Ce qui compte, c'est le prix payé. Entre un prix théorique de 50 centimes sans promotion, et un prix théorique de 1 € avec 50% de promotion, le prix réellement payé sera la même : 50 centimes. Le reste n'est qu'une question de présentation. D'ailleurs, on sait qu'il y a des commerçants qui gonflent leurs prix pour ensuite afficher des promotions importantes...Kelenner a écrit : ↑20 novembre 2024 16:48Celle-ci je la retiens, la prochaine fois que j’irai chez le boulanger je lui ressortirai l’argument « Tiens, je te donne 50 centimes pour ta baguette à un euro mais rassure-toi, c’est juste un EFFET D’OPTIQUE, ça ne te coûte rien en vrai ! » Je suis sûr qu’il comprendra.jeandu53 a écrit : ↑20 novembre 2024 13:42 Ce que vous ne comprenez pas, les uns et les autres, c'est que les allègements de charges n'ont aucun coût financier.
Idem pour les niches fiscales : elles n'ont aucun coût financier non plus.
C'est juste un effet d'optique qui nous pousse à croire que les allègements de charges ou les niches fiscales ont un coût financier.
Le président du MEDEF Patrick Martin relance le débat sur la TVA sociale
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Re: Le président du MEDEF Patrick Martin relance le débat sur la TVA sociale
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Re: Le président du MEDEF Patrick Martin relance le débat sur la TVA sociale
La « pression fiscale « ça ne veut rien dire. On ne peut pas raisonner comme si chaque contribuable, ou chaque entreprise, participait de façon équivalente. Il y a des gens et des sociétés qui payent trop, et d’autres qui ne payent pas assez, c’est tout. Il faut regarder précisément chaque niche, chaque allégement, chaque crédit d’impôt et déterminer s’il est pertinent ou pas. Certains sont nécessaires, beaucoup ne le sont pas, mais évidemment ceux qui en bénéficient y tiennent, c’est humain. C’est la répartition de l’effort qui est la véritable question, pas un taux global qui ne signifie rien.
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Re: Le président du MEDEF Patrick Martin relance le débat sur la TVA sociale
Vous ne pouvez pas dire que la pression fiscale ça ne veut rien dire. Entre autres l'IS et le coût salarial complet.Kelenner a écrit : ↑20 novembre 2024 17:16 La « pression fiscale « ça ne veut rien dire. On ne peut pas raisonner comme si chaque contribuable, ou chaque entreprise, participait de façon équivalente. Il y a des gens et des sociétés qui payent trop, et d’autres qui ne payent pas assez, c’est tout. Il faut regarder précisément chaque niche, chaque allégement, chaque crédit d’impôt et déterminer s’il est pertinent ou pas. Certains sont nécessaires, beaucoup ne le sont pas, mais évidemment ceux qui en bénéficient y tiennent, c’est humain. C’est la répartition de l’effort qui est la véritable question, pas un taux global qui ne signifie rien.
Demandez vous ce qui retient des investisseurs étrangers d'investir en France et ce qui pousse les investisseurs français à investir ailleurs.
Qu'il faille faire l'examen de chaque niche, de chaque exonération, etc.. vous avez raison.
Un taux global reste un indicateur comparatif avec les autres pays.
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Re: Le président du MEDEF Patrick Martin relance le débat sur la TVA sociale
La théorie voudrait que la TVA sociale n'augmente pas les prix des produits fabriqués en France.jeandu53 a écrit : ↑17 novembre 2024 20:25 En effet :
Le patron du Medef favorable à une TVA sociale
La TVA sociale est évidemment nécessaire. Ce serait une bonne mesure pour notre économie. Malheureusement, elle est impopulaire, car les Français n'y connaissent rien en économie. Elle a donc peu de chances de voir le jour, et c'est bien dommage.
Mais ça veut dire que tous les autres produits, y compris les produits fabriqués en Europe (et du coup ça fait beaucoup...) vont voir leur prix augmenter...
Et même sur les produits de France, ça suppose que les entreprises françaises jouent le jeu de baisser le prix en échange d'une réduction de leurs charges, ce qui est un facteur un peu hasardeux...
«Il n'y a rien de plus terrible qu'un pouvoir illimité dans les mains d'un être borné.» Vassyl Symonenko (1935-1963)