La Haute Autorité de Santé souhaite rendre gratuite la transition de genre à partir de 16 ans

[Mesoke]

Dans ce cas il faut agir pour rembourser ces médicaments essentiels, viser une égalité par le haut plutôt que par le bas.

[da capo]

née dans le corps d'une fille mais se sentant garçon à 100%.

C'est pas une définition, mais un slogan.
Il serait plus correct de dire simplement qu'elle voudrait changer de sexe, son corps féminin n'étant pas une enveloppe amovible dans laquelle on l'aurait glissée à son insu.

Je précise que je ne suis pas opposé au changement de genre ou de sexe par principe, (ces deux notions que certains voudraient dissocier en vain).
Mais uniquement dans la mesure où il n'est pas le fait d'endoctrinement ou de psychopathologies non-diagnostiquées sur des personnes très jeunes et exposées.
Hélas, ce constat décrit le cas de la plupart des demandes de détransition de la part d'individus psychologiquement éprouvés et physiquement détruits. Ne les oublions pas.

[Mesoke]

C'est du pipeau, tout ça.

Le pire, c'est que les activistes trans colportent des stéréotypes de genre que les féministes ont combattus. A un garçon attiré par les autres garçons et/ou qui fait de la danse, ils vont dire qu'il est né avec le mauvais sexe, qu'il est en réalité une fille. A une fille qui joue au foot, ils vont dire qu'elle est née avec le mauvais sexe, qu'elle est en réalité un garçon. Et c'est criminel, parce qu'à la fin, il y a des mutilations irréversibles.

Si ces jeunes sont mal dans leur peau, se posent des questions sur leur orientation (chose assez classique à leur âge), il faut les aider à accepter ce qu'ils sont, pas à changer la réalité. "Mon fils, même si tu aimes les garçons, même si tu fais de la danse, ça n'est pas grave, tu restes mon fils, je t'aime comme tu es" : c'est ça qu'il faut leur dire, mais certainement pas leur monter le bourrichon en leur faisant croire qu'ils sont "assignés au mauvais genre" (car ce faisant, on ne fait que renforcer leur mal-être, et on les pousse à accepter des mutilations irréversibles).

En tout étant de cause, ce n'est pas parce qu'un homme se sent femme qu'il est forcément une femme. Et ce n'est pas parce que Christine and the Queens dit qu'elle est un homme qu'elle est vraiment un homme. Je réfute l'argument selon lequel chacun est le mieux placé pour savoir ce qu'il est réellement. Moi, je suis un homo-sapiens doté d'un caryotype XY, donc de sexe masculin. Et même si un jour, je me sens femme, ou table, ou chien, ou héron, je serai toujours un homo-sapiens doté d'un caryotype XY, donc de sexe masculin.

Encore une fois ce ne sont pas les activistes qui décident de quoi que ce soit. Ce sont des jeunes humains qui se sentent plutôt d'un genre différent de leur sexe, accompagnés par des professionnels de santé.

Et on ne parle pas là de biologie, mais de psychologie. Oui physiquement, biologiquement, une personne transgenre restera une personne avec un ADN donné. Mais celui-ci peut être différent de la perception que ces personnes ont de leur genre. Que ça te plaise ou pas c'est bien une réalité.

[jeandu53]

Non, ils ne se sentent pas d'un genre différent. C'est ce que les activistes trans veulent leu faire croire pour les pousser à entamer des protocoles de transition. Mais c'est faux. Ils sont simplement mal dans leur peau. Et on les aidera en faisant en sorte qu'ils s'acceptent tels qu'ils sont, pas en les poussant à se mutiler.

[Fonck1]

Je me demande bien pourquoi quelques petites dizaines au niveau national, de cas interpellent nos plus récalcitrants conservateurs, alors que ça ne les regarde même pas.
Vraiment, arrêtez de vous mêler de tout, et surtout de ce qui ne vous regarde pas.
la transition de genre est de toute manière très accompagnée au niveau psychologique, on opère pas des gens de manière aussi lourde juste pour prendre un contrat de plus, pour preuve, un copain a fait couper son estomac pour maigrir, ça a duré des années avant qu'ils acceptent de le faire.
je pense que c'est même pire pour ce type d'opération.

