Le PS notamment qui est bien implanté localement et auquel FI semble avoir clairement fermé la porte : ce qui équivaut à se tirer une balle dans le pied pour FI.
Je viens d'assister à un débat sur France Info entre une représentante du PS et une représentant de FI : l'alliance s'annonce plus que difficile chacune accusant l'autre des pires choses.
Et les différences programmatiques sont trop importantes.
FI met en avant ses excellents résultats dans certaines régions et villes du pays. Le PS met en avant que son implantation en matière de députation à l'échelon local est bien plus importante que celle de FI qui est insignifiante au même échelon.
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Au premier tour de la présidentielle Mélenchon est arrivé en tête dans 51 villes de plus de 100.000 habitants, Macron dans 42 villes, MLP dans 9 villes.
Le P.S. a tout intérêt de faire profil bas, sauf vouloir intentionnellement saborder une occasion pour la gauche de se relancer.
Je pense que Valls a raison quand il explique que les deux gauches (gauche de gouvernement (PS) et extrême-gauche, wokiste ******propos provoquant et insultant modéré, antisémite, démagogique et populiste (LFI) sont absolument irréconciliables.
Donc cette histoire d'alliance, c'est juste de la manœuvre politique à but électoraliste de circonstance.
La social-démocratie (le PS) est aujourd'hui au plus bas en France, mais je ne désespère pas de la voir remonter la pente.
Ne pas oublier que le SPD allemand était aussi au plus bas en Allemagne et que c'est désormais ce parti (l'équivalent allemand du PS) qui dirige aujourd'hui l'Allemagne.
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
AAAgora a écrit : ↑21 avril 2022 23:05
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En tout cas la démarche est plus qu'interessante.
Il y a deux lieux pour exercer le pouvoir : l'Elysée et l'Assemblée nationale.
C'est donc à la recherche d'une majorité parlementaire que cette bataille sera conduite, ou, à défaut d'une majorité, d'une minorité consistante capable de peser fortement dans les débats à l'A.N.
Le programme d'Union Populaire est bien ficelé et bien rodé, reste à convaincre deux interlocuteurs :
1) Les autres partis de gauche, avec des concessions, à la seule condition de ne pas dénaturer le programme.
2) Les électeurs et les abstentionnistes en particulier, et là c'est aux militants de battre le terrain pour convaincre.
Compte tenu des forces déjà en présence (ex : 267 députés LREM + 101 LR face à seulement 17 FI, 28 socialistes 17 verts) le renversement d'alliances et la mission s'avèrent objectivement très très difficiles.
Mais, effectivement, après des présidentielles si déprimantes et décevantes, espérons quand même que les législatives permettront de forger un minimum de contre-pouvoirs face à Macron et que l'Assemblée ne sera pas qu'une simple chambre d'enregistrements des choix et des décisions de l'exécutif.
Si vous pouviez préciser ?
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
Hélas, les vieux tous fanatiques de Macron vont à nouveau lui donner les pleins pouvoirs, si par malheur il est réélu.
Sachant que les législatives sont encore moins suivie que la présidentielle, bon nombre d'électeurs de Mélenchon ne se déplaceront pas pour ce scrutin.
Relax a écrit : ↑21 avril 2022 20:46
Mélenchon a le melon comme jamais, il n'a toujours pas digéré sa défaire du premier tour.
Et comme il ne peut pas décemment appeler à voter Macron ou Lepen, il fantasme sur Matignon.
En résumé, Mélenchon appelle à se démobiliser pour le premier tour et à se mobiliser à donf aux législatives.
Les Insoumis sont dociles, ils vont obéir au doigt et à l’œil, ils ont l'habitude maintenant.
Quelle défaite au premier tour ? Les sondages l'ont annoncé 4e ou 5e du classement avec moins de 10% des voix, et il termine 3e, à presque rien d'une qualification au second tour. C'est plutôt un très bon résultat. Il a loupé un gros hold up, il n'a pas perdu.
Relax a écrit : ↑21 avril 2022 20:46
Mélenchon a le melon comme jamais, il n'a toujours pas digéré sa défaire du premier tour.
