Trump élu : quel avenir pour l'Ukraine ?
- Mesoke
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Re: Trump élu : quel avenir pour l'Ukraine ?
Concernant le cas israélien, on parle d'une vendetta de 80 ans, avec un camp qui attaque l'autre, qui se fait attaquer en retour, qui riposte, qui contre-attaque, etc.
On ne peut pas franchement dire qu'un camp est l'agressé dans l'histoire ... Le Hamas n'a pas attaqué le 7 octobre un pays voisin contre lequel il avait des griefs mais sans plus, à des fins d'expansion territoriale et de noyage de poisson de politique intérieure foireuse. Il a juste lancé une nouvelle phase de violence, comme depuis des décennies de la part des deux camps.
On ne peut pas franchement dire qu'un camp est l'agressé dans l'histoire ... Le Hamas n'a pas attaqué le 7 octobre un pays voisin contre lequel il avait des griefs mais sans plus, à des fins d'expansion territoriale et de noyage de poisson de politique intérieure foireuse. Il a juste lancé une nouvelle phase de violence, comme depuis des décennies de la part des deux camps.
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Re: Trump élu : quel avenir pour l'Ukraine ?
"Russie, Syrie… Les positions inquiétantes de Tulsi Gabbard, future cheffe du renseignement américain
Etats-Unis. Reprise du narratif du Kremlin en Ukraine, négation des crimes de Bachar al-Assad : l’ancienne démocrate devenue pro-Trump est à l’origine de nombreuses controverses. Son pouvoir sera pourtant considérable.
Une nomination controversée de plus pour un casting gouvernemental bâti à son image. Donald Trump a annoncé ce jeudi 14 novembre que Tulsi Gabbard prendrait la tête du renseignement américain à partir de janvier prochain. Un poste très stratégique créé au lendemain des attentats du 11 septembre, visant à chapeauter les 17 agences d’espionnage américaines, de la CIA au FBI en passant par la NSA. Problème : Tulsi Gabbard s’est davantage distinguée par ses prises de position pro-russes ou son soutien récurrent au dictateur syrien Bachar el-Assad que par sa maîtrise des rouages du renseignement.
Âgée de 43 ans et originaire des Samoa américaines, Tulsi Gabbard a d’abord mené son ascension au sein du parti démocrate, où elle a toujours défendu une vision isolationniste en matière de politique étrangère. Élue à Hawaï au sein de la Chambre des représentants entre 2013 et 2021, soutenant Bernie Sanders en 2016 notamment pour ses positions internationales, elle avait même tenté de briguer l’investiture démocrate pour l’élection présidentielle de 2020, avant de devoir rapidement abandonner la course dans les primaires.
La guerre en Ukraine, la faute de l’Otan
Mais c’est surtout à partir du début de l’invasion russe en Ukraine que Tulsi Gabbard a gagné une certaine notoriété outre-Atlantique, avec des prises de position controversées reprenant ouvertement le narratif du Kremlin. Ainsi, dès le 24 février 2022, au lendemain du début de la guerre déclenchée par Vladimir Poutine, elle avait écrit sur X (ex-Twitter) : "Cette guerre et cette souffrance auraient pu être évitées si l’administration (de Joe) Biden et l’Otan avaient simplement pris en compte les inquiétudes légitimes de la Russie sur une possible entrée de l’Ukraine dans l’Otan".
Quelques semaines plus tard, c’est une autre déclaration qui avait fait des remous, alors que l’ancienne représentante avait affirmé sur ses réseaux sociaux que la présence en Ukraine de "plus de 25 laboratoires biologiques financés par les Etats-Unis qui, en cas d’accident, libéreraient et propageraient des agents pathogènes mortels" justifiait un accord de paix au plus vite. Des allégations déjà formulées par des responsables russes, que les autorités américaines avaient directement démenties. "Tulsi Gabbard ne fait que répéter comme un perroquet la propagande russe. Ses mensonges perfides pourraient bien coûter des vies", avait alors tancé le sénateur et ex-candidat républicain à l’élection présidentielle Mitt Romney, fervent critique de Donald Trump.
Une défenseure de Bachar el-Assad
Pourtant, Tulsi Gabbard en était loin d’être à son coup d’essai. En 2017, son déplacement dans la Syrie de Bachar el-Assad avait suscité de très nombreuses controverses. Celle qui était alors représentante démocrate avait affirmé s’y rendre dans le cadre d’une "mission d’enquête", afin de "voir et entendre directement de la part de la population syrienne" les conséquences de la guerre civile dans le pays.
Une fois sur place, Tulsi Gabbard a rencontré Bachar el-Assad à deux reprises, à une période où le président syrien était sous le feu d’innombrables enquêtes pour la répression sanglante de ses opposants, le bombardement de populations civiles, sans oublier l’utilisation dévastatrice d’armes chimiques. Refusant de condamner les crimes de ce dernier, affirmant que l’autocrate syrien n’était "pas l’ennemi des États-Unis, car la Syrie ne représente pas une menace directe pour les États-Unis" tout en taxant ses détracteurs de "bellicistes", Tulsi Gabbard avait notamment remis en question l’utilisation d’armes chimiques par le régime syrien. Une position sur laquelle elle n’est jamais revenue, malgré les preuves accablantes.
Sur le dossier russe également, il n’avait pas fallu attendre le début de la guerre en Ukraine pour voir naître des suspicions à son égard. Dès sa campagne pour les primaires démocrates en 2019, beaucoup avaient pointé du doigt le relais actif de réseaux de propagande et de médias russes en sa faveur, comme Sputnik News ou Russia Today. De quoi faire dire à Hillary Clinton que Tulsi Gabbard était "un atout pour la Russie".
