Guerre sans fin : suite à l'attaque du Hamas et la répression de gaza, un nouvel attentat
Re: Guerre sans fin : suite à l'attaque du Hamas et la répression de gaza, un nouvel attentat
leurs résultats estimés vont avec , moins de 8%.
Appel à participation pour le forum
« Ainsi s'éteint la liberté, sous une pluie d'applaudissements. » Star Wars, épisode III
"nul bien sans peine".....
« Ainsi s'éteint la liberté, sous une pluie d'applaudissements. » Star Wars, épisode III
"nul bien sans peine".....
Re: Guerre sans fin : suite à l'attaque du Hamas et la répression de gaza, un nouvel attentat
40 000 civils massacrés, ça peut justifier de légères réserves. Au delà de ça, on peut donc qualifier tous les partis de droite de racistes, puisqu'ils basent tous leur programme sur la stigmatisation des musulmans, n'est-ce pas ?papibilou a écrit : ↑08 avril 2024 15:39Allez expliquer ça aux insoumis qui basent leur campagne pour les européennes (curieux d'ailleurs) sur la condamnation d'Israël. Leur obsession sent de plus en plus l'antisémitisme à plein nez. C'était la remarque de Valls il y a peu.danielle49 a écrit : ↑08 avril 2024 12:16 Once, quelques soient les griefs qu'on peut formuler à l'encontre d'ISRAEL, ça ne justifie pas l'antisémitisme latent qui sévit actuellement en France.
Re: Guerre sans fin : suite à l'attaque du Hamas et la répression de gaza, un nouvel attentat
Sur les musulmans ou sur l'Islam radical, l'islamisme ?
Re: Guerre sans fin : suite à l'attaque du Hamas et la répression de gaza, un nouvel attentat
La gauche d'aujourd'hui est antisémite sans avoir le courage de l'assumer.Heureusement les français ,dans un sondage d'hier, apportent pour 62 % leurs soutiens à Israël .
Re: Guerre sans fin : suite à l'attaque du Hamas et la répression de gaza, un nouvel attentat
Re: Guerre sans fin : suite à l'attaque du Hamas et la répression de gaza, un nouvel attentat
Adhésion des Palestiniens à l'ONU: le Conseil de sécurité se prononcera d'ici fin avril
"Tout ce que nous demandons, c'est de prendre notre place légitime au sein de la communauté des Nations", a plaidé Riyad Mansour, qui espère un vote du Conseil de sécurité le 18 avril."
"Le Conseil de sécurité de l'ONU a décidé lundi qu'il se prononcerait d'ici fin avril sur la demande d'adhésion pleine et entière des Palestiniens aux Nations unies, une démarche qualifiée d'"historique" par les Palestiniens et dénoncée avec virulence par Israël qui qualifie cette initiative de reconnaissance d'une "Palestinazie" (sic)
Bien entendu Israël s'y oppose fermement l'adhésion de la Palestine à l'ONU devant signifier l'application de la résolution de 47 ouvrant la Palestine à deux états.
Et pourtant la solution à deux Etats, est défendue par une grande majorité de la communauté internationale, dont les Etats-Unis.
Oui mais : les Etats-unis jouent clairement double jeu face à cette requête et aucune chance que cette demande ne soit votée puisqu'ils feront usage de leur droit de veto, ils l'ont déjà clairement exprimé.
" Les États-Unis estiment que l'ONU n'est pas le lieu pour la reconnaissance d'un État palestinien, qui devrait selon eux être issu d'un accord entre Israël et les Palestiniens. Ils mettent également en avant une loi américaine qui prévoit de couper le financement de l'ONU si le Conseil de sécurité accepte un État palestinien hors d'un tel accord bilatéral."
Mais ce n'est pas tout :
"Pour que la requête aboutisse, il faudrait en effet d'abord une recommandation positive du Conseil de sécurité (au moins 9 vote pour, sans veto d'un membre permanent), puis un vote à une majorité des deux tiers à l'Assemblée générale."
Voilà : les choses sont pliées d'avance et encore l'annonce d'un nouveau psychodrame onusien pour rien.
Les Palestiniens n'ont obtenu en novembre 2012 que le statut "d'Etat non membre observateur". Et c'est tout.
https://www.lorientlejour.com/article/1 ... ienne.html
"Tout ce que nous demandons, c'est de prendre notre place légitime au sein de la communauté des Nations", a plaidé Riyad Mansour, qui espère un vote du Conseil de sécurité le 18 avril."
