Et à part ça tout va bien Agora Trump ?
La famille ? Le pastis ?
Et à part ça tout va bien Agora Trump ?
soyez pas jaloux, je vous offrirai le même ...souslic a écrit : ↑02 novembre 2020 15:27Oui ... surtout le bonnetBertrand a écrit : ↑02 novembre 2020 12:14 Arf je ne vous rejoindrai pas sur le terrain de la rudesse.
Je réagissais juste à son attaque sur la lutte contre les cancers. Pour ce sujet je ne sais rien.
D'ailleurs j'ai moi-même un bac S mention passable, même si ça commence à dater, et aussi je me pense non au dessus mais en tout cas assez loin du commun des mortels...
Et puis son avatar est pas mal quand même non?
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Pour Noël ?????
Vous avez bien raison Agora !AAAgora a écrit : ↑02 novembre 2020 17:10.
Oh que oui, chez nous pas de stress, pas d'angoisse, on vit avec le Covid mais nous ne dramatisons pas, et quand Véran parle, nous coupons le son, il est bien meilleur sans son.
Le pastis ?...... il contribue à éloigner le virus.
Tenez, pour terminer, une blague marseillaise :
Dans une école marseillaise, la maîtresse demande à ces élèves s'ils pensent avoir tout dans la vie. La plupart se taisent, mais y en a un ou deux qui lèvent le doigt quand même.
Le premier minot dit :
- Moi j’ai tout, m'dame. J’ai un vélo, pleins de jouets, une grande chambre dans une belle maison avec un jardin, mes parents ils ont la béhemme. Alors voilà, j'ai tout quoi !
- Et est-ce que tu as une piscine dans ta grande maison ?
- Euh, non... je vais à la mer
-Et tu aimerais en avoir une ?
- Sur !
- Et bien tu vois, tu n’a pas tout à fait tout. En fait il te manque bien quelque chose encore.
- Ah oui ... ben oui c’est vrai finalement...
Un autre dis alors :
- Moi j’ai vraiment tout, m'dame: les jouets, la bagnole, la maison avec le jardin, la piscine et j’ai même un chien.
- C’est bien, lui dit la maîtresse, mais ta maison, est-ce qu'elle est près de la plage par exemple. Est-ce que tu vois la mer de ta fenêtre ?
- Ah ben non. Nous on habite à Montolivet, alors pour la mer, ça fait un peu loin quand même...
- Et bien tu vois, tu n’as pas tout à fait tout toi non plus... alors vous voyez, les enfants, personne ne peut tout avoir dans la vie, c’est impossible. Et même si on beaucoup de choses, ça a ne fait pas toujours le bonheur parce qu'on s'aperçoit vite qu'il nous manque encore quelque chose pour avoir tout.
D’un coup, Momo, le fils de Zé, qui avait rien dit lève le doigt :
- Si m'dame, nous on a tout. C'est mon père qui l'a dit...
- Ah bon. Et qu'est qu'il a dit exactement ?
- Ben... que maintenant on avait tout, quoi !
- Comment ça ?
- Hier ma sœur, elle a ramené chez nous son nouveau copain. C'est un statisticien parisien et en plus il est supporter du PSG. Alors mon père il a dit : "Oh putain, il nous manquait plus que ça !"
.souslic a écrit : ↑02 novembre 2020 18:40Vous avez bien raison Agora !AAAgora a écrit : ↑02 novembre 2020 17:10
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Oh que oui, chez nous pas de stress, pas d'angoisse, on vit avec le Covid mais nous ne dramatisons pas, et quand Véran parle, nous coupons le son, il est bien meilleur sans son.
Le pastis ?...... il contribue à éloigner le virus.
Tenez, pour terminer, une blague marseillaise :
Dans une école marseillaise, la maîtresse demande à ces élèves s'ils pensent avoir tout dans la vie. La plupart se taisent, mais y en a un ou deux qui lèvent le doigt quand même.
Le premier minot dit :
- Moi j’ai tout, m'dame. J’ai un vélo, pleins de jouets, une grande chambre dans une belle maison avec un jardin, mes parents ils ont la béhemme. Alors voilà, j'ai tout quoi !
- Et est-ce que tu as une piscine dans ta grande maison ?
- Euh, non... je vais à la mer
-Et tu aimerais en avoir une ?
- Sur !
