"Videz" votre sac ici pour ne pas le faire ailleurs.

[DKS]

Chute libre
(Dans le même genre)
Ha le cinéma américain !
Que de surprenante scène dans certains films.
Souvent dans les commentaires qui sont issu de dialogues de films.

Comme part exemple dans le film : « CHUTE LIBRE » Réalisé par Joel Schumacher
Une courte séquence montre un type d’espérer avec une pancarte où il était inscrit : « ECONOMIQUEMENT PAS VIABLE ! »
Se promenant sur un trottoir dans les rues de New York.
A beau dire, les américains ne se voilent pas toujours la face sur les nombreux impondérables de leur société.

Le cinéma Américain , enfin certains films , sont ultra-politiques c'est vrai . Est-ce bien ou pas ? ça dépend .
En tout cas , ils font réfléchir sur la société et nous donne l'occasion de se faire notre propre avis .
A voir , par exemple : " COMPLOTS" , " UN HOMME HONNETE " , ou meme " UN CRIME PARFAIT"...ETC etc...

[tisiphoné]

OK.
Que personne ne se sente visé . C'est hard . C'est dur à avaler mais c'est sa vision de New york ...Et peut être du monde.










Voila c'était Edward Norton dans " la 25eme heure" . Une sacrée "performance" . J'ajoute que la version ( la voie ) française est beaucoup mieux que la VO . C'est mon avis .

t'as rien compris,c'est une ode à NYC, il en crève de devoir entrer en prison.

[DKS]

Je suis d'accord mais j'ai d'abord vu en premier uniquement cet extrait donc forcement sorti du contexte . T'as bien bien compris ??
Depuis j'ai vu le film en entier ce matin .Voila voila miss

[DKS]

Et je rajoute que je déteste NYC pour pleins de raisons...

[tisiphoné]

Et je rajoute que je déteste NYC pour pleins de raisons...

je te déteste d'écrire ça

[DKS]

Ecoute Tisi : ce qu'il dit, ce sont des clichés évidemment. Mais dans tous les clichés , il y a une part de vérité ///

[Eve]

Je me demande qui a un sac à pains

[DKS]

Bin , je sais pas , regarde dans ton sac a main ...

[Eve]

j'ai pas mal de choses mais pas encore ça

[DKS]

Commandes en 1 sue Amazon

[Eve]

merci pour le tuyau

[erosdivin]

A mon tour de déballé...

"
Septembre 2015 :

Je suis convoqué pour que l'on me remette une médaille après mes 25 années passées sous un treillis ( Active et Réserve) devant des jeunes recrues. Ceci mets fin à ma carrière militaire. Le seul mot qui me rend dingue depuis l'annonce est " fin ".
Pourtant...avec le temps, je vais bien l'accepter.Aujourd'hui je trouve désolant d'être tenu à l'écart de la défense nationale avec tous les événements qui se déroulent un peu partout. Je suis bien encore valide et je crois avoir ...fait la preuve que les coups et les départs subits ne font pas peurs. J'ai contacté ma hiérarchie militaire et me suis mis à leurs disposition car mon sac est prêt. On m'a répondu que des hommes comme moi étaient plus utiles pour rester au régiment pour former des jeunes comme pour rester chez moi à attendre. Alors j'attends encore et encore...pour combien de temps ??


Donc je reste chez içi. Mais à la minute où l'on me dira : partez ! Pour où que ce soit, je répondrais : Présent !! Ma conscience militaire me demande d'obéir , ma conscience d'homme me dit de surtout pas lâcher prise. Ma mission est finie, quand quelque chose s'achève, il faut savoir partir la tête hâte en tirant sa révérence. J'ai fais mon boulot comme il se doit, j'ai vaincu comme j'ai perdu des combats et batailles. Mais quand je pense à tous ces morts pour rien, je ressens une pointe d'amertume. Surtout qu'avec un commandement un peu plus compétent, un peu moins aveugle, moins rigide, moins sûr de ses méthodes, les choses auraient pû se finir différemment et nous aurions évités des morts et des désillusions.
"

[tisiphoné]

A mon tour de déballé...

"
Septembre 2015 :

Je suis convoqué pour que l'on me remette une médaille après mes 25 années passées sous un treillis ( Active et Réserve) devant des jeunes recrues. Ceci mets fin à ma carrière militaire. Le seul mot qui me rend dingue depuis l'annonce est " fin ".
Pourtant...avec le temps, je vais bien l'accepter.Aujourd'hui je trouve désolant d'être tenu à l'écart de la défense nationale avec tous les événements qui se déroulent un peu partout. Je suis bien encore valide et je crois avoir ...fait la preuve que les coups et les départs subits ne font pas peurs. J'ai contacté ma hiérarchie militaire et me suis mis à leurs disposition car mon sac est prêt. On m'a répondu que des hommes comme moi étaient plus utiles pour rester au régiment pour former des jeunes comme pour rester chez moi à attendre. Alors j'attends encore et encore...pour combien de temps ??


Donc je reste chez içi. Mais à la minute où l'on me dira : partez ! Pour où que ce soit, je répondrais : Présent !! Ma conscience militaire me demande d'obéir , ma conscience d'homme me dit de surtout pas lâcher prise. Ma mission est finie, quand quelque chose s'achève, il faut savoir partir la tête hâte en tirant sa révérence. J'ai fais mon boulot comme il se doit, j'ai vaincu comme j'ai perdu des combats et batailles. Mais quand je pense à tous ces morts pour rien, je ressens une pointe d'amertume. Surtout qu'avec un commandement un peu plus compétent, un peu moins aveugle, moins rigide, moins sûr de ses méthodes, les choses auraient pû se finir différemment et nous aurions évités des morts et des désillusions.
"

quand je te lis Dam, je fais le parallèle avec les détenus qui sortent de prison après avoir payer leur dette à la société, une longue peine, et qui ne sont pas préparés à retrouver la liberté.

[Eve]

Dan

[erosdivin]

Je n'apprécie pas le fait que l'on me mette de côtés et qu'ils ont besoin de moi quand ça les arrange et le fait de monter à Paris pour aller chercher une médaille ne fera pas revenir mes camarades partis aux combats devant moi.
C'est l'inconscience qui me pousse à agir, la volonté de toujours contrôler les choses. Attaquer, ne pas subir. Pour éviter la déroute lors d'un conflit, il faut que le pays soit derrière son armée, que les soldats se sentent soutenus durant leur combat nuit et jour, qu'on pense à eux, qu'on parle d'eux.

En ce moment j'écris un livre, mon ultime souhait est que mon parcours soit lu par ceux et celles qui m'ont connu tel que je suis. Aussi que ce parcours soit rappelé aux jeunes générations le sens des valeurs que j'ai toujours défendues, celles qui font la grandeur de l'homme que je suis et d'un pays tout entier.

Généralement, quand on commence un livre, on sait comment il se finit. Toutefois, j'aimerais que mon récit soit terminé un jour afin d 'être lu et non interrompu pourlaisser le lecteur dans l'inconnu absolu...
Il faut aussi entretenir le souvenir pour se rappeller les victoires et les erreurs passées afin de ne pas en recommettre d'autres. Certains de ces épisodes nous ont tous marqués malheureusement c'est évident.