Brexit: Le débat

[Mico]

L'UE est encore plus claire. Les négociations c'est terminé.
Vous voulez sortir avec un accord ? C'est cet accord. Vous n'en voulez pas ? On vous fout dehors de force.
C'est la réalité du Brexit aujourd'hui.

Vous avez raison. Le rapport des forces n'est pas en faveur des sujets de sa majesté. L'UE ne risque pas grand chose dans cette histoire, mais les britanniques jouent gros. Ils ont beau vouloir le beurre et l'argent du beurre, ils ne sont pas près de l'obtenir. En refusant l'accord qu'on leur propose pour limiter la casse, ils se tirent une balle dans le pied. Les partisans du brexit redoutent que l'opinion publique se retourne contre eux. C'est pour cela qu'ils veulent tout, tout de suite.

[The Rat Pack]

.
Ce qui est étonnant, c'est de lire ce qui a conduit au Brexit:
http://www.lefigaro.fr/international/20 ... uitter.php

Etonnamment, je trouve ça loin d'être insensé...

[Fonck1]

.
Ce qui est étonnant, c'est de lire ce qui a conduit au Brexit:
http://www.lefigaro.fr/international/20 ... uitter.php

Etonnamment, je trouve ça loin d'être insensé...

il faudrait mettre à en exergue à ce que ça leur a rapporté pour faire la balance.
je me rappelle la guerre entre pêcheurs français et britaniques dans les 70, c’était assez sportif.
si le brexit se met en place, tout cela va reprendre avec une haine féroce.
après, ils exportent beaucoup vers la france, ils se retrouveront aussi défavorisé d'avoir des produits plus chers que les européens causse droits de douane.

[The Rat Pack]

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Ce qui est étonnant, c'est de lire ce qui a conduit au Brexit:
http://www.lefigaro.fr/international/20 ... uitter.php

Etonnamment, je trouve ça loin d'être insensé...

il faudrait mettre à en exergue à ce que ça leur a rapporté pour faire la balance.
je me rappelle la guerre entre pêcheurs français et britaniques dans les 70, c’était assez sportif.
si le brexit se met en place, tout cela va reprendre avec une haine féroce.
après, ils exportent beaucoup vers la france, ils se retrouveront aussi défavorisé d'avoir des produits plus chers que les européens causse droits de douane.

Mais ils feraient des économies:

Une sortie de l’UE permettrait au Royaume-Uni de récupérer de récupérer sa contribution nette au budget européen de près de 12,3 milliards d’euros annuel. Selon les chiffres rassemblés par le Financial Times, un Brexit permettrait à Londres d’économiser 27,6 milliards d’euros d’ici 2019-2020, et ce même en prenant en compte l’arrêt du versement des subventions et aides européennes à l’agriculture ou l’économie britanniques.

Quant aux exportations:

L'UE est le premier partenaire économique du Royaume-Uni (45% des exportations britanniques et 53% des importations en 2014), mais les pro-Brexit estiment que Londres pourrait faire mieux hors des Vingt-Huit. Débarrassés de Bruxelles, les acteurs du commerce extérieur espèrent négocier de nouveaux accords commerciaux avec les grands marchés que sont la Chine, l’Inde, les Etats-Unis et les émergents d'Asie ou d'Amérique latine. Par ailleurs, le pays pourrait maintenir ses relations commerciales avec l’UE via un accord de libre-échange, comme la Suisse ou la Norvège.
https://www.tdg.ch/monde/europe/cinq-ra ... y/15472288

[Fonck1]

il faudrait mettre à en exergue à ce que ça leur a rapporté pour faire la balance.
je me rappelle la guerre entre pêcheurs français et britaniques dans les 70, c’était assez sportif.
si le brexit se met en place, tout cela va reprendre avec une haine féroce.
après, ils exportent beaucoup vers la france, ils se retrouveront aussi défavorisé d'avoir des produits plus chers que les européens causse droits de douane.

Mais ils feraient des économies:

Une sortie de l’UE permettrait au Royaume-Uni de récupérer de récupérer sa contribution nette au budget européen de près de 12,3 milliards d’euros annuel. Selon les chiffres rassemblés par le Financial Times, un Brexit permettrait à Londres d’économiser 27,6 milliards d’euros d’ici 2019-2020, et ce même en prenant en compte l’arrêt du versement des subventions et aides européennes à l’agriculture ou l’économie britanniques.