- Et bien tu vois, tu n’a pas tout à fait tout. En fait il te manque bien quelque chose encore.
- Ah oui ... ben oui c’est vrai finalement...
Un autre dis alors :
- Moi j’ai vraiment tout, m'dame: les jouets, la bagnole, la maison avec le jardin, la piscine et j’ai même un chien.
- C’est bien, lui dit la maîtresse, mais ta maison, est-ce qu'elle est près de la plage par exemple. Est-ce que tu vois la mer de ta fenêtre ?
- Ah ben non. Nous on habite à Montolivet, alors pour la mer, ça fait un peu loin quand même...
- Et bien tu vois, tu n’as pas tout à fait tout toi non plus... alors vous voyez, les enfants, personne ne peut tout avoir dans la vie, c’est impossible. Et même si on beaucoup de choses, ça a ne fait pas toujours le bonheur parce qu'on s'aperçoit vite qu'il nous manque encore quelque chose pour avoir tout.
D’un coup, Momo, le fils de Zé, qui avait rien dit lève le doigt :
- Si m'dame, nous on a tout. C'est mon père qui l'a dit...
- Ah bon. Et qu'est qu'il a dit exactement ?
- Ben... que maintenant on avait tout, quoi !
- Comment ça ?
- Hier ma sœur, elle a ramené chez nous son nouveau copain. C'est un statisticien parisien et en plus il est supporter du PSG. Alors mon père il a dit : "Oh putain, il nous manquait plus que ça !"
Il ne faut surtout pas écouter autre chose que la sainte parole du Gourou
Tiens j'en ai une sur les marseillais aussi (moins orientée vers votre obsession perpétuelle).
Une équipe de recherche russe a découvert en faisant des fouilles, par 20m de profondeur, des morceaux de cuivre.
Ils en ont déduit que les russes avaient déjà le téléphone il y a 200 ans.
Une équipe de recherche américaine a découvert de son coté des morceaux de verre par 40m de profondeur.
Ils en ont déduit que les américains avaient la fibre optique il y a 400 ans.
Une équipe marseillaise a creusé, creusé, creusé et ils n'ont absolument rien trouvé.
Ils en ont déduit que les marseillais avaient déjà le wifi pendant l'antiquité.
Apres voir le ministre Samson quand Madame coupe les cheveuxAAAgora a écrit : ↑02 novembre 2020 17:10.
Oh que oui, chez nous pas de stress, pas d'angoisse, on vit avec le Covid mais nous ne dramatisons pas, et quand Véran parle, nous coupons le son, il est bien meilleur sans son.
Le pastis ?...... il contribue à éloigner le virus.
Tenez, pour terminer, une blague marseillaise :
Dans une école marseillaise, la maîtresse demande à ces élèves s'ils pensent avoir tout dans la vie. La plupart se taisent, mais y en a un ou deux qui lèvent le doigt quand même.
Le premier minot dit :
- Moi j’ai tout, m'dame. J’ai un vélo, pleins de jouets, une grande chambre dans une belle maison avec un jardin, mes parents ils ont la béhemme. Alors voilà, j'ai tout quoi !
- Et est-ce que tu as une piscine dans ta grande maison ?
- Euh, non... je vais à la mer
-Et tu aimerais en avoir une ?
- Sur !
- Et bien tu vois, tu n’a pas tout à fait tout. En fait il te manque bien quelque chose encore.
- Ah oui ... ben oui c’est vrai finalement...
Un autre dis alors :
- Moi j’ai vraiment tout, m'dame: les jouets, la bagnole, la maison avec le jardin, la piscine et j’ai même un chien.
- C’est bien, lui dit la maîtresse, mais ta maison, est-ce qu'elle est près de la plage par exemple. Est-ce que tu vois la mer de ta fenêtre ?
- Ah ben non. Nous on habite à Montolivet, alors pour la mer, ça fait un peu loin quand même...
- Et bien tu vois, tu n’as pas tout à fait tout toi non plus... alors vous voyez, les enfants, personne ne peut tout avoir dans la vie, c’est impossible. Et même si on beaucoup de choses, ça a ne fait pas toujours le bonheur parce qu'on s'aperçoit vite qu'il nous manque encore quelque chose pour avoir tout.
D’un coup, Momo, le fils de Zé, qui avait rien dit lève le doigt :
- Si m'dame, nous on a tout. C'est mon père qui l'a dit...
