Le nouveau gouvernement Bayrou...

[LeGrandNoir]

Ce que je veux dire c'est qu'il faut lire tout.
Commencez par comparer produits d'exploitation, 87,5 et charges d'exploitation, 89,2 et vous tombez sur une perte d'exploitation.
Ensuite vous regardez le total des produits, 327, et le total des charges, 297.
Là le bénéfice devient 30 millions, ce qui n'a rien d'énorme, mais pas avant. D'autant que l'essentiel de ce montant est lié aux charges et produits financiers en particulier les produits de participation.
Il serait intéressant d'ailleurs d'avoir le bilan et pas seulement le compte de résultat.

Effectivement, vous avez raison. Mais le secteur du transport a été très impacté par la crise énergétique.

Cette déclaration aurait un sens si Transdev avait fait précédemment de grands résultats. Ce n'était pas le cas, l'ancien Transdev a fusionné avec Veolia Transports en 2011. Les 2 boites étaient en très mauvais état, et la CDC a été invitée à renationaliser des dettes et des pertes. En 2016, la CDC a nommé le sieur Thierry Mallet qui a renouvelé l'équipe de management, et il s'avère être un grand dirigeant, en fin de carrière hélas. Mais les résultats ... c'est dur de gagner de l'argent en faisant rouler des bus, des cars, des trams avec le lot de grèves habituels, les municipalités qui paient au lance-pierre, et les ziwas qui brûlent les dépôts et dégradent tout. Ajoutez-y en effet la hausse des carburants et de l'ensemble de la mécanique ces dernières années, et la boite fait < 0,3% de résultat net ce qui est moins du dixième de ce qu'on demande à une société cotée en bourse. Amen.

[UBUROI]

Qui restera dans les annales de ce gouvernement? A part Rachida...

Ben, on n'en parle pas beaucoup dans ce sujet, mais après avoir constaté la médiocrité du personnel politique depuis l'élection de 2020 pour envisager de prétendre au poste de PDR de la France en 2027, je m'étais intéressé à Thierry Breton et à son profil professionnel et politique; intéressant le commissaire démissionné! Très bon même.
Et depuis la chute de Barnier, et la démission de B.Le Maire, son successeur à ce ministère élargi prend toute la lumière même si Retailleau fait de l'agitation pour exister.
Eric LOMBARD, un banquier comme les Lombards Banquier privé mais aussi banquier public, à la tête de la CDC.

Bel avenir, j'en fais ici le pari!

https://www.lemonde.fr/economie/article ... _3234.html

Le visage de cet homme discret de 66 ans, diplômé de HEC, qui a fait l’essentiel de sa carrière dans la finance, va pourtant rapidement s’imposer aux Français. Numéro sept dans l’ordre hiérarchique du gouvernement, M. Lombard hérite du dossier le plus explosif : le budget. Celui qui a fait tomber l’ancien premier ministre Michel Barnier, le 4 décembre, après le vote d’une motion de censure et qui déterminera la durée de vie du gouvernement Bayrou.

Si son seul mandat électoral se résume à un siège de conseiller municipal à Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne), entre 1995 et 2001, M. Lombard est un fin connaisseur des circuits ministériels et l’ancien banquier cachait de moins en moins son envie de s’engager. « Je ne dirais pas non, mais je cherche plus l’action que la visibilité », avouait-il aux Echos, en avril 2022. Son nom avait même circulé l’été dernier lorsque Emmanuel Macron cherchait un premier ministre après la dissolution.

Goût pour la concertation
Après sept années passées à la CDC à financer le logement social, les entreprises et les collectivités locales, ce grand ministère de Bercy ressemble donc à une consécration pour cet ancien de HEC, petit-fils de Pierre et Denise Lévy, anciens propriétaires du groupe de textile troyen Devanlay, le fabricant du polo Lacoste.

Son parcours atypique, Eric Lombard l’a raconté dans un livre, Au cœur de la finance utile, à quoi sert votre épargne, paru en février 2022 (L’Observatoire), une profession de foi visant, aux yeux des observateurs, à préparer une future ascension ministérielle. Il y dévoile son engagement politique auprès de Michel Rocard – « être de gauche a toujours été une évidence » –, son goût pour la concertation – « la recherche de dialogue n’est pas contradictoire avec l’ambition réformatrice, bien au contraire ». Et son expérience au ministère des finances, où il fut conseiller au cabinet de Michel Sapin de 1992 à 1993 : avec lui, « [il] [a] appris comment un ministre devait être le chef de son administration ».

