Deux propositions de loi sur le passé colonial Français.

[quo vadis]

Je ne comprends pas trop en fait quel peut bien être ton objectif à tenter à ce point de mentir et de falsifier l'Histoire ? Tu vas finir par nous dire que l'OAS n'a jamais existé ?

Les estimations du nombre de victimes varient de 2 200 à 12 000, avec un consensus autour de 3 000 à 4 000. Le tout, faut-il le rappeler, en à peine quelques mois, pour donner une idée de l'étendue du carnage de ces terroristes immondes et abjects.

Parmi les travaux récents, l'historien français Rémi Kauffer estime que l'OAS a assassiné entre 1 700 et 2 000 personnes
Mouais, bon, c'est vrai que "des" milliers, ça commence à 2000... Mais cette surenchère du sensationnalisme victimaire me gonfle particulièrement... Et puis "des milliers", waoh, ça frappe les esprits sans qu'on prenne trop de risque de se faire encore poirer les doigts dans le pot de confiture...

Toujours à minimiser et à relativiser en faisant encore des circonvolutions quand tu veux défendre le terrorisme de tes amis ?

Il y'a eu des centaines de mutilés à vie, qui s'ajoutent à plus de 2000 victimes. En France plus de 70 morts et de nombreux

blessés, dont une petite fille de 4 ans, qui a perdu un oeil. Attentat dans un train et des journaux, y compris de droite.

Sans compter les tueries inspirées par les pieds noirs sympathisants de l'OAS. Exécution à froid de passants indigènes,

de meurtres par profession (femmes de ménage, facteurs, ouvriers...).

Des marchands algériens, des éleveurs, des indigènes qui avaient des biens, assassinés et volés.

Celui qui a armé et encouragé à éxécuter tout indigène rencontré était le sous-préfet Achiary, un de ceux qui va donner

la ligne directrice dans ce drame. Un assassin de première qui déclarait qu'il tuait des "merles" depuis son balcon.

Les gendarmes, les policiers, le système judiciaire...avaient violé tous les principes de droit de la République.

Toutes les institutions ont été infiltrées par l'OAS. Impunité totale, quels que soient les crimes commis.

Cela ne se limitait pas à l'Algérie. L'impunité sur les assassinats d'Algériens, dont une fillette de 15 ans, lors de la manifestation

d'octobre à Paris, seront couverts. La police reconnait 2 meurtres en se dédouanant en même temps.

Alors que les observateurs français et internationaux, sur ce secret d'état évoquent des dizaines de meurtres, qui sont seront

charriés par la Seine. D'autres enterrés en forêt.

Là encore, l'OAS a fait circuler par radio aux policiers entassés dans les cars, qu'il y'a eu 10 collègues tués juste avant

pour les chauffer à blanc, alors que c'était faux, la manifestation était familiale, pacifique contre le couvre-feu au faciès.

Le résultat on le connait, tirs à vue, tabassage violents, rafles en milliers, éxécutions dans les commissariats...etc...

Et c'est un bisounours de triste mémoire, Papon, ayant guide les rafles de juifs, qui a rempilé pour absoudre la police pour

ces crimes et les rafles suivies d'éxécutions et de violences.



Daniel Goldberg, Jacques Salvator et Didier Daeninckx à un hommage aux victimes, le 17 octobre 2008 à Aubervilliers.


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[vivarais]

pourquoi ne citez vous que les attentats de l'OAS et pas ceux du FLN commis avec la complicité des communistes français
http://www.babelouedstory.com/thema_les ... /2053.html
aujourd'hui toutes les vérités occultées sont révélées par les archives
vous avez tort d'insister car chaque intervention enfonce encore plus votre idéologie

[mic43121]

Tous les gens intelligents savent que les Arabes gens qui ne feraient pas de mal à une mouche ..