Une revanche personnelle de Trump ?
Comment cette personnalité aux relations très ambiguës avec certains dictateurs, sans aucune expérience en matière de renseignement, a-t-elle donc pu être choisie pour diriger l’entièreté de l’espionnage américain ? Son départ avec fracas du parti démocrate en octobre 2022, et son glissement progressif vers le camp républicain marqué par un soutien officiel à Donald Trump en août dernier, lui a valu une certaine popularité au sein du Grand Old Party. Ce profil de transfuge lui aura donc valu d’être récompensée au sein de la nouvelle administration, alors même qu’elle n’avait pas manqué de sévèrement tacler le président républicain par le passé, notamment pour l’assassinat du général iranien Qassem Soleimani à Bagdad en 2020.
De là à occuper un rôle aussi stratégique, le pas est immense. "Voulez-vous vraiment qu’elle ait tous les secrets des États-Unis et de nos agences de renseignement alors qu’elle a été si clairement sous la coupe de Poutine ?", s’est inquiétée la sénatrice démocrate Elizabeth Warren sur CNN ce jeudi. Une question à laquelle le journal américain The Atlantic répond sans détour, affirmant que "la nomination de Tulsi Gabbard représente un risque pour la sécurité nationale".
Le magazine s’interroge notamment sur les motivations ayant poussé Donald Trump à la nommer à un tel poste : "Elle l’a soutenu, mais elle n’a pas joué un rôle central dans sa campagne, et il ne lui doit pas grand-chose. Pour quelqu’un d’aussi mercantile que Trump, cette nomination n’a pas beaucoup de sens". The Atlantic évoque notamment la possibilité que "Trump déteste tellement les agences du renseignement - qu’il accuse d’être à l’origine d’une grande partie des problèmes rencontrés lors de son premier mandat - que la nomination de Gabbard représente sa revanche". Aux côtés de Marco Rubio, le futur chef de la diplomatie américaine, celle qui plaidait en 2022 pour "mettre la géopolitique de côté et embrasser l’esprit d’aloha, de respect et d’amour" pour "arriver à un accord selon lequel l’Ukraine sera un pays neutre" aura en tout cas un pouvoir non négligeable si sa nomination est confirmée par le Sénat américain."
https://www.lexpress.fr/monde/russie-sy ... PPZS3MIOU/
Etats-Unis. Reprise du narratif du Kremlin en Ukraine, négation des crimes de Bachar al-Assad : l’ancienne démocrate devenue pro-Trump est à l’origine de nombreuses controverses. Son pouvoir sera pourtant considérable.
Une nomination controversée de plus pour un casting gouvernemental bâti à son image. Donald Trump a annoncé ce jeudi 14 novembre que Tulsi Gabbard prendrait la tête du renseignement américain à partir de janvier prochain. Un poste très stratégique créé au lendemain des attentats du 11 septembre, visant à chapeauter les 17 agences d’espionnage américaines, de la CIA au FBI en passant par la NSA. Problème : Tulsi Gabbard s’est davantage distinguée par ses prises de position pro-russes ou son soutien récurrent au dictateur syrien Bachar el-Assad que par sa maîtrise des rouages du renseignement.
Âgée de 43 ans et originaire des Samoa américaines, Tulsi Gabbard a d’abord mené son ascension au sein du parti démocrate, où elle a toujours défendu une vision isolationniste en matière de politique étrangère. Élue à Hawaï au sein de la Chambre des représentants entre 2013 et 2021, soutenant Bernie Sanders en 2016 notamment pour ses positions internationales, elle avait même tenté de briguer l’investiture démocrate pour l’élection présidentielle de 2020, avant de devoir rapidement abandonner la course dans les primaires.
La guerre en Ukraine, la faute de l’Otan
Mais c’est surtout à partir du début de l’invasion russe en Ukraine que Tulsi Gabbard a gagné une certaine notoriété outre-Atlantique, avec des prises de position controversées reprenant ouvertement le narratif du Kremlin. Ainsi, dès le 24 février 2022, au lendemain du début de la guerre déclenchée par Vladimir Poutine, elle avait écrit sur X (ex-Twitter) : "Cette guerre et cette souffrance auraient pu être évitées si l’administration (de Joe) Biden et l’Otan avaient simplement pris en compte les inquiétudes légitimes de la Russie sur une possible entrée de l’Ukraine dans l’Otan".
Quelques semaines plus tard, c’est une autre déclaration qui avait fait des remous, alors que l’ancienne représentante avait affirmé sur ses réseaux sociaux que la présence en Ukraine de "plus de 25 laboratoires biologiques financés par les Etats-Unis qui, en cas d’accident, libéreraient et propageraient des agents pathogènes mortels" justifiait un accord de paix au plus vite. Des allégations déjà formulées par des responsables russes, que les autorités américaines avaient directement démenties. "Tulsi Gabbard ne fait que répéter comme un perroquet la propagande russe. Ses mensonges perfides pourraient bien coûter des vies", avait alors tancé le sénateur et ex-candidat républicain à l’élection présidentielle Mitt Romney, fervent critique de Donald Trump.
Une défenseure de Bachar el-Assad
Pourtant, Tulsi Gabbard en était loin d’être à son coup d’essai. En 2017, son déplacement dans la Syrie de Bachar el-Assad avait suscité de très nombreuses controverses. Celle qui était alors représentante démocrate avait affirmé s’y rendre dans le cadre d’une "mission d’enquête", afin de "voir et entendre directement de la part de la population syrienne" les conséquences de la guerre civile dans le pays.
