Fonck1 a écrit : ↑05 janvier 2020 12:43
il fallait peut être arrêter de sortir sa bite dans tous les hôtel qu'il fréquentait.
ce type est un prédateur.
mais c'est très "culture arabe" de faire les choses "sous le manteau", c'est toute l’ambiguïté du discours de cette religion associée aux mœurs des populations.
contrairement à ce que les gens pensent, même dans les pays les plus traditionalistes, il y a des bordels et des choses qui se passent sous le manteau avec des catastrophes sanitaire graves, et la seule chose que je ne renierais jamas sur le mélange des cultures, c'est que pour un musulman entrer dans une culture "ouverte" aux mœurs c'est assez compliqué, parce que ça dérange sa morale.
A sens inverse, que l'on impose la morale religieuse sur une culture ouverte, ça offusque la liberté d'un occidental, dans sa morale personnelle ! (il n'y a pas de morale répertoriée collective théoriquement)
Malheureusement cela est propre à l'interdit de manière générale. Tout interdit, qu'il soit simplement moral et/ou légal, génère son lot de comportements qui tenteront de s'en affranchir. Dès lors que l'on a l'impression (c'est rarement une certitude) que la force coercitive liée à l'interdit (les policiers, les parents, les gens etc... selon la nature de celui-ci) ne pourra s'appliquer à notre encontre, alors l'hésitation quant au fait de le violer s'enfuit si l'on considère que cet interdit nous bride dans certaines "possibilités" que l'on veut exploiter.
Ainsi, au niveau des interdits légaux (posés par la loi), cela peut aller d'un niveau basique (le code de la route par-exemple) :
- Si l'on ne voit personne dans la rue, alors on peut ne pas s'arrêter au stop car l'on estime que cet interdit n'a pas de sens au vu du contexte qui est le nôtre et qu'il y a très peu de chance que l'on se fasse sanctionner.
Comme cela peut se développer à des niveaux supérieurs :
- La fraude fiscale
- Le meurtre
- Le vol
Pour ce qui a trait aux interdits d'un niveau simplement "moral" (non interdits par la loi mais très mal perçus par sa communauté). Cela peut également se développer à des niveaux basiques :
- Faire la bise à des copines et les éviter dès lors que l'on est en présence de "Frères" (déjà vécu)
Comme cela peut se développer à des niveaux supérieurs :
- Forniquer en cachette
- Boire de l'alcool en cachette
Ce que je veux dire, c'est que le fait de commettre un interdit (et ce nonobstant sa nature : légale ou simplement morale) en se soustrayant au regard de ceux qui seront susceptibles de nous juger/condamner, n'est pas propre à un peuple en particulier ou à une religion. C'est propre à l'humain et à l'interdit plus généralement.
Le fait est que l'on a l'impression que cette forme d'hypocrisie se retrouve plus chez des populations Arabos-Musulmanes du fait ET de leur culture et de leur religion qui posent beaucoup plus de normes (donc d'interdits potentiels) dans la vie de tous les jours (et donc de comportements allant à l'encontre de ceux-ci) ET du fait de notre regard qui ne se concentre pas suffisamment sur les nombreux interdits que l'on est susceptible de soi-même violer au quotidien en cachette (le fait de griller un stop si personne nous voit par-exemple, qui constitue également une transgression de la norme en cachette).