La laïcité est elle morte dans nos écoles ?

[Patchouli38]

Ici, cela n'a rien à voir avec la religion vu que ses harceleurs, pour la majorité, ne sont même pas musulmans.

Je ne connais pas bien l'affaire Mila. Il me semble quand même qu'elle a un rapport avec la religion, vu les propos qu'on lui reproche et l'implication de plusieurs musulmans, même s'il y a d'autres harceleurs. Le sujet concerne la laïcité dans nos écoles, cela va au-delà de l'affaire Mila. J'essaie de donner à mes propos une portée générale et de ne pas m'arrêter à un cas particulier.

Cela n'a rien à voir avec une histoire de laïcité à l'école, mais plutôt une affaire purement personnelle. Le lien Wikipédia ci-dessous retrace très bien l'affaire Mila : https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Mila
Cela atteint la sphère scolaire simplement parce que l'un de ses harceleurs a délivré, sur les réseaux sociaux, le nom et l'adresse de son établissement scolaire.

[Fonck1]

Ici, cela n'a rien à voir avec la religion vu que ses harceleurs, pour la majorité, ne sont même pas musulmans.

Je ne connais pas bien l'affaire Mila. Il me semble quand même qu'elle a un rapport avec la religion, vu les propos qu'on lui reproche et l'implication de plusieurs musulmans, même s'il y a d'autres harceleurs. Le sujet concerne la laïcité dans nos écoles, cela va au-delà de l'affaire Mila. J'essaie de donner à mes propos une portée générale et de ne pas m'arrêter à un cas particulier.

Le 18 janvier 2020, Mila, alors âgée de 16 ans, publie une vidéo en live sur Instagram où elle raconte avoir été insultée par un homme alors qu'elle parlait de ses préférences sexuelles. "Ensuite, le sujet a commencé à déraper sur la religion. Donc moi j'ai clairement dit ce que j'en pensais. Parce que la liberté d'expression, tu connais ?", interpelle-t-elle face caméra, avant de terminer par une critique virulente de l'islam. "Votre religion, c'est de la merde, votre Dieu, je lui mets un doigt dans le trou du cul, merci, au revoir", conclut-elle.

donc, c'est purement de la provocation, voire même de l'islamophobie.
elle n'avait pas besoin de déraper comme ça, elle aurait pu s'arrêter.

c'est typique des jeunes d’aujourd’hui qui se croient tout permis, sans penser qu'ils peuvent blesser d'autres gens.

vous pourrez d'ailleurs le constater, il n'y a pas que des musulmans ou des arabes dans ceux qui ont insultés :

Lors de leur garde à vue qui s'est déroulée entre février et avril 2021, ils ont en grande partie reconnu être les auteurs des messages et ont dit les "regretter". Que cela soit N'Aissita, étudiante en psychologie qui a souhaité à Mila "de mourir de la façon la plus atroce qui puisse exister", Jordan, cuisinier de 29 ans qui l'a menacée de viol, ou encore Manfred, étudiant en droit qui a menacé la jeune fille "d'une Samuel Paty", ils sont tous convaincus de ne pas avoir harcelé Mila, détaille Le Figaro (accès abonnés). Lors du procès, le procureur de la République n'avait pas mâché ses mots : "Vous avez face à vous le nuancier de la bêtise et de la haine de proximité." Celui-ci avait requis six mois de prison avec sursis à l'encontre des neuf prévenus poursuivis pour harcèlement et menaces de mort et trois mois de prison avec sursis pour les trois prévenus renvoyés pour harcèlement.

[gare au gorille]

Je ne connais pas bien l'affaire Mila. Il me semble quand même qu'elle a un rapport avec la religion, vu les propos qu'on lui reproche et l'implication de plusieurs musulmans, même s'il y a d'autres harceleurs. Le sujet concerne la laïcité dans nos écoles, cela va au-delà de l'affaire Mila. J'essaie de donner à mes propos une portée générale et de ne pas m'arrêter à un cas particulier.

Le 18 janvier 2020, Mila, alors âgée de 16 ans, publie une vidéo en live sur Instagram où elle raconte avoir été insultée par un homme alors qu'elle parlait de ses préférences sexuelles. "Ensuite, le sujet a commencé à déraper sur la religion. Donc moi j'ai clairement dit ce que j'en pensais. Parce que la liberté d'expression, tu connais ?", interpelle-t-elle face caméra, avant de terminer par une critique virulente de l'islam. "Votre religion, c'est de la merde, votre Dieu, je lui mets un doigt dans le trou du cul, merci, au revoir", conclut-elle.

donc, c'est purement de la provocation, voire même de l'islamophobie.
elle n'avait pas besoin de déraper comme ça, elle aurait pu s'arrêter.

