NSC a écrit : Encore et toujours vous jugez des faits historique vieux de plus de 100 ans avec nos valeurs et la morale d'aujourd'hui.
C'est la votre grand probleme
Et entre nous crois tu honnetement qu'une femme puisse acoucher debout et en marchand?
Encore un argument totalement fallacieux.
Je vous cite une partie de l'article en p1;
Si l’esclavage fut aboli en France en 1848, le travail forcé, lui, ne le fut que près d’un siècle plus tard, en 1946, avec l’adoption d’une proposition de loi de Félix Houphouët-Boigny. Pendant plusieurs décennies, la République française a ainsi recouru au travail forcé dans ses colonies, par exemple pour construire un chemin de fer entre Brazzaville et Pointe-Noire, en République du Congo. «Bilan de cet "exploit", réputé témoigner de la glorieuse "mise en valeur" du Congo français : 17 000 morts "indigènes" pour la réalisation des 140 premiers kilomètres et un taux de mortalité sur ce chantier de 57% en 1928», soulignait l’année dernière, dans un article sur un blog hébergé par Mediapart, l’universitaire Olivier Le Cour Grandmaison.
Esclavage aboli d'un coté et travail forcé de l'autre dans les colonies.....17 000 morts à cause du travail forcé sur la ligne de chemin de fer au Congo en 1928.
Et tout ça dans le pays qui a pondu la déclaration de droits de l'homme et du citoyen en ...1789!!!
Art. 1er. Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.
Art. 2. Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression.
Art. 3. Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.
Art. 4. La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.
Art. 5. La Loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la Société. Tout ce qui n'est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Art. 6. La Loi est l'expression de la volonté générale. Tous les Citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs Représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les Citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Art. 7. Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la Loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la Loi doit obéir à l'instant : il se rend coupable par la résistance.
Art. 8. La Loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une Loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.