Brexit: Le débat

[Fonck1]

Malheureusement pour les anglais, c'est ce qu'il se dessine, et ils vont y laisser beaucoup beaucoup.
c'est plus facile de détruire que de construire.

[vivarais]

Malheureusement pour les anglais, c'est ce qu'il se dessine, et ils vont y laisser beaucoup beaucoup.
c'est plus facile de détruire que de construire.

où l'inverse , il faut savoir détruire pour mieux reconstruire
selon le cas ce peut etre facile dans les 2 sens
mais pourquoi ce specimisme plutôt que d'attendre
il ne reste que 7 mois et après nous aurons jusqu'en 2022 pour voir
lorsque l'on insiste ainsi c'est que l'on craint d'avoir tort
et je me demande bien pourquoi nous français aurions peur ce qui pourraient arriver aux britanniques
pour moi cela ne changera rien , je serais toujours obligé de changer mes euros en livres lorsque j'irais voir ma fille et mes petits enfants et inversement aussi pour la fille et mon gendre lorsqu'ils viendront maintenant me voir non plus en France , mais en allemagne

[LeGrandNoir]

Brexit: HSBC rattache des activités européennes à sa filiale française

La banque HSBC a annoncé lundi le rattachement à sa filiale française d'activités européennes qui étaient jusqu'à présent contrôlées depuis Londres, au moment où le secteur financier accélère les préparatifs en vue du Brexit.

HSBC a annoncé ces changements de périmètre dans un communiqué publié par HSBC France, quelques heures après avoir dévoilé des résultats mitigés pour le deuxième trimestre.

La première banque européenne ne fait pas référence explicitement au Brexit, mais explique qu'elle "ajuste ses activités" pour continuer à servir au mieux ses clients "dans un contexte d'évolution politique et réglementaire en Europe".

Dans les faits, sa filiale britannique HSBC Bank, basée à Londres, va perdre le contrôle de sept succursales européennes, qui seront désormais rattachées à HSBC France, à Paris. Il s'agit des activités de la banque en Belgique, République tchèque, Irlande, Italie, Luxembourg, Pays-Bas et Espagne.

Un peu de taf pour les français.

[Peracetic]

bonjour

Toutes les conséquences ne seront pas roses !
Lisez cet article
https://www.ouest-france.fr/europe/gran ... te-5911144
« il(l'impact ) sera très fort puisque, dans l’hypothèse d’un retour aux règles de l’Organisation mondiale du commerce, les entreprises françaises devront supporter de nombreux coûts supplémentaires. Les marchandises françaises exportées au Royaume-Uni se verront infliger des tarifs douaniers. Les sociétés devront faire certifier leurs produits. Des chaînes d’approvisionnement seront rompues, et les produits français seront mis en concurrence. Si vous prenez des vins de Bordeaux, leur prix va augmenter au Royaume-Uni et certains vins d’Afrique du Sud et du Chili, par exemple, seront plus compétitifs. Et suite ... »
Conclusion :certaines entreprises pourront mettre la clef sous la porte ? 
« C’est le risque, effectivement. C’est un scénario très noir, d’où la nécessité de s’y préparer. 15 000 à 20 000 PME, c’est des milliers d’emplois en jeu »

[LeGrandNoir]

Le Brexit est mauvais, c'est un fait. Dans le malheur, il faut se servir des plats qui passent.

[Fonck1]

Malheureusement pour les anglais, c'est ce qu'il se dessine, et ils vont y laisser beaucoup beaucoup.
c'est plus facile de détruire que de construire.

où l'inverse , il faut savoir détruire pour mieux reconstruire
selon le cas ce peut etre facile dans les 2 sens
mais pourquoi ce specimisme plutôt que d'attendre
il ne reste que 7 mois et après nous aurons jusqu'en 2022 pour voir
lorsque l'on insiste ainsi c'est que l'on craint d'avoir tort
et je me demande bien pourquoi nous français aurions peur ce qui pourraient arriver aux britanniques
pour moi cela ne changera rien , je serais toujours obligé de changer mes euros en livres lorsque j'irais voir ma fille et mes petits enfants et inversement aussi pour la fille et mon gendre lorsqu'ils viendront maintenant me voir non plus en France , mais en allemagne

défaire et refaire ne fait pas progresser.