[Anne32]

Bof, Quo Vadis est envahi par la haine
Il n'a aucune objectivité, et ressasse sans cesse ses obsessions malsaines
C'est d'ailleurs assez comique de le voir se trémousser pour faire l'apologie des crime FLN, alors qu'il y a encore des témoins qui peuvent se souvenir de leur sadisme et de leur cruauté
Je le rappelle une fois encore, quelles que soient les raisons qui ont poussé nos ancêtres à venir en Algérie, nous ne sommes pas responsables des erreurs des gouvernant d'alors, suivis par tout le peuple.
Aussi lire sous la plume d'un Quo Vadis ou d'un Kelenner, de telles professions de foi envers des sauvages , démontre qu'ils se trompent de cible
Soit que les ascendants de Quo Vadis n'ont pas su défendre une terre qui n'avait pas de nom
Soit les ascendants de Kelenner qui avec leur bénédiction nous ont encouragés à vivre là bas
C'est tout simple, mais tellement simple que des esprits tarabiscotés n'arrivent pas à l'assimiler.....
Le pinaillage d'un Quo Vadis démontre son manque d'équilibre mental, il ne sait pas se contrôler, et c'est pour ça qu'il n'est pas crédible.....

[petitloup44]

Il n'a a pas besoin de lois pour savoir ce qu'il s'est passé. Ce qu'il se passe. Et malheureusement ce qu'il se passera. Car l'humain est FOU !

bonjour a vous je partage votre analyse . Mais je ne crois pas que l humain soit fou . Mais un grand manipulateur cela ne fait aucun doute, même si nous devons pas généralisé, bonne journée a vous .Au revoir

[The Rat Pack]

Toutes les institutions ont été infiltrées par l'OAS. Impunité totale, quels que soient les crimes commis.

Cela ne se limitait pas à l'Algérie. L'impunité sur les assassinats d'Algériens, dont une fillette de 15 ans, lors de la manifestation d'octobre à Paris, seront couverts.

Ce qui est bien, avec vous, c'est qu'on n'est pas obligé d'aller chercher bien loin pour vous la mettre:

L'OAS a elle aussi subi des pertes et officiellement 119 membres ont été tués. En 1962, 635 membres de l'OAS sont arrêtés. 224 sont ensuite jugés, dont 117 acquittés, cinquante-trois condamnés à une peine de prison avec sursis, trente-huit à une peine de prison ferme, trois sont condamnés à mort et fusillés (Roger Degueldre, Claude Piegts et Albert Dovecar) ; le lieutenant-colonel Bastien-Thiry est également passé par les armes. Son appartenance à l'OAS est sujette à discussion. Jusqu'en 1965, les arrestations s'élèveront à dix mille personnes, et le nombre de condamnés à 3 680 (décompte de Rémi Kauffer, qui estime par ailleurs que les policiers, gendarmes, militaires et barbouzes ont tué plusieurs centaines de Français d'Algérie durant la guerre). Plusieurs membres de l'OAS se sont réfugiés à l'étranger, notamment en Espagne, au Portugal et en Amérique du Sud. Plusieurs sont condamnés à mort par contumace (Joseph Ortiz, le colonel Château-Jobert, André Rossfelder, le colonel Arnaud de Seze, le colonel Yves Godard, les capitaines Pierre Sergent et Jean Biraud). La peine de mort pour motif politique, abolie depuis 1848, ayant été rétablie par ordonnance du 4 juin 1960.

En ce qui concerne les seuls officiers de l'armée française membres ou sympathisants OAS, environ 490 ont été condamnés à de la prison, 530 rayés des cadres, 1300 démissionnent.

[The Rat Pack]

Toujours à minimiser et à relativiser en faisant encore des circonvolutions quand tu veux défendre le terrorisme de tes amis ?

