
2. de crime contre l'humanité