Mesoke a écrit : ↑20 juillet 2024 08:11Tu racontes n'importe quoi. Il ne parlait bien entendu pas de l'assistanat pour pauvres mais des cadeaux faits aux riches pour qu'ils le restent, ce qui permet aux plus riches d'être moins taxé que les classes moyennes par rapport à leurs revenus.
Suffisait de lire son message en entier pour le comprendre ...
L'assistanat pour les riches est quand même une notion un peu bizarre.
Les riches sont taxés, de manière relativement haute dans notre pays, parler d'assistanat quand ils sont un peu moins taxés qu'avant relève d'une bonne formule politique, mais pas vraiment du réel sens des mots, quand bien même je suis favorable à ce que les riches contribuent de manière progressive à leurs niveaux de revenus et de capital.
Les seuls transferts d'argent pour lesquels on pourrait réellement parler d'assistanat des riches à mon sens, sont les transferts qui vont bien de l'état vers eux, donc les subventions à l'implantation de certaines entreprises à certains endroits par ex.
«Il n'y a rien de plus terrible qu'un pouvoir illimité dans les mains d'un être borné.» Vassyl Symonenko (1935-1963)
Mesoke a écrit : ↑20 juillet 2024 08:11Tu racontes n'importe quoi. Il ne parlait bien entendu pas de l'assistanat pour pauvres mais des cadeaux faits aux riches pour qu'ils le restent, ce qui permet aux plus riches d'être moins taxé que les classes moyennes par rapport à leurs revenus.
Suffisait de lire son message en entier pour le comprendre ...
L'assistanat pour les riches est quand même une notion un peu bizarre.
Les riches sont taxés, de manière relativement haute dans notre pays, parler d'assistanat quand ils sont un peu moins taxés qu'avant relève d'une bonne formule politique, mais pas vraiment du réel sens des mots, quand bien même je suis favorable à ce que les riches contribuent de manière progressive à leurs niveaux de revenus et de capital.
Les seuls transferts d'argent pour lesquels on pourrait réellement parler d'assistanat des riches à mon sens, sont les transferts qui vont bien de l'état vers eux, donc les subventions à l'implantation de certaines entreprises à certains endroits par ex.
À envisager: toute subvention destinée à inciter et favoriser l'installation d'entreprises sur notre sol devrait faire l'objet d'une obligation de remboursement en cas de départ dans les années qui suivent.
L'assistanat pour les riches est quand même une notion un peu bizarre.
Les riches sont taxés, de manière relativement haute dans notre pays, parler d'assistanat quand ils sont un peu moins taxés qu'avant relève d'une bonne formule politique, mais pas vraiment du réel sens des mots, quand bien même je suis favorable à ce que les riches contribuent de manière progressive à leurs niveaux de revenus et de capital.
Les seuls transferts d'argent pour lesquels on pourrait réellement parler d'assistanat des riches à mon sens, sont les transferts qui vont bien de l'état vers eux, donc les subventions à l'implantation de certaines entreprises à certains endroits par ex.
À envisager: toute subvention destinée à inciter et favoriser l'installation d'entreprises sur notre sol devrait faire l'objet d'une obligation de remboursement en cas de départ dans les années qui suivent.
Reste à savoir comment les réclamer s'ils partent.
«Il n'y a rien de plus terrible qu'un pouvoir illimité dans les mains d'un être borné.» Vassyl Symonenko (1935-1963)
À envisager: toute subvention destinée à inciter et favoriser l'installation d'entreprises sur notre sol devrait faire l'objet d'une obligation de remboursement en cas de départ dans les années qui suivent.
Reste à savoir comment les réclamer s'ils partent.
Mesoke a écrit : ↑20 juillet 2024 08:11Tu racontes n'importe quoi. Il ne parlait bien entendu pas de l'assistanat pour pauvres mais des cadeaux faits aux riches pour qu'ils le restent, ce qui permet aux plus riches d'être moins taxé que les classes moyennes par rapport à leurs revenus.
Suffisait de lire son message en entier pour le comprendre ...
L'assistanat pour les riches est quand même une notion un peu bizarre.
Les riches sont taxés, de manière relativement haute dans notre pays, parler d'assistanat quand ils sont un peu moins taxés qu'avant relève d'une bonne formule politique, mais pas vraiment du réel sens des mots, quand bien même je suis favorable à ce que les riches contribuent de manière progressive à leurs niveaux de revenus et de capital.
Les seuls transferts d'argent pour lesquels on pourrait réellement parler d'assistanat des riches à mon sens, sont les transferts qui vont bien de l'état vers eux, donc les subventions à l'implantation de certaines entreprises à certains endroits par ex.
Il s’agit bien évidemment d’assistanat, à partir du moment où des gens sont aidés directement ou indirectement (crédit d’impôt ou niche fiscale) par l’Etat. Pour les finances publiques, le résultat est strictement équivalent. Si on parle le plus souvent « d’assistanat « pour les plus pauvres, c’est uniquement pour des raisons idéologiques, car pour qu’un tel système se maintienne il est essentiel que les mesures de protection sociale soient fortement stigmatisées, alors que l’assistanat aux riches doit être valorisé.
