Election Américaine 2024

[Fonck1]

TOUT COMPRENDRE. Les poursuites contre Donald Trump relancées pour tentatives d'inverser le résultat de l'élection de 2020
Alors que la Cour suprême américaine a accordé une large immunité pénale à l'ancien président des États-Unis, un procureur spécial a publié ce mardi 27 août un nouvel acte d'accusation contre le républicain, suspecté d'avoir manigancé un "complot contre les institutions américaines".

Donald Trump dans le viseur de Jack Smith. Le procureur spécial qui poursuit l'ancien locataire de la Maison Blanche pour ses tentatives d'inverser le résultat de l'élection présidentielle de 2020 a publié ce mardi un nouvel acte d'accusation contre le candidat républicain.

Un énième rebondissement dans la campagne électorale, mais qui ne devrait pas avoir de conséquence majeure sur le scrutin qui se tiendra le mardi 5 novembre aux États-Unis.

• Pourquoi un nouvel acte d'accusation?

Le document de 31 pages publié par Jack Smith contient les quatre mêmes chefs que le précédent acte d'accusation édité en 2021. Donald Trump reste donc inculpé de "complot contre les institutions américaines" et d'"atteinte au droit de vote" des électeurs pour ses pressions sur les autorités locales de plusieurs États clés afin d'invalider les résultats officiels du scrutin remporté par le démocrate Joe Biden.

Mais l'acte d'accusation a été amendé pour tenir compte d'un arrêt de la Cour suprême accordant une large immunité pénale au président des États-Unis. Par une majorité de six voix contre trois (les juges conservateurs contre les progressistes) la Cour avait considéré le 1er juillet 2024 que "le président ne jouit d'aucune immunité pour ses actes non officiels" mais qu'il "a droit au moins à une présomption d'immunité pour ses actes officiels".

Cet acte "traduit la volonté de l'accusation de respecter et d'appliquer les conclusions et instructions de la Cour suprême", affirme Jack Smith. Le media politique américain Politico souligne ainsi que des "allégations" visant Donald Trump n'apparaissent plus dans cette nouvelle version, réduite de 9 pages.
• Un procès est-il possible avant l'élection en novembre?

Si les poursuites contre le républicain sont relancées, rien ne devrait vraiement changer dans les prochaines semaines. Compte-tenu des délais des procédures, un procès ne pourra pas être organisé avant l'élection présidentielle du mardi 5 novembre.

Mais une audience se tiendra à Washington le jeudi 5 septembre pour décider des suites de l'affaire. D'ici là, l'accusation et la défense pourront faire valoir leurs arguments par écrit avant le vendredi 30 août auprès de la juge Tanya Chutkan.

Début août 2023, Donald Trump avait plaidé non-coupable des faits qui lui sont reprochés. Un procès avait été envisagé pour le 2 janvier 2023 par Jack Smith, avant d'être fixé au 4 mars. Mais il avait été reporté jusqu'à ce que la Cour suprême se prononce sur l'immunité pénale revendiquée par le républicain.

À l'été 2023, Donald Trump demandait demandait à être jugé en 2026, après la présidentielle 2024 à laquelle il est candidat.
• Quelle est la réaction de Donald Trump?

Le républicain s'est offusqué de cette nouvelle inculpation dans une série de messages publiés sur son réseau Truth Social, criant une fois encore à l'instrumentalisation de la justice par l'administration démocrate sortante et accusant le procureur spécial de "tenter de ressusciter une chasse aux sorcières 'morte' dans un acte de désespoir".

• S'il est élu, Donald Trump pourra-t-il annuler ces poursuites?

Visé par quatre procédures pénales, le candidat républicain à l'élection présidentielle fait feu de tout bois pour passer en jugement le plus tard possible, en tout cas après le scrutin du 5 novembre.