Et comme il ne peut pas décemment appeler à voter Macron ou Lepen, il fantasme sur Matignon.
En résumé, Mélenchon appelle à se démobiliser pour le premier tour et à se mobiliser à donf aux législatives.
Les Insoumis sont dociles, ils vont obéir au doigt et à l’œil, ils ont l'habitude maintenant.
Quelle défaite au premier tour ? Les sondages l'ont annoncé 4e ou 5e du classement avec moins de 10% des voix, et il termine 3e, à presque rien d'une qualification au second tour. C'est plutôt un très bon résultat. Il a loupé un gros hold up, il n'a pas perdu.
Un bon résultat c’est quand on pas qualifié c’est cela ?Ptain et moi qui me croyais mauvais
Cela dit mon WE gratos a Tahiti avec Miss Monde c’est à moitié fait .... moi j’suis d’accord
AAAgora a écrit : ↑21 avril 2022 23:31
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Au premier tour de la présidentielle Mélenchon est arrivé en tête dans 51 villes de plus de 100.000 habitants, Macron dans 42 villes, MLP dans 9 villes.
Le P.S. a tout intérêt de faire profil bas, sauf vouloir intentionnellement saborder une occasion pour la gauche de se relancer.
Je pense que Valls a raison quand il explique que les deux gauches (gauche de gouvernement (PS) et extrême-gauche, wokiste ******propos provoquant et insultant modéré, antisémite, démagogique et populiste (LFI) sont absolument irréconciliables.
Donc cette histoire d'alliance, c'est juste de la manœuvre politique à but électoraliste de circonstance.
La social-démocratie (le PS) est aujourd'hui au plus bas en France, mais je ne désespère pas de la voir remonter la pente.
Ne pas oublier que le SPD allemand était aussi au plus bas en Allemagne et que c'est désormais ce parti (l'équivalent allemand du PS) qui dirige aujourd'hui l'Allemagne.
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Oui, Valls a raison, dommage que les social-démocrates du P.S. sont déjà partis chez Macron (dirigeants et électeurs).
Lui par contre il n'est pas chez Macron car ils ne l'ont pas voulu.
D'ailleurs c'est quoi le LERM ? Un dosage de social-démocrates et de libéraux, de gauche, du centre et de droite.
Alors ce qui reste du PS n'a que deux possibilités : se droitiser ou se gauchiser.
Mais ils doivent choisir vite car le train des législatives ne va pas les attendre.
Et ce dilemme touche aussi les LR, coincés entre Macron et Zemmour/Marine.
Je préfère la gauche à l'opposition plutôt que dans la compromission
.
Raoul Hedebouw : « Si on ne vit pas comme on pense, on finit par penser comme on vit »
Victor a écrit : ↑22 avril 2022 09:58
Je pense que Valls a raison quand il explique que les deux gauches (gauche de gouvernement (PS) et extrême-gauche, wokiste ******propos provoquant et insultant modéré, antisémite, démagogique et populiste (LFI) sont absolument irréconciliables.
Donc cette histoire d'alliance, c'est juste de la manœuvre politique à but électoraliste de circonstance.
La social-démocratie (le PS) est aujourd'hui au plus bas en France, mais je ne désespère pas de la voir remonter la pente.
Ne pas oublier que le SPD allemand était aussi au plus bas en Allemagne et que c'est désormais ce parti (l'équivalent allemand du PS) qui dirige aujourd'hui l'Allemagne.
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Oui, Valls a raison, dommage que les social-démocrates du P.S. sont déjà partis chez Macron (dirigeants et électeurs).
Lui par contre il n'est pas chez Macron car ils ne l'ont pas voulu. D'ailleurs c'est quoi le LERM ? Un dosage de social-démocrates et de libéraux, de gauche, du centre et de droite.
Alors ce qui reste du PS n'a que deux possibilités : se droitiser ou se gauchiser.
Mais ils doivent choisir vite car le train des législatives ne va pas les attendre.