Kelenner a écrit : ↑20 juillet 2024 14:24Il s’agit bien évidemment d’assistanat, à partir du moment où des gens sont aidés directement ou indirectement (crédit d’impôt ou niche fiscale) par l’Etat. Pour les finances publiques, le résultat est strictement équivalent. Si on parle le plus souvent « d’assistanat « pour les plus pauvres, c’est uniquement pour des raisons idéologiques, car pour qu’un tel système se maintienne il est essentiel que les mesures de protection sociale soient fortement stigmatisées, alors que l’assistanat aux riches doit être valorisé.
Alors toute baisse d'impôt relève de l'assistanat ?
Les augmentations d'impôt sont la seule façon d'éviter l'assistanat ?
«Il n'y a rien de plus terrible qu'un pouvoir illimité dans les mains d'un être borné.» Vassyl Symonenko (1935-1963)
Kelenner a écrit : ↑21 juillet 2024 00:33
Il ne s'agit pas de BAISSE d'impôt, mais de niches ou de crédit qui sont une manière détournée de financer quelque chose à la place du bénéficiaire.
Et qu'est-ce que tu mets exactement dans "l'assistanat" ?
Je donne périodiquement à une assos, l'argent que je donne me donne droit à un crédit d'impôt (les dons donnent lieu à une déduction d'impôt à la hauteur de 67% ou 75% du montant des dons), c'est de l'assistanat par ex ?
«Il n'y a rien de plus terrible qu'un pouvoir illimité dans les mains d'un être borné.» Vassyl Symonenko (1935-1963)
Là c'est plutôt une forme de subvention déguisée à une association, puisque tu n'en tires aucun bénéfice matériel direct. Pour prendre un exemple simple (et très coûteux pour les finances publiques), les innombrables niches immobilières qui permettent de défiscaliser des sommes considérables pour le proprio-bailleur sont évidemment une forme d'assistanat, puisqu'il s'agit bien d'une aide publique pour l'obtention d'un bien privé.
Kelenner a écrit : ↑21 juillet 2024 00:40
Là c'est plutôt une forme de subvention déguisée à une association, puisque tu n'en tires aucun bénéfice matériel direct. Pour prendre un exemple simple (et très coûteux pour les finances publiques), les innombrables niches immobilières qui permettent de défiscaliser des sommes considérables pour le proprio-bailleur sont évidemment une forme d'assistanat, puisqu'il s'agit bien d'une aide publique pour l'obtention d'un bien privé.
Ce sont des crédits d'impôts pour les investissements, non ? (parce qu'on manque de biens immobiliers)
D'ailleurs, on va aussi y trouver les aides pour les travaux de rénovation énergétique je pense.
«Il n'y a rien de plus terrible qu'un pouvoir illimité dans les mains d'un être borné.» Vassyl Symonenko (1935-1963)
Si on oublie ce que certains ont qualifié d'assistanat pour les riches er qui ressemblent beaucoup plus à des niches fiscales, l'assistanat est pour l'essentiel lié au RSA et à l'APL.
RSA c'est 12 milliards, APL c'est 8 milliards.
Que l'on fasse le tri entre les fraudeurs qui bossent au noir et touchent ces aides et ceux qui ne peuvent faire autre chose est nécessaire. Que l'on pousse ceux qui ont abandonné l'idée de se lever le matin pour aller bosser alors qu'ils en ont la capacité à faire quelques heures pour les collectivités pourquoi pas? Mais n'imaginons pas que nous pourrons mettre tout le monde au travail. Quant aux APL , le loyer étant le poste le plus contraignant du budget des ménages pauvres, il est hors de question de le supprimer ni même de le baisser. Simplement s'attaquer aux fraudeurs, c'est tout.
Seuls changements envisageables: verser SYSTÉMATIQUEMENT les APL au propriétaire et pas sur demande.
Corollaire: contrôle systématique des logements avec :
- obligation de mettre à niveau d'habitabilité les logements insalubres.
- si l'obligation n'est pas respectée confiscation du logement, remise aux normes par la collectivité et perception des loyers par la collectivité jusqu'à récupération des sommes dépensées.
Votre avis ?
L'assistanat pour les riches est quand même une notion un peu bizarre.
Les riches sont taxés, de manière relativement haute dans notre pays, parler d'assistanat quand ils sont un peu moins taxés qu'avant relève d'une bonne formule politique, mais pas vraiment du réel sens des mots, quand bien même je suis favorable à ce que les riches contribuent de manière progressive à leurs niveaux de revenus et de capital.
Les seuls transferts d'argent pour lesquels on pourrait réellement parler d'assistanat des riches à mon sens, sont les transferts qui vont bien de l'état vers eux, donc les subventions à l'implantation de certaines entreprises à certains endroits par ex.
À envisager: toute subvention destinée à inciter et favoriser l'installation d'entreprises sur notre sol devrait faire l'objet d'une obligation de remboursement en cas de départ dans les années qui suivent.
Ce qui serait intéressant c’est de savoir comment vous faites.
