«L'abandon de la lecture impose un coût énorme à notre intelligence collective»
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Re: «L'abandon de la lecture impose un coût énorme à notre intelligence collective»
"Les bienfaits de la lecture pour le cerveau
L’Organisation mondiale de la santé (OMS, n.d.) souligne que toutes les trois secondes, une personne dans le monde développe un type de démence. Face à cette réalité imminente et inquiétante, nous devons connaître les stratégies qui nous permettent de faire face à la détérioration cognitive pathologique et non pathologique. L’utilisation de thérapies non médicamenteuses (TNM), par le biais d’outils tels que la lecture et l’écriture, est non seulement efficace, mais constitue également une forme agréable de stimulation cognitive.
......
Aujourd’hui, il existe d’innombrables maisons d’édition et librairies où l’on peut accéder à d’innombrables œuvres littéraires, physiquement ou numériquement.
Ces informations confirment que la lecture, l’un des principaux outils de lutte contre le déclin cognitif, est gaspillée ou sous-utilisée précisément en raison d’un manque de sensibilisation aux multiples avantages de la lecture pour notre santé cérébrale.
De nombreuses études confirment les nombreux avantages de la lecture, qui vont du développement de l’imagination et de la créativité à des questions plus importantes pour les personnes âgées, telles que la protection contre le déclin cognitif."
https://neuronup.fr/neuropsychologie-et ... le-cerveau
Le livre agit comme un somnifère pour ma part. Ainsi, si je me réveille trop tôt avec l'incapacité de de me rendormir, je lis. Le sommeil arrive naturellement par la suite.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS, n.d.) souligne que toutes les trois secondes, une personne dans le monde développe un type de démence. Face à cette réalité imminente et inquiétante, nous devons connaître les stratégies qui nous permettent de faire face à la détérioration cognitive pathologique et non pathologique. L’utilisation de thérapies non médicamenteuses (TNM), par le biais d’outils tels que la lecture et l’écriture, est non seulement efficace, mais constitue également une forme agréable de stimulation cognitive.
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Aujourd’hui, il existe d’innombrables maisons d’édition et librairies où l’on peut accéder à d’innombrables œuvres littéraires, physiquement ou numériquement.
Ces informations confirment que la lecture, l’un des principaux outils de lutte contre le déclin cognitif, est gaspillée ou sous-utilisée précisément en raison d’un manque de sensibilisation aux multiples avantages de la lecture pour notre santé cérébrale.
De nombreuses études confirment les nombreux avantages de la lecture, qui vont du développement de l’imagination et de la créativité à des questions plus importantes pour les personnes âgées, telles que la protection contre le déclin cognitif."
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Le livre agit comme un somnifère pour ma part. Ainsi, si je me réveille trop tôt avec l'incapacité de de me rendormir, je lis. Le sommeil arrive naturellement par la suite.
"La valeur ne dépend pas de la religion, mais de l'amour qui nous fait considérer l'autre comme un frère ou une sœur"
Sœur Emmanuelle
"Notre vraie nationalité est l'Humanité" Herbert Georges Wells
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Re: «L'abandon de la lecture impose un coût énorme à notre intelligence collective»
Par contre maintenant je lis sur mon iPhone ..les bouquins je les prends avec mon mac ..
Ça me permet de lire au lit, sans mettre la lumière ..
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La tolérance c'est quand on connait des cons- et qu'on ne dit pas les noms
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Re: «L'abandon de la lecture impose un coût énorme à notre intelligence collective»
Les effets de rester trop tard sur des écrans est exactement inverse : ce n'est pas bon pour la mélatonine. C'est un problème pour de nombreux parents qui luttent contre leurs enfants addicts aux écrans dans leurs chambres jusque très tard dans la nuit, ce qui réduit leur temps de sommeil.Patchouli38 a écrit : ↑28 octobre 2024 09:47 Le livre agit comme un somnifère pour ma part. Ainsi, si je me réveille trop tôt avec l'incapacité de de me rendormir, je lis. Le sommeil arrive naturellement par la suite.
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Re: «L'abandon de la lecture impose un coût énorme à notre intelligence collective»
les parents ne luttent pas contre ça, ils laissent leur gosse sur écran pour avoir la paix, et après se plaignent que leurs gosses soient TDH.Once a écrit : ↑28 octobre 2024 10:52Les effets de rester trop tard sur des écrans est exactement inverse : ce n'est pas bon pour la mélatonine. C'est un problème pour de nombreux parents qui luttent contre leurs enfants addicts aux écrans dans leurs chambres jusque très tard dans la nuit, ce qui réduit leur temps de sommeil.Patchouli38 a écrit : ↑28 octobre 2024 09:47 Le livre agit comme un somnifère pour ma part. Ainsi, si je me réveille trop tôt avec l'incapacité de de me rendormir, je lis. Le sommeil arrive naturellement par la suite.