On ne vous entend pas beaucoup sur celui des vôtres:

Djamila Amrane-Minne, née Danièle Minne, est une Intellectuelle née le 13 août 1939 à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) et morte le 11 février 2017 à Alger,

Membre du « réseau bombes » du FLN durant la bataille d'Alger, elle fait partie du groupe de jeunes femmes poseuses de bombes dans les lieux publics d'Alger, en particulier les cafés fréquentés par la jeunesse, causant la mort de plusieurs personnes.
Le samedi 26 janvier 1957, Danièle qui est encore mineure (17 ans) participe à un triple attentat du FLN dans trois brasseries de la rue Michelet située dans le quartier européen. Elle pose sa bombe dans le bar Otomatic à Alger, tandis que ses complices déposent d'autres engins explosifs au Coq-Hardi et à La Cafeteria.
Le bilan de ces attentats est de « quatre femmes tuées, 37 blessés hospitalisés dont 21 femmes, dont 2 dans un état alarmant » selon Le Journal d'Alger.
Condamnée le 4 décembre 1957 à sept ans de prison, incarcérée à la prison de Barberousse, transférée en suite en France, elle est libérée en avril 1962 à Rennes et amnistiée en application des Accords d'Évian.
Durant les années 1990, fuyant la violence en Algérie, elle enseigne l'Histoire de la décolonisation en France, à l'Université Toulouse II-Le Mirail ; elle est membre du Groupe de recherche sur l'histoire immédiate

[Fonck1]

le sujet proposé ici est :

deux propositions de loi sur le passé colonial de la France. La première vise à «reconnaître le travail forcé comme crime contre l’humanité», et prévoit des réparations pour les «préjudices en résultant». La seconde prévoit «réparation des préjudices résultant de la traite et de l’esclavage colonial».

c'est pas le FLN, la guerre d’Algérie, ou autre.
si ce sujet continue comme cela, il sera fermé.
La modération.

[quo vadis]

Toutes les institutions ont été infiltrées par l'OAS. Impunité totale, quels que soient les crimes commis.

Cela ne se limitait pas à l'Algérie. L'impunité sur les assassinats d'Algériens, dont une fillette de 15 ans, lors de la manifestation d'octobre à Paris, seront couverts.

Ce qui est bien, avec vous, c'est qu'on n'est pas obligé d'aller chercher bien loin pour vous la mettre:

L'OAS a elle aussi subi des pertes et officiellement 119 membres ont été tués. En 1962, 635 membres de l'OAS sont arrêtés. 224 sont ensuite jugés, dont 117 acquittés, cinquante-trois condamnés à une peine de prison avec sursis, trente-huit à une peine de prison ferme, trois sont condamnés à mort et fusillés (Roger Degueldre, Claude Piegts et Albert Dovecar) ; le lieutenant-colonel Bastien-Thiry est également passé par les armes. Son appartenance à l'OAS est sujette à discussion. Jusqu'en 1965, les arrestations s'élèveront à dix mille personnes, et le nombre de condamnés à 3 680 (décompte de Rémi Kauffer, qui estime par ailleurs que les policiers, gendarmes, militaires et barbouzes ont tué plusieurs centaines de Français d'Algérie durant la guerre). Plusieurs membres de l'OAS se sont réfugiés à l'étranger, notamment en Espagne, au Portugal et en Amérique du Sud. Plusieurs sont condamnés à mort par contumace (Joseph Ortiz, le colonel Château-Jobert, André Rossfelder, le colonel Arnaud de Seze, le colonel Yves Godard, les capitaines Pierre Sergent et Jean Biraud). La peine de mort pour motif politique, abolie depuis 1848, ayant été rétablie par ordonnance du 4 juin 1960.

En ce qui concerne les seuls officiers de l'armée française membres ou sympathisants OAS, environ 490 ont été condamnés à de la prison, 530 rayés des cadres, 1300 démissionnent.

Toujours le même langage fleuri sensé remplacer les faits et pour défendre ce terrorisme d'extrême droite, en France et en Algérie coloniale afin de garder l'Algérie française..en "oubliant" les amnisties de criminels finis sous la pression...sans compter ceux partis en Espagne.

Tu peux abuser ceux qui ne sont pas au courant...mais pas les autres...qui sont au fait de la question. Tout est consigné.

Achiary le sous préfet est mort tranquillement d'un cancer à Madrid alors qu'il est responsable directement d'avoir armé des colons et leur donnant carte blanche d'éxécuter tout Algérien(ne) rencontré. Il a lui-même tué et encouragé à tuer des centaines de civils,
qui ont été aussi volés.