Une fois sur place, Tulsi Gabbard a rencontré Bachar el-Assad à deux reprises, à une période où le président syrien était sous le feu d’innombrables enquêtes pour la répression sanglante de ses opposants, le bombardement de populations civiles, sans oublier l’utilisation dévastatrice d’armes chimiques. Refusant de condamner les crimes de ce dernier, affirmant que l’autocrate syrien n’était "pas l’ennemi des États-Unis, car la Syrie ne représente pas une menace directe pour les États-Unis" tout en taxant ses détracteurs de "bellicistes", Tulsi Gabbard avait notamment remis en question l’utilisation d’armes chimiques par le régime syrien. Une position sur laquelle elle n’est jamais revenue, malgré les preuves accablantes.
Sur le dossier russe également, il n’avait pas fallu attendre le début de la guerre en Ukraine pour voir naître des suspicions à son égard. Dès sa campagne pour les primaires démocrates en 2019, beaucoup avaient pointé du doigt le relais actif de réseaux de propagande et de médias russes en sa faveur, comme Sputnik News ou Russia Today. De quoi faire dire à Hillary Clinton que Tulsi Gabbard était "un atout pour la Russie".
Une revanche personnelle de Trump ?
Comment cette personnalité aux relations très ambiguës avec certains dictateurs, sans aucune expérience en matière de renseignement, a-t-elle donc pu être choisie pour diriger l’entièreté de l’espionnage américain ? Son départ avec fracas du parti démocrate en octobre 2022, et son glissement progressif vers le camp républicain marqué par un soutien officiel à Donald Trump en août dernier, lui a valu une certaine popularité au sein du Grand Old Party. Ce profil de transfuge lui aura donc valu d’être récompensée au sein de la nouvelle administration, alors même qu’elle n’avait pas manqué de sévèrement tacler le président républicain par le passé, notamment pour l’assassinat du général iranien Qassem Soleimani à Bagdad en 2020.
De là à occuper un rôle aussi stratégique, le pas est immense. "Voulez-vous vraiment qu’elle ait tous les secrets des États-Unis et de nos agences de renseignement alors qu’elle a été si clairement sous la coupe de Poutine ?", s’est inquiétée la sénatrice démocrate Elizabeth Warren sur CNN ce jeudi. Une question à laquelle le journal américain The Atlantic répond sans détour, affirmant que "la nomination de Tulsi Gabbard représente un risque pour la sécurité nationale".
Le magazine s’interroge notamment sur les motivations ayant poussé Donald Trump à la nommer à un tel poste : "Elle l’a soutenu, mais elle n’a pas joué un rôle central dans sa campagne, et il ne lui doit pas grand-chose. Pour quelqu’un d’aussi mercantile que Trump, cette nomination n’a pas beaucoup de sens". The Atlantic évoque notamment la possibilité que "Trump déteste tellement les agences du renseignement - qu’il accuse d’être à l’origine d’une grande partie des problèmes rencontrés lors de son premier mandat - que la nomination de Gabbard représente sa revanche". Aux côtés de Marco Rubio, le futur chef de la diplomatie américaine, celle qui plaidait en 2022 pour "mettre la géopolitique de côté et embrasser l’esprit d’aloha, de respect et d’amour" pour "arriver à un accord selon lequel l’Ukraine sera un pays neutre" aura en tout cas un pouvoir non négligeable si sa nomination est confirmée par le Sénat américain."
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Sœur Emmanuelle
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Re: Trump élu : quel avenir pour l'Ukraine ?
Ben non, le Hamas ne vise pas une extension territoriale, il vise carrément la destruction d'Israël. Il ne vise pas à annexer mais plutôt à rayer de la carte. Méchants israéliens qui ne sont pas d'accord et osent se défendre.Mesoke a écrit : ↑15 novembre 2024 09:50 Concernant le cas israélien, on parle d'une vendetta de 80 ans, avec un camp qui attaque l'autre, qui se fait attaquer en retour, qui riposte, qui contre-attaque, etc.
On ne peut pas franchement dire qu'un camp est l'agressé dans l'histoire ... Le Hamas n'a pas attaqué le 7 octobre un pays voisin contre lequel il avait des griefs mais sans plus, à des fins d'expansion territoriale et de noyage de poisson de politique intérieure foireuse. Il a juste lancé une nouvelle phase de violence, comme depuis des décennies de la part des deux camps.
L'Ukraine est un tout autre contexte, c'est un pays qui veut être récupérer par l'U.E. d'un coté et par la Russie de l'autre. D' ou un grave conflit qui se transforme en agression militaire par Poutine.
* il pleut doucement sur la ville *
* Et le poète soul engueulait l' Univers *
(Rimbaud)
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Re: Trump élu : quel avenir pour l'Ukraine ?
Mesoke a écrit : ↑14 novembre 2024 16:50Trump n'est considéré comme un pacifiste que par les couillons que son fan club a convaincu.
Dans les faits il n'a ni plus ni moins fait de paix avec d'autres pays que les autres présidents de ces dernières années, il n'a ni plus ni moins soutenu de guerres partout dans le monde, il n'a pas fermé de base militaire à l'étranger parmi les dizaines que comptent les USA, il a augmenté le budget de la défense, etc.
Il a juste décidé que les conflits auxquels les USA participeraient directement ou indirectement seraient des conflits qui défendent les intérêts économiques du pays, et plus des conflits idéologiques, des respects d'alliance, des défenses de droits de population locales, etc.