[Fonck1]

Non, ils ne se sentent pas d'un genre différent. C'est ce que les activistes trans veulent leu faire croire pour les pousser à entamer des protocoles de transition. Mais c'est faux. Ils sont simplement mal dans leur peau. Et on les aidera en faisant en sorte qu'ils s'acceptent tels qu'ils sont, pas en les poussant à se mutiler.

c'est qui, les activistes "trans"?

[Mesoke]

Non, ils ne se sentent pas d'un genre différent. C'est ce que les activistes trans veulent leu faire croire pour les pousser à entamer des protocoles de transition. Mais c'est faux. Ils sont simplement mal dans leur peau. Et on les aidera en faisant en sorte qu'ils s'acceptent tels qu'ils sont, pas en les poussant à se mutiler.

Non, c'est ce que les personnes souffrant de dysphorie de genre ressentent elles-mêmes, sans aide extérieure. Faut arrêter d'inventer des lobby LGBT qui auraient pour but de créer des transgenres pour on ne sait quelle raison, ou alors il faudrait un minimum étayer cette invention.

Et en effet on aidera les personnes souffrant de dysphorie de genre en faisant en sorte qu'elles s'acceptent telles qu'elles sont, à savoir des personnes se ressentant d'un genre différent de leur sexe biologique.

[Patchouli38]

Avez-vous été confronté à ce type de situation ? J'en doute.
J'ai connu une amie (a déménagé depuis) de ma fille, née dans le corps d'une fille mais se sentant garçon à 100%. Je l'ai accueilli souvent chez moi, pour dormir car mal dans sa peau. Elle avait peur d'avouer sa transition à sa mère et à son beau-père. Ce dernier a des valeurs assez réactionnaires. Elle a finit par leur en parler : sa mère l'avait bien pris car elle se doutait de quelque chose, par contre, son beau-père, même s'il ne lui a rien dit, la considérait comme une fille et non un garçon. Elle s'était choisie un nom de garçon et était heureuse quand on la nommait du prénom choisi. Elle avait 16 ans à cette époque. Elle n'a jamais changé d'avis.

Pour un jeune se sentant comme un individu d'un autre sexe doit tout d'abord avoir un suivi psychologique. Simplement pour savoir s'il ou elle est tout simplement en recherche de son identité, en construction.
S'il estime que le jeune adulte reste ferme dans sa demande de changement d'identité, alors je ne vois pas pourquoi on devrait lui interdire tout changement de sexe.
Sa vie et ses choix lui appartiennent, à nous de les respecter.

Oui oui . Même en cheval si ça lui va, mais ce n'est pas à la société de payer quand on voit le taux de deremboursement des médicaments essentiels.

Rassurez-vous, le changement de sexe d'un jeune de 16 ans coûtera toujours moins cher à la sécurité sociale que les fraudes à grande échelle effectuées par des médecins, des infirmiers, des pharmacies, etc. Avant de vous attaquer injustement à la souffrance de quelques-uns, occupez-vous d'abord de tous ses millions détournés par d'autres.

[scorpion3917]

Oui oui . Même en cheval si ça lui va, mais ce n'est pas à la société de payer quand on voit le taux de deremboursement des médicaments essentiels.

Rassurez-vous, le changement de sexe d'un jeune de 16 ans coûtera toujours moins cher à la sécurité sociale que les fraudes à grande échelle effectuées par des médecins, des infirmiers, des pharmacies, etc. Avant de vous attaquer injustement à la souffrance de quelques-uns, occupez-vous d'abord de tous ses millions détournés par d'autres.

Nous voilà en plein dans l'idéologie work.
Y paraît que c'est tendance en ce moment......
Faut être dans le vent.

Nous les vieux cons, ben c'est sûr, on a rien compris.

Moi ce que je vois c'est destructuration de la famille, de l'individu, des valeurs morales qui tiennent les sociétés.
Idéologie mortifére prônée par une minorité délirante et dangereuse.