« Ainsi s'éteint la liberté, sous une pluie d'applaudissements. » Star Wars, épisode III
"nul bien sans peine".....
À envisager: toute subvention destinée à inciter et favoriser l'installation d'entreprises sur notre sol devrait faire l'objet d'une obligation de remboursement en cas de départ dans les années qui suivent.
Ce qui serait intéressant c’est de savoir comment vous faites.
Selon l'entreprise il y a sans doute divers moyens.
S'il s'agit d'une entreprise multinationale (c'est souvent le cas), un accord de remboursement doit pouvoir être honoré.
L'aide ne peut être octroyée sans contrat. Ce contrat doit préciser les conditions de remboursement et le comportement de l'entreprise (par exemple ne pas transférer ses bénéfices dans un paradis fiscal). Par exemple une condition de propriété de l'état sur les bâtiments et terrains pendant une certaine durée serait de nature à constituer une partie des capacités de remboursement. https://www.la-croix.com/Journal/Doit-e ... 1100837766
Je ne peux avec certitude assurer qu'il existe un possibilité juridique de faire rembourser les aides car n'ayant qu'assez peu de compétences juridiques, mais si elle n'existe pas, il me paraît urgent de la créer eu niveau européen. De même il devrait exister une instance d surveillance de ces entreprises afin qu'elles ne disparaissent pas soudain avec l'argent.
papibilou a écrit : ↑21 juillet 2024 09:47
Si on oublie ce que certains ont qualifié d'assistanat pour les riches er qui ressemblent beaucoup plus à des niches fiscales, l'assistanat est pour l'essentiel lié au RSA et à l'APL.
RSA c'est 12 milliards, APL c'est 8 milliards.
Que l'on fasse le tri entre les fraudeurs qui bossent au noir et touchent ces aides et ceux qui ne peuvent faire autre chose est nécessaire. Que l'on pousse ceux qui ont abandonné l'idée de se lever le matin pour aller bosser alors qu'ils en ont la capacité à faire quelques heures pour les collectivités pourquoi pas? Mais n'imaginons pas que nous pourrons mettre tout le monde au travail. Quant aux APL , le loyer étant le poste le plus contraignant du budget des ménages pauvres, il est hors de question de le supprimer ni même de le baisser. Simplement s'attaquer aux fraudeurs, c'est tout.
Seuls changements envisageables: verser SYSTÉMATIQUEMENT les APL au propriétaire et pas sur demande.
Corollaire: contrôle systématique des logements avec :
- obligation de mettre à niveau d'habitabilité les logements insalubres.
- si l'obligation n'est pas respectée confiscation du logement, remise aux normes par la collectivité et perception des loyers par la collectivité jusqu'à récupération des sommes dépensées.
Votre avis ?
Je suis favorable à la suppression totale des APL qui ne servent qu’à gonfler artificiellement les loyers. 8 milliards d’économie et des prix qui reviendront à leur niveau naturel.
papibilou a écrit : ↑21 juillet 2024 09:47
Si on oublie ce que certains ont qualifié d'assistanat pour les riches er qui ressemblent beaucoup plus à des niches fiscales, l'assistanat est pour l'essentiel lié au RSA et à l'APL.
RSA c'est 12 milliards, APL c'est 8 milliards.
Que l'on fasse le tri entre les fraudeurs qui bossent au noir et touchent ces aides et ceux qui ne peuvent faire autre chose est nécessaire. Que l'on pousse ceux qui ont abandonné l'idée de se lever le matin pour aller bosser alors qu'ils en ont la capacité à faire quelques heures pour les collectivités pourquoi pas? Mais n'imaginons pas que nous pourrons mettre tout le monde au travail. Quant aux APL , le loyer étant le poste le plus contraignant du budget des ménages pauvres, il est hors de question de le supprimer ni même de le baisser. Simplement s'attaquer aux fraudeurs, c'est tout.
Seuls changements envisageables: verser SYSTÉMATIQUEMENT les APL au propriétaire et pas sur demande.
Corollaire: contrôle systématique des logements avec :
- obligation de mettre à niveau d'habitabilité les logements insalubres.
- si l'obligation n'est pas respectée confiscation du logement, remise aux normes par la collectivité et perception des loyers par la collectivité jusqu'à récupération des sommes dépensées.
Votre avis ?
Je suis favorable à la suppression totale des APL qui ne servent qu’à gonfler artificiellement les loyers. 8 milliards d’économie et des prix qui reviendront à leur niveau naturel.
Ca se défend. C'est une idée qui avait été avancée par un membre du gouvernement puis immédiatement démentie, LFI s'indignant que l'on s'attaque à la précarité des plus pauvres. Connaissant un peu vos positions politiques je suis surpris de votre proposition à laquelle je ne pensais pas moi même. A moins qu'il ne s'agisse d'humour provocateur ..
Le risque ne serait-il pas que la rentabilité des immeubles s'en trouvant amoindrie (la rentabilité moyenne est d'un peu moins de 6% et de 4% dans les grandes agglomérations, ce qui n'est pas énorme), on laisse les bâtiments à l'abandon, on ne veuille plus louer, on ne veuille plus construire des logements locatifs ... etc ?