Trump est considéré comme un non pacifique par les couillons formatés du fan club de la pensée unique.
Les gens un peu moins sectaires ont une approche toute différente. D'ailleurs voila ce qu'en pense le principal intéressé qui ne partage pas vos idées toutes faites sur Trump.
https://www.msn.com/fr-fr/actualite/mon ... e6c3&ei=22
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Re: Trump élu : quel avenir pour l'Ukraine ?
gare au gorille a écrit : ↑16 novembre 2024 01:21Ben non, le Hamas ne vise pas une extension territoriale, il vise carrément la destruction d'Israël. Il ne vise pas à annexer mais plutôt à rayer de la carte. Méchants israéliens qui ne sont pas d'accord et osent se défendre.Mesoke a écrit : ↑15 novembre 2024 09:50 Concernant le cas israélien, on parle d'une vendetta de 80 ans, avec un camp qui attaque l'autre, qui se fait attaquer en retour, qui riposte, qui contre-attaque, etc.
On ne peut pas franchement dire qu'un camp est l'agressé dans l'histoire ... Le Hamas n'a pas attaqué le 7 octobre un pays voisin contre lequel il avait des griefs mais sans plus, à des fins d'expansion territoriale et de noyage de poisson de politique intérieure foireuse. Il a juste lancé une nouvelle phase de violence, comme depuis des décennies de la part des deux camps.
L'Ukraine est un tout autre contexte, c'est un pays qui veut être récupérer par l'U.E. d'un coté et par la Russie de l'autre. D' ou un grave conflit qui se transforme en agression militaire par Poutine.
Ca c'est le comble de la "réinformation" des gens affiliés au RN! L'Ukraine est un tout autre contexte, c'est un pays qui veut être récupérer par l'U.E. d'un coté et par la Russie de l'autre. D' ou un grave conflit qui se transforme en agression militaire par Poutine.
Sur L'Ukraine est un tout autre contexte, c'est un pays qui veut être récupérer par l'U.E.
L'Ukraine ne veut pas être "récupérée" par l'Europe, mais DEMOCRATIQUEMENT depuis 1991 et son indépendance voulue et acquise PAR REFERENDUM, depuis la révolution orange de 2004, depuis l'EuroMaidan de 2013/2014, ce pays indépendant dont les frontières et l'intégrité étaient garanties par le TRAITE DE BUDAPEST (mémorandum) a fait le choix de se tourner résolument vers l'occident et lUE.
C'est le peuple, notion chère aux populistes d'extrême droite, qui a voulu tracer ce chemin.
Le terme "récupérer" en dit long !
Sur ...d'un coté et par la Russie de l'autre.
Mais la Russie n'a pas de droit sur l'Ukraine. Et l'Ukraine ne "cherche pas à être récupérée d'un autre côté par la Russie"! Qu'est ce que c'est que cette présentation. Quand on ne maîtrise ni l'Histoire ni la langue française, sa syntaxe et son vocabulaire, il faut se résoudre à se taire.
Et le summum, arrive! Accrochez vous! ... D' ou un grave conflit qui se transforme en agression militaire par Poutine.
Mais ce conflit n'avait pas lieu d'être en vertu du DROIT INTERNATIONAL.
Le RN et son porte voix nierait la primauté du droit international?!
Pour gag, y a 2 responsables dans la naissance du conflit!
NON, mon pote! On ne peut pas laisser passer ça!
Le conflit est né dans la tête de ce despote néo-stalinien, incapable de supporter la disparition de l'URSS pourrie de l'intérieur.
Le droit internation a été bafoué, le mémorandum de Budapest a été bafoué par le seul Poutine.
Il est l'agresseur. Il est ce criminel de guerre qui a laissé sa place à Lavrov pour se rendre au G20 de Rio!
Il est ce tyran intérieur qui assassine ses opposants, qui s'allie avec les pires dictatures - l'Iran et la RPCN!
Cette agression doit cesser par TOUS les moyens, l'Ukraine devra retrouver ses territoires envahis, annexés illégalement depuis 2014, et Poutine devra être traduit devant la CPI. La Russie devra payer les réparations pour ses destructions et les victimes militaires et civiles.
Voilà ce que tous les démocrates doivent souhaiter.
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Re: Trump élu : quel avenir pour l'Ukraine ?
En effet, cette présentation des choses est totalement hypocrite.
La Russie veut contraindre et soumettre l'Ukraine.
L'Europe cherche réellement à "libérer" l'Ukraine pour le coup. L'Europe ne cherche pas à récupérer l'Ukraine pour son blé ou pour les mines de charbon du Donbass, hein... L'Europe cherche à défendre la liberté du peuple ukrainien, sa démocratie qui est une réalité dans ce pays, sa capacité de choisir ses orientations, ses alliances.
Un peu hors sujet ↓
La Russie veut contraindre et soumettre l'Ukraine.
L'Europe cherche réellement à "libérer" l'Ukraine pour le coup. L'Europe ne cherche pas à récupérer l'Ukraine pour son blé ou pour les mines de charbon du Donbass, hein... L'Europe cherche à défendre la liberté du peuple ukrainien, sa démocratie qui est une réalité dans ce pays, sa capacité de choisir ses orientations, ses alliances.
Un peu hors sujet ↓
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Re: Trump élu : quel avenir pour l'Ukraine ?
