Je me suis posé la question ..
Comment est-ce possible ?
Comment ce type ,père de famille, a t'il put concevoir une telle saloperie ..
Je n'arrive pas a l'imaginer ...
Il faut lui couper les couilles ..et sans anesthésie
La tolérance c'est quand on connait des cons- et qu'on ne dit pas les noms
mic43121 a écrit : ↑19 novembre 2024 20:49
Je me suis posé la question ..
Comment est-ce possible ?
Comment ce type ,père de famille, a t'il put concevoir une telle saloperie ..
Je n'arrive pas a l'imaginer ...
Il faut lui couper les couilles ..et sans anesthésie
C' est digne d' un film d' horreur.....
La seule chose qui permet au mal de triompher est l inaction des hommes de bien.
Edmund Burke.
Quand aux débiles qui on payé pour baiser une femme inerte d'un certain âge ,est-ce imaginable ???
Il y a des prostitués belles ,jeunes, dont le boulot consiste a satisfaire les hommes qui n'ont pas d'autres solutions ...
Pervert .. le seul mot qui convient à ces débiles ..
La tolérance c'est quand on connait des cons- et qu'on ne dit pas les noms
mic43121 a écrit : ↑19 novembre 2024 20:49
Je me suis posé la question ..
Comment est-ce possible ?
Comment ce type ,père de famille, a t'il put concevoir une telle saloperie ..
Je n'arrive pas a l'imaginer ...
Il faut lui couper les couilles ..et sans anesthésie
ce n'est pas en se comportant comme une bête, c'est à dire comme son mari, que Gisèle Pélicot va récupérer son honneur.
mic43121 a écrit : ↑19 novembre 2024 20:49
Je me suis posé la question ..
Comment est-ce possible ?
Comment ce type ,père de famille, a t'il put concevoir une telle saloperie ..
Je n'arrive pas a l'imaginer ...
Il faut lui couper les couilles ..et sans anesthésie
ce n'est pas en se comportant comme une bête, c'est à dire comme son mari, que Gisèle Pélicot va récupérer son honneur.
jeandu53 a écrit : ↑20 novembre 2024 16:25
Vous dites qu'elle doit récupérer son honneur. Or on ne peut récupérer que ce qu'on a perdu. Aurait-elle donc perdu son honneur ?
Pour moi, c'est une victime, elle n'a perdu aucun honneur, elle n'a donc aucun honneur à récupérer.
je me suis probablement mal exprimé, mais vous avez bien compris ce que je voulais dire.
mic43121 a écrit : ↑19 novembre 2024 20:49
Je me suis posé la question ..
Comment est-ce possible ?
Comment ce type ,père de famille, a t'il put concevoir une telle saloperie ..
Je n'arrive pas a l'imaginer ...
Il faut lui couper les couilles ..et sans anesthésie
Le mec est un obsédé sexuel, il a du en faire voir de toutes les couleurs à sa femme avant de la livrer à d'autres hommes.
La question qui se pose est comment cette femme a pu rester aussi longtemps avec un connard de cet acabit...pognon, situation ou impossibilité de s'échapper. C'est plutôt là où il faut creuser.
Ceci dit, je ne la blâme pas.
mic43121 a écrit : ↑19 novembre 2024 20:49
Je me suis posé la question ..
Comment est-ce possible ?
Comment ce type ,père de famille, a t'il put concevoir une telle saloperie ..
Je n'arrive pas a l'imaginer ...
Il faut lui couper les couilles ..et sans anesthésie
Le mec est un obsédé sexuel, il a du en faire voir de toutes les couleurs à sa femme avant de la livrer à d'autres hommes.
La question qui se pose est comment cette femme a pu rester aussi longtemps avec un connard de cet acabit...pognon, situation ou impossibilité de s'échapper. C'est plutôt là où il faut creuser.
Ceci dit, je ne la blâme pas.
C'est bien simple, la journée, le mari se comportait comme un être aimant et aux petits soins pour sa femme et le soir il la droguait pour la livrer ensuite à ses tortionnaires. Sa femmes, au vu de la faiblesse provoquée par les médicaments, se pensait malade et avait consulté des médecins sans que ces derniers aient pu trouvé un quelconque mal, normal, il n'y en avait pas.
