Jacob Rees-Mogg, chef de file des députés conservateur pro-Brexit : "Theresa May a abdiqué devant Bruxelles, avec ce plan on devient un Etat esclave de l'UE".vivarais a écrit :Nitram a écrit : Dans ce projet d'accord le Royaume-Uni a cédé sur l'Irlande du Nord.
Mais bon continue à croire ce que tu veux ...
cela m'étonnerait fort mais on aura les conclusions dans 4 mois le 19 mars
dejà le rève d'un second référendum de certains s'est envolé
et il serait étonnant que je me trompe vu que les britanniques je les subis depuis plus de 20 ans avec la belle famille de ma fille
je ne crois rien maiss je présage simplement comment ce sera
Brexit: Le débat
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Re: Brexit: Le débat
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Re: Brexit: Le débat
il ne s'agit pas de sondage mais de comportement et de trait de caractèrevincent a écrit :vivarais a écrit :
cela m'étonnerait fort mais on aura les conclusions dans 4 mois le 19 mars
dejà le rève d'un second référendum de certains s'est envolé
et il serait étonnant que je me trompe vu que les britanniques je les subis depuis plus de 20 ans avec la belle famille de ma fille
je ne crois rien maiss je présage simplement comment ce sera
je ne sais pas si eux ne pensent pas la même chose . Mais sachez que votre"sondage famililal" sur lequel s'appuient vos analyse n 'est pas trés représentatif mais bon , pour une fois que vous donnez des sources , on s'en contentera
un britannique prefere ne rien avoir que de faire un deal qui n'est pas à son avantage
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Re: Brexit: Le débat
Il a raison. La seul solution pour que le RU puisse continuer à jouir du libre échange avec nous, c’est qu’il respecte notre législation et nos normes, on ne va pas pénaliser nos producteurs qui respectent des cahiers des charges rigoureux. Donc, puisque c’est leur décision ils ne participeront plus Aux décisions mais continueront à les suivre, comme la Norvège...ou la Suisse.Nitram a écrit :Jacob Rees-Mogg, chef de file des députés conservateur pro-Brexit : "Theresa May a abdiqué devant Bruxelles, avec ce plan on devient un Etat esclave de l'UE".vivarais a écrit :
cela m'étonnerait fort mais on aura les conclusions dans 4 mois le 19 mars
dejà le rève d'un second référendum de certains s'est envolé
et il serait étonnant que je me trompe vu que les britanniques je les subis depuis plus de 20 ans avec la belle famille de ma fille
je ne crois rien maiss je présage simplement comment ce sera
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10:6 Et s'il se trouve là un enfant de paix, votre paix reposera sur lui; sinon, elle reviendra à vous.
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Re: Brexit: Le débat
Je crois savoir que le R.U. importe plus qu'il n'exporte avec l'U.E. Si on durci les conditions de marché, suis pas sur que se soit le R.U. qui y perde le plus.
Le chef de file des conservateurs pro brexit a raison de reprocher à Théresa May de trop céder au chantages de l'U.E.
Le chef de file des conservateurs pro brexit a raison de reprocher à Théresa May de trop céder au chantages de l'U.E.
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Re: Brexit: Le débat
.................................Brexit : un projet d'accord conclu entre Londres et Bruxelles.................................
http://www.lefigaro.fr/international/20 ... sa-may.php
Source:Le Figaro.
Les négociateurs britanniques et européens sont parvenus à s'accorder sur un texte qui permettra notamment d'éviter le rétablissement d'une frontière physique en Irlande du Nord. Theresa May va présenter mercredi à son gouvernement ce projet de divorce, déjà critiqué de toutes parts.
L'heure de vérité sur le Brexit est arrivée, 873 jours après le référendum. Après des jours d'attente et de reports, les principaux ministres ont été conviés un par un, mardi soir, à Downing Street par Theresa May pour prendre connaissance d'une ébauche d'accord sur le divorce avec l'Union européenne, avant d'en débattre ensemble lors d'un conseil des ministres extraordinaire, mercredi en début d'après-midi.