- Ah bon. Et qu'est qu'il a dit exactement ?
- Ben... que maintenant on avait tout, quoi !
- Comment ça ?
- Hier ma sœur, elle a ramené chez nous son nouveau copain. C'est un statisticien parisien et en plus il est supporter du PSG. Alors mon père il a dit : "Oh putain, il nous manquait plus que ça !"
un mot de plus , je t'envoie Lotus pendant 1 moisoups a écrit : ↑03 novembre 2020 16:26Apres voir le ministre Samson quand Madame coupe les cheveuxAAAgora a écrit : ↑02 novembre 2020 17:10
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Oh que oui, chez nous pas de stress, pas d'angoisse, on vit avec le Covid mais nous ne dramatisons pas, et quand Véran parle, nous coupons le son, il est bien meilleur sans son.
Le pastis ?...... il contribue à éloigner le virus.
Tenez, pour terminer, une blague marseillaise :
Dans une école marseillaise, la maîtresse demande à ces élèves s'ils pensent avoir tout dans la vie. La plupart se taisent, mais y en a un ou deux qui lèvent le doigt quand même.
Le premier minot dit :
- Moi j’ai tout, m'dame. J’ai un vélo, pleins de jouets, une grande chambre dans une belle maison avec un jardin, mes parents ils ont la béhemme. Alors voilà, j'ai tout quoi !
- Et est-ce que tu as une piscine dans ta grande maison ?
- Euh, non... je vais à la mer
-Et tu aimerais en avoir une ?
- Sur !
- Et bien tu vois, tu n’a pas tout à fait tout. En fait il te manque bien quelque chose encore.
- Ah oui ... ben oui c’est vrai finalement...
Un autre dis alors :
- Moi j’ai vraiment tout, m'dame: les jouets, la bagnole, la maison avec le jardin, la piscine et j’ai même un chien.
- C’est bien, lui dit la maîtresse, mais ta maison, est-ce qu'elle est près de la plage par exemple. Est-ce que tu vois la mer de ta fenêtre ?
- Ah ben non. Nous on habite à Montolivet, alors pour la mer, ça fait un peu loin quand même...
- Et bien tu vois, tu n’as pas tout à fait tout toi non plus... alors vous voyez, les enfants, personne ne peut tout avoir dans la vie, c’est impossible. Et même si on beaucoup de choses, ça a ne fait pas toujours le bonheur parce qu'on s'aperçoit vite qu'il nous manque encore quelque chose pour avoir tout.
D’un coup, Momo, le fils de Zé, qui avait rien dit lève le doigt :
- Si m'dame, nous on a tout. C'est mon père qui l'a dit...
- Ah bon. Et qu'est qu'il a dit exactement ?
- Ben... que maintenant on avait tout, quoi !
- Comment ça ?
- Hier ma sœur, elle a ramené chez nous son nouveau copain. C'est un statisticien parisien et en plus il est supporter du PSG. Alors mon père il a dit : "Oh putain, il nous manquait plus que ça !"
Source:La Dépêche.
Un traitement à l'hydroxychloroquine n'a pas eu d'effet bénéfique par rapport au traitement habituel utilisé pour soigner les patients atteints du Covid-19, selon une étude menée par le CHU d'Angers sur un échantillon de 250 patients.
"Dans cet essai impliquant principalement des patients âgés atteints de Covid-19 de forme légère à modérée, ceux traités à l'hydroxychloroquine n'ont pas présenté une meilleure évolution clinique ou virologique que ceux qui ont reçu un placebo", a expliqué le professeur Vincent Dubée, coordonnateur de cette étude baptisée Hycovid.
D'un âge médian de 77 ans, les 250 malades inclus dans cet essai, retenus parce qu'ils présentaient un risque important d'aggravation, ont été répartis en deux groupes: le premier a reçu 800 mg (en deux prises) d'hydroxychloroquine le premier jour, puis 400 mg (en deux prises) par jour pendant huit jours; le second groupe a reçu un placebo.
Les patients pouvaient être inclus dans l'essai s'ils présentaient au moins l'un des trois facteurs de risque d'aggravation suivants: être âgé de 75 ans ou plus, avoir entre 60 et 75 ans et présenter une maladie chronique augmentant le risque de complication en cas de Covid (hypertension artérielle, diabète, obésité) ou souffrir de problèmes respiratoires nécessitant un traitement par oxygène.
