Stounk a écrit : [
Et vous pensez toujours qu'il est déraisonnable d'imaginer des problèmes d'approvisionnement en nourriture ?
Ma foi, il me semble que ce pays parvenait à se nourrir et à commercer avant d'adhérer à l'UE, il me semble probable qu'ils y parviendront toujours après...
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Ma foi, il me semble que ce pays parvenait à se nourrir et à commercer avant d'adhérer à l'UE, il me semble probable qu'ils y parviendront toujours après...
vous avez tout a fait raison , je ne pense pas qu' une famine menace le RU. Avant d' adhérer a l' UE .....il n' y avait pas non plus de productions de piéces pour Airbus ;, et Airbus c 'est
Pour cause, l'avionneur fait fabriquer toutes les ailes de ses avions outre-Manche et dépense plus de 5 milliards d'euros chaque année chez ses
4000 sous-traitants britanniques, dont la technologie est mondialement reconnue.
Airbus en Grande-Bretagne, c'est ainsi pas moins de 15 000 salariés et plus de 100 000 emplois indirects.
Et la menace semble bien réelle.
"Il y a beaucoup de pays qui seraient intéressés par un tel business", indique un spécialiste en aéronautique basé à Londres. La nouvelle usine d'assemblage de Mobile, en Alabama, monte en puissance et pourrait s'avérer être un bon point de chute pour couvrir à terme le marché nord-américain. Quant aux clients asiatiques, Airbus dispose aussi d'un site en Chine, à Tianjin, au sud de Pékin, d'où sortent déjà quatre avions par mois.
Airbus, pris en étau entre le Royaume-Uni et l'UE
Complications administratives, allongement du temps de livraison, possibles taxes douanières : il n'en fallait pas plus pour que Tom Enders brandisse la menace de la délocalisation. En déplacement à Berlin fin avril pour un important Salon professionnel, il s'est montré clair sur ses intentions. "Transférer la production hors du Royaume-Uni est une option possible pour les futures activités du groupe, afin de tenir compte de la sortie du pays de l'Union européenne", a-t-il ainsi déclaré depuis le vieil aéroport de Schönefeld, au sud de Berlin.
Et la menace semble bien réelle. "Il y a beaucoup de pays qui seraient intéressés par un tel business", indique un spécialiste en aéronautique basé à Londres. La nouvelle usine d'assemblage de Mobile, en Alabama, monte en puissance et pourrait s'avérer être un bon point de chute pour couvrir à terme le marché nord-américain. Quant aux clients asiatiques, Airbus dispose aussi d'un site en Chine, à Tianjin, au sud de Pékin, d'où sortent déjà quatre avions par mois.
Si Tom Enders songe sérieusement à s'envoler vers des terres plus accueillantes, c'est aussi qu'Airbus se trouve aujourd'hui pris en étau entre le Royaume-Uni et l'Union européenne. "Theresa May pourrait leur faire payer la position agressive de l'UE à l'encontre des Britanniques dans les négociations, pense Nicolas Petit, économiste, auteur d'un article sur l'avionneur paru en avril dans la revue de la London School of Economics. Si l'UE met ses menaces à exécution, notamment sur sa volonté de sortir les Britanniques du projet Galileo, le futur GPS européen, auquel ces derniers ont participé activement en le finançant à 12 %, à
10 milliards d'euros, cela pourrait créer un chaos pour l'industrie spatiale britannique."
je vous souhaite a tous une excellente soirée je ne doute pas un instant que tout ce que l' on peut lire sur les dangers du Brexit , même si cela vient de journaux britanniques , je ne doute pas que ces infos glissent sur votre cerveau comme l' eau sur les plumes d' un canard ( WC)
mais bon , j' en ris , fort , trés fort .
Dehors il pleut , mais si vous étiez là , vous pourriez sans sourciller dire qu' il fait soleil , vous zêtes impayables