Madame Pelicot n'a jamais soupçonné son mari car elle avait confiance en lui. Mme Pelicot, abrutie par les antidépresseurs, dormait profondément et donc inconsciente. Elle n'était plus maître de son corps, et ne gardait aucun souvenir à son réveil.
"La valeur ne dépend pas de la religion, mais de l'amour qui nous fait considérer l'autre comme un frère ou une sœur"
Sœur Emmanuelle
"Notre vraie nationalité est l'Humanité" Herbert Georges Wells
Mickey a écrit : ↑20 novembre 2024 16:58
Le mec est un obsédé sexuel, il a du en faire voir de toutes les couleurs à sa femme avant de la livrer à d'autres hommes.
La question qui se pose est comment cette femme a pu rester aussi longtemps avec un connard de cet acabit...pognon, situation ou impossibilité de s'échapper. C'est plutôt là où il faut creuser.
Ceci dit, je ne la blâme pas.
C'est bien simple, la journée, le mari se comportait comme un être aimant et aux petits soins pour sa femme et le soir il la droguait pour la livrer ensuite à ses tortionnaires. Sa femmes, au vu de la faiblesse provoquée par les médicaments, se pensait malade et avait consulté des médecins sans que ces derniers aient pu trouvé un quelconque mal, normal, il n'y en avait pas.
Madame Pelicot n'a jamais soupçonné son mari car elle avait confiance en lui. Mme Pelicot, abrutie par les antidépresseurs, dormait profondément et donc inconsciente. Elle n'était plus maître de son corps, et ne gardait aucun souvenir à son réveil.
J'ai lu que sur les 200 viols quelle a subit, une partie était le fait de son mari ..
Vrai / Faux ? si c'est vrai c'est qu'il est VRAIMENT dérangé
La tolérance c'est quand on connait des cons- et qu'on ne dit pas les noms
Mickey a écrit : ↑20 novembre 2024 16:58
Le mec est un obsédé sexuel, il a du en faire voir de toutes les couleurs à sa femme avant de la livrer à d'autres hommes.
La question qui se pose est comment cette femme a pu rester aussi longtemps avec un connard de cet acabit...pognon, situation ou impossibilité de s'échapper. C'est plutôt là où il faut creuser.
Ceci dit, je ne la blâme pas.
C'est bien simple, la journée, le mari se comportait comme un être aimant et aux petits soins pour sa femme et le soir il la droguait pour la livrer ensuite à ses tortionnaires. Sa femmes, au vu de la faiblesse provoquée par les médicaments, se pensait malade et avait consulté des médecins sans que ces derniers aient pu trouvé un quelconque mal, normal, il n'y en avait pas.
Madame Pelicot n'a jamais soupçonné son mari car elle avait confiance en lui. Mme Pelicot, abrutie par les antidépresseurs, dormait profondément et donc inconsciente. Elle n'était plus maître de son corps, et ne gardait aucun souvenir à son réveil.
Mais comment pouvait il droguer sa femme pdt 10 ans ?
Comment se procurait il les médocs ?
Enfin bref cette histoire est hallucinante.
La seule chose qui permet au mal de triompher est l inaction des hommes de bien.
Edmund Burke.
C'est bien simple, la journée, le mari se comportait comme un être aimant et aux petits soins pour sa femme et le soir il la droguait pour la livrer ensuite à ses tortionnaires. Sa femmes, au vu de la faiblesse provoquée par les médicaments, se pensait malade et avait consulté des médecins sans que ces derniers aient pu trouvé un quelconque mal, normal, il n'y en avait pas.
Madame Pelicot n'a jamais soupçonné son mari car elle avait confiance en lui. Mme Pelicot, abrutie par les antidépresseurs, dormait profondément et donc inconsciente. Elle n'était plus maître de son corps, et ne gardait aucun souvenir à son réveil.
Mais comment pouvait il droguer sa femme pdt 10 ans ?
Comment se procurait il les médocs ?
Enfin bref cette histoire est hallucinante.
Pas hallucinante , juste médiatisée avec une approche un peu .......binaire et ce avec l’accord des parties et pour certainement une cause louable