"Bien entendu, les patients ont continué à bénéficier, simultanément, des traitements qui leur étaient administrés", soulignent les auteurs de l'étude.
"Une différence minime entre le groupe sous hydroxychloroquine et le groupe sous placebo":
"L'efficacité du traitement a été jugée en comparant le nombre de patients décédés ou transférés en réanimation en raison d'une aggravation respiratoire" dans chacun des deux groupes au cours des 14 jours suivant le début du traitement, a indiqué le professeur Dubée.
Dans ces 14 premiers jours après le début du traitement, neuf patients auxquels avait été administré le dérivé de chloroquine sont décédés ou ont été intubés, tandis que huit l'ont été dans le groupe sous placebo, a précisé le médecin, spécialisé dans les maladies infectieuses et tropicales.
Vingt-huit jours après l'inclusion dans l'un des deux groupes, neuf patients traités par hydroxychloroquine étaient décédés ou intubés, contre douze patients ayant reçu le placebo.
"La différence entre les deux groupes est très minime et n'est pas statistiquement significative, ce qui veut dire qu'elle peut être due au hasard", a estimé le praticien.
L'étude devait initialement inclure 1.300 patients atteints du Covid-19, afin de "clore le débat" sur l'efficacité de l'hydroxychloroquine. Elle a finalement été arrêtée par son promoteur, le CHU d'Angers, après avoir inclus 250 patients, en raison de la baisse du nombre de malades à la fin de la première vague d'épidémie.
"Nous avons calculé qu'il fallait inclure 1.300 patients pour répondre avec certitude à l'objectif de l'étude (...) mais 250 patients, c'est un effectif confortable", considère le professeur Dubée, tout en reconnaissant que "le manque de puissance statistique" laisse planer "une incertitude dans nos conclusions".
Fin mai, cette étude avait été suspendue "une dizaine de jours", suite à une décision de l'ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament) en raison de doutes sur la sécurité de l'hydroxychloroquine, après un article à ce sujet dans la revue scientifique The Lancet.
Cet article avait ensuite "fait l'objet d'une rétractation, s'appuyant sur des données non fiables", a rappelé le professeur Dubée. L'usage de l'hydroxychloroquine a largement débordé le domaine scientifique pour devenir à travers le monde l'objet d'un débat politique clivant dans l'opinion publique, donnant lieu à de violentes empoignades sur les réseaux sociaux.
Raoult et Trump même combat ... la réalité ils s’en tapent ... ils veulent juste s'accrocher coûte que coûte ... tout ce qui ne va pas dans leur sens est un complot ... ils ont tous deux une grande gueule ... et sont suivis par un paquet de décérébrésCrapulax a écrit : ↑06 novembre 2020 13:43 .................................Covid-19: L' hydroxychloroquine n'a pas d'effet bénéfique selon une étude du CHU d'Angers...............................
Une étude menée par le CHU d'Angers sur un échantillon de 250 patients conclut qu'un traitement à l'hydroxychloroquine n'a pas d'effet bénéfique sur des patients atteinte du Covid-19.
Un nouveau coup dur pour le traitement du Covid-19 par l'hydroxychloroquine.
Source:La Dépêche.
Un traitement à l'hydroxychloroquine n'a pas eu d'effet bénéfique par rapport au traitement habituel utilisé pour soigner les patients atteints du Covid-19, selon une étude menée par le CHU d'Angers sur un échantillon de 250 patients.
"Dans cet essai impliquant principalement des patients âgés atteints de Covid-19 de forme légère à modérée, ceux traités à l'hydroxychloroquine n'ont pas présenté une meilleure évolution clinique ou virologique que ceux qui ont reçu un placebo", a expliqué le professeur Vincent Dubée, coordonnateur de cette étude baptisée Hycovid.
D'un âge médian de 77 ans, les 250 malades inclus dans cet essai, retenus parce qu'ils présentaient un risque important d'aggravation, ont été répartis en deux groupes: le premier a reçu 800 mg (en deux prises) d'hydroxychloroquine le premier jour, puis 400 mg (en deux prises) par jour pendant huit jours; le second groupe a reçu un placebo.
Les patients pouvaient être inclus dans l'essai s'ils présentaient au moins l'un des trois facteurs de risque d'aggravation suivants: être âgé de 75 ans ou plus, avoir entre 60 et 75 ans et présenter une maladie chronique augmentant le risque de complication en cas de Covid (hypertension artérielle, diabète, obésité) ou souffrir de problèmes respiratoires nécessitant un traitement par oxygène.