Quant aux exportations:

L'UE est le premier partenaire économique du Royaume-Uni (45% des exportations britanniques et 53% des importations en 2014), mais les pro-Brexit estiment que Londres pourrait faire mieux hors des Vingt-Huit. Débarrassés de Bruxelles, les acteurs du commerce extérieur espèrent négocier de nouveaux accords commerciaux avec les grands marchés que sont la Chine, l’Inde, les Etats-Unis et les émergents d'Asie ou d'Amérique latine. Par ailleurs, le pays pourrait maintenir ses relations commerciales avec l’UE via un accord de libre-échange, comme la Suisse ou la Norvège.
https://www.tdg.ch/monde/europe/cinq-ra ... y/15472288

tous ces chiffres sont à condition de garder leur niveau de production, hors, nous savons tous qu'avec des droits de douanes, la donne ne sera plus la même pour eux.

on leur a fait miroiter qu'ils allaient récupérer du pognon, ce qui a été un mensonge de première.
ensuite, toutes leurs boites ne veulent pas se retrouver privées du marché européens, et se cassent.
ensuite, négocier quoi? ils sont 65 millions, la chine 1 milliard 500, à qui va être favorable la balance?
l’Amérique latine, c'est le pré carré des states, ils ne vont pas se laisser faire.

[vincent]

Quand on est mené 26 à 0 à quelques minutes de la fin et qu'on espère jouer les prolongations, ce n'est pas la peine d'attendre la fin du match.

bien mail qui peut qui qui a 26 et qui a zéro
cela on ne le verra que des mois après le brexit
y aura t il un gagnant et un perdant ou bien match nul même en cas de no deal
moi je ne prophétise pas sauf pour dire que le brexit aura lieu
et cela je l'ai dit des le départ

vous avez écris 1000 choses sur le Brexit , je viens de les faire défiler , toutes plus hallucinantes les unes que lesautres , dont celle çi .

de vivarais le 03 Février 2019 19:39

pourquoi ne citer que les entreprises qui quittent la GB et jamais celles qui s'y installent
il y a plus d'investisseurs étrangers pour la GB que pour la France
qui tentez vous de convaincre
n'est ce pas le problème des GB ce qui se passe chez eux
ne doit on pas plutôt se préoccuper des conséquences du brexit pour la France qui réalise 10% de ses exportations avec la GB
est ce que 'en voulant punir la GB pour le brexit afin de décourager d'autres pays de l'imiter nous ne pénalisons pas plus nous même ?

pourquoi ne citer que les entreprises qui quittent la GB et jamais celles qui s'y installent

benje vous ai relancé 10 fois , c'est bien vous le mieux placé sur le forum , et en plusvous avez votre fille et votre gendre poir vous épauler......des noms , des chiffres.....

[Fonck1]

Petition Revoke Article 50 and remain in the EU.

The government repeatedly claims exiting the EU is 'the will of the people'. We need to put a stop to this claim by proving the strength of public support now, for remaining in the EU. A People's Vote may not happen - so vote now.
Sign this petition

217,523 signatures

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100,000
Parliament will consider this for a debate

Parliament considers all petitions that get more than 100,000 signatures for a debate

Waiting for less than a day for a debate date
Government will respond

Government responds to all petitions that get more than 10,000 signatures

Waiting for 2 days for a government response
https://petition.parliament.uk/petition ... 1Kzetb7t9M

[Fonck1]

Report du Brexit : la France hausse le ton et fixe des conditions drastiques
Theresa May demande au Conseil européen un report du Brexit jusqu'au 30 juin. La France est prête à user de son veto.

Par Alexandre Boudet

Un aparté entre Jean-Claude Juncker et Emmanuel Macron devant Theresa May lors du dernier sommet du G20.
AFP
Un aparté entre Jean-Claude Juncker et Emmanuel Macron devant Theresa May lors du dernier sommet du G20.

POLITIQUE - Si Theresa May pense qu'elle obtiendra un report du Brexit juste en le demandant, elle se trompe. Voilà le discours que tient Emmanuel Macron à la veille d'un conseil européen crucial qui intervient une semaine exactement avant la date officielle de sortie du Royaume Uni de l'Union européenne. Annoncée depuis deux ans suite au référendum de 2016, la date du 29 mars est en effet inscrite dans la loi britannique. Deal ou no deal, c'est en théorie jeudi prochain que l'UE se retrouvera à 27.