Pat l'infinitif ..Patchouli38 a écrit : ↑13 novembre 2024 20:10L'Ukraine se fait attaquée, massacrée, dépouillée mais il faut qu'en plus, elle courbe l'échine devant Poutine et satisfaire ses exigences ?gare au gorille a écrit : ↑13 novembre 2024 19:34 Boff, je ne partage pas vos illusions. L'Europe peut toujours faire des moulinets et des effets de manches, elle n'est pas crédible et ne trouvera jamais l'unité pour aller chatouiller Poutine. Trump lui déteste la guerre. Bien malin celui qui peut entrevoir une sortie de ce bourbier sans que cela se fasse sur le dos de l'Ukraine.
L'Ukraine n'est pas seule vu que la Corée du Sud a changé d'avis et lui envoie des armes. Chacun sait que V. Poutine ne s'arrêtera pas à ce pays. Un dictateur assoiffé de pouvoir a les dents longues, très longues.
Bien au contraire, il faut aider l'Ukraine à reconquérir ses territoires. C'est la Russie qui doit lâcher, et non l'Ukraine !
La tolérance c'est quand on connait des cons- et qu'on ne dit pas les noms
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Re: Trump élu : quel avenir pour l'Ukraine ?
UBUROI a écrit : ↑16 novembre 2024 04:19gare au gorille a écrit : ↑16 novembre 2024 01:21
Ben non, le Hamas ne vise pas une extension territoriale, il vise carrément la destruction d'Israël. Il ne vise pas à annexer mais plutôt à rayer de la carte. Méchants israéliens qui ne sont pas d'accord et osent se défendre.
L'Ukraine est un tout autre contexte, c'est un pays qui veut être récupérer par l'U.E. d'un coté et par la Russie de l'autre. D' ou un grave conflit qui se transforme en agression militaire par Poutine.
Ca c'est le comble de la "réinformation" des gens affiliés au RN! L'Ukraine est un tout autre contexte, c'est un pays qui veut être récupérer par l'U.E. d'un coté et par la Russie de l'autre. D' ou un grave conflit qui se transforme en agression militaire par Poutine.
Sur L'Ukraine est un tout autre contexte, c'est un pays qui veut être récupérer par l'U.E.
L'Ukraine ne veut pas être "récupérée" par l'Europe, mais DEMOCRATIQUEMENT depuis 1991 et son indépendance voulue et acquise PAR REFERENDUM, depuis la révolution orange de 2004, depuis l'EuroMaidan de 2013/2014, ce pays indépendant dont les frontières et l'intégrité étaient garanties par le TRAITE DE BUDAPEST (mémorandum) a fait le choix de se tourner résolument vers l'occident et lUE.
C'est le peuple, notion chère aux populistes d'extrême droite, qui a voulu tracer ce chemin.
Le terme "récupérer" en dit long !
Sur ...d'un coté et par la Russie de l'autre.
Mais la Russie n'a pas de droit sur l'Ukraine. Et l'Ukraine ne "cherche pas à être récupérée d'un autre côté par la Russie"! Qu'est ce que c'est que cette présentation. Quand on ne maîtrise ni l'Histoire ni la langue française, sa syntaxe et son vocabulaire, il faut se résoudre à se taire.
Et le summum, arrive! Accrochez vous! ... D' ou un grave conflit qui se transforme en agression militaire par Poutine.
Mais ce conflit n'avait pas lieu d'être en vertu du DROIT INTERNATIONAL.
Le RN et son porte voix nierait la primauté du droit international?!
Pour gag, y a 2 responsables dans la naissance du conflit!
NON, mon pote! On ne peut pas laisser passer ça!
Le conflit est né dans la tête de ce despote néo-stalinien, incapable de supporter la disparition de l'URSS pourrie de l'intérieur.
Le droit internation a été bafoué, le mémorandum de Budapest a été bafoué par le seul Poutine.
Il est l'agresseur. Il est ce criminel de guerre qui a laissé sa place à Lavrov pour se rendre au G20 de Rio!
Il est ce tyran intérieur qui assassine ses opposants, qui s'allie avec les pires dictatures - l'Iran et la RPCN!
Cette agression doit cesser par TOUS les moyens, l'Ukraine devra retrouver ses territoires envahis, annexés illégalement depuis 2014, et Poutine devra être traduit devant la CPI. La Russie devra payer les réparations pour ses destructions et les victimes militaires et civiles.
Voilà ce que tous les démocrates doivent souhaiter.
Le RN n'a rien à voir ici. Je ne suis pas son porte parole et je me contente de donner mon avis.
Oui il y a bien un conflit entre la Russie et l'U.E. à propos de l'Ukraine, d'un coté l'U.E. qui aimerait voir entrer dans son giron l'Ukraine et de l'autre la Russie de Poutine que cela contrarie car la Russie garde un projet de reconstitution d'un grand empire Russe.
Après contrairement à vos âneries je n'ai jamais dit qu'il y avait deux responsables, il n'y a qu'un agresseur c'est Poutine, il y a simplement une succession d'évènements qui ont emmené Poutine à cette agression et particulièrement la volonté de rapprochement de l'Otan et la perte de souveraineté de l'Ukraine qui entrerait dans l'U.E. et qui briserait à jamais le grand rêve Russe de Poutine.
Sauf que Poutine a sous estimé la résistance Ukrainienne et qu'il a pensé pouvoir régler rapidement ce problème.
Après il n'y a pas à discuter, nous devons tous être du coté de l'agressé qui est l'Ukraine, reste une réalité c'est la frilosité aussi bien des pays de l'U.E que des Etats Unis face au fait de transformer ce conflit territorial en conflit mondial et nucléarisé. Poutine possède des armes de destruction que ne possédait pas Hitler. Ce qui était évident à cette époque l'est beaucoup moins aujourd'hui.