Donald Trump a été reconnu coupable le 30 mai à New York de "falsification comptable aggravée pour dissimuler un complot visant à pervertir l'élection de 2016", dans l'affaire du paiement de 130.000 dollars, maquillé en frais juridiques, pour acheter le silence de l'actrice pornographique Stormy Daniels.

Mais cette première condamnation pénale, inédite pour un ancien président américain, devrait être la seule avant le vote. Le prononcé de la sentence, prévu en septembre, pourrait également être reporté en raison de la décision de la Cour suprême. S'il était de nouveau élu, Donald Trump pourrait, une fois investi en janvier 2025, ordonner l'arrêt des poursuites fédérales à son encontre.

[Fonck1]

États-Unis: des centaines de collaborateurs républicains tournent le dos à Donald Trump

Aux États-Unis, un groupe de 238 anciens collaborateurs républicains, parmi lesquels figurent des personnalités telles que l'ancien chef de cabinet de George Bush père et celui du défunt sénateur John McCain, a annoncé son soutien à Kamala Harris pour la prochaine élection présidentielle. Dans une lettre ouverte parue le 26 août, ils annoncent être inquiets de voir Donald Trump retourner à la Maison Blanche.

Après les voix dissonantes de cadres républicains à la convention démocrate, c'est maintenant au tour de plus de 200 collaborateurs de se rallier à Kamala Harris. Cette initiative, rendue publique dans une lettre ouverte publiée lundi 26 août par le quotidien USA Today, exprime leur profonde inquiétude à l'idée de voir Donald Trump retourner à la Maison Blanche. Les signataires de cette lettre affirment qu’un second mandat de Donald Trump « nuirait aux gens ordinaires et affaiblirait nos institutions sacrées ».

Parmi eux, on retrouve des anciens collaborateurs du président George W. Bush ainsi que des sénateurs, John McCain et Mitt Romney, tous unis par une conviction commune : élire Trump représenterait un danger non seulement pour les États-Unis, mais aussi pour le monde entier.

les républicains sont en train de perdre l'élection....

[papibilou]

les républicains sont en train de perdre l'élection....

Sans doute plus important, Trump est ( peut-être) en train de perdre. Car il y a eu de bons présidents républicains dont Lincoln.
Mais attendons le débat le 10 septembre.

[Fonck1]

les républicains sont en train de perdre l'élection....

Sans doute plus important, Trump est ( peut-être) en train de perdre. Car il y a eu de bons présidents républicains dont Lincoln.
Mais attendons le débat le 10 septembre.

vous avez raison, trump plutôt que les républicains, cela dit, ils ont laissé faire....

[Patchouli38]

D. Trump part complètement en vrille en multipliant les insultes personnelles à l'égard de Kamala Harris. La dernière fake-news en date ? Son opposante aurait soit-disant obtenu des faveurs sexuelles par un maire afin d'avoir des postes importants qui l'auraient lancé.

Pendant que son opposante monte, petit à petit, dans les sondages, D. Trump, lui, prend les marches inverses.
D. Trump n'écoute même plus son propre camps qui lui demande de modérer ses propos, il préfère suivre sa propre stratégie qui est de dénigrer sa rivale en l'insultant et en propageant des mensonges, les uns aussi gros que les autres.

D. Trump finira par être un gros boulet pour Les Républicains qui finiront bien par s'en débarrasser et le remplacer par quelqu'un de moins clivant et plus modéré. Certains le lâche déjà et cela continuera jusqu'à ce que l'ancien Président ne se trouve plus qu'avec quelques-uns de ses fidèles.

En insultant K. Harris, il touche également les américains de couleur, les femmes, les minorités qui finiront par se détourner de lui, eux qui le voyait à nouveau Président.

https://aussiedlerbote.de/fr/trump-demo ... rs-harris/

[Once]

Kamala Harris passe, sur CNN, son premier oral télévisé de candidate, sans écart ni brio

"La candidate démocrate n’avait pas encore participé à cet exercice depuis que Joe Biden s’est retiré. Jeudi, en compagnie de son colistier, Tim Walz, elle n’a pas réussi à dégager l’énergie qui anime sa campagne.