"Le Conseil de sécurité de l'ONU a décidé lundi qu'il se prononcerait d'ici fin avril sur la demande d'adhésion pleine et entière des Palestiniens aux Nations unies, une démarche qualifiée d'"historique" par les Palestiniens et dénoncée avec virulence par Israël qui qualifie cette initiative de reconnaissance d'une "Palestinazie" (sic)
Bien entendu Israël s'y oppose fermement l'adhésion de la Palestine à l'ONU devant signifier l'application de la résolution de 47 ouvrant la Palestine à deux états.
Et pourtant la solution à deux Etats, est défendue par une grande majorité de la communauté internationale, dont les Etats-Unis.
Oui mais : les Etats-unis jouent clairement double jeu face à cette requête et aucune chance que cette demande ne soit votée puisqu'ils feront usage de leur droit de veto, ils l'ont déjà clairement exprimé.
" Les États-Unis estiment que l'ONU n'est pas le lieu pour la reconnaissance d'un État palestinien, qui devrait selon eux être issu d'un accord entre Israël et les Palestiniens. Ils mettent également en avant une loi américaine qui prévoit de couper le financement de l'ONU si le Conseil de sécurité accepte un État palestinien hors d'un tel accord bilatéral."
Mais ce n'est pas tout :
"Pour que la requête aboutisse, il faudrait en effet d'abord une recommandation positive du Conseil de sécurité (au moins 9 vote pour, sans veto d'un membre permanent), puis un vote à une majorité des deux tiers à l'Assemblée générale."
Voilà : les choses sont pliées d'avance et encore l'annonce d'un nouveau psychodrame onusien pour rien.
Les Palestiniens n'ont obtenu en novembre 2012 que le statut "d'Etat non membre observateur". Et c'est tout.
https://www.lorientlejour.com/article/1 ... ienne.html
Re: Guerre sans fin : suite à l'attaque du Hamas et la répression de gaza, un nouvel attentat
Ni nulle part ailleurs, il faut le préciser. Mais il y a quelque chose d'inédit et de très particulier dans ce conflit. Quelque chose qui fait qu'il mobilise tous les centres d'intérêts et toutes les passions.danielle49 a écrit : ↑08 avril 2024 12:16 Once, quelques soient les griefs qu'on peut formuler à l'encontre d'ISRAEL, ça ne justifie pas l'antisémitisme latent qui sévit actuellement en France.
C'est que cette terre se trouve au centre religieux, culturel et humain des trois grands monothéismes de l'humanité et qu'elle est le lieu d'une grande et éternelle dispute entre eux.
Il y a des tas d'autres conflits qui devraient susciter notre intérêt et notre compassion dans le monde en ce moment.
Et bien non : c'est celui-là et ça reste toujours celui-là.
Re: Guerre sans fin : suite à l'attaque du Hamas et la répression de gaza, un nouvel attentat
ÉDITORIAL. Six mois d’aveuglement
«Sous nos yeux, la prétendue « éradication » du Hamas menée par Benyamin Netanyahou s’est surtout traduite par une pluie de missiles sur la population civile de Gaza», souligne Laurent Marchand, rédacteur en chef délégué à Ouest-France en charge de l’international. Il constate : «A l’international, l’indignation est générale et met en porte-à-faux même les soutiens les plus fidèles à Israël.»
Nous nous plaignons souvent, en Europe, du manque de vision de nos classes dirigeantes, mais que devraient dire les Israéliens ? En six mois, le gouvernement Netanyahou est parvenu à transformer l’émotion suscitée par le pire massacre perpétré contre des Juifs depuis la Seconde guerre mondiale en un ressentiment généralisé contre la politique de son gouvernement.
Certes, de nombreux acteurs ne se sont pas fait prier pour se mobiliser contre Israël. Au Moyen Orient comme en Europe. En France, le regain d’actes antisémites s’est fait sentir dès les premiers jours après le 7 octobre, avant même que le bras vengeur de l’armée israélienne ne soit pleinement intervenu. Mais, sous nos yeux, la prétendue " éradication " du Hamas menée par Benyamin Netanyahou s’est surtout traduite par une pluie de missiles sur la population civile de Gaza.