De la fumée blanche est enfin sortie de la salle de la Commission de Bruxelles où s'étaient retranchés depuis des semaines, dans un «tunnel» de négociations, l'émissaire de la première ministre, Olly Robbins, et son équipe, avec celle du représentant européen Michel Barnier. Les Vingt-Sept devraient réunir leurs ambassadeurs en parallèle, puis leurs ministres des Affaires européennes, dès mercredi après-midi ou en début de semaine prochaine.
Theresa May avait annoncé le «dénouement» proche, lors d'un discours dans la City lundi soir. Le conseil des ministres habituel du mardi s'était tenu sans grain à moudre. Mais les membres du gouvernement avaient reçu la consigne de se tenir prêts à revenir à Downing Street très vite. Les négociations se sont tendues ces derniers jours, expliquant ces reports en série.
Theresa May aimerait pouvoir faire signer un «deal» par les Vingt-Sept, lors d'un sommet extraordinaire des chefs d'État et de gouvernement à Bruxelles d'ici à la fin novembre, puis le présenter pour ratification au Parlement britannique avant Noël. Si ce timing dérape, le risque redouté est de tomber dans une zone incertaine qui ferait s'accroître la probabilité d'une sortie de l'UE sans accord le 29 mars («no deal»).
À Bruxelles, on précisait que le texte à l'étude est «stabilisé» mais pas encore «finalisé». La principale percée porte, après des mois de blocage, sur le mécanisme («backstop» dans le jargon) destiné à empêcher le retour d'une frontière physique entre la province britannique d'Irlande du Nord et la République d'Irlande, membre de l'UE. La solution d'origine des Vingt-Sept consistant à conserver l'Ulster dans l'union douanière européenne avait été refusée par Londres, qui a proposé à la place que ce soit le cas pour l'ensemble du Royaume-Uni, afin de ne pas diviser son territoire intérieur.+
Ça ou le «no deal»:
Bruxelles a accepté, malgré les réticences de certains États membres, dont l'Irlande, qui y voient un régime de faveur pour un pays tiers. Dublin, très influent dans le bras de fer entre l'UE et le Royaume-Uni, estimait d'ailleurs mardi qu'un accord était loin d'être conclu. Theresa May ne manquera pas de présenter cette disposition comme une concession majeure arrachée aux Européens, qui y trouvent pourtant leur compte sur le plan commercial. Un différend subsistait ces derniers jours sur la durée de ce régime provisoire, en attendant la conclusion d'un traité de libre-échange et la possibilité d'en sortir. L'accord prévoirait un mécanisme d'arbitrage entre l'UE et le Royaume-Uni pour trancher ce point.
Theresa May espère vendre sa solution à ses ministres comme le meilleur accord possible. Plusieurs d'entre eux, dont celui en charge du Brexit, Dominic Raab (même si les négociations sont en fait largement menées en direct par Downing Street), rejetaient jusqu'à présent les conditions «totalement inacceptables» imposées par les Européens.
Pour le chef de file des «Brexiters», Boris Johnson, qui a claqué la porte du gouvernement dès juillet, l'accord «signifiera une reddition du Royaume-Uni». «Nous serons condamnés à rester dans l'Union douanière sous le contrôle réglementaire de Bruxelles», peste-t-il. «Si la question est «vais-je voter contre cet accord?», la réponse est oui». Les mêmes justifications invoquées par son frère cadet, moins célèbre et partisan, lui, du maintien dans l'UE, Jo Johnson, en démissionnant à son tour du gouvernement vendredi.