La candidate démocrate à la Maison Blanche a défendu, sur CNN, ses idées sur l’énergie, l’immigration et Israël, répliquant aux républicains qui l’accusent d’être inconstante dans ses positions.

La performance de Kamala Harris, jeudi 29 août, sur CNN, était donc attendue et scrutée. La chaîne d’information en continu affichait même un décompte permanent sur son antenne, dans la journée, comme si l’on attendait le décollage d’une mission spatiale à Cap Canaveral.

L’attente était excessive. Il n’y eut ni crash ni feu d’artifice. Ce fut un exercice court – vingt-sept minutes interrompues par des coupures publicitaires et des images de campagne –, sans faute majeure ni moment saillant. Le décor était étrange – une sorte de bureau impersonnel et gris – et le cadrage défavorable à Kamala Harris, qui paraissait tassée entre son colistier, Tim Walz, et la journaliste Dana Bash.


Tim Walz et Kamala Harris, en interview sur la chaîne d’information américaine CNN, le 29 août 2024. CNN

La candidate démocrate a parlé de façon posée, s’autorisant parfois un large sourire ou un rire, mais a manqué de formules cinglantes. Désireuse sans doute d’apparaître la plus présidentielle et maîtrisée possible, elle n’est pas parvenue à incarner l’énergie qui anime la campagne démocrate depuis la fin de juillet. Mais le véritable test n’était pas jeudi sur CNN. Il aura lieu, le 10 septembre, face à Donald Trump, lors de leur débat sur la chaîne ABC.

Hommage à Joe Biden

Sur le fond, Kamala Harris a appelé les électeurs à « tourner la page de la dernière décennie », qui a été contraire à « l’esprit de notre pays », mettant en cause l’ex-président pour avoir « divisé notre nation ». La seule question posée en politique étrangère a concerné la guerre à Gaza. Kamala Harris ne s’est pas prononcée en faveur d’un gel des livraisons d’armes à Israël. Elle a renouvelé son engagement en faveur de la défense de l’Etat hébreu et appelé de ses vœux une conclusion heureuse des négociations, en vue de la libération des otages encore vivants et d’un cessez-le-feu."
https://www.lemonde.fr/international/ar ... _3210.html

Edit : "s'autorisant parfois un large sourire ou un rire" : elle devrait arrêter avec ce genre de gimmick dont Trump s'est emparé sans vergogne pour la réduire à l'image d'une "folle hystérique". La politique c'est du sérieux. Surtout quand il s'agit de diriger la plus grande puissance économique, militaire et culturelle au monde !

Sinon, sur le fond, j'ai comme l'impression qu'elle manque de punch et d'assurance. Trump ne l'a pas ratée d' ailleurs : il dit "s'être ennuyé" à la vue de cette interview.

J'ai bien peur qu'elle ne fasse pas le poids en face à face avec Trump le 10/9 prochain. Faut pas oublier que Trump a déjà vaincu une femme au plus haut niveau (et sans tricherie sur le strict plan électoral) : il s'agissait d'une certaine Hillary Clinton qui a d'ailleurs raconté comment il l'avait déstabilisée simplement en se positionnant derrière elle, comme une menace physique, sans qu'elle ne s'en rende compte, à un moment du débat.

Parce qu'un truc important, à mon avis : on est aux States et le "show" y est capital. C'est pourquoi ce débat tant attendu ne sera pas tant jugé sur le fond que sur la forme. Tout sera traqué par les caméras, en gros plans. Et la moindre goutte de sueur perlant sur le front de l'un ou de l'autre sera le signe d'un malaise et perçu comme une défaite. C'est malheureux mais c'est comme ça : ce n'est pas tant le fond qui intéressera les électeurs mais la forme et l'apparence, le comportement des candidats dans ce débat.

Et, à ce niveau, le "fighter" Trump part avec un avantage certain.