Le principe de légitime défense, si évident au soir des massacres du 7 octobre, a disparu des commentaires, face à une punition collective aveugle. Il y a, dans la réaction d’Israël, beaucoup de points communs avec la façon dont les États-Unis, après le 11 septembre 2001, tombèrent dans le piège de la surréaction. Non pas en Afghanistan, où le principe de légitime défense justifiait de détruire l’abri donné par les Talibans aux réseaux d’Al-Qaida, mais en Irak, deux ans plus tard. Avec les conséquences que l’on connaît en termes de crédibilité internationale perdue pour les États-Unis, de déstabilisation régionale ayant favorisé l’émergence de Daesh, de revers stratégique avec la montée en puissance de l’Iran et de ses forces supplétives dans toute la région.
De la même manière, le bilan des six derniers mois de l’action du gouvernement israélien est catastrophique. En termes humanitaires, avec toute une population palestinienne déplacée et plus de 33 000 morts. En termes militaires, le Hamas n’est pas démantelé et s’il a subi de lourdes pertes, certaines de ses figures de proue sont encore au combat. Le drame qui se noue à Gaza fera en outre des émules, durablement.
Conflit avec l’Iran
A l’international, l’indignation est générale et met en porte-à-faux même les soutiens les plus fidèles à Israël. Joe Biden, au soir du 7 octobre, avait exprimé sa compassion et son soutien presque inconditionnel " pour qu’Israël ait ce dont il a besoin " pour se défendre. La semaine dernière, ce même président américain a lancé un ultimatum au premier ministre israélien, " en menaçant même de remettre en cause l’aide militaire offensive ", relève Ian Bremmer, fondateur d’Eurasia Group. " C’est sans précédent ".
La pression a donné de premiers effets, mais sans que Benyamin Netanyahou ne renonce vraiment à ses objectifs. Pire, l’attaque, la semaine passée, du consulat iranien en Syrie, montre que le risque d’escalade régionale demeure. Pour la première fois, l’Iran pourrait bien réagir directement et non plus seulement par milices interposées.
Et les nombreux ennemis d’Israël dans la région ne demandent pas mieux que de voir persévérer Netanyahou dans le piège tendu le 7 octobre. Les islamistes visaient la rupture du rapprochement d’Israël avec l’Arabie saoudite ; le retour de la question palestinienne au cœur de l’agenda régional ; la perte en légitimité du camp occidental dont Israël est perçu comme un avant-poste. Sur la peau des victimes palestiniennes, cet agenda islamiste a été dramatiquement favorisé par Netanyahou lui-même. Il n’est pas seul responsable, mais sa longévité au pouvoir depuis 1996, et surtout depuis 2009, est à la mesure de ce trop long aveuglement.
Source : https://www.ouest-france.fr/reflexion/e ... 4d91ded6b2
«Sous nos yeux, la prétendue « éradication » du Hamas menée par Benyamin Netanyahou s’est surtout traduite par une pluie de missiles sur la population civile de Gaza», souligne Laurent Marchand, rédacteur en chef délégué à Ouest-France en charge de l’international. Il constate : «A l’international, l’indignation est générale et met en porte-à-faux même les soutiens les plus fidèles à Israël.»
Nous nous plaignons souvent, en Europe, du manque de vision de nos classes dirigeantes, mais que devraient dire les Israéliens ? En six mois, le gouvernement Netanyahou est parvenu à transformer l’émotion suscitée par le pire massacre perpétré contre des Juifs depuis la Seconde guerre mondiale en un ressentiment généralisé contre la politique de son gouvernement.
Certes, de nombreux acteurs ne se sont pas fait prier pour se mobiliser contre Israël. Au Moyen Orient comme en Europe. En France, le regain d’actes antisémites s’est fait sentir dès les premiers jours après le 7 octobre, avant même que le bras vengeur de l’armée israélienne ne soit pleinement intervenu. Mais, sous nos yeux, la prétendue " éradication " du Hamas menée par Benyamin Netanyahou s’est surtout traduite par une pluie de missiles sur la population civile de Gaza.
Le principe de légitime défense, si évident au soir des massacres du 7 octobre, a disparu des commentaires, face à une punition collective aveugle. Il y a, dans la réaction d’Israël, beaucoup de points communs avec la façon dont les États-Unis, après le 11 septembre 2001, tombèrent dans le piège de la surréaction. Non pas en Afghanistan, où le principe de légitime défense justifiait de détruire l’abri donné par les Talibans aux réseaux d’Al-Qaida, mais en Irak, deux ans plus tard. Avec les conséquences que l’on connaît en termes de crédibilité internationale perdue pour les États-Unis, de déstabilisation régionale ayant favorisé l’émergence de Daesh, de revers stratégique avec la montée en puissance de l’Iran et de ses forces supplétives dans toute la région.