L'obstacle du gouvernement:
Mardi, il appelait dans le Times ses collègues à «prendre du recul sur ce processus lamentable et à se demander si le choix qui nous est offert entre la vassalité (à l'UE) et le chaos (d'une sortie sans accord) peut vraiment représenter l'intérêt national». Quatre autres ministres proeuropéens songeraient aussi à la démission, de même qu'un ou deux «brexiters». C'est pourquoi Theresa May marche sur des œufs. Elle s'efforcera donc d'arracher l'approbation de son cabinet - même si certains doivent se boucher le nez - en lui rappelant les risques d'un «no deal». Le «Brexiter» Jacob Rees-Mogg appelle ces derniers à bloquer l'accord.
Après l'obstacle du gouvernement, la première ministre devra franchir celui, encore plus incertain, de la ratification par le Parlement. L'agitation monte. Les députés ont forcé mardi l'exécutif à publier l'argumentaire juridique de l'accord de retrait de l'UE - des milliers de pages de documents - pour ne pas être mis au pied du mur sans connaissance de cause. Et l'alternative présentée entre cet accord, tant attendu mais déjà si décrié, et le chaos d'un «no deal», est rejetée par les partisans, de plus en plus nombreux - dont Johnson Junior - d'un nouveau référendum sur le Brexit.
http://www.lefigaro.fr/international/20 ... sa-may.php
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Re: Brexit: Le débat
gare au gorille a écrit : Je crois savoir que le R.U. importe plus qu'il n'exporte avec l'U.E. Si on durci les conditions de marché, suis pas sur que se soit le R.U. qui y perde le plus.
Le chef de file des conservateurs pro brexit a raison de reprocher à Théresa May de trop céder au chantages de l'U.E.
Paris veut rafler une partie du marché de l'or londonien
Brexit aidant, la Banque de France s'est associée à la banque américaine JP Morgan en vue de concurrencer la City sur le marché de l'or. De notre correspondant à Londres, Marc Roche
Publié le 13/11/2018 à 15:23 | Le Point.f
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Re: Brexit: Le débat
gare au gorille a écrit : Je crois savoir que le R.U. importe plus qu'il n'exporte avec l'U.E. Si on durci les conditions de marché, suis pas sur que se soit le R.U. qui y perde le plus.
Le chef de file des conservateurs pro brexit a raison de reprocher à Théresa May de trop céder au chantages de l'U.E.
cette analyse vient d'un parent marié a une anglaise ? on en a déja un comme vous en rayon
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Re: Brexit: Le débat
vincent a écrit :gare au gorille a écrit : Je crois savoir que le R.U. importe plus qu'il n'exporte avec l'U.E. Si on durci les conditions de marché, suis pas sur que se soit le R.U. qui y perde le plus.
Le chef de file des conservateurs pro brexit a raison de reprocher à Théresa May de trop céder au chantages de l'U.E.
Paris veut rafler une partie du marché de l'or londonien
Brexit aidant, la Banque de France s'est associée à la banque américaine JP Morgan en vue de concurrencer la City sur le marché de l'or. De notre correspondant à Londres, Marc Roche
Publié le 13/11/2018 à 15:23 | Le Point.f
quel impact sur le PIB britannique les transactions boursières
par contre la relocalisation de la production cela a un impact sur le PIB donc la vie des britanniques car cela baisse le taux de chomage
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Re: Brexit: Le débat
relocalisations? mais de quoi au juste? tu crois qu'ils vont fabriquer des iphones demain? si oui, a quel prix?vivarais a écrit :vincent a écrit :
Paris veut rafler une partie du marché de l'or londonien
Brexit aidant, la Banque de France s'est associée à la banque américaine JP Morgan en vue de concurrencer la City sur le marché de l'or. De notre correspondant à Londres, Marc Roche
Publié le 13/11/2018 à 15:23 | Le Point.f
quel impact sur le PIB britannique les transactions boursières
par contre la relocalisation de la production cela a un impact sur le PIB donc la vie des britanniques car cela baisse le taux de chomage
tu sais, on a inventé internet....et internet, ça traverse les frontières sans problèmes.