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Re: «L'abandon de la lecture impose un coût énorme à notre intelligence collective»
C'est vrai, le nombre de fois ou je vois des bébés avec le smartphone de papa ou maman dans les mains, à regarder des dessins animés.Fonck1 a écrit : ↑28 octobre 2024 12:25les parents ne luttent pas contre ça, ils laissent leur gosse sur écran pour avoir la paix, et après se plaignent que leurs gosses soient TDH.Once a écrit : ↑28 octobre 2024 10:52
Les effets de rester trop tard sur des écrans est exactement inverse : ce n'est pas bon pour la mélatonine. C'est un problème pour de nombreux parents qui luttent contre leurs enfants addicts aux écrans dans leurs chambres jusque très tard dans la nuit, ce qui réduit leur temps de sommeil.
Au lieu de leur donner un bouquin élaboré pour cette tranche d'âge, on lui préfère l'Iphone à l'écran trop petit.
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Re: «L'abandon de la lecture impose un coût énorme à notre intelligence collective»
Bonjour,
Une autre chose qui fait perdre l'envie de lire chez les jeunes c'est l'intérêt.
On s'est moqué de moi la dernière fois que je l'ai dit, pourtant c'est la vérité, comment donner l'envie de lire à l'école à des jeunes esprits lorsqu'on leur fait lire des livres chiant pour leur âge, Maupassant, Zola... Je ne critique pas ces écrivains et c'est bien qu'on leur demande de lire ces auteurs mais bien plus tard quand ils auront déjà le gout de la lecture.
Lorsqu'ils sont petit, on devrait leur faire lire un livre qui leur parle qui leur donne envie de suivre l'histoire, comme Harry potter, ils verront déjà au fil de la lecture qu'ils ont bien plus d'informations que dans les films.
Pour ma part ce n'est pas l'école qui m'a donné l'envie de lire qui ne m'a jamais quitté mais mon père, que je remercie au passage, qui dès que j'était petit me montrait des livres et m'expliquait ce qui se passait.
Une autre chose qui fait perdre l'envie de lire chez les jeunes c'est l'intérêt.
On s'est moqué de moi la dernière fois que je l'ai dit, pourtant c'est la vérité, comment donner l'envie de lire à l'école à des jeunes esprits lorsqu'on leur fait lire des livres chiant pour leur âge, Maupassant, Zola... Je ne critique pas ces écrivains et c'est bien qu'on leur demande de lire ces auteurs mais bien plus tard quand ils auront déjà le gout de la lecture.
Lorsqu'ils sont petit, on devrait leur faire lire un livre qui leur parle qui leur donne envie de suivre l'histoire, comme Harry potter, ils verront déjà au fil de la lecture qu'ils ont bien plus d'informations que dans les films.
Pour ma part ce n'est pas l'école qui m'a donné l'envie de lire qui ne m'a jamais quitté mais mon père, que je remercie au passage, qui dès que j'était petit me montrait des livres et m'expliquait ce qui se passait.
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Re: «L'abandon de la lecture impose un coût énorme à notre intelligence collective»
Mais il ne faut pas construire un mur entre livre papier et numérique.
Ma femme est revenue à 100% au livre, à nos livres accumulés depuis nos études. Moi, non, que le numérique même à la maison. Elle et moi nous LISONS. Pas la même chose, mais nous entretenons le language, notre langue.
Le sujet n'est pas là.
Ma femme est revenue à 100% au livre, à nos livres accumulés depuis nos études. Moi, non, que le numérique même à la maison. Elle et moi nous LISONS. Pas la même chose, mais nous entretenons le language, notre langue.
Le sujet n'est pas là.
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Re: «L'abandon de la lecture impose un coût énorme à notre intelligence collective»
Moi, je fais entre les deux, j'ai une liseuse et c'est un bel outil, très pratique, avoir le dico intégré quand je suis dans le RER, c'est pratique. Avant j'aurais du me balader avec mon livre ET un dico de 3 tonnes
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Re: «L'abandon de la lecture impose un coût énorme à notre intelligence collective»
Le sujet est pourtant bien là : il y a une différence énorme entre la lecture papier et la lecture numérique.UBUROI a écrit : ↑28 octobre 2024 13:00 Mais il ne faut pas construire un mur entre livre papier et numérique.
