8e de finale
manche 1 sur 2
OL/Juventus
1/0
Champions League 2020
- tisiphoné
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Re: Champions League 2020
Ça risque être très dur au retour...
Mais bon c'est un super résultat.
Mais bon c'est un super résultat.
Je suis en réalité un petit magicien noir. Et nul ne peut voir mon vrai visage!
N'écoutez surtout pas ma musique! : https://www.youtube.com/watch?v=uaRHCKHU2Pw
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- tisiphoné
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PSG-Dortmund : la victoire 2/0
PSG-Dortmund : Les Parisiens musèlent Dortmund et se qualifient pour les quarts de finale
Le PSG s’est qualifié pour les quarts de finale de la Ligue des champions, mercredi soir, grâce à sa victoire 2-0 contre Dortmund. A huis clos, mais pas tout à fait sans supporters.
Neymar, évidemment
En l’absence de Mbappé, malade et placé en réserve de la nation au coup d’envoi, le Brésilien était particulièrement attendu. Il a mis un peu de temps à s’y mettre, frôlant la blessure à l’épaule sur un plongeon un peu trop accentué, mais c’est bien lui qui a allumé la lumière. Trois minutes après une immense occasion gâchée par Cavani – ou sauvée par Burki, si on veut être gentil –, Neymar a ouvert le score d’une tête plongeante (28e), pas loin d’être la première de sa carrière. Il a aussi montré l’exemple en faisant largement sa part du boulot défensif, efforts qu’il a d’ailleurs payés en seconde période. Au départ de l’action menant but du break, signé Bernat (45e+1), il a pris sa revanche sur les deux dernières saisons.
Froid dedans, chaud dehors
Voir se disputer un match de cette importance à huis clos est un crève-cœur quand on aime le sport. Le genre de truc qui inhibe les émotions, que l’on soit sur le terrain ou devant sa télé. Mais les Parisiens ont tout de même pu compter sur leurs supporters, qui avaient promis de pousser avec les moyens du bord et qui ont largement tenu parole. Ils étaient quelque 3.000 aux portes du Parc. On les a entendus hurler, parfois en décalé, sur chaque action chaude. Leurs feux d’artifice ont éclairé la nuit parisienne, et rendu légèrement plus supportable cette ambiance de match de pré-saison dans le Tyrol autrichien à laquelle on aura beaucoup de mal à s’habituer.
Et maintenant ?
Les Parisiens vont donc enfin voir les quarts, quatre ans après. Enfin, normalement. Il est difficile de se réjouir complètement, tant l’avenir immédiat de la compétition semble incertain. On aimerait pouvoir dire que ce n’était qu’un mauvais moment à passer et que sur la route du dernier carré, les Parisiens pourront compter sur un Parc à nouveau plein et bouillant. Ce n’est pas vraiment la tendance. L’UEFA fera tout pour que la compétition se poursuive, mais quelles conditions ? Difficile de savoir ce qu’il se passera dans trois jours, alors dans trois semaines… L’instance européenne a devant elle un joli casse-tête. Mais au moins, le PSG s’est offert le droit de trépigner d’impatience en attendant de connaître la suite des événements.
Le PSG s’est qualifié pour les quarts de finale de la Ligue des champions, mercredi soir, grâce à sa victoire 2-0 contre Dortmund. A huis clos, mais pas tout à fait sans supporters.
Neymar, évidemment
En l’absence de Mbappé, malade et placé en réserve de la nation au coup d’envoi, le Brésilien était particulièrement attendu. Il a mis un peu de temps à s’y mettre, frôlant la blessure à l’épaule sur un plongeon un peu trop accentué, mais c’est bien lui qui a allumé la lumière. Trois minutes après une immense occasion gâchée par Cavani – ou sauvée par Burki, si on veut être gentil –, Neymar a ouvert le score d’une tête plongeante (28e), pas loin d’être la première de sa carrière. Il a aussi montré l’exemple en faisant largement sa part du boulot défensif, efforts qu’il a d’ailleurs payés en seconde période. Au départ de l’action menant but du break, signé Bernat (45e+1), il a pris sa revanche sur les deux dernières saisons.
Froid dedans, chaud dehors
Voir se disputer un match de cette importance à huis clos est un crève-cœur quand on aime le sport. Le genre de truc qui inhibe les émotions, que l’on soit sur le terrain ou devant sa télé. Mais les Parisiens ont tout de même pu compter sur leurs supporters, qui avaient promis de pousser avec les moyens du bord et qui ont largement tenu parole. Ils étaient quelque 3.000 aux portes du Parc. On les a entendus hurler, parfois en décalé, sur chaque action chaude. Leurs feux d’artifice ont éclairé la nuit parisienne, et rendu légèrement plus supportable cette ambiance de match de pré-saison dans le Tyrol autrichien à laquelle on aura beaucoup de mal à s’habituer.
Et maintenant ?
Les Parisiens vont donc enfin voir les quarts, quatre ans après. Enfin, normalement. Il est difficile de se réjouir complètement, tant l’avenir immédiat de la compétition semble incertain. On aimerait pouvoir dire que ce n’était qu’un mauvais moment à passer et que sur la route du dernier carré, les Parisiens pourront compter sur un Parc à nouveau plein et bouillant. Ce n’est pas vraiment la tendance. L’UEFA fera tout pour que la compétition se poursuive, mais quelles conditions ? Difficile de savoir ce qu’il se passera dans trois jours, alors dans trois semaines… L’instance européenne a devant elle un joli casse-tête. Mais au moins, le PSG s’est offert le droit de trépigner d’impatience en attendant de connaître la suite des événements.