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Re: Brexit: Le débat
Fonck1 a écrit :relocalisations? mais de quoi au juste? tu crois qu'ils vont fabriquer des iphones demain? si oui, a quel prix?vivarais a écrit :
quel impact sur le PIB britannique les transactions boursières
par contre la relocalisation de la production cela a un impact sur le PIB donc la vie des britanniques car cela baisse le taux de chomage
tu sais, on a inventé internet....et internet, ça traverse les frontières sans problèmes.
vous pensez que les iphones viennent de France
par contre il y a des tas de petites pme pmi françaises qui exportaient faute d'accord vont subir une concurrence de PMI et PME qui vont se créer en GB
vous semblez oublier que le principal employeur dans tous les pays c'est l'artisanat et les petits producteurs agricoles (maraichais )
des fraises ou des cerises supporteront pas d'attentes prolongées en douanes
un exemple la pate à tartinée à base de levure de bière (populaire autant que notre nutella , mais il faut être anglais pour aimer cela) jusqu'à maintenant la plus grosse production venait des pays bas; mais depuis plus de 2 ans de plus en plus d'unités de fabrication voient le jour en GB avec de la matière première venue d'Australie http://londrescalling.canalblog.com/arc ... 74421.html
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Re: Brexit: Le débat
Ça fait maintenant 5 heures que le gouvernement britannique débat du projet d'accord.
Pendant ce temps, selon une journaliste de la BBC, les députés conservateurs se révoltent et pourraient entraîner un vote de défiance contre May dès demain.
Pendant ce temps, selon une journaliste de la BBC, les députés conservateurs se révoltent et pourraient entraîner un vote de défiance contre May dès demain.
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Re: Brexit: Le débat
vivarais a écrit :Fonck1 a écrit :
relocalisations? mais de quoi au juste? tu crois qu'ils vont fabriquer des iphones demain? si oui, a quel prix?
tu sais, on a inventé internet....et internet, ça traverse les frontières sans problèmes.
vous pensez que les iphones viennent de France
par contre il y a des tas de petites pme pmi françaises qui exportaient faute d'accord vont subir une concurrence de PMI et PME qui vont se créer en GB
vous semblez oublier que le principal employeur dans tous les pays c'est l'artisanat et les petits producteurs agricoles (maraichais )
des fraises ou des cerises supporteront pas d'attentes prolongées en douanes
un exemple la pate à tartinée à base de levure de bière (populaire autant que notre nutella , mais il faut être anglais pour aimer cela) jusqu'à maintenant la plus grosse production venait des pays bas; mais depuis plus de 2 ans de plus en plus d'unités de fabrication voient le jour en GB avec de la matière première venue d'Australie http://londrescalling.canalblog.com/arc ... 74421.html
il y a des tas de petites pme pmi françaises qui exportaient
je croyais que les entreprises françaises étaient nulles ,faisaient de la mauvaise qualité......et vous dites ce jour qu' il y en a un tas qui...........guignol, et c'est pas une insulte c'est le constat ....je fais encore oeuvre de salut public..
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Re: Brexit: Le débat
ai je dit uns seule fois que les français n'étaient pas performantsvincent a écrit :vivarais a écrit :
vous pensez que les iphones viennent de France
par contre il y a des tas de petites pme pmi françaises qui exportaient faute d'accord vont subir une concurrence de PMI et PME qui vont se créer en GB
vous semblez oublier que le principal employeur dans tous les pays c'est l'artisanat et les petits producteurs agricoles (maraichais )
des fraises ou des cerises supporteront pas d'attentes prolongées en douanes
un exemple la pate à tartinée à base de levure de bière (populaire autant que notre nutella , mais il faut être anglais pour aimer cela) jusqu'à maintenant la plus grosse production venait des pays bas; mais depuis plus de 2 ans de plus en plus d'unités de fabrication voient le jour en GB avec de la matière première venue d'Australie http://londrescalling.canalblog.com/arc ... 74421.html
il y a des tas de petites pme pmi françaises qui exportaient
je croyais que les entreprises françaises étaient nulles ,faisaient de la mauvaise qualité......et vous dites ce jour qu' il y en a un tas qui...........guignol, et c'est pas une insulte c'est le constat ....je fais encore oeuvre de salut public..
