toujours une vision sélective des choses.
tiens une figure maintenant bien connue de la politique :
Dans les années 1990, Axel Loustau milite au sein du Groupe union défense (GUD), un mouvement étudiant connu « pour sa violence et ses engagements à l'extrême droite »6.
Accompagné de Frédéric Chatillon, Axel Loustau rencontre en 1992 Léon Degrelle, ancien Waffen-SS, afin de lui rendre hommage7. Il déclare : « Mon général, c’est un très grand honneur »6. Dans un article publié en septembre 2017, le quotidien Libération fait notamment état de « l'adoration » qu'Axel Loustau vouait à Léon Degrelle. Au sujet de l'admiration qu'il portait au Sturmbannführer, Axel Loustau plaide cependant pour l'erreur de jeunesse, en soulignant qu'il avait vingt ans au moment de la poignée de main à Madrid. Tout en affirmant avoir « du respect pour les gens qui se battent pour leurs idées », Axel Loustau souligne qu'il aurait fait de même pour « un général de l'armée soviétique qui a libéré Berlin »8.