De la même manière, le bilan des six derniers mois de l’action du gouvernement israélien est catastrophique. En termes humanitaires, avec toute une population palestinienne déplacée et plus de 33 000 morts. En termes militaires, le Hamas n’est pas démantelé et s’il a subi de lourdes pertes, certaines de ses figures de proue sont encore au combat. Le drame qui se noue à Gaza fera en outre des émules, durablement.
Conflit avec l’Iran
A l’international, l’indignation est générale et met en porte-à-faux même les soutiens les plus fidèles à Israël. Joe Biden, au soir du 7 octobre, avait exprimé sa compassion et son soutien presque inconditionnel " pour qu’Israël ait ce dont il a besoin " pour se défendre. La semaine dernière, ce même président américain a lancé un ultimatum au premier ministre israélien, " en menaçant même de remettre en cause l’aide militaire offensive ", relève Ian Bremmer, fondateur d’Eurasia Group. " C’est sans précédent ".
La pression a donné de premiers effets, mais sans que Benyamin Netanyahou ne renonce vraiment à ses objectifs. Pire, l’attaque, la semaine passée, du consulat iranien en Syrie, montre que le risque d’escalade régionale demeure. Pour la première fois, l’Iran pourrait bien réagir directement et non plus seulement par milices interposées.
Et les nombreux ennemis d’Israël dans la région ne demandent pas mieux que de voir persévérer Netanyahou dans le piège tendu le 7 octobre. Les islamistes visaient la rupture du rapprochement d’Israël avec l’Arabie saoudite ; le retour de la question palestinienne au cœur de l’agenda régional ; la perte en légitimité du camp occidental dont Israël est perçu comme un avant-poste. Sur la peau des victimes palestiniennes, cet agenda islamiste a été dramatiquement favorisé par Netanyahou lui-même. Il n’est pas seul responsable, mais sa longévité au pouvoir depuis 1996, et surtout depuis 2009, est à la mesure de ce trop long aveuglement.
Source : https://www.ouest-france.fr/reflexion/e ... 4d91ded6b2
Re: Guerre sans fin : suite à l'attaque du Hamas et la répression de gaza, un nouvel attentat
Ça vous semble évident, pas moi. Si personne ne veut l'islamisme il ne faut pas oublier de qualifier le Hamas d'organisation terroriste voire de résistants.
Re: Guerre sans fin : suite à l'attaque du Hamas et la répression de gaza, un nouvel attentat
es Arabes israéliens ont fait preuve d'un comportement exemplaire depuis la tragédie du 7 octobre dernier. En effet, alors que le Hamas avait demandé aux Arabes israéliens d'ouvrir un front intérieur en Israël en signe de solidarité, ceux-ci ont catégoriquement refusé leurs appels à la violence.
Re: Guerre sans fin : suite à l'attaque du Hamas et la répression de gaza, un nouvel attentat
Les musulmans ne condamnent jamais clairement, les assassinats commis par les islamistes !
Les OUI ...MAIS si....charlie ....n'avait PAS......Tu avais l'exemple de Jimmy ...
MAIS ce n'est pas parce que j'écris ÇA ,que je suis d'accord avec ce qui se passe à Gaza ..
Massacrer des pauvres gens (mêmes si ils sont pro hamas ) est tout a fait condamnable .
Qu'Israël se venge on comprend ..mais tout des limites ..Là ça va trop loin ..
La tolérance c'est quand on connait des cons- et qu'on ne dit pas les noms
Re: Guerre sans fin : suite à l'attaque du Hamas et la répression de gaza, un nouvel attentat
C’est faux, je te l’ai relayé ici mille fois.mic43121 a écrit : ↑10 avril 2024 01:07
Les musulmans ne condamnent jamais clairement, les assassinats commis par les islamistes !
Les OUI ...MAIS si....charlie ....n'avait PAS......Tu avais l'exemple de Jimmy ...
MAIS ce n'est pas parce que j'écris ÇA ,que je suis d'accord avec ce qui se passe à Gaza ..
Massacrer des pauvres gens (mêmes si ils sont pro hamas ) est tout a fait condamnable .
Qu'Israël se venge on comprend ..mais tout des limites ..Là ça va trop loin ..