c'est typique des jeunes d’aujourd’hui qui se croient tout permis, sans penser qu'ils peuvent blesser d'autres gens.

vous pourrez d'ailleurs le constater, il n'y a pas que des musulmans ou des arabes dans ceux qui ont insultés :

Lors de leur garde à vue qui s'est déroulée entre février et avril 2021, ils ont en grande partie reconnu être les auteurs des messages et ont dit les "regretter". Que cela soit N'Aissita, étudiante en psychologie qui a souhaité à Mila "de mourir de la façon la plus atroce qui puisse exister", Jordan, cuisinier de 29 ans qui l'a menacée de viol, ou encore Manfred, étudiant en droit qui a menacé la jeune fille "d'une Samuel Paty", ils sont tous convaincus de ne pas avoir harcelé Mila, détaille Le Figaro (accès abonnés). Lors du procès, le procureur de la République n'avait pas mâché ses mots : "Vous avez face à vous le nuancier de la bêtise et de la haine de proximité." Celui-ci avait requis six mois de prison avec sursis à l'encontre des neuf prévenus poursuivis pour harcèlement et menaces de mort et trois mois de prison avec sursis pour les trois prévenus renvoyés pour harcèlement.

Boff, elle a eu tout à fait raison de remettre ce mec à sa place et de l'envoyer balader lui et sa religion. Elle n'a fait que répondre au mec qui l'insultait et qui mettait sa religion en avant. En France le délit de blasphème n'existe pas et elle a au moins le courage de défendre la liberté d'expression si les caricaturistes n'osent plus le faire.
Ce sont plutôt les menaces de mort qui devraient vous interpeller, nous sommes en France.

[papibilou]

donc, c'est purement de la provocation, voire même de l'islamophobie.
elle n'avait pas besoin de déraper comme ça, elle aurait pu s'arrêter.

c'est typique des jeunes d’aujourd’hui qui se croient tout permis, sans penser qu'ils peuvent blesser d'autres gens.

Vous posez la question du blasphème.
Au nom de la sacro-sainte liberté d'expression le blasphème est autorisé depuis 140 ans.
Et j'avoue être partagé entre
- ma détestation des religions et de leurs extrémistes, qui me pousse à dire que le blasphème n'est pas interdit sinon on va finir par interdire les caricatures de Charlie.
- ma volonté de respecter les autres, de ne choquer personne. Car je n'imagine pas un seul instant prononcer, moi, les paroles que Mila a dites.

[Mesoke]

Moi non plus je ne m'imagine pas prononcer les paroles de Mila dans une vidéo publique.

Mais on n'a pas été harcelés (à 16 ans) par un monsieur qui utilise l'islam comme argument pour harceler. Dans notre vie pépère on n'a eu besoin de s'énerver comme Mila l'a fait.

[Fonck1]

donc, c'est purement de la provocation, voire même de l'islamophobie.
elle n'avait pas besoin de déraper comme ça, elle aurait pu s'arrêter.

c'est typique des jeunes d’aujourd’hui qui se croient tout permis, sans penser qu'ils peuvent blesser d'autres gens.

Vous posez la question du blasphème.
Au nom de la sacro-sainte liberté d'expression le blasphème est autorisé depuis 140 ans.
Et j'avoue être partagé entre
- ma détestation des religions et de leurs extrémistes, qui me pousse à dire que le blasphème n'est pas interdit sinon on va finir par interdire les caricatures de Charlie.
- ma volonté de respecter les autres, de ne choquer personne. Car je n'imagine pas un seul instant prononcer, moi, les paroles que Mila a dites.

ça fait trois fois qu'elle récidive publiquement.
par ailleurs, on vient de découvrir qu'elle était accoquinée avec le collectif nemesis, il n'y a rien qui vous met la puce à l'oreille?

[Fonck1]

Le 18 janvier 2020, Mila, alors âgée de 16 ans, publie une vidéo en live sur Instagram où elle raconte avoir été insultée par un homme alors qu'elle parlait de ses préférences sexuelles. "Ensuite, le sujet a commencé à déraper sur la religion. Donc moi j'ai clairement dit ce que j'en pensais. Parce que la liberté d'expression, tu connais ?", interpelle-t-elle face caméra, avant de terminer par une critique virulente de l'islam. "Votre religion, c'est de la merde, votre Dieu, je lui mets un doigt dans le trou du cul, merci, au revoir", conclut-elle.

donc, c'est purement de la provocation, voire même de l'islamophobie.
elle n'avait pas besoin de déraper comme ça, elle aurait pu s'arrêter.

c'est typique des jeunes d’aujourd’hui qui se croient tout permis, sans penser qu'ils peuvent blesser d'autres gens.

vous pourrez d'ailleurs le constater, il n'y a pas que des musulmans ou des arabes dans ceux qui ont insultés :

