Lion blanc a écrit :
Tu dois voir trouble, on le voit tabasser purement et simplement, ça mérite au moins la corectionelle..
Et puis, frapper des manifestants gauchos, cela mérite au minimum une médaille ! et la reconnaissance éternelle de la nation !
D'autant plus que ce monsieur lui au moins travaille le 1 Mai
Ceci dit il me semble que pas grand monde ici a assisté a un veritable "tabassage " je recommande un WE dans le 9.3 pour s' informer il apparait aussi que tous savent maîtriser tout en douceur un gugus qui comme d'hab dans toutes ces affaires refuse d'obtemperer
Bref , un pov ' fait divers pour alimenter les chroniqueurs une fois la coupe du monde terminee et occuper Corbiere et Coquerel
Ne vous cassez pas la tête...Ce personnage n'est rien d'autre que ce qu'on appelle un Barbouze de la République...
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
Il n’apparaît pas dans l’organigramme officiel de l’Elysée mais son visage est connu de ceux qui ont suivi Emmanuel Macron lors de ses déplacements. Alexandre Benalla, 26 ans, chargé de la sécurité du candidat pendant la campagne présidentielle, est en cœur d’une polémique.
Le Monde l’a identifié mercredi dans une vidéo publiée sur Internet, dans laquelle on le verrait, équipé d'un casque à visière des forces de l'ordre, agresser un manifestant place de la Contrescarpe à Paris le 1er mai dernier au milieu des CRS. Sollicité par Le Monde, le directeur de cabinet d’Emmanuel Macron, Patrick Strzoda, a confirmé qu’Alexandre Benalla était bien l’homme de la vidéo. 20 Minutes revient sur le parcours de ce collaborateur d’Emmanuel Macron, visé par une enquête préliminaire pour « violences par personne chargée d’une mission de service public » et « usurpation de fonctions ».
Dans la sécurité du Parti socialiste, viré par Montebourg:
Alexandre Benalla démarre sa carrière en 2011 au sein du service de sécurité du Parti socialiste, comme bénévole « à vingt ans à peine ». « C’est moi qui l’ai recruté et formé. Il fonctionnait bien, je n’avais aucun souci avec lui. Il avait des facilités concernant les techniques de protection rapprochée », confie à 20 Minutes Eric Plumer, l’historique chef du service d’ordre du PS, qui l’a affecté ensuite à la sécurité de Martine Aubry lors des primaires du PS en 2011. L’ancienne Première secrétaire du PS « n’a pas de souvenir particulier » d’Alexandre Benalla, mais évoque un homme « très jeune, plutôt discret », selon son entourage cité par l'AFP.
Il entre ensuite dans l’équipe sécurité de François Hollande entre mars et septembre 2012. « Il a acquis à cette période une grosse expérience de terrain qui est aussi enrichissante qu’une formation dispensée dans une école de sécurité », poursuit Eric Plumer.
Il devient chauffeur d’Arnaud Montebourg, au ministère du Redressement productif. Mais très vite, il est licencié, confirme le parti à 20 Minutes. « Il avait provoqué un accident de voiture en ma présence et voulait prendre la fuite », dit l’ancien ministre au Monde.
Des expériences dans le privé avec Vincent Crase, aussi impliqué dans la polémique:
Réserviste de la gendarmerie depuis 2009, Alexandre Benalla travaille pour le groupe de sécurité privée Velours entre 2012 et 2015. Cette année-là, son nom est inscrit au Journal officiel : le jeune titulaire d’un master de droit fait partie de la liste des candidats admis à suivre une session régionale de l’Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice, « une semaine de formation de haut niveau organisée à l’école des officiers de la gendarmerie à Melun », précise Le Monde.
Il monte en avril 2016 la Fédération française de la sécurité privée (FFSP), une « coquille vide inconnue des professionnels du secteur », écrit La Lettre A, avec Vincent Crase. Ce gendarme réserviste, employé de LREM, et ponctuellement mobilisé par l’Elysée accompagnait Alexandre Benalla le 1er mai dernier et a également été mis à pied. Et l’Elysée a également mis fin à toute collaboration avec lui.
Des commandes d’armement pendant la campagne d’Emmanuel Macron:
Après des expériences dans le privé, il rejoint la campagne présidentielle d’Emmanuel Macron. Il est alors responsable de la sécurité du candidat, pour un salaire de 3.500 euros net. Le quotidien Midi-Libre révélait alors l’un des dispositifs imaginés en cas d’attaque terroriste lors d’un meeting d’Emmanuel Macron : « Une trappe avait été sciée. En cas de tir, le pupitre devait basculer et Emmanuel Macron se retrouver dans la partie creuse de la scène où avait été placés un kit de secours et un gilet pare-balles », racontait un membre de l’équipe.