Dans ces pages, l’ancien trésorier des Gracques, ce cercle de réflexion lancé en 2007 pour contribuer à la « modernisation de la social-démocratie », relate d’ailleurs comment ce petit groupe naissant avait tenté de jeter des ponts entre François Bayrou et Ségolène Royal, afin de défaire Nicolas Sarkozy : une initiative que la candidate du Parti socialiste avait d’abord peu goûtée, les traitant d’« ultralibéraux ».

Même s’il est l’héritier d’une famille de riches industriels, M. Lombard ne se définit pas comme « libéral ». Il a bien fait l’essentiel de sa carrière dans le saint des saints du capitalisme, la finance – banquier d’affaires chez Paribas à sa sortie de Bercy, puis patron de BNP Paribas Assurances, avant de partir, en 2013, pour diriger Generali France – mais il dit prôner un « capitalisme plus responsable ». « J’ai aujourd’hui la conviction que le capitalisme est déréglé, parce que le taux de rendement demandé par les actionnaires est trop élevé », disait-il au Monde, en février 2022.

« Je sais la difficulté de la tâche »
Sans être le premier choix d’Emmanuel Macron, ce non-énarque avait finalement décroché, en décembre 2017, la direction générale de la CDC, poste qui l’a propulsé en première ligne face aux enjeux de financement du logement, de la retraite ou des infrastructures. Un profil rassurant pour le monde économique, les élus locaux et les investisseurs au moment où la France va devoir emprunter 300 milliards d’euros en 2025. Un record.

« Je sais la difficulté de la tâche », a reconnu M. Lombard, le 23 décembre, à Bercy, en fin de soirée, lors de la cérémonie de passation des pouvoirs avec son prédécesseur, Antoine Armand. Comment le projet de budget 2025, qu’il élaborera avec la macroniste Amélie de Montchalin, nommée aux comptes publics, pourra-t-il « traiter notre mal endémique, le déficit et ses conséquences sur la dette » (3 303 milliards d’euros à la fin du troisième trimestre) sans « tuer la croissance » ?, se demande le nouveau locataire de Bercy. « Il faut trouver un équilibre, qui ne cible pas les entreprises, ceux qui investissent », a prévenu M. Bayrou, interrogé sur BFM-TV après l’annonce de la composition de son gouvernement.

Si le précédent gouvernement a sauté sur cette mine budgétaire, M. Lombard veut y croire. Il dit vouloir mettre en œuvre une « méthode qu’il éprouve depuis des années : l’écoute, le dialogue et la recherche de solutions partagées ». Il se souvient aussi que, lorsqu’il conseillait Michel Sapin, le gouvernement de Pierre Bérégovoy n’avait qu’une majorité relative au Parlement, ce qui ne l’avait pas empêché de « faire voter des lois » : « C’est un exemple qui peut nous inspirer. » Il oublie de rappeler qu’en 1993 le budget n’était passé que grâce à l’application de l’article 49.3 de la Constitution. Celui-là même qui a fait chuter Michel Barnier.

[vivarais]

Qui restera dans les annales de ce gouvernement? A part Rachida...

Ben, on n'en parle pas beaucoup dans ce sujet, mais après avoir constaté la médiocrité du personnel politique depuis l'élection de 2020 pour envisager de prétendre au poste de PDR de la France en 2027, je m'étais intéressé à Thierry Breton et à son profil professionnel et politique; intéressant le commissaire démissionné! Très bon même.
Et depuis la chute de Barnier, et la démission de B.Le Maire, son successeur à ce ministère élargi prend toute la lumière même si Retailleau fait de l'agitation pour exister.
Eric LOMBARD, un banquier comme les Lombards Banquier privé mais aussi banquier public, à la tête de la CDC.

