Tiens donc, tu perçois un renforcement de l' europe en ce moment toi ?? Macron avec ses petits bras a beau gesticuler, moi je vois plutôt le vide qui se fait autour de lui. Merkel est malade, le Royaume Uni se barre, l'Italie ne se laisse plus marcher sur les pieds, les pays de l'est n'en parlons pas, reste un peu l'Espagne qui ne s'est pas encore bien réveillée, mais tout ça c'est pas terrible, on ne peut pas dire que l'U.E. soulève l'enthousiasme général.NSC a écrit :Deux ans apres cette article on voit bien que les visionnaires journalistes ont tout faux.crepenutella a écrit : Il y a eu, dans l'histoire de l'Europe, des périodes de stagnation et aussi de fortes tensions entre États membres. Mais jamais l'Union n'avait à ce point menacé de se désintégrer, couru plus grand danger. En ce «moment crucial», le risque d'éclatement de l'Europe est «réel». «L'avenir de l'UE est en jeu… À ce sommet, ça passe ou ça casse.» Sans doute le président du Conseil, Donald Tusk, a-t-il volontairement dramatisé la situation, alors que les 28 États membres tentent de trouver un compromis pour garder le Royaume-Uni dans la famille européenne sans mettre en péril l'unité du groupe.
http://www.lefigaro.fr/international/20 ... e-joue.php
Et bien le débat est ouvert. A votre avis, la possibilité d'un départ du Royaume uni est-elle un danger ou une opportunité pour l'avenir de l'Union européenne et des nations qui l'a compose?
L'europe n'a meme pas essayer de garder les RU l'europe a accepte la decision democratique et contrairement a ce que sous entendait cet article elle ne s'ait pas effondree bien au contraire.
Pour resumer, ce n'est ni une opportunite car sans ou avec les RU l'europe se renforce et la dessus on peut peut etre dire merci a Trump qui soude les europeens pour lutter contre son nationalisme economique
C'est vrai que les banquiers et les multinationales poussent un peu à la révolte contre un Trump qui défend trop bien les intérêts de son pays, mais le peuple lui semble plutôt réticent et le fait savoir dans les urnes.
Mais c'est vrai que l'U.E. ne s'est jamais embarrassé de l'avis du peuple.