Un mail daté de mars 2017, révélé par wikileaks, montre qu’Alexandre Benalla et Vincent Crase souhaitaient armer l’équipe de sécurité du candidat de deux pistolets à balles non létales, de pistolets à gaz lacrymo, de boucliers anti-émeutes et d’un flashball. La demande avait « halluciné » certains proches du candidat. « Mais c’est juste hors de question ! », avait répondu Jean-Marie Girier, désormais chef de cabinet de Gérard Collomb au ministère de l’Intérieur.
Déjà des actes de violence ?
Le Monde révèle que lors d’un meeting d’Emmanuel Macron le 4 mars 2017, des témoins l’auraient vu évacuer sans ménagement un photographe local, coupable de s’être approché de trop près du candidat.
Un jeune militant communiste affirme àBuzzfeed avoir reçu « un coup de tête et une béquille » par Alexandre Benalla, lors de la déclaration de candidature d’Emmanuel Macron à Bobigny (Seine-Saint-Denis) en novembre 2016. Présent sur place, 20 Minutes avait constaté l’évacuation d’un jeune homme hors de l’atelier. « On m’a demandé de ne pas faire entrer des jeunes de l’établissement », nous disait alors un membre de l’équipe de sécurité.
Public Sénat rappelle enfin qu’en mars 2017, un de ses journalistes avait été « ceinturé » puis « poussé sur 50 mètres par l’officier de sécurité, Alexandre Benalla, qui lui arrache sans autre explication son accréditation presse ». La direction de la chaîne avait alors adressé une lettre à l’équipe du candidat.
Dans le dispositif de sécurité du chef de l’Etat
Après l’élection d’Emmanuel Macron, Alexandre Benalla reste dans le dispositif de sécurité du chef de l’Etat. 20 Minutes avait notamment constaté sa présence au côté du président en février dernier, lors d’une visite au Salon de l’Agriculture.
Chargé de mission auprès du chef de cabinet de la présidence au moment des manifestations du 1er mai, Alexandre Benalla a été « mis à pied pendant quinze jours avec suspension de salaire » et « démis de ses fonctions en matière d’organisation de la sécurité des déplacements du président », a indiqué ce jeudi Bruno Roger-Petit, porte-parole de la présidence. Depuis, l’Elysée assure au Monde qu’il est affecté à un poste administratif, chargé notamment de la sécurité d’événements organisés « à l’intérieur du palais ». Plusieurs internautes ont toutefois noté qu’Alexandre Benalla était présent lundi dans le bus des Bleus lors de la célébration de leur victoire sur les Champs-Elysées.
Source:20 Minutes.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
Crapulax a écrit : Ne vous cassez pas la tête...Ce personnage n'est rien d'autre que ce qu'on appelle un Barbouze de la République...
un barbouze n'est jamais aussi visible.
Vu que personne ne savait trop ce qu'il faisait je te dirais tout bêtement qu'il avait un casque...Peut-être pensait-il qu'il ne serait pas reconnu?....
....La preuve,il aura fallu attendre plusieurs mois avant de le savoir...
..Et parfois il y a des "dérapages visibles"...Tout comme lors du Rainbow Warrior...."Démasqués".......
Regardes Charles Pasqua.....L'Image d'un Homme droit et fortement respectable...Pourtant ancien Barbouze....
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
Mais quel raisonnement à la con, on ne parle pas d'un pervers ou d'une prise d'otage
Je vous retourne la question si l'un des vôtre même manifestant, était pris pour cible par un fou furieux déguisé en flic, vous accepteriez ??
Je n'"ai été vulgaire avec personne, merci de ne pas m'insulter sous le fallacieux prétexte que je ne pense pas la même chose que vous.
Ce n'est pas la personne que je traite de sotte mais le raisonnement
En tout cas jolie façon d'éluder la question, rien à dire sinon que
Vous pouvez vous construire un trône avec des baïonnettes, mais vous ne resterez pas assis longtemps dessus.
Boris Eltsine
vivarais a écrit : étonnant tout de même que cette affaire du premier mai ne fasse surface qu'aujourd'hui
soit 80 jours après
alors qu'un certain premier mai ; le coup de parapluie de gollnisch avait fait la une des médias des le lendemain et pendant un mois
pourquoi ce silence médiatique durant 80 jours pour des faits bien plus grave
comme toujours certaines affaires n'apparaissent que lorsqu'elles ne peuvent plus être tu
ce n'est pas sur macron qu'il faut s'acharner mais sur les médias qui ont manqué à leur devoir d'information
Peut être n'ont ils été que mis au courant que 80 jours après,
Vous pouvez vous construire un trône avec des baïonnettes, mais vous ne resterez pas assis longtemps dessus.