[Fonck1]

bonjour

Toutes les conséquences ne seront pas roses !
Lisez cet article
https://www.ouest-france.fr/europe/gran ... te-5911144
« il(l'impact ) sera très fort puisque, dans l’hypothèse d’un retour aux règles de l’Organisation mondiale du commerce, les entreprises françaises devront supporter de nombreux coûts supplémentaires. Les marchandises françaises exportées au Royaume-Uni se verront infliger des tarifs douaniers. Les sociétés devront faire certifier leurs produits. Des chaînes d’approvisionnement seront rompues, et les produits français seront mis en concurrence. Si vous prenez des vins de Bordeaux, leur prix va augmenter au Royaume-Uni et certains vins d’Afrique du Sud et du Chili, par exemple, seront plus compétitifs. Et suite ... »
Conclusion :certaines entreprises pourront mettre la clef sous la porte ? 
« C’est le risque, effectivement. C’est un scénario très noir, d’où la nécessité de s’y préparer. 15 000 à 20 000 PME, c’est des milliers d’emplois en jeu »

après ça on va te dire que le libéralisme c'est mal....

[latresne]

"3 bras de fer sont en cours sur ce dossier .
Un bras de fer au sein du parti conservateur britannique entre souverainistes pur et dur ,et réalistes sensibles aux inquiétudes du monde économique.
Un 2 iè bras de fer se joue au parlement de Londres entre transfuges potentiels d'un parti à l'autre pour esquisser une possible majorité sur un texte de sortie de l'UE .
Enfin le bras de fer véritable entre le gouvernement de T. May et ses partenaires européens jusqu'ici unis pour afficher une volonté de dialogue sans concession.
A3 mois de l'échéance la tentation peut être grande chez les dirigeants européens de laisser le R.U. suivre la pente pour le punir .Ce serait une erreur .Le Brexit est autant une crise Européenne que Britannique et mm anglaise.
Les péchés d'orgueil peuvent être mauvais conseillers.
A l'heure où la démocratie en tant que telle est de + en + menacée,l'allié britannique est essentiel .Car + brutal sera le Brexit et + durable sera l'écho nationaliste de la crise du continent."
Ouest France.
Il faut rendre cette justice aux britanniques ils sont tenaces , volontaires ,courageux .Ils assument tjrs leurs choix ,mm si ça doit leur coûter cher .Chaque pays regarde ses intéréts .A l'époque pour Churchill ,c'était le grand large .
"Un homme peut avoir des amis .Une nation jamais ."
Faut pas se faire du souci pour eux .Si ça se passe mal ils retrousseront leurs manches et redresseront la barre . Ca prendra le temps qu'il faudra.
Je suis + inquiet pour nous .Nous n'avons pas cette esprit de solidarité qui les caractérise .
Nous ne sommes pas une équipe avec le sens magnifique que signifie ce mot.

[Nitram]

"3 bras de fer sont en cours sur ce dossier .
Un bras de fer au sein du parti conservateur britannique entre souverainistes pur et dur ,et réalistes sensibles aux inquiétudes du monde économique.
Un 2 iè bras de fer se joue au parlement de Londres entre transfuges potentiels d'un parti à l'autre pour esquisser une possible majorité sur un texte de sortie de l'UE .
Enfin le bras de fer véritable entre le gouvernement de T. May et ses partenaires européens jusqu'ici unis pour afficher une volonté de dialogue sans concession.
A3 mois de l'échéance la tentation peut être grande chez les dirigeants européens de laisser le R.U. suivre la pente pour le punir .Ce serait une erreur .Le Brexit est autant une crise Européenne que Britannique et mm anglaise.
Les péchés d'orgueil peuvent être mauvais conseillers.
A l'heure où la démocratie en tant que telle est de + en + menacée,l'allié britannique est essentiel .Car + brutal sera le Brexit et + durable sera l'écho nationaliste de la crise du continent."
Ouest France.
Il faut rendre cette justice aux britanniques ils sont tenaces , volontaires ,courageux .Ils assument tjrs leurs choix ,mm si ça doit leur coûter cher .Chaque pays regarde ses intéréts .A l'époque pour Churchill ,c'était le grand large .
"Un homme peut avoir des amis .Une nation jamais ."
Faut pas se faire du souci pour eux .Si ça se passe mal ils retrousseront leurs manches et redresseront la barre . Ca prendra le temps qu'il faudra.
Je suis + inquiet pour nous .Nous n'avons pas cette esprit de solidarité qui les caractérise .
Nous ne sommes pas une équipe avec le sens magnifique que signifie ce mot.

Tu nous dis que sur les 3 bras de fer, 2 sont au sein du Royaume-Uni partout tu nous vantes leur solidarité, n'est-ce pas contradictoire ?