Et ce dilemme touche aussi les LR, coincés entre Macron et Zemmour/Marine.
oui, c'est a peu prêt ça.
mise à part que il n'y a vraiment pas de vrai libéralisme en France.
Mickey a écrit : ↑22 avril 2022 10:30
Hélas, les vieux tous fanatiques de Macron vont à nouveau lui donner les pleins pouvoirs, si par malheur il est réélu.
Sachant que les législatives sont encore moins suivie que la présidentielle, bon nombre d'électeurs de Mélenchon ne se déplaceront pas pour ce scrutin.
Il a quand même plutôt fait du bon boulot, Macron. Je ne vois pas ce qu'on peut lui rapprocher.
A part la réforme des retraites qu'il n'a pas pu mener au bout à cause du covid.
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
Victor a écrit : ↑22 avril 2022 09:58
Je pense que Valls a raison quand il explique que les deux gauches (gauche de gouvernement (PS) et extrême-gauche, wokiste ******propos provoquant et insultant modéré, antisémite, démagogique et populiste (LFI) sont absolument irréconciliables.
Donc cette histoire d'alliance, c'est juste de la manœuvre politique à but électoraliste de circonstance.
La social-démocratie (le PS) est aujourd'hui au plus bas en France, mais je ne désespère pas de la voir remonter la pente.
Ne pas oublier que le SPD allemand était aussi au plus bas en Allemagne et que c'est désormais ce parti (l'équivalent allemand du PS) qui dirige aujourd'hui l'Allemagne.
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Oui, Valls a raison, dommage que les social-démocrates du P.S. sont déjà partis chez Macron (dirigeants et électeurs).
Lui par contre il n'est pas chez Macron car ils ne l'ont pas voulu.
D'ailleurs c'est quoi le LERM ? Un dosage de social-démocrates et de libéraux, de gauche, du centre et de droite.
Alors ce qui reste du PS n'a que deux possibilités : se droitiser ou se gauchiser.
Mais ils doivent choisir vite car le train des législatives ne va pas les attendre.
Et ce dilemme touche aussi les LR, coincés entre Macron et Zemmour/Marine.
Prenons l'hypothèse d'un Macron réélu, il n'est déjà pas certain que LREM réussisse à faire élire en 2022 autant de députés qu'en 2017 et puis en 2027, Macron ne pourra plus se représenter, et il est alors probable que LREM ne survive pas après le dernier mandat de Macron.
Les anciens partis LR et PS retrouveront alors tout leur poids politique passé.
Mais évidemment ce n'est pas certain, la politique c'est un peu comme la météo à plus de 3 semaines, il y a une grosse marge d'incertitude ..
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
AAAgora a écrit : ↑22 avril 2022 16:17
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Oui, Valls a raison, dommage que les social-démocrates du P.S. sont déjà partis chez Macron (dirigeants et électeurs).
Lui par contre il n'est pas chez Macron car ils ne l'ont pas voulu.
D'ailleurs c'est quoi le LERM ? Un dosage de social-démocrates et de libéraux, de gauche, du centre et de droite.
Alors ce qui reste du PS n'a que deux possibilités : se droitiser ou se gauchiser.
Mais ils doivent choisir vite car le train des législatives ne va pas les attendre.
Et ce dilemme touche aussi les LR, coincés entre Macron et Zemmour/Marine.
Prenons l'hypothèse d'un Macron réélu, il n'est déjà pas certain que LREM réussisse à faire élire en 2022 autant de députés qu'en 2017 et puis en 2027, Macron ne pourra plus se représenter, et il est alors probable que LREM ne survive pas après le dernier mandat de Macron. Les anciens partis LR et PS retrouveront alors tout leur poids politique passé.
Mais évidemment ce n'est pas certain, la politique c'est un peu comme la météo à plus de 3 semaines, il y a une grosse marge d'incertitude ..
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Sans arguments vous passez donc à la boule de cristal.
Macron a fait encore mieux que Mitterrand en faisant exploser deux partis (P.S. et L.R.).
Mitterrand s'était contenté du P.C.
Sur ce fil on parle des législatives de juin et des possibles alliances à gauche en vue de la constitution d'un groupe parlementaire consistant, avec en ligne de mire la très peu probable mais possible majorité.