Reste Trump qui propose ses services pour une négociation de fin de conflit, il semble que le président Ukrainien qui est très lucide sur la situation cherche lui aussi une sortie à ce conflit infiniment meurtrier. Reste Poutine qui ne peut pas se permettre de perdre la face et qui risque d'exiger une petite victoire avant de remballer son matériel.
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Re: Trump élu : quel avenir pour l'Ukraine ?
Votre vision des choses est vraiment très bizarre.gare au gorille a écrit : ↑16 novembre 2024 14:54 Le RN n'a rien à voir ici. Je ne suis pas son porte parole et je me contente de donner mon avis.
Oui il y a bien un conflit entre la Russie et l'U.E. à propos de l'Ukraine, d'un coté l'U.E. qui aimerait voir entrer dans son giron l'Ukraine et de l'autre la Russie de Poutine que cela contrarie car la Russie garde un projet de reconstitution d'un grand empire Russe.
Après contrairement à vos âneries je n'ai jamais dit qu'il y avait deux responsables, il n'y a qu'un agresseur c'est Poutine, il y a simplement une succession d'évènements qui ont emmené Poutine à cette agression et particulièrement la volonté de rapprochement de l'Otan et la perte de souveraineté de l'Ukraine qui entrerait dans l'U.E. et qui briserait à jamais le grand rêve Russe de Poutine.
Sauf que Poutine a sous estimé la résistance Ukrainienne et qu'il a pensé pouvoir régler rapidement ce problème.
Après il n'y a pas à discuter, nous devons tous être du coté de l'agressé qui est l'Ukraine, reste une réalité c'est la frilosité aussi bien des pays de l'U.E que des Etats Unis face au fait de transformer ce conflit territorial en conflit mondial et nucléarisé. Poutine possède des armes de destruction que ne possédait pas Hitler. Ce qui était évident à cette époque l'est beaucoup moins aujourd'hui.
Reste Trump qui propose ses services pour une négociation de fin de conflit, il semble que le président Ukrainien qui est très lucide sur la situation cherche lui aussi une sortie à ce conflit infiniment meurtrier. Reste Poutine qui ne peut pas se permettre de perdre la face et qui risque d'exiger une petite victoire avant de remballer son matériel.
L'UE est un ensemble d'états qui coopèrent, ce n'est pas un empire armé qui cherche à s'accaparer l'Ukraine. C'est l'Ukraine qui veut rejoindre l'OTAN et l'UE, et, durant des années, l'UE a répondu non ou « pas tout de suite ». L'OTAN dit toujours non.
Par ailleurs, vous avez d'un côté des démocraties, et de l'autre une dictature.
Poutine n'exige pas « une petite victoire » (sic) mais une capitulation de l'Ukraine. Et il ne compte pas s'arrêter à l'Ukraine.
Alors, oui, maintenant, il y a un conflit entre l'UE et la Russie, car l'agressivité russe et son mépris du droit mettent en péril la sécurité de l'Europe. Mais on ne peut pas mettre « dans le même sac » les deux parties, même en concédant que c'est Poutine l'agresseur.
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Re: Trump élu : quel avenir pour l'Ukraine ?
https://www.lesechos.fr/monde/europe/gu ... g7-2132008Le retour de Donald Trump à la Maison Blanche fait douter de la pérennité du soutien des Etats-Unis à l'Ukraine. En attendant, les puissances occidentales veulent montrer qu'elles font front uni derrière Kiev. La Russie reste « l'unique obstacle à une paix juste et durable », ont réaffirmé samedi les pays du G7 dans une déclaration marquant 1.000 jours depuis l'invasion russe du territoire ukrainien.
France,
Etats-Unis,
Japon,
Canada,
Royaume-Uni,
Allemagne
et Italie ont confirmé leur « ferme soutien à l'Ukraine aussi longtemps que nécessaire ». « Nous restons solidaires pour contribuer à la lutte pour la souveraineté, la liberté, l'indépendance, l'intégrité territoriale et la reconstruction » de l'Ukraine , indique une déclaration diffusée par l'Italie qui préside le G7 cette année.
« Après 1.000 jours de guerre, nous reconnaissons l'immense souffrance subie par le peuple ukrainien. Malgré ces difficultés, les Ukrainiens ont fait preuve d'une résilience et d'une détermination sans égale pour défendre leur terre, leur culture et leur peuple », ont estimé les dirigeants du « Groupe des sept ». « Le G7 confirme son engagement à imposer des coûts élevés à la Russie à travers les sanctions, le contrôle des exportations et d'autres mesures efficaces. Nous restons unis aux côtés de l'Ukraine », ont-ils assuré.
Dans une interview diffusée ce samedi, Volodymyr Zelensky a évoqué une situation « vraiment compliquée » sur le front est, où l'armée russe progresse rapidement face à des troupes ukrainiennes moins nombreuses et moins bien armées. L'entrée dans le conflit de troupes nord-coréennes « n'aggravera pas seulement la situation en Ukraine, mais aura également des implications extrêmement significatives sur la situation sécuritaire en Asie de l'Est », a déclaré Takeshi Iwaya, le ministre japonais des Affaires étrangères, en visite à Kiev.
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Re: Trump élu : quel avenir pour l'Ukraine ?
Le président de l'Ukraine demande la fin de la guerre de manière diplomatique ..en 2025..
Un traité de PAIX ..on va y arriver ...
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Re: Trump élu : quel avenir pour l'Ukraine ?
Cépajuste a écrit : ↑16 novembre 2024 15:47Votre vision des choses est vraiment très bizarre.gare au gorille a écrit : ↑16 novembre 2024 14:54 Le RN n'a rien à voir ici. Je ne suis pas son porte parole et je me contente de donner mon avis.