Les partisans du Brexit dur, effrayés par la perspective d'une sortie sans accord (qu'ils défendaient encore il y a peu), ont trouvé une bouée de sauvetage : selon eux l'UE serait obligée de signer un accord en vertu de l'article 8 :
"1. L'Union développe avec les pays de son voisinage des relations privilégiées, en vue d'établir un espace de prospérité et de bon voisinage, fondé sur les valeurs de l'Union et caractérisé par des relations étroites et pacifiques reposant sur la coopération."
Cet article 8 dit donc que l'UE développe des relations privilégiées avec ses voisins, dont le Royaume-Uni fera partie une fois sortie.
Cependant ils oublient le paragraphe 2 de cet article :
"2. Aux fins du paragraphe 1, l'Union peut conclure des accords spécifiques avec les pays concernés. Ces accords peuvent comporter des droits et obligations réciproques ainsi que la possibilité de conduire des actions en commun. Leur mise en oeuvre fait l'objet d'une concertation périodique."
Peut conclure donc, en aucun cas une obligation.
Sans oublier que l'article 50 indique clairement que la sortie peut se faire sans accord.

[latresne]

"3 bras de fer sont en cours sur ce dossier .
Un bras de fer au sein du parti conservateur britannique entre souverainistes pur et dur ,et réalistes sensibles aux inquiétudes du monde économique.
Un 2 iè bras de fer se joue au parlement de Londres entre transfuges potentiels d'un parti à l'autre pour esquisser une possible majorité sur un texte de sortie de l'UE .
Enfin le bras de fer véritable entre le gouvernement de T. May et ses partenaires européens jusqu'ici unis pour afficher une volonté de dialogue sans concession.
A3 mois de l'échéance la tentation peut être grande chez les dirigeants européens de laisser le R.U. suivre la pente pour le punir .Ce serait une erreur .Le Brexit est autant une crise Européenne que Britannique et mm anglaise.
Les péchés d'orgueil peuvent être mauvais conseillers.
A l'heure où la démocratie en tant que telle est de + en + menacée,l'allié britannique est essentiel .Car + brutal sera le Brexit et + durable sera l'écho nationaliste de la crise du continent."
Ouest France.
Il faut rendre cette justice aux britanniques ils sont tenaces , volontaires ,courageux .Ils assument tjrs leurs choix ,mm si ça doit leur coûter cher .Chaque pays regarde ses intéréts .A l'époque pour Churchill ,c'était le grand large .
"Un homme peut avoir des amis .Une nation jamais ."
Faut pas se faire du souci pour eux .Si ça se passe mal ils retrousseront leurs manches et redresseront la barre . Ca prendra le temps qu'il faudra.
Je suis + inquiet pour nous .Nous n'avons pas cette esprit de solidarité qui les caractérise .
Nous ne sommes pas une équipe avec le sens magnifique que signifie ce mot.

Tu nous dis que sur les 3 bras de fer, 2 sont au sein du Royaume-Uni partout tu nous vantes leur solidarité, n'est-ce pas contradictoire ?

Les partisans du Brexit dur, effrayés par la perspective d'une sortie sans accord (qu'ils défendaient encore il y a peu), ont trouvé une bouée de sauvetage : selon eux l'UE serait obligée de signer un accord en vertu de l'article 8 :
"1. L'Union développe avec les pays de son voisinage des relations privilégiées, en vue d'établir un espace de prospérité et de bon voisinage, fondé sur les valeurs de l'Union et caractérisé par des relations étroites et pacifiques reposant sur la coopération."
Cet article 8 dit donc que l'UE développe des relations privilégiées avec ses voisins, dont le Royaume-Uni fera partie une fois sortie.
Cependant ils oublient le paragraphe 2 de cet article :
"2. Aux fins du paragraphe 1, l'Union peut conclure des accords spécifiques avec les pays concernés. Ces accords peuvent comporter des droits et obligations réciproques ainsi que la possibilité de conduire des actions en commun. Leur mise en oeuvre fait l'objet d'une concertation périodique."
Peut conclure donc, en aucun cas une obligation.
Sans oublier que l'article 50 indique clairement que la sortie peut se faire sans accord.