Lors de leur garde à vue qui s'est déroulée entre février et avril 2021, ils ont en grande partie reconnu être les auteurs des messages et ont dit les "regretter". Que cela soit N'Aissita, étudiante en psychologie qui a souhaité à Mila "de mourir de la façon la plus atroce qui puisse exister", Jordan, cuisinier de 29 ans qui l'a menacée de viol, ou encore Manfred, étudiant en droit qui a menacé la jeune fille "d'une Samuel Paty", ils sont tous convaincus de ne pas avoir harcelé Mila, détaille Le Figaro (accès abonnés). Lors du procès, le procureur de la République n'avait pas mâché ses mots : "Vous avez face à vous le nuancier de la bêtise et de la haine de proximité." Celui-ci avait requis six mois de prison avec sursis à l'encontre des neuf prévenus poursuivis pour harcèlement et menaces de mort et trois mois de prison avec sursis pour les trois prévenus renvoyés pour harcèlement.

Boff, elle a eu tout à fait raison de remettre ce mec à sa place et de l'envoyer balader lui et sa religion. Elle n'a fait que répondre au mec qui l'insultait et qui mettait sa religion en avant. En France le délit de blasphème n'existe pas et elle a au moins le courage de défendre la liberté d'expression si les caricaturistes n'osent plus le faire.
Ce sont plutôt les menaces de mort qui devraient vous interpeller, nous sommes en France.

mais vous allez l'avoir votre guerre.
ne croyez pas que vous en sortirez tous vivants, vous, ou vos proches.
il y aura des dommage collatéraux et ce ne sera pas jolijoli.

[Patchouli38]

Le 18 janvier 2020, Mila, alors âgée de 16 ans, publie une vidéo en live sur Instagram où elle raconte avoir été insultée par un homme alors qu'elle parlait de ses préférences sexuelles. "Ensuite, le sujet a commencé à déraper sur la religion. Donc moi j'ai clairement dit ce que j'en pensais. Parce que la liberté d'expression, tu connais ?", interpelle-t-elle face caméra, avant de terminer par une critique virulente de l'islam. "Votre religion, c'est de la merde, votre Dieu, je lui mets un doigt dans le trou du cul, merci, au revoir", conclut-elle.

donc, c'est purement de la provocation, voire même de l'islamophobie.
elle n'avait pas besoin de déraper comme ça, elle aurait pu s'arrêter.

c'est typique des jeunes d’aujourd’hui qui se croient tout permis, sans penser qu'ils peuvent blesser d'autres gens.

vous pourrez d'ailleurs le constater, il n'y a pas que des musulmans ou des arabes dans ceux qui ont insultés :

Lors de leur garde à vue qui s'est déroulée entre février et avril 2021, ils ont en grande partie reconnu être les auteurs des messages et ont dit les "regretter". Que cela soit N'Aissita, étudiante en psychologie qui a souhaité à Mila "de mourir de la façon la plus atroce qui puisse exister", Jordan, cuisinier de 29 ans qui l'a menacée de viol, ou encore Manfred, étudiant en droit qui a menacé la jeune fille "d'une Samuel Paty", ils sont tous convaincus de ne pas avoir harcelé Mila, détaille Le Figaro (accès abonnés). Lors du procès, le procureur de la République n'avait pas mâché ses mots : "Vous avez face à vous le nuancier de la bêtise et de la haine de proximité." Celui-ci avait requis six mois de prison avec sursis à l'encontre des neuf prévenus poursuivis pour harcèlement et menaces de mort et trois mois de prison avec sursis pour les trois prévenus renvoyés pour harcèlement.

Boff, elle a eu tout à fait raison de remettre ce mec à sa place et de l'envoyer balader lui et sa religion. Elle n'a fait que répondre au mec qui l'insultait et qui mettait sa religion en avant. En France le délit de blasphème n'existe pas et elle a au moins le courage de défendre la liberté d'expression si les caricaturistes n'osent plus le faire.
Ce sont plutôt les menaces de mort qui devraient vous interpeller, nous sommes en France.

Sauf qu'en cherchant à l'atteindre, c'est toute la communauté musulmane qui en paie le prix. Ici, c'est de l'islamophobie caché sous le délit de blasphème. Ce n'est pas de la liberté d'expression, mais de la haine envers une religion en particulier.

[mic43121]

Moi non plus je ne m'imagine pas prononcer les paroles de Mila dans une vidéo publique.

Mais on n'a pas été harcelés (à 16 ans) par un monsieur qui utilise l'islam comme argument pour harceler. Dans notre vie pépère on n'a eu besoin de s'énerver comme Mila l'a fait.

Il n'y a que les fille harcelées par ses abrutis qui peuvent en parler !
Certaines vivent l'enfer ...Jusqu'au bout ...