[Mesoke]

En quoi changer de genre déstructurerait la famille ou les individus ? C'est juste un choix perso de gens dont la seule différence avec le français moyen est qu'ils se ressentent comme ayant un genre différent de leur genre biologique. Mais ça ne les empêche en rien d'avoir une famille.

Le problème des transgenres, tout comme celui des homosexuels, des handicapés ou des autistes par exemple ne vient pas de ces personnes. Elle vient de la vision d'une partie de la société à leur encontre, qui les juge comme étant inaptes car différents. Mais en soi ni un transgenre, ni un homosexuel, ni un handicapé, ni un autiste ne sont des menaces pour la société ou pour les valeurs morales Humanistes de la société.

C'est sûr que si par "valeur morale" tu ne prends en compte que des valeurs morales religieuses réactionnaires, tous ces gens vont te choquer. Mais je ne pense pas que ce soit ton cas.

[jeandu53]

Je me demande bien pourquoi quelques petites dizaines au niveau national, de cas interpellent nos plus récalcitrants conservateurs, alors que ça ne les regarde même pas.
Vraiment, arrêtez de vous mêler de tout, et surtout de ce qui ne vous regarde pas.
la transition de genre est de toute manière très accompagnée au niveau psychologique, on opère pas des gens de manière aussi lourde juste pour prendre un contrat de plus, pour preuve, un copain a fait couper son estomac pour maigrir, ça a duré des années avant qu'ils acceptent de le faire.
je pense que c'est même pire pour ce type d'opération.

Comment ça, ça ne me regarde pas ?

Je suis père de famille. Mon fils est encore assez jeune aujourd'hui pour se poser de telles questions. Mais je n'ai pas envie que, dans quelques années, à l'adolescence, s'il est mal dans sa peau, s'il doute de son orientation, que quelqu'un (un prof, un intervenant LGBT à l'école) vienne lui mettre dans la tête qu'en réalité, il est une fille, et qu'il doit donc se mutiler pour être heureux, alors qu'en vérité, il aura simplement besoin d'être rassuré, qu'on lui dise qu'on l'aime.

En tant que père de famille, c'est mon droit le plus légitime de me soucier de ce genre de choses, et je pense que tous les parents sont dans le même cas que moi.

[jeandu53]

Non, ils ne se sentent pas d'un genre différent. C'est ce que les activistes trans veulent leu faire croire pour les pousser à entamer des protocoles de transition. Mais c'est faux. Ils sont simplement mal dans leur peau. Et on les aidera en faisant en sorte qu'ils s'acceptent tels qu'ils sont, pas en les poussant à se mutiler.

Non, c'est ce que les personnes souffrant de dysphorie de genre ressentent elles-mêmes, sans aide extérieure. Faut arrêter d'inventer des lobby LGBT qui auraient pour but de créer des transgenres pour on ne sait quelle raison, ou alors il faudrait un minimum étayer cette invention.

Et en effet on aidera les personnes souffrant de dysphorie de genre en faisant en sorte qu'elles s'acceptent telles qu'elles sont, à savoir des personnes se ressentant d'un genre différent de leur sexe biologique.

Mais ce n'est pas vrai, elle ne le ressentent pas elles-mêmes !

Il y a une augmentation des cas depuis quelques années, constatée par des spécialistes :

Transidentité : deux spécialistes de l’enfance alertent sur l’augmentation des « dysphories de genre »

Donc il y a une mode !

Et s'il y a une mode, c'est bien parce qu'il se trouve des gens pour mettre dans la tête de ces pauvres gamins simplement mal dans leur peau qu'en réalité, ils doivent se mutiler pour être heureux !

[Fonck1]

Je me demande bien pourquoi quelques petites dizaines au niveau national, de cas interpellent nos plus récalcitrants conservateurs, alors que ça ne les regarde même pas.
Vraiment, arrêtez de vous mêler de tout, et surtout de ce qui ne vous regarde pas.
la transition de genre est de toute manière très accompagnée au niveau psychologique, on opère pas des gens de manière aussi lourde juste pour prendre un contrat de plus, pour preuve, un copain a fait couper son estomac pour maigrir, ça a duré des années avant qu'ils acceptent de le faire.
je pense que c'est même pire pour ce type d'opération.