Sauf que la paralysie britannique pourrait conduire à décaler cette date. La première ministre a en effet officiellement demandé ce mercredi un report jusqu'au 30 juin, date limite qui permet de ne pas organiser d'élections européennes outre-Manche.
La France prête à user de son veto

Mais Paris ne paraît pas prêt à dire oui en fermant les yeux. "Cela n'a rien d'évident et ce n'est pas automatique", disait il y a quelques heures une source élyséenne qui ne cache pas une forme de lassitude. Cela poserait "un grave risque juridique et politique", a également fait savoir la Commission européenne juste avant la demande formelle de Theresa May.

A une semaine de la date fatidique, le ton monte d'un cran. Or, il faut l'unanimité des 27 pour valider un éventuel report. Si l'entourage du chef de l'État n'aime pas le mot "veto" c'est bien de cela dont dispose chaque pays, à commencer par la France qui fixe des conditions drastiques pour accorder ce report. "L'intérêt de l'Union européenne passera au dessus de tout", prévient-on à l'Élysée où l'on refuse que Theresa May "cherche à gagner du temps pour gagner du temps". "Ca ne suffit pas de dire 'on veut un report car ça réglera notre crise'. La clé est à Londres", abonde une source au Quai d'Orsay.

Il y a un scénario (peu envisageable à l'heure actuelle) dans lequel la France dirait oui sans conditions à un délai. C'est ce que Nathalie Loiseau, la ministre des affaires européennes, appelle un report technique. Si, d'ici au 29 mars les Britanniques votent l'accord de retrait agréé par les 27 à l'automne et qui est considéré comme "le seul deal possible", sa mise en oeuvre demandera quelques jours supplémentaires; mais pas de quoi créer de problème avec le nouveau Parlement européen (élu le 26 mai) et qui entrera en fonction le 1er juillet. Seul hic, et de taille, le président du parlement britannique ne veut pas de ce nouveau vote.

Dans tous les autres cas de figure, et avant d'accorder un éventuel délai, Emmanuel Macron se posera une question: à quoi servira-t-il? "Du temps, nous n'en avons pas, mais nous pouvons nous en donner si c'est quelque chose qui le justifie. Cependant l'enjeu est tellement sérieux, il faut être clair et transparent sur les hypothèses. On ne doit pas être dans une tactique en essayant de passer des messages dans des coups de billard à plusieurs bandes", explique-t-on. Sous-entendu, pas question de donner quelques semaines de plus à Theresa May pour régler la crise politique dans son pays, voire dans son propre camp conservateur.
Élections ou nouveau référendum?

Mais si la cheffe du gouvernement arrive avec "une nouveauté susceptible de rassembler", la France ne dira pas non. Reste à savoir ce que peut être cette nouveauté. Officiellement, ni la Commission européenne ni Paris ne veulent donner d'exemple mais un scénario est déjà dans toutes les têtes. "On ne peut pas rester indéfiniment dans l'incertitude avec une question du Brexit qui sur-occupe le débat européen. Mais franchement, si elle arrive en disant 'je vais organiser des élections ou un nouveau référendum', je ne vois pas comment on pourrait dire non à un délai", estime l'Élysée qui plaidera alors dans ce cas "pour un délai le plus court possible". Dans l'idéal, il ne faudrait pas qu'il excède la fin de l'année 2019.

Or, dans son courrier adressé au président du Conseil européen, Theresa May ne semble pas apporter beaucoup de garanties sur le fait que sa proposition permettra un vote favorable dans son parlement d'ici au 30 juin.

Tout cela reste cependant de la théorie et des discours tenus avant que les dirigeants des 28 s'enferment jeudi et vendredi à huis clos dans la salle du conseil européen où tout est toujours possible. Officiellement tout le monde se prépare à l'absence d'accord et donc à une sortie avec un no deal le 29 mars. Et comme on dit à Bruxelles, "the clock is ticking" (l'horloge tourne). Sauf qu'à Bruxelles mieux qu'ailleurs, on sait tout ce qui peut advenir en sept jours. "Nous devrons probablement nous voir de nouveau la semaine prochaine", fait déjà savoir Jean-Claude Juncker le président de la Commission européenne.