Bel avenir, j'en fais ici le pari!

https://www.lemonde.fr/economie/article ... _3234.html

Le visage de cet homme discret de 66 ans, diplômé de HEC, qui a fait l’essentiel de sa carrière dans la finance, va pourtant rapidement s’imposer aux Français. Numéro sept dans l’ordre hiérarchique du gouvernement, M. Lombard hérite du dossier le plus explosif : le budget. Celui qui a fait tomber l’ancien premier ministre Michel Barnier, le 4 décembre, après le vote d’une motion de censure et qui déterminera la durée de vie du gouvernement Bayrou.

Si son seul mandat électoral se résume à un siège de conseiller municipal à Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne), entre 1995 et 2001, M. Lombard est un fin connaisseur des circuits ministériels et l’ancien banquier cachait de moins en moins son envie de s’engager. « Je ne dirais pas non, mais je cherche plus l’action que la visibilité », avouait-il aux Echos, en avril 2022. Son nom avait même circulé l’été dernier lorsque Emmanuel Macron cherchait un premier ministre après la dissolution.

Goût pour la concertation
Après sept années passées à la CDC à financer le logement social, les entreprises et les collectivités locales, ce grand ministère de Bercy ressemble donc à une consécration pour cet ancien de HEC, petit-fils de Pierre et Denise Lévy, anciens propriétaires du groupe de textile troyen Devanlay, le fabricant du polo Lacoste.

Son parcours atypique, Eric Lombard l’a raconté dans un livre, Au cœur de la finance utile, à quoi sert votre épargne, paru en février 2022 (L’Observatoire), une profession de foi visant, aux yeux des observateurs, à préparer une future ascension ministérielle. Il y dévoile son engagement politique auprès de Michel Rocard – « être de gauche a toujours été une évidence » –, son goût pour la concertation – « la recherche de dialogue n’est pas contradictoire avec l’ambition réformatrice, bien au contraire ». Et son expérience au ministère des finances, où il fut conseiller au cabinet de Michel Sapin de 1992 à 1993 : avec lui, « [il] [a] appris comment un ministre devait être le chef de son administration ».

Dans ces pages, l’ancien trésorier des Gracques, ce cercle de réflexion lancé en 2007 pour contribuer à la « modernisation de la social-démocratie », relate d’ailleurs comment ce petit groupe naissant avait tenté de jeter des ponts entre François Bayrou et Ségolène Royal, afin de défaire Nicolas Sarkozy : une initiative que la candidate du Parti socialiste avait d’abord peu goûtée, les traitant d’« ultralibéraux ».

Même s’il est l’héritier d’une famille de riches industriels, M. Lombard ne se définit pas comme « libéral ». Il a bien fait l’essentiel de sa carrière dans le saint des saints du capitalisme, la finance – banquier d’affaires chez Paribas à sa sortie de Bercy, puis patron de BNP Paribas Assurances, avant de partir, en 2013, pour diriger Generali France – mais il dit prôner un « capitalisme plus responsable ». « J’ai aujourd’hui la conviction que le capitalisme est déréglé, parce que le taux de rendement demandé par les actionnaires est trop élevé », disait-il au Monde, en février 2022.

« Je sais la difficulté de la tâche »
Sans être le premier choix d’Emmanuel Macron, ce non-énarque avait finalement décroché, en décembre 2017, la direction générale de la CDC, poste qui l’a propulsé en première ligne face aux enjeux de financement du logement, de la retraite ou des infrastructures. Un profil rassurant pour le monde économique, les élus locaux et les investisseurs au moment où la France va devoir emprunter 300 milliards d’euros en 2025. Un record.

« Je sais la difficulté de la tâche », a reconnu M. Lombard, le 23 décembre, à Bercy, en fin de soirée, lors de la cérémonie de passation des pouvoirs avec son prédécesseur, Antoine Armand. Comment le projet de budget 2025, qu’il élaborera avec la macroniste Amélie de Montchalin, nommée aux comptes publics, pourra-t-il « traiter notre mal endémique, le déficit et ses conséquences sur la dette » (3 303 milliards d’euros à la fin du troisième trimestre) sans « tuer la croissance » ?, se demande le nouveau locataire de Bercy. « Il faut trouver un équilibre, qui ne cible pas les entreprises, ceux qui investissent », a prévenu M. Bayrou, interrogé sur BFM-TV après l’annonce de la composition de son gouvernement.