Les cadavres seront brûlés dans un four à chaux pour supprimer toute trace des crimes, lors d'une enquête ultérieure,
qui sera confrontée à l'omerta et à la solidarité à la fois des colons et de la police, comme de l'armée.

Il est fortement soupçonné en outre d'avoir organisé un attentat à la bombe ayant fait plus de 70 morts et un nombre élévé
de mutilés dans la Casbah. Achiary ne fut jamais inquiété pour ces faits, dont certains ont été établis et prouvés sans problèmes.

Il compte parmi les organisateurs de la manifestation contre la conférence d'Albert Camus sur la trêve civile, et plus encore de la mise en scène des adieux de Jacques Soustelle et de la « journée des tomates » qui fait reculer le président du Conseil français, le socialiste Guy Mollet, à Alger le 6 février 1956.

Un sous préfet qui s'oppose à la République, et encouragera les ultras à commettre l'irréparable y compris contre les Français
en Algérie bien sûr...et en Métropole.

Pour les autres voyons ce qu'il en est....si ce n'est pas de l'impunité...qu'est ce que c'est ?

"La première amnistie date du 17 décembre 1964 et concerne les « événements » d'Algérie. Le 21 décembre 1964, les prisonniers condamnés à des peines inférieures à quinze ans de détention (soit 173 anciens membres de l'OAS) sont libérés par grâce présidentielle, car il s'agit de prisonniers politiques. D'autres mesures de grâce sont prises à Noël 196568.

En mars 1966, une centaine de condamnés sont graciés et, le 17 juin 1966, une seconde loi d'amnistie efface les condamnations des condamnés libérés.
Le général Jouhaud, condamné à mort le 13 avril 1962, passe 235 jours dans une cellule de condamné à mort, sa peine est commuée en perpétuité, il est libéré en décembre 1967.

En 1968, des anciens de l'OAS rencontrent Jacques Foccart pour lui proposer leur ralliement au régime gaulliste contre la « chienlit », et demander l'amnistie intégrale des membres de l'organisation encore incarcérés, ce qu'ils obtiendront le 7 juin 68 après les événements de mai 68 : le gouvernement, craignant un coup de force des communistes, efface toutes les sanctions disciplinaires et professionnelles et réintègre les amnistiés dans leurs droits, pensions et décorations. Cette amnistie est promise par de Gaulle à Massu, lors de sa visite à Baden Baden.

En juillet 1974, une amnistie complémentaire efface d'autres condamnations pénales, autorisant ainsi la réintégration de cadres de l'OAS dans la vie politique française notamment par l'intermédiaire des Républicains indépendants de Valéry Giscard d'Estaing, ce qui permet à certains comme Pierre Sergent de devenir députés. Dans le cadre de l'élection présidentielle française de 1981, des négociations menées par des proches du candidat François Mitterrand aboutissent à l'appel du général Salan à voter Mitterrand et sanctionner Giscard d'Estaing.

Le 3 décembre 1982, les officiers survivants sont réintégrés dans les cadres de l'armée par une nouvelle amnistie (loi du 24 novembre 1982), à l'exclusion des officiers généraux. En 1987, une loi sur les rapatriés amnistie les dernières condamnations encore effectives."

Les familles des victimes le sont deux fois...privés des leurs et complaisance de l'Etat envers les assassins.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Organisat ... 9moignages


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[quo vadis]

le sujet proposé ici est :

deux propositions de loi sur le passé colonial de la France. La première vise à «reconnaître le travail forcé comme crime contre l’humanité», et prévoit des réparations pour les «préjudices en résultant». La seconde prévoit «réparation des préjudices résultant de la traite et de l’esclavage colonial».

c'est pas le FLN, la guerre d’Algérie, ou autre.
si ce sujet continue comme cela, il sera fermé.
La modération.

Dans Voyage au Congo (1927), André Gide s’indigne des conditions de la construction du Congo-Océan.

