....Il était une fois la saga Benalla....

[Crapulax]

1er mai 2018. Alors que de nombreux heurts ont éclaté toute la journée entre forces de l'ordre et manifestants, le Comité d'action interlycéen appelle à un «Apero militant», place de la Contrescarpe, dans le Ve arrondissement de Paris. Cet appel est notamment relayé par l'UNEF, ou encore La France insoumise. Sur place, une centaine de personnes s'y réunit vers 18 heures. Mais, au bout de quelques minutes, la situation dégénère entre jeunes et CRS.

Taha Bouhafs, militant présent sur place, filme la scène. On y voit les forces de l'ordre intervenir, dans ce qui ressemble à une vidéo d'affrontement classique entre police et manifestants. Mais, soudain, un autre homme apparaît un peu à l'écart de la police. Casque à visière vissé sur la tête, sweat à capuche gris, il se met à tirer une jeune fille sur plusieurs mètres. Puis il s'en prend à un homme, déjà mis à terre par les fonctionnaires, et le frappe à plusieurs reprises. «Il était particulièrement agressif. Il avait peur d'être reconnu, et il a vite fui les caméras», confie Taha Bouhafs au Figaro.

Cet homme, qui, d'après cette vidéo, a tout d'un policier, est en réalité Alexandre Benalla, un proche collaborateur d'Emmanuel Macron, selon les informations du journal Le Monde , confirmées par Le Figaro. Il n'est ni policier, ni CRS. Il a été garde du corps de Martine Aubry, puis de François Hollande en 2012, lors de sa campagne présidentielle victorieuse. Il secondait alors le chef de cabinet, François-Xavier Lauch. Officier de réserve de la gendarmerie reconverti dans la sécurité privée, il a été embauché par Emmanuel Macron l'année suivante pour sa campagne présidentielle, comme chef de la sécurité. On a pu le voir lors de multiples déplacements du candidat, comme au salon de l'Agriculture 2017, lorsque le fondateur d'En marche! avait reçu un œuf sur le visage. Depuis son élection, le président Macron l'a nommé comme chargé de mission auprès du chef de cabinet de l'Élysée, Patrick Strzoda. Il dispose donc d'un bureau au palais.

Contacté mercredi soir par Le Figaro, l'Élysée établit sa chronologie des faits. Quelques jours avant le 1er mai, Alexandre Benalla est allé voir son chef de cabinet pour lui dire qu'après échange avec la préfecture de police, la possibilité qu'il puisse participer à l'intervention policière en tant qu'«observateur» a été envisagée. Sa demande est acceptée. Le 2 mai, Patrick Strzoda est informé des vidéos qui circulent sur internet. Benalla est alors convoqué et reconnaît les faits. Après avoir vu les images, le directeur de cabinet en informe Emmanuel Macron, en voyage en Australie: le président réclame des sanctions. À nouveau convoqué le 3 mai, le garde du corps est mis à pied pendant quinze jours, du 4 au 19 du même mois. D'après nos informations, il a ensuite été «mis au placard» et s'occupe désormais d'évènements internes au palais, «comme des rencontres avec des entreprises ou la célébration de la victoire des Bleus au Mondial», selon Le Monde. Cette décision ayant été prise sur la seule base des vidéos, une enquête n'est pas à exclure, nous informe-t-on.





Source:Le Figaro.

[UBUROI]

On en parle sur france info ce matin....
Le gars, a le "goût du sang"... il n' a pas pu réfreiner ses instincts policiers et gendarmesques devant des gochos étudiants.

Quels seraient les infractions commises par ce "collaborateur" à statut non précisé (fonctionnaire, contractuel?)?
- usurpation de casque
- violences sur majeur
- travail au noir
- quitte son travail avant la fin de la journée, encore qu'il était 18 heures passées.

On parle d'une sanction administrative, et d'une mise au placard. Suffisant ou insuffisant, ce sera selon.

Quelle serait la suite politique sur le Président? Comptons sur Coquerel pour s'en occuper; je crois qu'il a quitté son maillot de bain pour déferler sur Macron.
C'est dur d'être de permanence pour les FI en été.