Oui il y a bien un conflit entre la Russie et l'U.E. à propos de l'Ukraine, d'un coté l'U.E. qui aimerait voir entrer dans son giron l'Ukraine et de l'autre la Russie de Poutine que cela contrarie car la Russie garde un projet de reconstitution d'un grand empire Russe.
Après contrairement à vos âneries je n'ai jamais dit qu'il y avait deux responsables, il n'y a qu'un agresseur c'est Poutine, il y a simplement une succession d'évènements qui ont emmené Poutine à cette agression et particulièrement la volonté de rapprochement de l'Otan et la perte de souveraineté de l'Ukraine qui entrerait dans l'U.E. et qui briserait à jamais le grand rêve Russe de Poutine.
Sauf que Poutine a sous estimé la résistance Ukrainienne et qu'il a pensé pouvoir régler rapidement ce problème.
Après il n'y a pas à discuter, nous devons tous être du coté de l'agressé qui est l'Ukraine, reste une réalité c'est la frilosité aussi bien des pays de l'U.E que des Etats Unis face au fait de transformer ce conflit territorial en conflit mondial et nucléarisé. Poutine possède des armes de destruction que ne possédait pas Hitler. Ce qui était évident à cette époque l'est beaucoup moins aujourd'hui.
Reste Trump qui propose ses services pour une négociation de fin de conflit, il semble que le président Ukrainien qui est très lucide sur la situation cherche lui aussi une sortie à ce conflit infiniment meurtrier. Reste Poutine qui ne peut pas se permettre de perdre la face et qui risque d'exiger une petite victoire avant de remballer son matériel.
L'UE est un ensemble d'états qui coopèrent, ce n'est pas un empire armé qui cherche à s'accaparer l'Ukraine. C'est l'Ukraine qui veut rejoindre l'OTAN et l'UE, et, durant des années, l'UE a répondu non ou « pas tout de suite ». L'OTAN dit toujours non.
Par ailleurs, vous avez d'un côté des démocraties, et de l'autre une dictature.
Poutine n'exige pas « une petite victoire » (sic) mais une capitulation de l'Ukraine. Et il ne compte pas s'arrêter à l'Ukraine.
Alors, oui, maintenant, il y a un conflit entre l'UE et la Russie, car l'agressivité russe et son mépris du droit mettent en péril la sécurité de l'Europe. Mais on ne peut pas mettre « dans le même sac » les deux parties, même en concédant que c'est Poutine l'agresseur.
Il n'y a rien de bizarre dans ma vision , je n'ai qu'une vision des choses réaliste. Personne ne cherche à mettre dans le même sac l'agresseur et l'agressé, par contre on peut essayer de réfléchir un peu plus et chercher ce qui a motivé l'agression de l' Ukraine pas Poutine et à arriver à l'idée que l'Ukraine échappant au giron Russe pour entrer dans celui de l'U.E. fait partie des motivations de Poutine à envahir l'Ukraine.
Ce qui n'est en rien une manière d'approuver cette agression.
* il pleut doucement sur la ville *
* Et le poète soul engueulait l' Univers *
(Rimbaud)
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Re: Trump élu : quel avenir pour l'Ukraine ?
Bien! Gag tu poses assez bien la questiongare au gorille a écrit : ↑17 novembre 2024 00:53Cépajuste a écrit : ↑16 novembre 2024 15:47
Votre vision des choses est vraiment très bizarre.
L'UE est un ensemble d'états qui coopèrent, ce n'est pas un empire armé qui cherche à s'accaparer l'Ukraine. C'est l'Ukraine qui veut rejoindre l'OTAN et l'UE, et, durant des années, l'UE a répondu non ou « pas tout de suite ». L'OTAN dit toujours non.
Par ailleurs, vous avez d'un côté des démocraties, et de l'autre une dictature.
Poutine n'exige pas « une petite victoire » (sic) mais une capitulation de l'Ukraine. Et il ne compte pas s'arrêter à l'Ukraine.
Alors, oui, maintenant, il y a un conflit entre l'UE et la Russie, car l'agressivité russe et son mépris du droit mettent en péril la sécurité de l'Europe. Mais on ne peut pas mettre « dans le même sac » les deux parties, même en concédant que c'est Poutine l'agresseur.
Il n'y a rien de bizarre dans ma vision , je n'ai qu'une vision des choses réaliste. Personne ne cherche à mettre dans le même sac l'agresseur et l'agressé, par contre on peut essayer de réfléchir un peu plus et chercher ce qui a motivé l'agression de l' Ukraine pas Poutine et à arriver à l'idée que l'Ukraine échappant au giron Russe pour entrer dans celui de l'U.E. fait partie des motivations de Poutine à envahir l'Ukraine.
Ce qui n'est en rien une manière d'approuver cette agression.
Maintenant il te faut réfléchir et nous dire si les motivations de Poutine sont conformes... l'Ukraine échappant au giron Russe pour entrer dans celui de l'U.E. fait partie des motivations de Poutine à envahir l'Ukraine.
- au droit des peuples à l'autodétermination (Référendum de 1991)
- au droit international:
violation par Poutine du mémorandum de Budapest
infiltration du Donbass par des "milices" russes, armement des séparatistes
infiltration de la Crimée par des milices russes, prise du pouvoir de la région, référendum truqué (mais approuvé par le RN )
Et nous dire ce que tu penses des violations du droit de la guerre:
En Ukraine, la force russe d’invasion commet des crimes de guerre (Boutcha), cible délibérément des infrastructures civiles et des lieux notoirement occupés par des civils.