Alors Valls n'a rien à voir là dedans.
Modifié en dernier par AAAgora le 22 avril 2022 17:00, modifié 1 fois.
Je préfère la gauche à l'opposition plutôt que dans la compromission
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Raoul Hedebouw : « Si on ne vit pas comme on pense, on finit par penser comme on vit »
AAAgora a écrit : ↑21 avril 2022 23:05
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En tout cas la démarche est plus qu'interessante.
Il y a deux lieux pour exercer le pouvoir : l'Elysée et l'Assemblée nationale.
C'est donc à la recherche d'une majorité parlementaire que cette bataille sera conduite, ou, à défaut d'une majorité, d'une minorité consistante capable de peser fortement dans les débats à l'A.N.
Le programme d'Union Populaire est bien ficelé et bien rodé, reste à convaincre deux interlocuteurs :
1) Les autres partis de gauche, avec des concessions, à la seule condition de ne pas dénaturer le programme.
2) Les électeurs et les abstentionnistes en particulier, et là c'est aux militants de battre le terrain pour convaincre.
Compte tenu des forces déjà en présence (ex : 267 députés LREM + 101 LR face à seulement 17 FI, 28 socialistes 17 verts) le renversement d'alliances et la mission s'avèrent objectivement très très difficiles.
Mais, effectivement, après des présidentielles si déprimantes et décevantes, espérons quand même que les législatives permettront de forger un minimum de contre-pouvoirs face à Macron et que l'Assemblée ne sera pas qu'une simple chambre d'enregistrements des choix et des décisions de l'exécutif.
Je préfère la gauche à l'opposition plutôt que dans la compromission
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Raoul Hedebouw : « Si on ne vit pas comme on pense, on finit par penser comme on vit »
Victor a écrit : ↑22 avril 2022 16:31
Prenons l'hypothèse d'un Macron réélu, il n'est déjà pas certain que LREM réussisse à faire élire en 2022 autant de députés qu'en 2017 et puis en 2027, Macron ne pourra plus se représenter, et il est alors probable que LREM ne survive pas après le dernier mandat de Macron. Les anciens partis LR et PS retrouveront alors tout leur poids politique passé.
Mais évidemment ce n'est pas certain, la politique c'est un peu comme la météo à plus de 3 semaines, il y a une grosse marge d'incertitude ..
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Sans arguments vous passez donc à la boule de cristal.
Macron a fait encore mieux que Mitterrand en faisant exploser deux partis (P.S. et L.R.).
Mitterrand s'était contenté du P.C.
Sur ce fil on parle des législatives de juin et des possibles alliances à gauche en vue de la constitution d'un groupe parlementaire consistant, avec en ligne de mire la très peu probable mais possible majorité. Alors Valls n'a rien à voir là dedans.
Ben si. Valls a expliqué que les deux gauches étaient irréconciliables.
Donc les possibles alliances à gauche en vue de la constitution d'un groupe parlementaire consistant. Je ne vois pas comment c'est possible à moins d'une forte indigestion de couleuvres pour tous les membres de ce "groupe" parlementaire.
Si cela devait arriver (mais je n'y crois pas), je prends les paris que ce groupe exploserait dès le premier projet de loi soumis au parlement ou au premier vote du budget.
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
AAAgora a écrit : ↑22 avril 2022 16:56
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Sans arguments vous passez donc à la boule de cristal.
Macron a fait encore mieux que Mitterrand en faisant exploser deux partis (P.S. et L.R.).
Mitterrand s'était contenté du P.C.
Sur ce fil on parle des législatives de juin et des possibles alliances à gauche en vue de la constitution d'un groupe parlementaire consistant, avec en ligne de mire la très peu probable mais possible majorité. Alors Valls n'a rien à voir là dedans.
Ben si. Valls a expliqué que les deux gauches étaient irréconciliables.
Donc les possibles alliances à gauche en vue de la constitution d'un groupe parlementaire consistant. Je ne vois pas comment c'est possible à moins d'une forte indigestion de couleuvres pour tous les membres de ce "groupe" parlementaire.