Ma femme est revenue à 100% au livre, à nos livres accumulés depuis nos études. Moi, non, que le numérique même à la maison. Elle et moi nous LISONS. Pas la même chose, mais nous entretenons le language, notre langue.
Le sujet n'est pas là.
Cette différence résulte dans l'intermédiaire qui est l'écran : l'écran favorise l'éparpillement de l'attention et crée un effet particulier sur les pupilles.
Quand je lis un texte sur un écran, autour du texte se multiplient les sollicitations parallèles ou carrément perpendiculaires. Et puis l'écran lumineux a quelque chose d'hypnotisant parce que c'est sur des écrans que l'on visionne des tas de vidéos, des tas de concerts de musique, des tas de séries et des tas de films. Pas sur du papier.
Quand je lis un texte sur papier : rien de tout cela. Le texte est nu devant moi, je ne bénéficie de rien d'autre que de ma capacité à aller appréhender ce texte avant de me laisser emporter par lui. C'est moi qui vais me faire mon propre cinéma.
Cela demande au départ un minimum d'effort et de patience que les gens n'ont plus en général parce que recourir à un écran est tellement plus simple et captivant au départ !
- Yaroslav
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Re: «L'abandon de la lecture impose un coût énorme à notre intelligence collective»
S'agissant des liseuses (je parle bien des liseuses numériques avec la technologie "papier électronique"), on ne peut pas faire beaucoup d'autres choses que lire la page que l'on a devant soi... Et important : pour les liseuses qui sont éclairées (toutes ne le sont pas), elles sont dans ce cas rétro-éclairées, c'est-à-dire que la lumière ne va jamais directement dans les yeux du lecteur comme avec les smartphones, TV, tablettes... La lumière est projetée depuis les bords de la liseuse pour éclairer l'écran. C'est donc une lumière indirecte comme si on éclairait une page d'un livre avec une lampe de poche.Once a écrit : ↑28 octobre 2024 13:44Le sujet est pourtant bien là : il y a une différence énorme entre la lecture papier et la lecture numérique.
Cette différence résulte dans l'intermédiaire qui est l'écran : l'écran favorise l'éparpillement de l'attention et crée un effet particulier sur les pupilles.
Quand je lis un texte sur un écran, autour du texte se multiplient les sollicitations parallèles ou carrément perpendiculaires. Et puis l'écran lumineux a quelque chose d'hypnotisant parce que c'est sur des écrans que l'on visionne des tas de vidéos, des tas de concerts de musique, des tas de séries et des tas de films. Pas sur du papier.
Quand je lis un texte sur papier : rien de tout cela. Le texte est nu devant moi, je ne bénéficie de rien d'autre que de ma capacité à aller appréhender ce texte avant de me laisser emporter par lui. C'est moi qui vais me faire mon propre cinéma.
Cela demande au départ un minimum d'effort et de patience que les gens n'ont plus en général parce que recourir à un écran est tellement plus simple et captivant au départ !
Les "vraies" liseuses ne présentent donc pas la plupart des inconvénients des autres écrans.
«Il n'y a rien de plus terrible qu'un pouvoir illimité dans les mains d'un être borné.» Vassyl Symonenko (1935-1963)
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Re: «L'abandon de la lecture impose un coût énorme à notre intelligence collective»
Je te conseille une liseuse. J'ai toujours été contre ce truc et que bouquins papiers.
Depuis qu'on m'a offert ce truc, je ne m'en sépare pas. Tu y mets tes livres, tu les classes en collections.
Ils ont une autonomie énorme (en semaines voire en mois). Souvent étanches. Tu peux lire au lit car tu peux régler le rétro-éclairage.
Et surtout, c'est beaucoup, beaucoup plus reposant et agréable pour les yeux. ça ne te donne pas cette excitation visuelle que te donnent les tablettes ou les téléphones.
