Fonck1 a écrit :tu parlais de lait, pas de fromage.vivarais a écrit :
et quel type de fromages consomment le plus les britanniques
qui en fait ? nous ou ceux qui ont une culture britannique comme la nouvelle Zélande
comme vous dites : Le Royaume-Uni est le 9ème pays producteur de lait dans le monde et le 3ème en Europe.
L’élevage laitier représente le plus grand secteur agricole du Royaume-Uni avec une valeur totale de £3,8 milliards soit 17% de la production agricole du Royaume-Uni.
donc ce n'est pas sur ce produit que le bréxit handicapera le RU
de plus la nouvelles zélande sait s'adapter aux demandes du marché international
elle n'a pas de contraintes de directives venant de tiers comme nous , de plus elle a du potentiel de développement
n'oubliez pas qu'un tiers de ses agriculteurs ont disparu avec la suppression des aides d'état
seuls ceux ayant le potentiel d'adaptation sont restés et ils sont capable de s'adapter à tout nouveau marché que se présentera
surtout lorsque des accords de libre echanges existent déja avecle commondwealt
de plus, il y a une question de besoin et de rendement et surtout de production.
tout le monde n'en fabrique pas.
en plus, personne ne peut copier les fromages, ce sont de AOP.
ils payeront bien des taxes.
tu crois que ça ne coute rien le lait transporté?
tu verras que le brexit sera en la défaveur des brinatiques (d'autant plus si l'irlande et l'écosse se séparent d'eux)
https://www.rlf.fr/actualites/la-filier ... YH7YX.html
« Sans accord commercial bilatéral, le Royaume-Uni n’aura plus accès au marché européen pour ses produits laitiers, sauf à payer les droits à l’importation très élevés qui protègeraient le marché européen des importations en provenance des pays tiers. De même, les exportations françaises et européennes de produits laitiers devront payer des droits à l’importation pour rentrer au Royaume-Uni qui restent à définir mais pourraient être prohibitifs, rendant nos produits non compétitifs si les autorités britanniques décident d’ouvrir leur marché aux produits américains, néozélandais ou australiens », met en garde Gérard Calbrix, d’Atla.
ATTENTION À NE PAS SUIVRE L’EXEMPLE BRITANNIQUE
« Un futur accord commercial entre le Royaume-Uni et les États- Unis entraînera inévitablement un abaissement des normes alimentaires, ce qui pourrait conduire à l’introduction de boeuf aux hormones ou de poulet chloré au Royaume-Uni. Nous n’accepterions jamais d’abaisser les normes au sein de l’Union ; nous avons d’ailleurs réussi à les préserver dans tous nos accords commerciaux au niveau mondial », s’est insurgé le commissaire européen à l’Agriculture, Phil Hogan, lors du Congrès de la FNPL à Langres en mars dernier, appelant les agriculteurs français à ne pas suivre l’exemple britannique au moment du vote pour la présidentielle. « Il y aura toujours des responsables politiques pour vendre des rêves complètement déconnectés des faits et de la réalité. Aujourd’hui, nous le savons, la politique agricole renationalisée ne garantira pas d’aide aux revenus au-delà de 2020 pour les agriculteurs anglais. Je ne souhaite laisser personne dire que la PAC et l’Union européenne ne sont pas là pour soutenir les agriculteurs. »
pourquoi agiter de croquemitaines
poulet chloré , nous même est c e que nous ne mangeons pas de la salade chlorée triée et emballée sous vide
l'eau potable de notre robinet n'est elle pas chlorée et bien plus le Week du fait d'une baisse des équipes de surveillance
viandes aux hormones n'avons nous pas produit pendant des décennies de la viande aux hormones et tous ceux de plus de 20 ans en ont mangé au quotidien
dans 10 ou 15 ans on essaiera de faire peur avec les pesticides que nous n'utiliserons plus , mais qu'aujourd'hui nous utilisons
le RU est le 3 ieme producteur laitier européen
vous pensez qu'ils auront besoin du lait européen alors que 9 ieme producteur mondial donc exportateur