[latresne]

Faut se rappeler les paroles des Anglais au début : "Donnez-nous ce que nous voulons ou ça sera un no-deal"
Résultat aujourd'hui qui supplie de ne pas avoir de no-deal ?

il n'y aurait pas de no deal , s'ils acceptaient ce que propose l'UE
mais ils ne veulent pas de cet accord
de toute les façons le brexit aura lieu soit avant les européennes soit fin juin
si c'est fin juin ,il faudra faire avec des député britanniques qui quitteront l'UE un mois après
et il faudra refaire des élections partielles pour remplacer les députés GB partis
tout cela est finement calculé par les britanniques qui mènent le jeu depuis le début
donnez nous ce que nous voulons ou ce sera ingérable pour vous
le no deal ils y sont déja prets , toutes les intrastructures sont en place contrairement à nous
pour preuve l'inquiétude et la greve du zèle des douaniers

On aura été au - une fois d'accord .
MM si ils se rendent compte qu'ils se sont peut être gourés ,ils vont avaler la pilule et tracer leur route comme si il ne s'était rien passé et garder leur fierté.

[vivarais]

certains annoncent les entreprises qui quittent la GB soit disant à cause du brexit
mais ne disent pas celles qui s'installent Toyota par exemple va construire la future voiture hybride pour Suzuki
tout comme la chine renforce son partenariat avec l'Italie de salvini

[vivarais]

n'en déplaisent à certains ; les GB à 90 % que les politiques retardent le brexit qui devra de toute façon se faire comme l'a dit Theresa May

car ils ne peuvent pas faire de projets , doivent ils partir en vacance cet été dans l'UE ou pas par exemple
comment se projeter dans l'avenir avec un risque si l'on a retrouvé du travail d'un retour des travailleurs déplacé avec un report du brexit
ils ne voient pas pourquoi faire des élections européennes si l'on doit de toutes les manières en sortir le mois suivant
les britanniques en ont marre de leurs politiques qui tardent à faire appliquer ce qu'ils ont décidé par referendum et de se voir traiter avec mépris par l'UE

[Georges61]

Même si je doute de plus en plus que le Brexit ait lieu, j'espère que ce sera le cas. Ainsi les pays qui pourraient avoir envie de les suivre pourront en constater les conséquences qu'elles soient favorables ou non au RU. Nous aurons une expérience qui se déroulera devant nous. Un exemple à suivre ou ne pas suivre selon les retombées de ce Brexit, et en cela je remercie les Britanniques, et j'espère qu'ils iront jusqu'au bout.

[latresne]

Si l'UE ne les réupère pas par le fond de la culotte ,ils vont aller jusqu'au bout .

[Fonck1]

C'est la suite de l'article en anglais que j'avais mis précédemment, ils ont dépassés les 800 000 signatures....

Une pétition anti-Brexit recueille plus de 800.000 signatures
Le succès de cette pétition va contraindre le Parlement britannique à répondre.

BREXIT - Une pétition en ligne demandant au gouvernement britannique de renoncer au Brexit engrange un succès fulgurant, avec plus de 800.000 signatures ce jeudi 21 mars, en début d'après-midi, au lendemain de son lancement, à huit jours de la date prévue pour la sortie de l'UE.

Le site du Parlement britannique sur lequel la pétition a été lancée a du coup "rencontré des difficultés techniques", a indiqué un porte-parole de la Chambre des Communes interrogé par l'AFP, en raison de "la charge importante et soutenue sur le système".

Parmi les signataires figure l'acteur Hugh Grant. "J'ai signé, comme toute personne sensée dans ce pays. Urgence nationale", a tweeté l'acteur en relayant la pétition.

Elle a ainsi rapidement dépassé le seuil des 100.000 signatures nécessaire pour provoquer un débat au Parlement.
"C'est maintenant ou jamais"

"Le gouvernement affirme de façon répétée que quitter l'UE est la 'volonté du peuple'. Nous devons mettre fin à cette affirmation en prouvant la force du soutien public actuel pour rester dans l'UE", indique le texte accompagnant la pétition. Un second référendum "pourrait ne jamais être organisé, donc votez maintenant", est-il aussi écrit.

[Fonck1]

certains annoncent les entreprises qui quittent la GB soit disant à cause du brexit
mais ne disent pas celles qui s'installent Toyota par exemple va construire la future voiture hybride pour Suzuki
tout comme la chine renforce son partenariat avec l'Italie de salvini

va construire,....ça n'est pas encore fait.
et pour une qui s'installe, 10 s'en vont....