Boris Eltsine
Epicetou a écrit :
Il est toujours en poste, si tu appelles ça une sanction ...
Il n'est pas videur de boite de nuit, il bosse dans les plus hautes sphères de l'Etat, il se doit d'être exemplaire.
Il a ete mute a un poste administratif, il a recus un dernier avertissement avant licenciement, il a ete mis a pied deux semaine. Moi je crois ca suffisant au vue des images qui ne sont pas un tabassage, on ne le vois pas porter des coups, on le vois simplement en train d'essayer de le maitriser chose bien sur qu'il n'y n'aurait pas du fair vu qu'il n'y etait pas abilite mais de la a le licencier pour je trouve ca execif.
ll te faut consulter rapide si tu n'as pas vu ce qu'il a fait ou c'est simplement de la mauvaise foi
Vous pouvez vous construire un trône avec des baïonnettes, mais vous ne resterez pas assis longtemps dessus.
Boris Eltsine
Mesurons simplement les mensonges, Benalla aurait été placé dans un poste administratif , comment expliquer qu'il était dans le bus des bleus, juste encore un bobard de plus….A moins que son bureau soit extensible...
“L'intelligence défend la paix. L'intelligence a horreur de la guerre.”
Même si le sujet ne porte pas à rire, j'ai quand même le sourire aux lèvres.
J'ai 68 ans et je me suis intéressée à la politique (en général pas pour un parti) à l'age de 16 ans et quand je vois tout le foin pour cette affaire, les bras m'en tombent. Non pas que j'apprécie ce style de comportement, mais TOUS les presidents ont eu ce genre de personnage. Comme le rappelait Crapulax, je me souviens fort bien des nervis de Pasqua, et ce n'est qu'un exemple.
La difference, à l'époque il n'y avait ni portable, ni réseaux sociaux, donc cela ne partait pas toujours en vrille.
Mais quand j'entends les journalistes et vieux briscards de la politique jouer les vierges effarouchées, non messieurs, un peu de décence ! !!!
UBUROI a écrit : Un "gudard" de gauche puis d' "En marche"....à virer ces nauséeux!
LREM accepte vraiment n importe qui. Une vraie poubelle ma parole.
Oui c'est un peu ça l' ADN de LREM. Le pire de la gauche associé au pire de la droite ayant trahis leur partis respectifs pour marcher dans le sens du vent. On voit le résultat, on en ramasse un tous les matins pour une garde à vue ou une mise au placard. Depuis Ferrand ça n'arrête pas et encore heureux que la Justice fasse tout son possible pour sauver les apparences.
* il pleut doucement sur la ville *
* Et le poète soul engueulait l' Univers *
(Rimbaud)
Abby a écrit : Même si le sujet ne porte pas à rire, j'ai quand même le sourire aux lèvres.
J'ai 68 ans et je me suis intéressée à la politique (en général pas pour un parti) à l'age de 16 ans et quand je vois tout le foin pour cette affaire, les bras m'en tombent. Non pas que j'apprécie ce style de comportement, mais TOUS les presidents ont eu ce genre de personnage. Comme le rappelait Crapulax, je me souviens fort bien des nervis de Pasqua, et ce n'est qu'un exemple.
La difference, à l'époque il n'y avait ni portable, ni réseaux sociaux, donc cela ne partait pas toujours en vrille.
Mais quand j'entends les journalistes et vieux briscards de la politique jouer les vierges effarouchées, non messieurs, un peu de décence ! !!!
Et bien c est tant mieux si on peut en faire profiter un maximum de citoyens électeurs. Oui dans le temps on pratiquait de la même façon mais les fuites étaient rares. Merci au progrès technique.
La seule chose qui permet au mal de triompher est l inaction des hommes de bien.
Edmund Burke.
Crapulax a écrit : Ne vous cassez pas la tête...Ce personnage n'est rien d'autre que ce qu'on appelle un Barbouze de la République...
un barbouze n'est jamais aussi visible.
Exactement ; j'ai cherché 5 pages pour voir si il'y en avait un qui aurait cette présence d'ésprit , bah non , ça casse du sucre comme d'hab
Non seulement c'est un barbouze , et il doit emmarger au RG , comme électron libre , il y a un tas "d'officine " , la discrétion étant de mise , pour lui c'est loupé , alors "l'administration va faire un peu de cinéma , le pet sera écrasé , et dans qques mois on le retrouvera en mission moins médiatisable , ou en sous-marin dans un truc foireux organisé par la république ....
Des agents comme lui , il y en a des centaines
bizzare : aucun des habitués des lambris du pouvoir ne pipe mot la-dessus , par contre ,on s'offusque à qui mieux mieux
A défaut , il pourra toujours assurer la sécurité à Euro disney ,déguisé en Pluto
