Brexit: Le débat

[vivarais]

désolé vous vous êtes réjoui trop tôt
le premier ministre GB vient d'annoncer que quoi qu'il arrive deal ou no deal il n'y aura pas de demande de report au 31 octobre
J-24
il vient de rectifier les désinformations sur le sujet

[Nitram]

désolé vous vous êtes réjoui trop tôt
le premier ministre GB vient d'annoncer que quoi qu'il arrive deal ou no deal il n'y aura pas de demande de report au 31 octobre
J-24
il vient de rectifier les désinformations sur le sujet

Par contre il ne nous dit pas comment il compte s'y prendre, parce que la loi l'oblige à demander un report.

[Fonck1]

Une loi adoptée par le Parlement le contraint pourtant à repousser la date de divorce s’il n’y a pas d’accord au sommet européen des 17 et 18 octobre, afin d’éviter un « no deal » aux conséquences économiques et sociales potentiellement désastreuses. Mais, déterminé à faire sortir son pays « coûte que coûte » le 31 octobre, Boris Johnson pourrait ignorer cette loi, mettant alors la reine Elizabeth au défi de le limoger, selon le Sunday Times.

Je sens qu'on va bien se marrer

[vivarais]

Par contre il ne nous dit pas comment il compte s'y prendre, parce que la loi l'oblige à demander un report.

pour l'instant le parlement est fermé jusqu'à lundi
ensuite il restera 14 jours qui meme en cas de demande de report
comme chez nous il y a 2 chambres au parlement et le temps que cela fasse la navette entre les 2 chambres et ensuite la validation par la reine
les 14 jours seront passés
alors pas la peine de tirer des plans sur la comete , il reste encore 24 jours et çà passe vite surtout qu'il y a des week end contre
et en GB tout se fait selon un protocole et un cérénoniel
cela ne se fait pas à main levée

[vivarais]

Une loi adoptée par le Parlement le contraint pourtant à repousser la date de divorce s’il n’y a pas d’accord au sommet européen des 17 et 18 octobre, afin d’éviter un « no deal » aux conséquences économiques et sociales potentiellement désastreuses. Mais, déterminé à faire sortir son pays « coûte que coûte » le 31 octobre, Boris Johnson pourrait ignorer cette loi, mettant alors la reine Elizabeth au défi de le limoger, selon le Sunday Times.

Je sens qu'on va bien se marrer

mais l'UE va elle accepter le report désavouant ainsi macron qui a dit ne plus vouloir de report
c'est là que l'on verra le poids de la France dans l'UE

[Nitram]

pour l'instant le parlement est fermé jusqu'à lundi
ensuite il restera 14 jours qui meme en cas de demande de report
comme chez nous il y a 2 chambres au parlement et le temps que cela fasse la navette entre les 2 chambres et ensuite la validation par la reine
les 14 jours seront passés
alors pas la peine de tirer des plans sur la comete , il reste encore 24 jours et çà passe vite surtout qu'il y a des week end contre
et en GB tout se fait selon un protocole et un cérénoniel
cela ne se fait pas à main levée

La loi est adoptée, elle a reçu la signature de la Reine, elle est en vigueur
Elle stipule que le Premier ministre, en cas d'absence d'accord le 19 octobre, doit demander un report du Brexit. La loi prévoit même les termes exacts de la demande.
Donc comment Johnson entend sortir sans accord le 31 octobre, tout en respectant la loi, on ne le sait pas.

[Fonck1]

mais l'UE va elle accepter le report désavouant ainsi macron qui a dit ne plus vouloir de report
c'est là que l'on verra le poids de la France dans l'UE

ben Macron est comme les autres, il en a marre de la mascarade britannique.
il en a marre, les européens en ont marre, et même le peuple britannique.
les britanniques ont qu'à faire un référendum à QCM ils seront fixés sur les intentions des britanniques, parce que les avis sont plus que partagés, tous les sondages le disent.
c'est pas un simple oui ou non.

[Georges61]

Quand je pense que certains ont comparé cette girouette de Johnson à Churchill. Les Britanniques n'en ont toujours pas marre que leur pays soit tourné en ridicule par leur 1er ministre.