L'art 8 laisse la porte entrouverte pour un retour des anglais au bercail si ils le désiraient sans trop de casse .
Le + à craindre chez les ténors ,Merkel ,Macron ,c'est que ce départ en entraine d'autres .Il faut donc que l'UE ,pris entre 2 feux montre son unité ,sa détermination ..mais pas trop non +.
De tte façon il y aura tjrs des échanges commerciaux .Le calcul a prouvé que tt le monde allait y perdre.
Ca été souligné ici par un participant ,pour H. Moukanas :"..l'impact sur les entreprises françaises sera trés fort ...elles devront supporter de nbreux coûts supplémentaires .Les marchandises françaises exportées au RU se verront infliger des tarifs douaniers ..des chaînes d'approvisionnement seront rompues et les produits français mis en concurrence.Si vous prenez les vins de BX leur prix va augmenter et certains vins d'Afrique du Sud ou du Chili seront + compétitifs.
Nous avons estimé à 4 milliards d'euros par an le montant à supporter pour les entreprises françaises ...Le Brexit provoquera des investissements supplémentaires et une migration des talents ..Certaines entreprises mettront la clef sous la porte.Scénario trés noir . Pour 15.000/20.000 PME c'est des milliers d'emplois en jeu .."

[Nitram]

La crainte de l'absence d'accord sur le Brexit fait chuter la livre sterling à son plus bas niveau de l'année.
https://forex.tradingsat.com/cours-livr ... 19641.html

Conséquence : le coût des vacances des Britanniques augmente considérablement
http://www.slate.fr/story/165641/le-bre ... itanniques

[latresne]

La crainte de l'absence d'accord sur le Brexit fait chuter la livre sterling à son plus bas niveau de l'année.
https://forex.tradingsat.com/cours-livr ... 19641.html

Conséquence : le coût des vacances des Britanniques augmente considérablement
http://www.slate.fr/story/165641/le-bre ... itanniques

Lespartisans du Brexit ,partent du principe que les 2 premières années vont être trés difficiles qu'ensuite ça va se stabiliser et qu'à partir de 2022 le rebond sera là.
Faudra surveiller .Mais les anglais mm si ils se sont trompés se retourneront vers le grand large ou chercheront et trouveront
une issue une solution ailleurs.Ils ne sont pas du style à pleurnicher.

[Fonck1]

Le nombre de candidats venus de l'étranger décline. En réaction, les entreprises augmentent les salaires de départ.

Le Brexit n'est pas encore effectif, mais ses effets se font déjà ressentir sur l'immigration. D'après une enquête menée auprès de 2.000 employeurs et relayées par le « Guardian », les entreprises britanniques souffrent d'une pénurie de main-d'oeuvre car moins de citoyens européens viennent travailler au Royaume-Uni.

Depuis l'été dernier, le nombre de candidats par poste vacant a baissé, que ce soit pour des postes qualifiés ou non, d'après les données de l'Institut britannique du personnel et du développement (CIPD).

Dans le détail, le nombre de candidats postulant pour un poste peu qualifié est passé de 24 à 20 depuis l'an dernier, de 19 à 10 pour un poste moyennement qualifié et de 8 à 6 pour un poste hautement qualifié.



L'institut relie directement cette pénurie au déclin du nombre de candidats venus de l'étranger. Selon les derniers chiffres officiels, le nombre de personnes venant de l'UE vers le Royaume-Uni est tombé à son plus bas niveau depuis 2013, avec un chiffre net de 101.000 en 2017.

« Cela alimente les problèmes croissants de recrutement et de rétention, en particulier dans les secteurs qui ont toujours compté sur la main-d'oeuvre non britannique », explique Gerwyn Davies, du CIPD.
Augmentation des salaires de départ

Pour continuer à attirer des candidats, la moitié des entreprises ayant eu des problèmes de recrutement ont déclaré avoir augmenté leurs salaires de départ. « Dans cet environnement où les candidats sont peu nombreux, les employeurs doivent non seulement offrir un salaire attractif, mais aussi des avantages supplémentaires », abonde Alex Fleming, un des recruteurs du groupe Adecco, qui a participé au sondage.

Alors que la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne est prévue en mars 2019, le gouvernement britannique s'en tient à un discours rassurant sur la question de l'immigration. « Le Royaume-Uni continuera d'être le pays ouvert qu'il a toujours été », a déclaré un porte-parole du gouvernement. « Nous mettrons en place un système d'immigration qui permette de contrôler qui vient au Royaume-Uni, mais qui accueillera les plus brillants, qui veulent travailler dur ».