Si le précédent gouvernement a sauté sur cette mine budgétaire, M. Lombard veut y croire. Il dit vouloir mettre en œuvre une « méthode qu’il éprouve depuis des années : l’écoute, le dialogue et la recherche de solutions partagées ». Il se souvient aussi que, lorsqu’il conseillait Michel Sapin, le gouvernement de Pierre Bérégovoy n’avait qu’une majorité relative au Parlement, ce qui ne l’avait pas empêché de « faire voter des lois » : « C’est un exemple qui peut nous inspirer. » Il oublie de rappeler qu’en 1993 le budget n’était passé que grâce à l’application de l’article 49.3 de la Constitution. Celui-là même qui a fait chuter Michel Barnier.

les gouvernements s'écroulent et Rachida Dati reste

[LeGrandNoir]

Pour l'instant, le 1er résultat des manœuvres de Bayrou, Vautrin, Lombard et autres ministres concernés par la la PLFS (Sécurité Sociale) et en particulier la réforme des retraites est de faire éclater le NFP ex- NUPES.


PS, PCF et Écologistes à Bercy : Jean-Luc Mélenchon dénonce la «forfaiture» et la «servilité» d’une «petite gauche ridicule»
https://www.lefigaro.fr/politique/ps-pc ... oid_Figaro



"La gauche du rien": Faure répond aux critiques de Mélenchon après les négociations sur le budget.


"La gauche du tout ou rien, c'est aujourd'hui la gauche du rien", cingle en retour Olivier Faure, premier secrétaire du parti au poing et à la rose, sur TF1.
https://www.bfmtv.com/politique/parti-s ... 90211.html

[Victor]

Bayrou, c'est peut-être finalement un bien plus gros malin qu'on ne l'imagine.
Il n'est pas très à l'aise à l'oral mais il semble être une véritable anguille politique.
Barnier semblait être un homme de principe, plutôt droit dans ses bottes.
Bayrou me paraît être tout le contraire.
On sent que chez lui la fin n'est pas loin de justifier les moyens. Les éventuels principes, il les met dans son mouchoir avec nœud et direction le fond de sa poche.
C'est un pragmatique comme on dit et c'est peut-être le bon profil dans la situation politique que nous connaissons . Non pas un profil de leader fort mais plutôt celui d'un danseur du ventre prêt à discuter tous les bouts de gras afin de sauver sa marmite.
Il pourrait bien durer plus longtemps qu'on ne le pense.

[LeGrandNoir]

S'il se racoquine trop avec les socialistes, il risque quand même de se brouiller avec LR et Horizons et de se retrouver lui aussi avec une censure. Mais nous ne pouvons écrire l'avenir.

[Victor]

Pour l'instant, le 1er résultat des manœuvres de Bayrou, Vautrin, Lombard et autres ministres concernés par la la PLFS (Sécurité Sociale) et en particulier la réforme des retraites est de faire éclater le NFP ex- NUPES.


PS, PCF et Écologistes à Bercy : Jean-Luc Mélenchon dénonce la «forfaiture» et la «servilité» d’une «petite gauche ridicule»
https://www.lefigaro.fr/politique/ps-pc ... oid_Figaro



"La gauche du rien": Faure répond aux critiques de Mélenchon après les négociations sur le budget.


"La gauche du tout ou rien, c'est aujourd'hui la gauche du rien", cingle en retour Olivier Faure, premier secrétaire du parti au poing et à la rose, sur TF1.
https://www.bfmtv.com/politique/parti-s ... 90211.html

Le PS et les écolos veulent obtenir quelque chose, en particulier sur la réforme des retraites, sujet bien visible des français.
L'objectif politique c'est de décrédibiliser LFI en montrant aux français qu'ils ont obtenu quelque chose pour les français alors que LFI n'est qu'un parti de bruit et de fureur.

Mais ils prennent un risque. Bayrou a dû leur promettre quelque chose sur la réforme des retraite mais va-t-il tenir sa promesse ?

[UBUROI]

Celui qui drive ces discussions techniques et financières c'es Monsieur Lombard. Il est clair que si le totem imbécile des 64 ans tombe..; un surcoût estimé de 15 Mrds€ sur 7 ans par le COR soit 2 Mrds€/an devra être compensé soit par une baisse des dépenses publiques ou une hausse d'impôts. Totem imbécile car un jeune qui va entrer dans le monde du travail après des études niveau licence, techniques ou générales, devra cotiser 43 ans soit...jusqu'à 64 ans, et celui qui devient enseignant devra cotiser jusqu'à 66 /67 ans!