L’ambassadeur russe à l’ONU, Vassili Nebenzia, pour justifier le tir d’un missile balistique sur un café du village de Hroza, le 5/10/2023, qui a tué 52 civils, que des « complices néonazis » y étaient réunis pour assister aux obsèques d’un « important nationaliste ukrainien ».
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Re: Trump élu : quel avenir pour l'Ukraine ?
Je vous confirme que votre présentation est "bizarre".gare au gorille a écrit : ↑17 novembre 2024 00:53Cépajuste a écrit : ↑16 novembre 2024 15:47
Votre vision des choses est vraiment très bizarre.
L'UE est un ensemble d'états qui coopèrent, ce n'est pas un empire armé qui cherche à s'accaparer l'Ukraine. C'est l'Ukraine qui veut rejoindre l'OTAN et l'UE, et, durant des années, l'UE a répondu non ou « pas tout de suite ». L'OTAN dit toujours non.
Par ailleurs, vous avez d'un côté des démocraties, et de l'autre une dictature.
Poutine n'exige pas « une petite victoire » (sic) mais une capitulation de l'Ukraine. Et il ne compte pas s'arrêter à l'Ukraine.
Alors, oui, maintenant, il y a un conflit entre l'UE et la Russie, car l'agressivité russe et son mépris du droit mettent en péril la sécurité de l'Europe. Mais on ne peut pas mettre « dans le même sac » les deux parties, même en concédant que c'est Poutine l'agresseur.
Il n'y a rien de bizarre dans ma vision , je n'ai qu'une vision des choses réaliste. Personne ne cherche à mettre dans le même sac l'agresseur et l'agressé, par contre on peut essayer de réfléchir un peu plus et chercher ce qui a motivé l'agression de l' Ukraine pas Poutine et à arriver à l'idée que l'Ukraine échappant au giron Russe pour entrer dans celui de l'U.E. fait partie des motivations de Poutine à envahir l'Ukraine.
Ce qui n'est en rien une manière d'approuver cette agression.
En fait, on dirait qu'elle masque mal votre naturel et que de temps en temps, certaines expressions vous échappent un peu.
Comme "d'un coté l'U.E. qui aimerait voir entrer dans son giron l'Ukraine", ou "la perte de souveraineté de l'Ukraine qui entrerait dans l'U.E.".
Chassez le naturel, il revient au galop.
Toutes ces tournures de phrase tendent à exprimer l'idée qu'il y a 2 camps qui se contenteraient de défendre leurs intérêts légitimes, alors qu'il ne s'agit pas de ça et que vous-même essayez de nous expliquer qu'il ne s'agit pas de ça...
«Il n'y a rien de plus terrible qu'un pouvoir illimité dans les mains d'un être borné.» Vassyl Symonenko (1935-1963)
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Re: Trump élu : quel avenir pour l'Ukraine ?
UBUROI a écrit : ↑17 novembre 2024 08:29Bien! Gag tu poses assez bien la questiongare au gorille a écrit : ↑17 novembre 2024 00:53
Il n'y a rien de bizarre dans ma vision , je n'ai qu'une vision des choses réaliste. Personne ne cherche à mettre dans le même sac l'agresseur et l'agressé, par contre on peut essayer de réfléchir un peu plus et chercher ce qui a motivé l'agression de l' Ukraine pas Poutine et à arriver à l'idée que l'Ukraine échappant au giron Russe pour entrer dans celui de l'U.E. fait partie des motivations de Poutine à envahir l'Ukraine.
Ce qui n'est en rien une manière d'approuver cette agression.Maintenant il te faut réfléchir et nous dire si les motivations de Poutine sont conformes... l'Ukraine échappant au giron Russe pour entrer dans celui de l'U.E. fait partie des motivations de Poutine à envahir l'Ukraine.
- au droit des peuples à l'autodétermination (Référendum de 1991)
- au droit international:
violation par Poutine du mémorandum de Budapest
infiltration du Donbass par des "milices" russes, armement des séparatistes
infiltration de la Crimée par des milices russes, prise du pouvoir de la région, référendum truqué (mais approuvé par le RN )
Et nous dire ce que tu penses des violations du droit de la guerre:
En Ukraine, la force russe d’invasion commet des crimes de guerre (Boutcha), cible délibérément des infrastructures civiles et des lieux notoirement occupés par des civils.
L’ambassadeur russe à l’ONU, Vassili Nebenzia, pour justifier le tir d’un missile balistique sur un café du village de Hroza, le 5/10/2023, qui a tué 52 civils, que des « complices néonazis » y étaient réunis pour assister aux obsèques d’un « important nationaliste ukrainien ».
Ben il n'y a même pas à discuter, l'invasion de l'Ukraine est à condamner et je ne connais personne qui ne condamne pas cette agression militaire et tous les crimes qui peuvent aller avec. Poutine se conduit comme un pirate qui veut se saisir de l'Ukraine qu'il a senti échapper au giron Russe pour tomber dans le giron de l'U.E. Par contre je pense qu'il comptait sur la partie russophile de l'Ukraine et que tout serait réglé en quelques jours. Il n'avait pas envisagé la forte résistance ukrainienne.
Aujourd'hui il ne peut plus trop faire marche arrière sans perdre la face auprès des siens et le problème est que les Ukrainiens resteront bien seuls pour contrer éternellement l'avancée Russe. Encore une fois, ni les pays de l'U.E. ni les ricains n'ont envie de transformer ce conflit territorial en conflit mondial et nucléarisé.
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