A ce sujet, en juin dernier, le ministre de l'Intérieur britannique avait promis aux citoyens européens vivant au Royaume-Uni et souhaitant y rester après le Brexit « des procédures simples, courtes et faciles à utiliser » pour obtenir un titre de séjour permanent.

Près de quatre millions de ressortissants européens vivent au Royaume-Uni ont jusqu'au 30 juin 2021 pour déposer une demande de titre de séjour, en commençant à partir de cet automne.

[gare au gorille]

Le nombre de candidats venus de l'étranger décline. En réaction, les entreprises augmentent les salaires de départ.

Le Brexit n'est pas encore effectif, mais ses effets se font déjà ressentir sur l'immigration. D'après une enquête menée auprès de 2.000 employeurs et relayées par le « Guardian », les entreprises britanniques souffrent d'une pénurie de main-d'oeuvre car moins de citoyens européens viennent travailler au Royaume-Uni.

Depuis l'été dernier, le nombre de candidats par poste vacant a baissé, que ce soit pour des postes qualifiés ou non, d'après les données de l'Institut britannique du personnel et du développement (CIPD).

Dans le détail, le nombre de candidats postulant pour un poste peu qualifié est passé de 24 à 20 depuis l'an dernier, de 19 à 10 pour un poste moyennement qualifié et de 8 à 6 pour un poste hautement qualifié.



L'institut relie directement cette pénurie au déclin du nombre de candidats venus de l'étranger. Selon les derniers chiffres officiels, le nombre de personnes venant de l'UE vers le Royaume-Uni est tombé à son plus bas niveau depuis 2013, avec un chiffre net de 101.000 en 2017.

« Cela alimente les problèmes croissants de recrutement et de rétention, en particulier dans les secteurs qui ont toujours compté sur la main-d'oeuvre non britannique », explique Gerwyn Davies, du CIPD.
Augmentation des salaires de départ

Pour continuer à attirer des candidats, la moitié des entreprises ayant eu des problèmes de recrutement ont déclaré avoir augmenté leurs salaires de départ. « Dans cet environnement où les candidats sont peu nombreux, les employeurs doivent non seulement offrir un salaire attractif, mais aussi des avantages supplémentaires », abonde Alex Fleming, un des recruteurs du groupe Adecco, qui a participé au sondage.

Alors que la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne est prévue en mars 2019, le gouvernement britannique s'en tient à un discours rassurant sur la question de l'immigration. « Le Royaume-Uni continuera d'être le pays ouvert qu'il a toujours été », a déclaré un porte-parole du gouvernement. « Nous mettrons en place un système d'immigration qui permette de contrôler qui vient au Royaume-Uni, mais qui accueillera les plus brillants, qui veulent travailler dur ».

A ce sujet, en juin dernier, le ministre de l'Intérieur britannique avait promis aux citoyens européens vivant au Royaume-Uni et souhaitant y rester après le Brexit « des procédures simples, courtes et faciles à utiliser » pour obtenir un titre de séjour permanent.

Près de quatre millions de ressortissants européens vivent au Royaume-Uni ont jusqu'au 30 juin 2021 pour déposer une demande de titre de séjour, en commençant à partir de cet automne.

Ils sont cons ces britanniques, ils vont manquer d'émigrés. Nous on a beaucoup de chance, des émigrés on en a plein sous des abris de fortunes, dans nos églises, on a déjà rempli tous nos Formules 1 avec, en fait on sait plus ou les mettre.

[Peracetic]

bonsoir Fonck
Pour compléter votre info

3.474 Français à déposer, l’an dernier, un dossier pour acquérir la citoyenneté britannique. Ce chiffre montre une tendance très forte de l’inquiétude des citoyens français, puisqu’ils n’étaient que 920 en 2015 et 1.265 en 2016 à lancer les démarches pour changer de nationalité.
Selon un article du quotidien Le Monde, “au total, 2.862 procédures (de demande de nationalité britannique, NDLR) ont abouti l’année dernière, soit près de quatre fois plus que deux ans auparavant”. Parmi les autres ressortissants européens, on compte aussi les Allemands avec 3 129 demandes en 2017, alors qu’ils n’étaient que 757 en 2015. “La progression la plus importante vient des pays scandinaves : en 2017, huit fois plus de Danois et cinq fois plus de Finlandais ont obtenu la double nationalité qu’au cours de l’année 2015”, commente le journal français.
A l’inverse, selon les derniers chiffres du ministère de l’Intérieur français, 3.173 Britanniques ont déposé une requête auprès de la France en 2017, alors qu’ils n’étaient que 386 en 2015.