"Bien entendu, les patients ont continué à bénéficier, simultanément, des traitements qui leur étaient administrés", soulignent les auteurs de l'étude.
"Une différence minime entre le groupe sous hydroxychloroquine et le groupe sous placebo":
"L'efficacité du traitement a été jugée en comparant le nombre de patients décédés ou transférés en réanimation en raison d'une aggravation respiratoire" dans chacun des deux groupes au cours des 14 jours suivant le début du traitement, a indiqué le professeur Dubée.
Dans ces 14 premiers jours après le début du traitement, neuf patients auxquels avait été administré le dérivé de chloroquine sont décédés ou ont été intubés, tandis que huit l'ont été dans le groupe sous placebo, a précisé le médecin, spécialisé dans les maladies infectieuses et tropicales.
Vingt-huit jours après l'inclusion dans l'un des deux groupes, neuf patients traités par hydroxychloroquine étaient décédés ou intubés, contre douze patients ayant reçu le placebo.
"La différence entre les deux groupes est très minime et n'est pas statistiquement significative, ce qui veut dire qu'elle peut être due au hasard", a estimé le praticien.
L'étude devait initialement inclure 1.300 patients atteints du Covid-19, afin de "clore le débat" sur l'efficacité de l'hydroxychloroquine. Elle a finalement été arrêtée par son promoteur, le CHU d'Angers, après avoir inclus 250 patients, en raison de la baisse du nombre de malades à la fin de la première vague d'épidémie.
"Nous avons calculé qu'il fallait inclure 1.300 patients pour répondre avec certitude à l'objectif de l'étude (...) mais 250 patients, c'est un effectif confortable", considère le professeur Dubée, tout en reconnaissant que "le manque de puissance statistique" laisse planer "une incertitude dans nos conclusions".
Fin mai, cette étude avait été suspendue "une dizaine de jours", suite à une décision de l'ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament) en raison de doutes sur la sécurité de l'hydroxychloroquine, après un article à ce sujet dans la revue scientifique The Lancet.
Cet article avait ensuite "fait l'objet d'une rétractation, s'appuyant sur des données non fiables", a rappelé le professeur Dubée. L'usage de l'hydroxychloroquine a largement débordé le domaine scientifique pour devenir à travers le monde l'objet d'un débat politique clivant dans l'opinion publique, donnant lieu à de violentes empoignades sur les réseaux sociaux.
https://www.ladepeche.fr/2020/11/06/cov ... 186074.php
.Crapulax a écrit : ↑06 novembre 2020 13:43 .................................Covid-19: L' hydroxychloroquine n'a pas d'effet bénéfique selon une étude du CHU d'Angers...............................
Une étude menée par le CHU d'Angers sur un échantillon de 250 patients conclut qu'un traitement à l'hydroxychloroquine n'a pas d'effet bénéfique sur des patients atteinte du Covid-19.
Un nouveau coup dur pour le traitement du Covid-19 par l'hydroxychloroquine.
Source:La Dépêche.
Un traitement à l'hydroxychloroquine n'a pas eu d'effet bénéfique par rapport au traitement habituel utilisé pour soigner les patients atteints du Covid-19, selon une étude menée par le CHU d'Angers sur un échantillon de 250 patients.
"Dans cet essai impliquant principalement des patients âgés atteints de Covid-19 de forme légère à modérée, ceux traités à l'hydroxychloroquine n'ont pas présenté une meilleure évolution clinique ou virologique que ceux qui ont reçu un placebo", a expliqué le professeur Vincent Dubée, coordonnateur de cette étude baptisée Hycovid.
D'un âge médian de 77 ans, les 250 malades inclus dans cet essai, retenus parce qu'ils présentaient un risque important d'aggravation, ont été répartis en deux groupes: le premier a reçu 800 mg (en deux prises) d'hydroxychloroquine le premier jour, puis 400 mg (en deux prises) par jour pendant huit jours; le second groupe a reçu un placebo.
Les patients pouvaient être inclus dans l'essai s'ils présentaient au moins l'un des trois facteurs de risque d'aggravation suivants: être âgé de 75 ans ou plus, avoir entre 60 et 75 ans et présenter une maladie chronique augmentant le risque de complication en cas de Covid (hypertension artérielle, diabète, obésité) ou souffrir de problèmes respiratoires nécessitant un traitement par oxygène.