Par ailleurs Jimmy n’est pas représentatif des musulmans .
Appel à participation pour le forum
« Ainsi s'éteint la liberté, sous une pluie d'applaudissements. » Star Wars, épisode III
"nul bien sans peine".....
« Ainsi s'éteint la liberté, sous une pluie d'applaudissements. » Star Wars, épisode III
"nul bien sans peine".....
Re: Guerre sans fin : suite à l'attaque du Hamas et la répression de gaza, un nouvel attentat
"De quoi la Palestine est-elle devenue le nom ?
"D’abord de la domination coloniale de l’Occident.
Ensuite, une injustice persistante, marquée par une violation permanente du droit international.
Enfin, d’une logique de « deux poids, deux mesures », appliquée par les gouvernements, relayée par les Nations unies et théorisée par bon nombre d’intellectuels occidentaux.
Au croisement de l’Orient et de l’Occident, du Sud et du Nord, la Palestine symbolise à la fois le monde ancien, marqué par l’hégémonie du Nord, et la gestation d’un monde nouveau fondé sur le principe de l’égalité entre les peuples.
La couverture de l’affrontement israélo-palestinien obéit à des règles différentes ce celles qui prévalent pour les autres conflits, et Israël est jugé selon des principes spéciaux.
En effet, quel autre exemple connaît-on d’une occupation condamnée depuis plus de 50 ans par les Nations unies sans résultats ni sanctions ?
Quel autre cas existe-t-il de puissance conquérante pouvant installer plus de 500.000 colons dans les territoires qu’elle occupe (politique qui, en droit international, constitue un « crime de guerre » sans que la communauté internationale émette autre chose que des condamnations verbales, sans effet ni suite) ?
Se drapant dans une lecture du génocide des juifs qui exonérerait a priori l’État d’Israël de toute responsabilité dans les crimes de guerre qui lui sont imputables depuis 1948, l’Occident refuse d’appliquer à ce conflit les mêmes critères d’analyse et de jugement que ceux qu’il applique à l’Irak, à la Serbie ou à l’Iran ou à l’Ukraine.
Ailleurs, on se réclamera du « droit international », des « droits humains », de la liberté de la presse et du droit des journalistes à couvrir les guerres et de la nécessaire proportionnalité des actions.
Mais qu’une des plus puissantes armées du monde bombarde le minuscule territoire de Gaza, sur lequel s’entassent un million et demi de personnes, qu’elle en ruine les infrastructures, qu’elle détruise écoles et hôpitaux, tuant des centaines de civils, et les gouvernements occidentaux trouvent quantité d’excuses et de justifications à ce qu’ailleurs on qualifierait de « crimes de guerre » et de « crimes contre l’humanité ».
Alain Gresh
« De quoi la Palestine est-elle le nom ? »https://www.babelio.com/livres/Gresh-De ... om-/253623
"D’abord de la domination coloniale de l’Occident.
Ensuite, une injustice persistante, marquée par une violation permanente du droit international.
Enfin, d’une logique de « deux poids, deux mesures », appliquée par les gouvernements, relayée par les Nations unies et théorisée par bon nombre d’intellectuels occidentaux.
Au croisement de l’Orient et de l’Occident, du Sud et du Nord, la Palestine symbolise à la fois le monde ancien, marqué par l’hégémonie du Nord, et la gestation d’un monde nouveau fondé sur le principe de l’égalité entre les peuples.
La couverture de l’affrontement israélo-palestinien obéit à des règles différentes ce celles qui prévalent pour les autres conflits, et Israël est jugé selon des principes spéciaux.
En effet, quel autre exemple connaît-on d’une occupation condamnée depuis plus de 50 ans par les Nations unies sans résultats ni sanctions ?
Quel autre cas existe-t-il de puissance conquérante pouvant installer plus de 500.000 colons dans les territoires qu’elle occupe (politique qui, en droit international, constitue un « crime de guerre » sans que la communauté internationale émette autre chose que des condamnations verbales, sans effet ni suite) ?
Se drapant dans une lecture du génocide des juifs qui exonérerait a priori l’État d’Israël de toute responsabilité dans les crimes de guerre qui lui sont imputables depuis 1948, l’Occident refuse d’appliquer à ce conflit les mêmes critères d’analyse et de jugement que ceux qu’il applique à l’Irak, à la Serbie ou à l’Iran ou à l’Ukraine.