Comment ça, ça ne me regarde pas ?

Je suis père de famille. Mon fils est encore assez jeune aujourd'hui pour se poser de telles questions. Mais je n'ai pas envie que, dans quelques années, à l'adolescence, s'il est mal dans sa peau, s'il doute de son orientation, que quelqu'un (un prof, un intervenant LGBT à l'école) vienne lui mettre dans la tête qu'en réalité, il est une fille, et qu'il doit donc se mutiler pour être heureux, alors qu'en vérité, il aura simplement besoin d'être rassuré, qu'on lui dise qu'on l'aime.

En tant que père de famille, c'est mon droit le plus légitime de me soucier de ce genre de choses, et je pense que tous les parents sont dans le même cas que moi.

vous avez peur.
la peur n'évite pas le danger.

maintenant je vais vous dire un truc, ça n'évitera pas que si votre fils a envie de changer de sexe parce que c'est ce qu'il sent au plus profond de lui, il le fera envers et CONTRE VOUS.

si vous pensez qu'il est trop faible psychologiquement pour sous peser cette question et qu'il se laisse influencer, c'est que vous l'avez mal éduqué, mais soyez sympa, ,ne rejetez pas cette faute sur les autres.

il n'y a pas d'intervenants LGBT dans les écoles.
il y a de circulaires nationales - et de la prévention.
oui, ON PRÉVIENT, avant que le pire arrive (suicide).



et ce sujet est en parti un facteur aggravant, qui doit être pris en charge.

[Mesoke]

Comment ça, ça ne me regarde pas ?

Je suis père de famille. Mon fils est encore assez jeune aujourd'hui pour se poser de telles questions. Mais je n'ai pas envie que, dans quelques années, à l'adolescence, s'il est mal dans sa peau, s'il doute de son orientation, que quelqu'un (un prof, un intervenant LGBT à l'école) vienne lui mettre dans la tête qu'en réalité, il est une fille, et qu'il doit donc se mutiler pour être heureux, alors qu'en vérité, il aura simplement besoin d'être rassuré, qu'on lui dise qu'on l'aime.

En tant que père de famille, c'est mon droit le plus légitime de me soucier de ce genre de choses, et je pense que tous les parents sont dans le même cas que moi.

Mais sérieux tu vis dans quel monde ? Il n'y a pas d'intervenant LGBT dans les école, et les profs ne sont pas compétents sur ces sujets.

Si ton mioche se pose des questions sur son genre ou son orientation sexuelle, alors accueille le avec bienveillance au lieu de le considérer comme un monstre perverti par les méchants lobbys LGBT, et amène le voir un professionnel de santé si tu ne peux pas répondre à ses questions. C'est ce que font les gens dans la vraie vie.

[Fonck1]

Comment ça, ça ne me regarde pas ?

Je suis père de famille. Mon fils est encore assez jeune aujourd'hui pour se poser de telles questions. Mais je n'ai pas envie que, dans quelques années, à l'adolescence, s'il est mal dans sa peau, s'il doute de son orientation, que quelqu'un (un prof, un intervenant LGBT à l'école) vienne lui mettre dans la tête qu'en réalité, il est une fille, et qu'il doit donc se mutiler pour être heureux, alors qu'en vérité, il aura simplement besoin d'être rassuré, qu'on lui dise qu'on l'aime.

En tant que père de famille, c'est mon droit le plus légitime de me soucier de ce genre de choses, et je pense que tous les parents sont dans le même cas que moi.

Mais sérieux tu vis dans quel monde ? Il n'y a pas d'intervenant LGBT dans les école, et les profs ne sont pas compétents sur ces sujets.

Si ton mioche se pose des questions sur son genre ou son orientation sexuelle, alors accueille le avec bienveillance au lieu de le considérer comme un monstre perverti par les méchants lobbys LGBT, et amène le voir un professionnel de santé si tu ne peux pas répondre à ses questions. C'est ce que font les gens dans la vraie vie.

moi ça me fait halluciner, on se croirait encore au temps des croisades dès fois....