yen'amare a écrit :
Tu parles tout le temps de baisser le coût du travail, tu défends le système capitaliste qui rapporte de l'argent à des gens qui ne foutent rien. Tes vraies valeurs ce n'est pas le travail ce sont les profits. Quant à la réussite, tu crois avoir gagné contre des gens qui ne sont pas dans la course, superbe valeur, tu fais pareil sur la route?. La majorité se satisfont d'une vie ordinaire et aimeraient bien que les arrivistes leurs foutent la paix.
Le système capitalisme est le meilleur qui soit pour générer des fortunes, pour se substituer à l'esclavage, pour épuiser les ressources, pour polluer la planète, pour tuer les espèces animales, pour rendre la terre invivable, tu peux être fier de toi!
plein de pépites intéressante dans cette intervention
Est-ce que vraiment la majorité se satisfont d'une vie ordinaire ?
S'il y a eu les gilets jaunes, s'il y a tant de gens qui jouent aux loteries, si dans les sondage ils plébiscitent tout ce qui peut abaisser les autres, s'il y a une télé-réalité, etc, c'est bien qu'ils ne s'en satisfont pas vraiment, au mieux ils font contre mauvaise fortune bon cœur.
Le travail est-il une vrai valeur ou juste un pis aller pour vivre
au début, il n'y avait pas de doute, la morale de la société nous enseignait la valeur "travail" parce qu'elle en avait besoin
d'où vient cette valeur ? De la satisfaction de subvenir aux besoins de sa famille ? D'être utile, de servir à quelque chose ?
Si on dissociait le travail de sa nécessité, si nous n'en avions pas besoin pour vivre. Alors certainement certains continuerait de s'unir pour produire des choses, et d'autres préféreraient être artiste, et d'autres tous simplement vivre.
Comment mesurer la qualité d'un système, capitaliste ou autre ?
Par la qualité de vie moyenne ? La qualité de vie minimum, celle des pauvres ?
Par le volume de production ?
Par une utilisation durable et respectueuse de la planète ?
Les vies animales sont-elle un critère et pourquoi ?
Par simple respect ?
Par besoin, pour l'équilibre de la planète ?
Personnellement je choisirai la qualité de vie minimum. Concernant la planète je ne veux bien sûr pas qu'on la dilapide, mais la difficulté, c'est qu'une ressource dilapidée peut être remplacée plus tard par une autre, ou peut-être pas
drôle de pari