Ailleurs, on se réclamera du « droit international », des « droits humains », de la liberté de la presse et du droit des journalistes à couvrir les guerres et de la nécessaire proportionnalité des actions.
Mais qu’une des plus puissantes armées du monde bombarde le minuscule territoire de Gaza, sur lequel s’entassent un million et demi de personnes, qu’elle en ruine les infrastructures, qu’elle détruise écoles et hôpitaux, tuant des centaines de civils, et les gouvernements occidentaux trouvent quantité d’excuses et de justifications à ce qu’ailleurs on qualifierait de « crimes de guerre » et de « crimes contre l’humanité ».
Alain Gresh
« De quoi la Palestine est-elle le nom ? »https://www.babelio.com/livres/Gresh-De ... om-/253623
Re: Guerre sans fin : suite à l'attaque du Hamas et la répression de gaza, un nouvel attentat
Once a écrit : ↑10 avril 2024 09:58 "De quoi la Palestine est-elle devenue le nom ?
"D’abord de la domination coloniale de l’Occident.
Ensuite, une injustice persistante, marquée par une violation permanente du droit international.
Enfin, d’une logique de « deux poids, deux mesures », appliquée par les gouvernements, relayée par les Nations unies et théorisée par bon nombre d’intellectuels occidentaux.
Au croisement de l’Orient et de l’Occident, du Sud et du Nord, la Palestine symbolise à la fois le monde ancien, marqué par l’hégémonie du Nord, et la gestation d’un monde nouveau fondé sur le principe de l’égalité entre les peuples.
La couverture de l’affrontement israélo-palestinien obéit à des règles différentes ce celles qui prévalent pour les autres conflits, et Israël est jugé selon des principes spéciaux.
En effet, quel autre exemple connaît-on d’une occupation condamnée depuis plus de 50 ans par les Nations unies sans résultats ni sanctions ?
Quel autre cas existe-t-il de puissance conquérante pouvant installer plus de 500.000 colons dans les territoires qu’elle occupe (politique qui, en droit international, constitue un « crime de guerre » sans que la communauté internationale émette autre chose que des condamnations verbales, sans effet ni suite) ?
Se drapant dans une lecture du génocide des juifs qui exonérerait a priori l’État d’Israël de toute responsabilité dans les crimes de guerre qui lui sont imputables depuis 1948, l’Occident refuse d’appliquer à ce conflit les mêmes critères d’analyse et de jugement que ceux qu’il applique à l’Irak, à la Serbie ou à l’Iran ou à l’Ukraine.
Ailleurs, on se réclamera du « droit international », des « droits humains », de la liberté de la presse et du droit des journalistes à couvrir les guerres et de la nécessaire proportionnalité des actions.
Mais qu’une des plus puissantes armées du monde bombarde le minuscule territoire de Gaza, sur lequel s’entassent un million et demi de personnes, qu’elle en ruine les infrastructures, qu’elle détruise écoles et hôpitaux, tuant des centaines de civils, et les gouvernements occidentaux trouvent quantité d’excuses et de justifications à ce qu’ailleurs on qualifierait de « crimes de guerre » et de « crimes contre l’humanité ».
Alain Gresh
De quoi la Palestine est-elle le nom ? »https://www.babelio.com/livres/Gresh-De ... om-/253623
que fait on lorsqu'un minuscule moustique nous ennuie
Comme tout le monde ; on utilise tous les moyens disponible pour l'éliminer
on zappe que c'est le moustique gazaoui qui pique en permanence israel par des tirs de roquette quotidiens et que le summum a été le 7 octobre
israel fait comme tout le monde à force d'être obligé de se gratter il finit pour user des moyens dont il dispose pour se débarrasser des moustiques
c'est comme le moustique hezbolah pour l'instant il le chasse par des petite tapes , mais il ne faudra pas venir 'offusquer si après gaza , il s'en prend à eux et 'en débarrasse avec tous les moyens dont il dispose pour cela
Tout comme en france on trouve normal que l'on envoie des vivres à gaza gratuitement avec le drapeau français en identifiant qu'ils bruleront à la première occasion alors que chez nous non pas 2 millions (gazaouis) mais 7 millions (de français) ne mangent pas à leur faim
la palestine est une appellation géographique pale titre de propriété d'un peuple qui n'a jamais existé
en palestine l'histoire dit qu'il y avait des juifs , ; des samaritains ; des philistins etc
le mot palestinien ne date que depuis moins d'un siècle
le surlignage n'est pas de mon fait