mais la politique des quinquennats qui se sont succédés les amènent à se délocaliser pour survivre (je parles des PME PMI)
ce qui m'a fait le plus rire c'est un président français qui est allé vanter l'excellence de la technologie française auprès des français qui étaient installés dans la silicone vallée
nos diplômés les plus performants s'expatrient pour gagner correctement leur vie
vous voyez même aujourd'hui j'ai vanté la compétence d'une entreprise française que l'on n'aide pas à se développer
https://www.oliger.com/produits/
en me prenant à partie vous avez misé sur le mauvais cheval
il y a quelque jours je louais la perfomance des conserverie de sardines bretonnes
et avant les produits francçais que l'on trouvait que l'on trouvait dans les supermarchés du luxembourg mais absent s des rayonnage dans la grande distribution française mais seulement des grandes marques françaises qui produisent à l'étranger principalement en turquie et au maroc
il est evident que des gens comme moi qui denoncent le système vous dérangent
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Re: Brexit: Le débat
L'accord sur le Brexit :
- Le Royaume-Uni reste dans l'union douanière jusqu'en 2020 (au moins).
- Le Royaume-Uni accepte de payer 40 milliards à l'UE
- Le Royaume-Uni ne pourra pas faire de concurrence déloyale à l'UE
- La justice européenne reste compétente
- L'Irlande du Nord aura un statut spécial, différent du reste du Royaume-Uni
En bref T. May a cédé sur toutes les lignes rouges britanniques.
Et déjà depuis ce matin 2 ministres, dont le ministre du Brexit, ont démissionné. En tout 16 ministres britanniques ont démissionné en deux ans.
C'était pas censé être simple et génial le Brexit ?
- Le Royaume-Uni reste dans l'union douanière jusqu'en 2020 (au moins).
- Le Royaume-Uni accepte de payer 40 milliards à l'UE
- Le Royaume-Uni ne pourra pas faire de concurrence déloyale à l'UE
- La justice européenne reste compétente
- L'Irlande du Nord aura un statut spécial, différent du reste du Royaume-Uni
En bref T. May a cédé sur toutes les lignes rouges britanniques.
Et déjà depuis ce matin 2 ministres, dont le ministre du Brexit, ont démissionné. En tout 16 ministres britanniques ont démissionné en deux ans.
C'était pas censé être simple et génial le Brexit ?
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Re: Brexit: Le débat
excepté sur l'irlande du nord tout le reste est vraiNitram a écrit : L'accord sur le Brexit :
- Le Royaume-Uni reste dans l'union douanière jusqu'en 2020 (au moins).
- Le Royaume-Uni accepte de payer 40 milliards à l'UE
- Le Royaume-Uni ne pourra pas faire de concurrence déloyale à l'UE
- La justice européenne reste compétente
- L'Irlande du Nord aura un statut spécial, différent du reste du Royaume-Uni
En bref T. May a cédé sur toutes les lignes rouges britanniques.
Et déjà depuis ce matin 2 ministres, dont le ministre du Brexit, ont démissionné. En tout 16 ministres britanniques ont démissionné en deux ans.
C'était pas censé être simple et génial le Brexit ?
finalement may a obtenu ce qu'elle voulait
les avantages de l'UE sans les inconvénients
q'u'importe la démission de ministres ils seront remplacés
mais encore faudra t il que cela soit accepté par le parlement britannique
mais nous ne devons pas entendre les meme choses les experts eux pretendent que c'est une victoire de may qui a fait plier l'UE
remontez à 2 ans et reprenez les menaces et exigences de michel barnier
il ne faut par faire comme macron entendre mais en fin de compte ne pas vouloir comprendre