[zylto]

1er mai 2018. Alors que de nombreux heurts ont éclaté toute la journée entre forces de l'ordre et manifestants, le Comité d'action interlycéen appelle à un «Apero militant», place de la Contrescarpe, dans le Ve arrondissement de Paris. Cet appel est notamment relayé par l'UNEF, ou encore La France insoumise. Sur place, une centaine de personnes s'y réunit vers 18 heures. Mais, au bout de quelques minutes, la situation dégénère entre jeunes et CRS.

Taha Bouhafs, militant présent sur place, filme la scène. On y voit les forces de l'ordre intervenir, dans ce qui ressemble à une vidéo d'affrontement classique entre police et manifestants. Mais, soudain, un autre homme apparaît un peu à l'écart de la police. Casque à visière vissé sur la tête, sweat à capuche gris, il se met à tirer une jeune fille sur plusieurs mètres. Puis il s'en prend à un homme, déjà mis à terre par les fonctionnaires, et le frappe à plusieurs reprises. «Il était particulièrement agressif. Il avait peur d'être reconnu, et il a vite fui les caméras», confie Taha Bouhafs au Figaro.

Cet homme, qui, d'après cette vidéo, a tout d'un policier, est en réalité Alexandre Benalla, un proche collaborateur d'Emmanuel Macron, selon les informations du journal Le Monde , confirmées par Le Figaro. Il n'est ni policier, ni CRS. Il a été garde du corps de Martine Aubry, puis de François Hollande en 2012, lors de sa campagne présidentielle victorieuse. Il secondait alors le chef de cabinet, François-Xavier Lauch. Officier de réserve de la gendarmerie reconverti dans la sécurité privée, il a été embauché par Emmanuel Macron l'année suivante pour sa campagne présidentielle, comme chef de la sécurité. On a pu le voir lors de multiples déplacements du candidat, comme au salon de l'Agriculture 2017, lorsque le fondateur d'En marche! avait reçu un œuf sur le visage. Depuis son élection, le président Macron l'a nommé comme chargé de mission auprès du chef de cabinet de l'Élysée, Patrick Strzoda. Il dispose donc d'un bureau au palais.

Contacté mercredi soir par Le Figaro, l'Élysée établit sa chronologie des faits. Quelques jours avant le 1er mai, Alexandre Benalla est allé voir son chef de cabinet pour lui dire qu'après échange avec la préfecture de police, la possibilité qu'il puisse participer à l'intervention policière en tant qu'«observateur» a été envisagée. Sa demande est acceptée. Le 2 mai, Patrick Strzoda est informé des vidéos qui circulent sur internet. Benalla est alors convoqué et reconnaît les faits. Après avoir vu les images, le directeur de cabinet en informe Emmanuel Macron, en voyage en Australie: le président réclame des sanctions. À nouveau convoqué le 3 mai, le garde du corps est mis à pied pendant quinze jours, du 4 au 19 du même mois. D'après nos informations, il a ensuite été «mis au placard» et s'occupe désormais d'évènements internes au palais, «comme des rencontres avec des entreprises ou la célébration de la victoire des Bleus au Mondial», selon Le Monde. Cette décision ayant été prise sur la seule base des vidéos, une enquête n'est pas à exclure, nous informe-t-on.





Source:Le Figaro.

Oui, j'en ai entendu parler ce matin à la radio
Il semblerait que ce type n'avait rien à faire la, encore moins d'enfiler un casque de CRS
Il a été mis (au placard) pour une quinzaine et il a repris ses activités comme ci de rien n'était
Bon sur la vidéo, on voit un type comme fou car ce jeune ne me semblait pas trop en mesure de se défendre, même les CRS semblent un peu surpris

On va attendre les suites

[pasto]

Aujourd'hui il faut vraiment faire extrêmement attention à ce que l'on fait, ce que l'on dit car en moins de 2, de victime on se retrouve sur le banc des accusés pour une vidéo soigneusement "cadrée" et relayée par les médias devenus maintenant avocats et juges.
On ne sait absolument pas ce qui c est passé avant.

Et puis cette vidéo sort comme ça de nulle part 2 mois et demi après son enregistrement ?????? Pourquoi n'est elle pas sortie en direct live???