En politique, c'est comme en boxe : c'est celui qui sait intimider son adversaire et celui qui en veut le plus qui gagne.

[Victor]

D. Trump part complètement en vrille en multipliant les insultes personnelles à l'égard de Kamala Harris. La dernière fake-news en date ? Son opposante aurait soit-disant obtenu des faveurs sexuelles par un maire afin d'avoir des postes importants qui l'auraient lancé.

Pendant que son opposante monte, petit à petit, dans les sondages, D. Trump, lui, prend les marches inverses.
D. Trump n'écoute même plus son propre camps qui lui demande de modérer ses propos, il préfère suivre sa propre stratégie qui est de dénigrer sa rivale en l'insultant et en propageant des mensonges, les uns aussi gros que les autres.

D. Trump finira par être un gros boulet pour Les Républicains qui finiront bien par s'en débarrasser et le remplacer par quelqu'un de moins clivant et plus modéré. Certains le lâche déjà et cela continuera jusqu'à ce que l'ancien Président ne se trouve plus qu'avec quelques-uns de ses fidèles.

En insultant K. Harris, il touche également les américains de couleur, les femmes, les minorités qui finiront par se détourner de lui, eux qui le voyait à nouveau Président.

https://aussiedlerbote.de/fr/trump-demo ... rs-harris/

C'est difficile de dire si c'est sa nature profonde ou une stratégie électorale vraiment réfléchie.
Mais c'est fort possible que cela soit juste l'expression de sa "nature profonde" et que ses attaques ne soient pas vraiment calculées.
Avec Trump tout est possible.

[scorpion3917]

Trump devrait arrêter ses attaques personnelles contre sa rivale.
C est minable, contre productif, diffamant et stupide.

[Patchouli38]

Trump devrait arrêter ses attaques personnelles contre sa rivale.
C est minable, contre productif, diffamant et stupide.

Son camp serait d'accord avec vous mais le problème, est que Donald Trump n'écoute que lui-même. Il est sûr que sa stratégie sera payante.
Les américains ne savent même plus ce qu'est son programme, noyé dans les attaques personnelles contre Kamala Harris.

[Fonck1]

Trump devrait arrêter ses attaques personnelles contre sa rivale.
C est minable, contre productif, diffamant et stupide.

C’est un dictateur comme
Poutine il fait comme bon lui semble.

[Mesoke]

Trump devrait arrêter ses attaques personnelles contre sa rivale.
C est minable, contre productif, diffamant et stupide.

C'est le maximum de ses capacités, mais j'imagine que ça fédère et fanatise son fan-club. Ca me rappelle quelqu'un sur ce forum

[jabar]

Vous avez suivi son dernier coup de génie ?



https://www.rfi.fr/fr/am%C3%A9riques/20 ... -arlington

[Yaroslav]

États-Unis: des centaines de collaborateurs républicains tournent le dos à Donald Trump

Aux États-Unis, un groupe de 238 anciens collaborateurs républicains, parmi lesquels figurent des personnalités telles que l'ancien chef de cabinet de George Bush père et celui du défunt sénateur John McCain, a annoncé son soutien à Kamala Harris pour la prochaine élection présidentielle. Dans une lettre ouverte parue le 26 août, ils annoncent être inquiets de voir Donald Trump retourner à la Maison Blanche.

Après les voix dissonantes de cadres républicains à la convention démocrate, c'est maintenant au tour de plus de 200 collaborateurs de se rallier à Kamala Harris. Cette initiative, rendue publique dans une lettre ouverte publiée lundi 26 août par le quotidien USA Today, exprime leur profonde inquiétude à l'idée de voir Donald Trump retourner à la Maison Blanche. Les signataires de cette lettre affirment qu’un second mandat de Donald Trump « nuirait aux gens ordinaires et affaiblirait nos institutions sacrées ».

Parmi eux, on retrouve des anciens collaborateurs du président George W. Bush ainsi que des sénateurs, John McCain et Mitt Romney, tous unis par une conviction commune : élire Trump représenterait un danger non seulement pour les États-Unis, mais aussi pour le monde entier.

les républicains sont en train de perdre l'élection....