« Le chemin de fer Brazzaville-Océan est un effroyable consommateur de vies humaines. [...] Les premiers contingents ont eu beaucoup à souffrir ; tant durant le trajet [...] (certains se noient dans le fleuve et nombreux sont ceux qui décèdent de pneumonie), que sur les chantiers mêmes [...]. La mortalité a dépassé les prévisions les plus pessimistes. A combien de décès nouveaux la colonie devra-t-elle son bien-être futur ? »

Le travail forcé ne sera aboli par la France qu'en 1946 sous pression de l'ONU dans les colonies...mais de fait perdure
jusqu'aux indépendances notamment au Cameroun par exemple.

D'ailleurs les sanctions en cas d'infractions ne seront définies qu'en 1952, lors du vote du code du travail outre-mer -car le code du
travail français irait trop loin pour les colonisés (sic!).


.


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[Anne32]

Vous avez raison Fonck
En relisant les sujets depuis le début, je me suis aperçue de la dérive prise par Berger le 10 mai 2017, reprise avec gourmandise pas Moriarty et par son clone sous le nom de Quo Vadis.
Soit un sujet précis sur la colonisation dans son ensemble peut être ouvert, soit celui ci doit retrouver ses rails....
Personnellement, je n'interviendrai plus

[quo vadis]

Vous avez raison Fonck
En relisant les sujets depuis le début, je me suis aperçue de la dérive prise par Berger le 10 mai 2017, reprise avec gourmandise pas Moriarty et par son clone sous le nom de Quo Vadis.
Soit un sujet précis sur la colonisation dans son ensemble peut être ouvert, soit celui ci doit retrouver ses rails....
Personnellement, je n'interviendrai plus

Ou comment le faire à l'envers !


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[latresne]

Vous avez raison Fonck
En relisant les sujets depuis le début, je me suis aperçue de la dérive prise par Berger le 10 mai 2017, reprise avec gourmandise pas Moriarty et par son clone sous le nom de Quo Vadis.
Soit un sujet précis sur la colonisation dans son ensemble peut être ouvert, soit celui ci doit retrouver ses rails....
Personnellement, je n'interviendrai plus

Ou comment le faire à l'envers !


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Ca a son charme aussi .Un peu de grivoiserie pour détendre.
Les opposés sur ces sujets ne se réconcilient jamais .

[NSC]

Vous avez raison Fonck
En relisant les sujets depuis le début, je me suis aperçue de la dérive prise par Berger le 10 mai 2017, reprise avec gourmandise pas Moriarty et par son clone sous le nom de Quo Vadis.
Soit un sujet précis sur la colonisation dans son ensemble peut être ouvert, soit celui ci doit retrouver ses rails....
Personnellement, je n'interviendrai plus

Ou comment le faire à l'envers !


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Ouvre un autre sujet et je suis sur qu elle te repondra.
tu peut compter sur moi pour y participer aussi.

[Victor]

Dans Voyage au Congo (1927), André Gide s’indigne des conditions de la construction du Congo-Océan.

« Le chemin de fer Brazzaville-Océan est un effroyable consommateur de vies humaines. [...] Les premiers contingents ont eu beaucoup à souffrir ; tant durant le trajet [...] (certains se noient dans le fleuve et nombreux sont ceux qui décèdent de pneumonie), que sur les chantiers mêmes [...]. La mortalité a dépassé les prévisions les plus pessimistes. A combien de décès nouveaux la colonie devra-t-elle son bien-être futur ? »

Le travail forcé ne sera aboli par la France qu'en 1946 sous pression de l'ONU dans les colonies...mais de fait perdure
jusqu'aux indépendances notamment au Cameroun par exemple.

D'ailleurs les sanctions en cas d'infractions ne seront définies qu'en 1952, lors du vote du code du travail outre-mer -car le code du
travail français irait trop loin pour les colonisés (sic!).

Il faudrait peut-être envisager une loi reconnaissant tout l'apport de la colonisation française aux pays ex-colonies françaises ?
Apport en terme d'éducation, d'infrastructures, de santé, d'organisation de l'administration publique.
Qu'en penses-tu ?