[Fonck1]

il faut avouer que là ils ont le pire de tous.
Churchill était d'une autre envergure.

[vincent]

il faut avouer que là ils ont le pire de tous.
Churchill était d'une autre envergure.

voila une excellente analyse , en particulier le // avec la Palestine me remémore les ouvrages de Benoit Meschin sur le monde
arabe .......Ibn Séoud d' Arabie , Fayçal roi d' Arabie......

ils ont mis le bordel chaque fois qu' ils ont quitté un lieu.....

Luc de Barochez – Quand les Anglais partent, le chaos arrive


ÉDITO. Le tohu-bohu du Brexit montre, une fois de plus dans l'histoire, que les départs précipités des Britanniques ont toujours des conséquences funestes. Par Luc de Barochez
Publié le 07/10/2019 à 16:10 | Le Point.fr
Une manifestante opposee au Brexit tient une pancarte devant le Parlement le 13 mars dernier a Londres.
Une manifestante opposée au Brexit tient une pancarte devant le Parlement le 13 mars dernier à Londres.

© ISABEL INFANTES / AFP


Partir sans semer le désordre, les Anglais ne savent pas faire. À chaque fois qu'ils quittent un lieu, la tragédie pointe son nez. L'Union européenne affronte cette réalité avec le Brexit. Avant elle, l'Irlande, l'Inde ou la Palestine ont déjà vécu le drame d'un divorce brutal de la part d'un royaume insouciant des conséquences de sa sortie. Volonté impériale de diviser pour régner, complexe de supériorité ancré dans une géographie insulaire et absence de scrupules des élites anglaises se conjuguent pour expliquer cette malédiction.

L'Inde en est l'exemple type. Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, la Grande-Bretagne, saignée à blanc par le conflit, voulait se débarrasser sans tarder du « joyau de la couronne ». Lord Louis Mountbatten, l'arrière-petit-fils de la reine Victoria et le dernier vice-roi des Indes, qui affectionnait les uniformes blancs de la marine, fut chargé de mettre en œuvre une sorte de Brexit avant la lettre.

[vincent]

L'Inde en est l'exemple type. Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, la Grande-Bretagne, saignée à blanc par le conflit, voulait se débarrasser sans tarder du « joyau de la couronne ». Lord Louis Mountbatten, l'arrière-petit-fils de la reine Victoria et le dernier vice-roi des Indes, qui affectionnait les uniformes blancs de la marine, fut chargé de mettre en œuvre une sorte de Brexit avant la lettre.

suite

La volonté de Boris Johnson de quitter l'UE le 31 octobre « quoi qu'il arrive » fait écho à la décision de Mountbatten d'évacuer l'Inde en août 1947 « quoi qu'il arrive ». Le royaume est entre-temps passé d'un État impérial, sur lequel le soleil ne se couchait jamais, à une puissance européenne moyenne, mais les mêmes réflexes perdurent.

Conflits communautaires
La partition hâtive de la colonie entre Inde et Pakistan fut désastreuse. « Les clameurs assassines et l'odeur de la mort ont accompagné le départ des Britanniques », a écrit l'historien anglais Piers Brenton. Hindous, musulmans et sikhs, qui coexistaient depuis des siècles, découvrirent avec horreur que des frontières allaient diviser leurs territoires ancestraux. L'avocat anglais chargé de les tracer ne connaissait pas la région.

Les violences accompagnées d'atrocités innommables firent un million de morts. Treize millions de personnes furent déportées, ce qui constitua l'un des plus grands « nettoyages ethniques » de l'histoire. Jusqu'à aujourd'hui, l'Inde et le Pakistan se regardent en chiens de faïence, après s'être fait la guerre à trois reprises. La question du Cachemire n'est pas réglée, on l'a encore vu en août avec la suppression unilatérale par Delhi du statut d'autonomie dont bénéficiait la région himalayenne.