A bas le totem de Macron et vive Tourraine. En attendant une retraite à points!

[LeGrandNoir]

La retraite à points, c'est une arnaque pour noyer le poisson.

[Cépajuste]

Bayrou doit trouver un accord avec le PS sans trop mécontenter Renaissance et LR, ce qui est difficile tant les positions de tous ces partis sont contraires. Et le PS doit obtenir assez de concessions pour que son pacte avec Bayrou ne soit pas considéré comme une trahison par les électeurs de gauche. Il ne s'agit plus de faire des dizaines de milliards d'économie, mais plus modestement d'arriver à faire voter un budget, en mettant la poussière sous le tapis et en remettant les solutions à plus tard. Bayrou, qui était le chantre de la lutte contre les déficits, joue à contre-emploi.

[UBUROI]

La retraite à points, c'est une arnaque pour noyer le poisson.

Sais tu comment fonctionnent l'Agirc et l'Arrco?
Sont ils en déséquilibre?
Penses tu un seul instant que le 1er syndicat de salariés soutiendrait une arnaque?
Non, la véritable raison de l'échec de cette réforme c'est d'avoir voulu la rendre universelle, salariés et non salariés.

[LeGrandNoir]

La retraite à points, c'est une arnaque pour noyer le poisson.

Sais tu comment fonctionnent l'Agirc et l'Arrco?
Sont ils en déséquilibre?
Penses tu un seul instant que le 1er syndicat de salariés soutiendrait une arnaque?
Non, la véritable raison de l'échec de cette réforme c'est d'avoir voulu la rendre universelle, salariés et non salariés.

Je sais très bien comment fonctionne l'AGIRC-ARCO, cela fait tantôt 40 ans que j'y cotise et elle va me verser une très jolie pension de retraite complémentaire.

Vous ne comprendrez jamais rien à ce que je vous dis. Le poisson qu'il faut noyer, la sardine du Port de Marseille, c'est la retraite des fonctionnaires et pas la retraite des salariés du privé.

[UBUROI]

Sais tu comment fonctionnent l'Agirc et l'Arrco?
Sont ils en déséquilibre?
Penses tu un seul instant que le 1er syndicat de salariés soutiendrait une arnaque?
Non, la véritable raison de l'échec de cette réforme c'est d'avoir voulu la rendre universelle, salariés et non salariés.

Je sais très bien comment fonctionne l'AGIRC-ARCO, cela fait tantôt 40 ans que j'y cotise et elle va me verser une très jolie pension de retraite complémentaire.

Vous ne comprendrez jamais rien à ce que je vous dis. Le poisson qu'il faut noyer, la sardine du Port de Marseille, c'est la retraite des fonctionnaires et pas la retraite des salariés du privé.

Dis le clairement comme ça, c'est mieux! Tu parlais de la retraite par points...et maintenant de la retraite des fonctionnaires. Faudrait t'entendre avec toi même
Sur la retraite des fonctionnaires...qu'il faut noyer! Dis nous pourquoi.

[papibilou]

Le PS serait disposé à un accord sur le budget à condition d'une suspension de l'age de la retraite d'une durée de 6 mois. C'est une avancée indéniable. Et ça permettrait aux acteurs sociaux de préparer un accord. Par ailleurs le mot suspension laisse penser à une mesure provisoire qui rassurerait un peu les agences de notation.

[gare au gorille]

Le PS serait disposé à un accord sur le budget à condition d'une suspension de l'age de la retraite d'une durée de 6 mois. C'est une avancée indéniable. Et ça permettrait aux acteurs sociaux de préparer un accord. Par ailleurs le mot suspension laisse penser à une mesure provisoire qui rassurerait un peu les agences de notation.

Je pense que le problème actuel de Bayrou est beaucoup moins celui de redresser la France que celui de se maintenir à son poste et de faire durer son fragile gouvernement. Donc le PS est en position de force et Bayrou n'a pas un grand pouvoir depuis Matignon.