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Re: «L'abandon de la lecture impose un coût énorme à notre intelligence collective»
J'ai dû rater cela. Faudra que j'essaie. Mais bon... je me suis tellement accoutumé à des années de lectures sur papier... Le plaisir de tenir entre mes mains un bon vieux bouquin que j'ai déjà lu et que je redécouvre avec plaisir, un des vieux trésors de ma bibliothèque... le plaisir de déplier les pages encombrantes d'un bon journal...Yaroslav a écrit : ↑28 octobre 2024 14:00S'agissant des liseuses (je parle bien des liseuses numériques avec la technologie "papier électronique"), on ne peut pas faire beaucoup d'autres choses que lire la page que l'on a devant soi... Et important : pour les liseuses qui sont éclairées (toutes ne le sont pas), elles sont dans ce cas rétro-éclairées, c'est-à-dire que la lumière ne va jamais directement dans les yeux du lecteur comme avec les smartphones, TV, tablettes... La lumière est projetée depuis les bords de la liseuse pour éclairer l'écran. C'est donc une lumière indirecte comme si on éclairait une page d'un livre avec une lampe de poche.Once a écrit : ↑28 octobre 2024 13:44Le sujet est pourtant bien là : il y a une différence énorme entre la lecture papier et la lecture numérique.
Cette différence résulte dans l'intermédiaire qui est l'écran : l'écran favorise l'éparpillement de l'attention et crée un effet particulier sur les pupilles.
Quand je lis un texte sur un écran, autour du texte se multiplient les sollicitations parallèles ou carrément perpendiculaires. Et puis l'écran lumineux a quelque chose d'hypnotisant parce que c'est sur des écrans que l'on visionne des tas de vidéos, des tas de concerts de musique, des tas de séries et des tas de films. Pas sur du papier.
Quand je lis un texte sur papier : rien de tout cela. Le texte est nu devant moi, je ne bénéficie de rien d'autre que de ma capacité à aller appréhender ce texte avant de me laisser emporter par lui. C'est moi qui vais me faire mon propre cinéma.
Cela demande au départ un minimum d'effort et de patience que les gens n'ont plus en général parce que recourir à un écran est tellement plus simple et captivant au départ !
Les "vraies" liseuses ne présentent donc pas la plupart des inconvénients des autres écrans.
C'est comme écouter la radio : je préfère l'écouter sur un vieux poste classique plutôt que sur Internet.
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Re: «L'abandon de la lecture impose un coût énorme à notre intelligence collective»
L'avantage d'un livre : ça ne casse pas, ça ne tombe pas en panne et quand il se déchire, on peut le recoller avec du scotch. Cela ne coûte pas cher. Pas besoin de le recharger en électricité, nul besoin d'acheter une protection. Le plaisir aussi d'admirer la couverture, celui de tourner les pages pour y trouver la suite de l'histoire. Et 10 ans plus tard, le plaisir de rattacher ce livre à nos souvenirs d'enfance, d'étudiants, etc. Ce que ne permet pas une liseuse.jabar a écrit : ↑28 octobre 2024 14:10Je te conseille une liseuse. J'ai toujours été contre ce truc et que bouquins papiers.
Depuis qu'on m'a offert ce truc, je ne m'en sépare pas. Tu y mets tes livres, tu les classes en collections.
Ils ont une autonomie énorme (en semaines voire en mois). Souvent étanches. Tu peux lire au lit car tu peux régler le rétro-éclairage.
Et surtout, c'est beaucoup, beaucoup plus reposant et agréable pour les yeux. ça ne te donne pas cette excitation visuelle que te donnent les tablettes ou les téléphones.
Un livre, c'est aussi le côté affectif, souvenir.
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"Notre vraie nationalité est l'Humanité" Herbert Georges Wells
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Re: «L'abandon de la lecture impose un coût énorme à notre intelligence collective»
Je me disais ça aussi, je le pense toujours. Mais le côté pratique de la liseuse terrasse tout.
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Re: «L'abandon de la lecture impose un coût énorme à notre intelligence collective»
Je suis globalement d'accord, mais la liseuse reste la technologie la plus "naturelle" disons, celle qui imite le mieux le papier.Patchouli38 a écrit : ↑28 octobre 2024 16:53L'avantage d'un livre : ça ne casse pas, ça ne tombe pas en panne et quand il se déchire, on peut le recoller avec du scotch. Cela ne coûte pas cher. Pas besoin de le recharger en électricité, nul besoin d'acheter une protection. Le plaisir aussi d'admirer la couverture, celui de tourner les pages pour y trouver la suite de l'histoire. Et 10 ans plus tard, le plaisir de rattacher ce livre à nos souvenirs d'enfance, d'étudiants, etc. Ce que ne permet pas une liseuse.
Un livre, c'est aussi le côté affectif, souvenir.
Et l'avantage, c'est le gain de place, incontestablement...
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