"Bien entendu, les patients ont continué à bénéficier, simultanément, des traitements qui leur étaient administrés", soulignent les auteurs de l'étude.
"Une différence minime entre le groupe sous hydroxychloroquine et le groupe sous placebo":
"L'efficacité du traitement a été jugée en comparant le nombre de patients décédés ou transférés en réanimation en raison d'une aggravation respiratoire" dans chacun des deux groupes au cours des 14 jours suivant le début du traitement, a indiqué le professeur Dubée.
Dans ces 14 premiers jours après le début du traitement, neuf patients auxquels avait été administré le dérivé de chloroquine sont décédés ou ont été intubés, tandis que huit l'ont été dans le groupe sous placebo, a précisé le médecin, spécialisé dans les maladies infectieuses et tropicales.
Vingt-huit jours après l'inclusion dans l'un des deux groupes, neuf patients traités par hydroxychloroquine étaient décédés ou intubés, contre douze patients ayant reçu le placebo.
"La différence entre les deux groupes est très minime et n'est pas statistiquement significative, ce qui veut dire qu'elle peut être due au hasard", a estimé le praticien.
L'étude devait initialement inclure 1.300 patients atteints du Covid-19, afin de "clore le débat" sur l'efficacité de l'hydroxychloroquine. Elle a finalement été arrêtée par son promoteur, le CHU d'Angers, après avoir inclus 250 patients, en raison de la baisse du nombre de malades à la fin de la première vague d'épidémie.
"Nous avons calculé qu'il fallait inclure 1.300 patients pour répondre avec certitude à l'objectif de l'étude (...) mais 250 patients, c'est un effectif confortable", considère le professeur Dubée, tout en reconnaissant que "le manque de puissance statistique" laisse planer "une incertitude dans nos conclusions".
Fin mai, cette étude avait été suspendue "une dizaine de jours", suite à une décision de l'ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament) en raison de doutes sur la sécurité de l'hydroxychloroquine, après un article à ce sujet dans la revue scientifique The Lancet.
Cet article avait ensuite "fait l'objet d'une rétractation, s'appuyant sur des données non fiables", a rappelé le professeur Dubée. L'usage de l'hydroxychloroquine a largement débordé le domaine scientifique pour devenir à travers le monde l'objet d'un débat politique clivant dans l'opinion publique, donnant lieu à de violentes empoignades sur les réseaux sociaux.
https://www.ladepeche.fr/2020/11/06/cov ... 186074.php
A leur décharge, cette étude, faite dans les règles de l'art, ne montre pas que ça ne marche pas, et ce n'était pas le but, on ne peut pas prouver un négatif.
Ca c'est de l'argumentation de haut niveau AgoraAAAgora a écrit : ↑06 novembre 2020 14:53.Crapulax a écrit : ↑06 novembre 2020 13:43 .................................Covid-19: L' hydroxychloroquine n'a pas d'effet bénéfique selon une étude du CHU d'Angers...............................
Une étude menée par le CHU d'Angers sur un échantillon de 250 patients conclut qu'un traitement à l'hydroxychloroquine n'a pas d'effet bénéfique sur des patients atteinte du Covid-19.
Un nouveau coup dur pour le traitement du Covid-19 par l'hydroxychloroquine.
Source:La Dépêche.
https://www.ladepeche.fr/2020/11/06/cov ... 186074.php
Quel est le traitement habituel pour soigner les patients atteints du Covid ?
Dans le cas de cet étude il semblerait qu'il soit le Placebo !!!!
Serait-il le placebo le traitement qu'on utilise dans tous les hôpitaux de France ?
Autant dire que les patients hospitalisés n'ont qu'a compter sur la résistance de leur corps pour éviter la réanimation.
.souslic a écrit : ↑06 novembre 2020 20:36Ca c'est de l'argumentation de haut niveau AgoraAAAgora a écrit : ↑06 novembre 2020 14:53
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Quel est le traitement habituel pour soigner les patients atteints du Covid ?
Dans le cas de cet étude il semblerait qu'il soit le Placebo !!!!
Serait-il le placebo le traitement qu'on utilise dans tous les hôpitaux de France ?
Autant dire que les patients hospitalisés n'ont qu'a compter sur la résistance de leur corps pour éviter la réanimation.