Où ça ?

Je rappelle au passage que les sondages ne sont toujours pas bons pour Kamala Harris, même fin août.

Pour l'emporter, Harris doit absolument gagner la Pennsylvanie + gagner le Michigan + gagner le Wisconsin.
C'est mal barré pour le moment.

• Pennsylvanie :
  Trafalgar Group (R) 8/30 1082 LV HARRIS = 45 / TRUMP = 47
  The Hill/Emerson 8/28 950 LV HARRIS = 48 / TRUMP = 48

• Michigan :
  Trafalgar Group (R) 8/30 1089 LV HARRIS = 47 / TRUMP = 47
  The Hill/Emerson 8/28 800 LV HARRIS = 50 / TRUMP = 47

• Wisconsin :
  Trafalgar Group (R) 8/30 1083 LV HARRIS = 46 / TRUMP = 47
  The Hill/Emerson 8/28 850 LV HARRIS = 48 / TRUMP = 49

[Once]

Le débat - alimenté par le camp Trump- tournerait aujourd'hui autour d'une suspicion de mensonge de la part de Kamala Harris.

Le camp Trump accuse Harris de n'avoir jamais travaillé chez Mac Do, il y a une quarantaine d'années, quand elle était jeune, chose qu'elle prétend comme pour se rapprocher des classes populaires.

Mac Do, contacté, n'a pu confirmer ou infirmer cette embauche, n'ayant pas gardé d'archives de si lointaines embauches.

Donc, le camp Trump fonce à plein dans la faille pour alimenter le doute sur la sincérité de son adversaire.

Le mensonge est très mal perçu aux Etats Unis et ce débat - qui serait complètement débile en France - prend des proportions étonnantes là bas.

D'autres mauvaises langues du camp Trump disent qu'elle aurait pu travailler chez Mac Do dans sa prime jeunesse mais qu'elle en aurait été renvoyée... pour vol !

Voilà autour de quoi risque de tourner la confrontation du 10/9 prochain !

[Patchouli38]

Le débat - alimenté par le camp Trump- tournerait aujourd'hui autour d'une suspicion de mensonge de la part de Kamala Harris.

Le camp Trump accuse Harris de n'avoir jamais travaillé chez Mac Do, il y a une quarantaine d'années, quand elle était jeune, chose qu'elle prétend comme pour se rapprocher des classes populaires.

Mac Do, contacté, n'a pu confirmer ou infirmer cette embauche, n'ayant pas gardé d'archives de si lointaines embauches.

Donc, le camp Trump fonce à plein dans la faille pour alimenter le doute sur la sincérité de son adversaire.

Le mensonge est très mal perçu aux Etats Unis et ce débat - qui serait complètement débile en France - prend des proportions étonnantes là bas.

D'autres mauvaises langues du camp Trump disent qu'elle aurait pu travailler chez Mac Do dans sa prime jeunesse mais qu'elle en aurait été renvoyée... pour vol !

Voilà autour de quoi risque de tourner la confrontation du 10/9 prochain !

Donald Trump n'est plus à un mensonge près, il les alignent telles des perles. Il joue à fond la discréditation de son adversaire, persuadé que cela finira par payer, au grand dam de son camp. Concernant son programme, les américains restent sur leur faim. On peut s'attendre à tout avec un mégalomane comme Donald Trump.

Mais sa petite visite militaire au cimetière militaire risque de se retourner contre lui :

"Donald Trump dans l’embarras après sa visite au cimetière militaire d’Arlington
L’US Army a confirmé qu’une employée d’Arlington avait été « poussée brusquement », lors de la visite de l’ancien président, alors qu’elle cherchait à faire appliquer une loi fédérale qui interdit toute activité politique dans l’enceinte du cimetière."

https://www.lemonde.fr/international/ar ... _3210.html