Si cela devait arriver (mais je n'y crois pas), je prends les paris que ce groupe exploserait dès le premier projet de loi soumis au parlement ou au premier vote du budget.
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Il n'y a pas deux gauches, je vous l'ai fait remarquer plus haut, car une (les social-démocrates) sont partis chez Macron.
Ceux qui sont restés au P.S. doivent choisir, comme ceux qui sont restés à LR doivent choisir.
Le pari de Mélenchon porte sur une convergence entre LFI, les Communistes et les Ecologistes.
Valls est un has been, qui ne sais plus où il en est lui même, d'ailleurs vous même, Victor, vous avez des gros problèmes d'identité politique, le traumatisme Fillon n'a rien arrangé.
Je préfère la gauche à l'opposition plutôt que dans la compromission
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Raoul Hedebouw : « Si on ne vit pas comme on pense, on finit par penser comme on vit »
Victor a écrit : ↑22 avril 2022 17:11
Ben si. Valls a expliqué que les deux gauches étaient irréconciliables.
Donc les possibles alliances à gauche en vue de la constitution d'un groupe parlementaire consistant. Je ne vois pas comment c'est possible à moins d'une forte indigestion de couleuvres pour tous les membres de ce "groupe" parlementaire.
Si cela devait arriver (mais je n'y crois pas), je prends les paris que ce groupe exploserait dès le premier projet de loi soumis au parlement ou au premier vote du budget.
. Il n'y a pas deux gauches, je vous l'ai fait remarquer plus haut, car une (les social-démocrates) sont partis chez Macron.
Ceux qui sont restés au P.S. doivent choisir, comme ceux qui sont restés à LR doivent choisir.
Le pari de Mélenchon porte sur une convergence entre LFI, les Communistes et les Ecologistes.
Valls est un has been, qui ne sais plus où il en est lui même, d'ailleurs vous même, Victor, vous avez des gros problèmes d'identité politique, le traumatisme Fillon n'a rien arrangé.
Bien entendu qu'il y a deux gauches.
La vraie, la gauche républicaine, laïque, de gouvernement. Celle de Valls, de Hollande.
Et la fausse, la gauche ******propos provoquant et insultant modéré qui défile avec les islamistes, la gauche démago, wokiste, populiste, antisémite, celle qui chie sur l'histoire France et sur les valeurs des lumières. C'est à dire la gauche LFI ou l'aile gauche des EELV.
Ces deux gauches sont irréconciliables.
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
AAAgora a écrit : ↑22 avril 2022 18:28
. Il n'y a pas deux gauches, je vous l'ai fait remarquer plus haut, car une (les social-démocrates) sont partis chez Macron.
Ceux qui sont restés au P.S. doivent choisir, comme ceux qui sont restés à LR doivent choisir.
Le pari de Mélenchon porte sur une convergence entre LFI, les Communistes et les Ecologistes.
Valls est un has been, qui ne sais plus où il en est lui même, d'ailleurs vous même, Victor, vous avez des gros problèmes d'identité politique, le traumatisme Fillon n'a rien arrangé.
Bien entendu qu'il y a deux gauches.
La vraie, la gauche républicaine, laïque, de gouvernement. Celle de Valls, de Hollande.
Et la fausse, la gauche ******propos provoquant et insultant modéré qui défile avec les islamistes, la gauche démago, wokiste, populiste, antisémite, celle qui chie sur l'histoire France et sur les valeurs des lumières. C'est à dire la gauche LFI ou l'aile gauche des EELV.
Ces deux gauches sont irréconciliables.
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Vous insistez mais l'évidence est sous les yeux de tous.
Une de deux est partie chez Macron et l'autre doit choisir.
Valls et Hollande devraient être chez Macron, mais ils sont peut être trop gourmands en termes de strapontin.
Par contre une Royal est tentée d'une alliance sur sa gauche.
Je préfère la gauche à l'opposition plutôt que dans la compromission
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Raoul Hedebouw : « Si on ne vit pas comme on pense, on finit par penser comme on vit »