[sihanouk]

Une épine dans le pied de Macron.
Il y a deux sortes de personnes chez les durs : ceux qui peuvent faire la Légion parce qu'ils savent se maitriser; et les autres durs, rien dans la cervelle.
Mon père a fait moins de deux ans en 1948-1950 dans les commandos, en Indochine. Il n'avait rien dans la cervelle. A 19 ans, il était de retour en France.
Ils aiment pas les durs sans cervelle.Macron ne doit pas connaitre ce genre d'individus. Il est un peu niais par moment.

[Yann Begervil]

Non mais la, le mec a voulu donner un coup de main au CRS, en plus on peut pas dire qu'il soit hyper violent, c'est vraiment pour faire chier LREM.

[zylto]

Non mais la, le mec a voulu donner un coup de main au CRS, en plus on peut pas dire qu'il soit hyper violent, c'est vraiment pour faire chier LREM.

Il faut être objectif, il me semble que les CRS avaient la chose en main,
l'individu semblait maitrisé, et de quel droit un type sorti d'on ne sait ou, arrive et tabasse en se dissimulant le visage,
Je n'aime pas ce genre de type qui s'attaque à un type maitrisé et au sol, pas sur que l'on ait de ce même fier à bras des vidéos de lui au milieu des blacks blocks
Pour la sanction, ça fait rire

[Yann Begervil]

Non mais la, le mec a voulu donner un coup de main au CRS, en plus on peut pas dire qu'il soit hyper violent, c'est vraiment pour faire chier LREM.

Il faut être objectif, il me semble que les CRS avaient la chose en main,
l'individu semblait maitrisé, et de quel droit un type sorti d'on ne sait ou, arrive et tabasse en se dissimulant le visage,
Je n'aime pas ce genre de type qui s'attaque à un type maitrisé et au sol, pas sur que l'on ait de ce même fier à bras des vidéos de lui au milieu des blacks blocks
Pour la sanction, ça fait rire

tu as vu la video?
il ne tabasse personne, il aide juste le policier en civil a exfiltrer le manifestant qui se roule par terre et donne des coups de pied pour ne pas être emmené....

[Nitram]

Qu'un tel acte ne soit pas plus sévèrement puni est incompréhensible.

[LOFOTEN]

Et que faisait il là ?? Et pourquoi ?

Photo du Monde

[Abby]

il n' a pas pu réfreiner ses instincts policiers et gendarmesques
.

Je ne suis pas méchante, mais s'il vous arrivait qu'un de vos proches soit pris en otage, ou délivré d'un odieux pervners et tant d'autres exemples.... parleriez toujours des memes instincts ?

Quels sont les votres d'ailleurs, planqué derrière votre ordi ?

[Abby]

Non mais la, le mec a voulu donner un coup de main au CRS, en plus on peut pas dire qu'il soit hyper violent, c'est vraiment pour faire chier LREM.

[Nitram]

Non mais la, le mec a voulu donner un coup de main au CRS, en plus on peut pas dire qu'il soit hyper violent, c'est vraiment pour faire chier LREM.

Les CRS c'est leur métier. Ils n'ont pas besoin de l'aide d'un simple citoyen qui ne dispose d'aucune légitimité pour exercer une telle autorité.

[Yann Begervil]

Non mais la, le mec a voulu donner un coup de main au CRS, en plus on peut pas dire qu'il soit hyper violent, c'est vraiment pour faire chier LREM.

Les CRS c'est leur métier. Ils n'ont pas besoin de l'aide d'un simple citoyen qui ne dispose d'aucune légitimité pour exercer une telle autorité.

C'est un officier de gendarmerie, reconverti garde du corps, il etait en observation, il a voulu aider ses potes dans le feu de l'action. c'est humain.
bon, il n'aurait pas du, mais ce n'est pas un délinquant non plus.
la sanction est juste.

[UBUROI]

Non mais la, le mec a voulu donner un coup de main au CRS, en plus on peut pas dire qu'il soit hyper violent, c'est vraiment pour faire chier LREM.

Les CRS c'est leur métier. Ils n'ont pas besoin de l'aide d'un simple citoyen qui ne dispose d'aucune légitimité pour exercer une telle autorité.

C'est la question juridique qui se pose!
Ca et rien que ça.
Et ensuite, la sanction judiciaire doit venir.
De plus, pourquoi avoir sanctionner "administrativement" ce fait... sans que la justice n'ait été "en même temps" saisie?