Deux autres anciens territoires sous administration britannique, Chypre, qui fut une colonie jusqu'en 1960, et la Palestine mandataire, que la Grande-Bretagne gouverna jusqu'en 1948, eurent aussi à souffrir d'une partition qui suivit le départ précipité des Anglais, incapables de gérer des conflits communautaires qu'ils avaient contribué à attiser. Dans l'île de Chypre, une frontière sépare toujours la République chypriote de la partie nord occupée par l'armée turque. Dans les territoires palestiniens, aucun accord n'a jamais pu établir une paix durable entre Israël et les Palestiniens. À Hongkong aussi, les populations locales continuent de payer le prix d'une décolonisation mal gérée.

Retour de bâton ?
Ces partitions avaient un précédent : celle de l'Irlande. Les Britanniques l'avaient découpée avant l'indépendance de l'île en 1921 pour que les protestants soient majoritaires dans la partie septentrionale restant sous leur contrôle. Ce partage fut à la racine d'un conflit qui coûta plusieurs milliers de vies jusqu'en 1998. L'accord du Vendredi Saint conclu cette année-là instaura la paix et garantit la libre circulation entre le Nord et le Sud.

[vivarais]

sommes nous responsables si depuis 60 ans que nous leur avons accordé l'indépendance ; les africains s'étripent allégrement à la moindre occasion et au quotidien
c'est dans leurs gènes
amplifié par une certaine religion qui lorsqu'ils ne peuvent pas se battre cotre quelqu'un d'autre se battent entre eux
le pakistan est en conflit avec l'inde ; mais à l'interieur du pakistan les différentes mouvance religieuses se battent entre elle

[vincent]

sommes nous responsables si depuis 60 ans que nous leur avons accordé l'indépendance ; les africains s'étripent allégrement à la moindre occasion et au quotidien
c'est dans leurs gènes
amplifié par une certaine religion qui lorsqu'ils ne peuvent pas se battre cotre quelqu'un d'autre se battent entre eux
le pakistan est en conflit avec l'inde ; mais à l'interieur du pakistan les différentes mouvance religieuses se battent entre elle

Il est question de comparer ce qui est comparable , nulle trace dans cette analyse journalistique des pays d'Afrique .

L' Inde , la Palestine n' étaient pas des tribus en guerre avant l' arrivée des anglais .

Concernant la Palestine en particulier , ils auraient du quitter ce pays , comme on quitte le monde , c a d en ayant pris soin de bien régler la succéssion , qui va prendre la direction de l' entreprise , qui va se voir attribuer la villa de St Tropez , a qui les tableaux de maître , comment vont se répartir les acti
Cela aurait évité les guerres entre Israël et les palestiniens .

Dés le départ , chacun a voulu son morceau , on s'est battu pour la posséssion des centrales électriques, des hôpitaux ( me semble t il de mémoire ) on s'est battu pour la posséssion des puits d' eau .

Désolé , mais votre comparaison montre clairement un obscurantisme , un refusde voir la kata du brexit , et surtout une ignorance totale de ce que fût le départ des anglais .......l' impréparation sur toute la ligne , comme le Brexit , l' irresponsabilité totale de ces anglais , furieux de n' être plus la 1 érepuissance mondiale ., refus dans les 2 cas d' analyser les risques

[vivarais]

vous revez ils ont toujours été en guerre
juste pour info avant les anglais c'était l'empire ottoman
par fainéantise je vous conseille de regarder le film Laurence d'Arabie et vous verrez que les tribus étaient déjà en guerre entre elles
c'est génétique , ils ne peuvent pas vivre en paix
en palestine meme aujourd'hui ils ne sont pas en guerre qu'avec israel mais aussi entre eux et avec les egyptiens qui eux aussi ont fermé la frontière avec GAZA pour se sécuriser
et le hamas ne reconnait pas le gouvernement palestinien installé en cis jordanie
avant de raconter des conneries ; informez vous

[vivarais]

en attendant aujourd'hui au 20 h on a montré un exercice grandeur nature à calais des contrôle douanier
comme quoi dans J -23 le bréxit aura surement lieu car il y a eu 600 douanier de recruter pour cela
avant de prophétiser que ce sera un fiasco attendez qu'il soit effectif et qu'il y ait du recul
pour l'instant personne n'en sait rien ni si cela fera boule de neige
nous verrons 2 ans après un bréxit consommé