[Patchouli38]

Vous posez la question du blasphème.
Au nom de la sacro-sainte liberté d'expression le blasphème est autorisé depuis 140 ans.
Et j'avoue être partagé entre
- ma détestation des religions et de leurs extrémistes, qui me pousse à dire que le blasphème n'est pas interdit sinon on va finir par interdire les caricatures de Charlie.
- ma volonté de respecter les autres, de ne choquer personne. Car je n'imagine pas un seul instant prononcer, moi, les paroles que Mila a dites.

ça fait trois fois qu'elle récidive publiquement.
par ailleurs, on vient de découvrir qu'elle était accoquinée avec le collectif nemesis, il n'y a rien qui vous met la puce à l'oreille?

En parlant de Nemesis, on comprend mieux pourquoi l'extrême-droite défend Mila, car les mêmes défendent également Nemesis :

"#LiberezYona : placée en garde à vue, une militante du collectif Némésis recueille le soutien de politiques
De nombreuses figures du Rassemblement national et de Reconquête sont montées au créneau, après qu'une militante de Némésis a été placée en garde à vue. En cause : une action du collectif féministe identitaire appelant à l'expulsion des « violeurs étrangers », durant le carnaval de Besançon."

https://www.lejdd.fr/politique/liberezy ... ues-143923

Le racisme n'a jamais quitté ces deux partis. En voilà un bel exemple. Par contre, Nemesis ne dit pas un mot sur les violeurs français. Le derniers en date ? Le violeur en trottinette ayant fait plusieurs victimes à Grenoble et dans la région grenobloise et qui vient d'être arrêté.

Mila parle bien de sa haine envers l'Islam, et c'est bien de l'islamophobie. Qu'elle l'insulte une fois, je veux bien. Réponse logique aux insultes qu'elle a reçu. Mais récédiver deux fois, là il y a un réel problème et ce n'est plus un droit au blasphème mais un racisme décomplexé.

Cela donne une idée avec l'extrême-droite au pouvoir : chacun pourra cracher sa haine envers les religions étranères, et sur les étrangers, sous les applaudissements du RN et de Reconquête.

[Cépajuste]

Que Mila se soit acoquinée avec Untel ou Untel, cela ne change strictement rien aux faits dont il est question. La liberté d'expression appartient à tout le monde, y compris aux extrêmes. « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire » (Voltaire).

[Mesoke]

Sauf qu'en cherchant à l'atteindre, c'est toute la communauté musulmane qui en paie le prix. Ici, c'est de l'islamophobie caché sous le délit de blasphème. Ce n'est pas de la liberté d'expression, mais de la haine envers une religion en particulier.

D'après l'article Wikipedia que tu cites plus haut, elle a dit des trucs du genre "Je déteste la religion", "Mila affirme également « rejeter toutes les religions »" ou "Ce que j’ai fait, c’est du blasphème, c’est une critique générale des religions"

A la base, d'après ses dires, elle visait LES religions, pas une en particulier. Ca s'est plus orienté vers l'islam parce que des musulmans l'ont harcelées, et ce dès le début.

[Fonck1]

Que Mila se soit acoquinée avec Untel ou Untel, cela ne change strictement rien aux faits dont il est question. La liberté d'expression appartient à tout le monde, y compris aux extrêmes. « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire » (Voltaire).

La liberté de parole est encadrée en France.
La provocation est punie et l’islamophobie aussi.
Elle allait d’ailleurs être condamnée pour ça en première instance, je suppose que la pression populaire ou politique a fait le reste .

[Fonck1]

Sauf qu'en cherchant à l'atteindre, c'est toute la communauté musulmane qui en paie le prix. Ici, c'est de l'islamophobie caché sous le délit de blasphème. Ce n'est pas de la liberté d'expression, mais de la haine envers une religion en particulier.

D'après l'article Wikipedia que tu cites plus haut, elle a dit des trucs du genre "Je déteste la religion", "Mila affirme également « rejeter toutes les religions »" ou "Ce que j’ai fait, c’est du blasphème, c’est une critique générale des religions"

A la base, d'après ses dires, elle visait LES religions, pas une en particulier. Ca s'est plus orienté vers l'islam parce que des musulmans l'ont harcelées, et ce dès le début.

Des musulmans, pas les musulmans,
D’ailleurs beaucoup de l’étaient même pas.

[papibilou]

ça fait trois fois qu'elle récidive publiquement.
par ailleurs, on vient de découvrir qu'elle était accoquinée avec le collectif nemesis, il n'y a rien qui vous met la puce à l'oreille?

Vous avez choisi votre réponse à la question du blasphème. Moi pas. Cette jeune fille doit être protégée depuis 3 ans. Qu'elle se soit rapprochée d'un collectif féministe d'ED vous surprend ?