Votre entreprise va-t-elle licencier?

[Fonck1]

Depuis plusieurs mois, les annonces de suppressions de postes se multiplient avec une très nette accélération depuis le début de la crise.
Panorama des principaux plans de réduction d'effectifs déjà annoncés. D'autres sont en préparation.

Automobile et activités connexes:

- PSA (Peugeot-Citroën): 3.550 emplois. Le groupe automobile français a annoncé le 20 novembre un plan de "départs volontaires" concernant 3.550 salariés en France "dans tous les sites et toutes les directions du groupe". Le calendrier de ce troisième plan en 18 mois n'est pas précisé.

- Renault: 6.000 emplois. Le groupe a indiqué le 9 septembre qu'il prévoyait d'ici avril 2009 un plan de 4.000 "départs volontaires en France", dont 1.000 à Sandouville (Seine-Maritime). Le 25 septembre, il ajoute la suppression de 2.000 emplois dans ses filiales européennes, dont 900 en France.

- General Motors: 1.600 licenciements et une perte trimestrielle de 4,2 milliards de dollars.

- Delphi: plus de 160. L'équipementier automobile américain Delphi, qui loue ses locaux au constructeur automobile General Motors emploie environ 320 personnes sur le site de Strasbourg mis en vente fin août et qui peine à trouver un repreneur. Avant l'annonce de la vente du site alsacien, un plan social avait déjà entériné la suppression de plus de 160 emplois. Compte tenu de la situation de General Motors, d'autres pourraient suivre. Les salariés ont déjà manifesté leur mécontentement par un mouvement social.

- Peugeot Motocycles: 250 emplois. Le constructeur de deux-roues Peugeot Motocycles a annoncé le 2 octobre qu'il allait supprimer 250 emplois sur 1.050 dans le cadre d'un plan de départs volontaires dans ses deux usines de Mandeure (Doubs) et Dannemarie (Haut-Rhin).

- Molex: 300 emplois. Le groupe américain Molex a annoncé le 23 octobre son intention de fermer son site de production de connecteurs électriques pour automobiles employant quelque 300 salariés à Villemur-sur-Tarn (Haute-Garonne).

- Toyota Motor: non renouvellement au Japon de 3.000 contrats de travail de salariés intérimaires ou employés pour une durée déterminée sur 6.000. Une menace plane en outre sur les 3.000 rescapés si la conjoncture continue d'empirer, avait aussi fait comprendre un dirigeant du groupe, toujours lors de l'annonce des résultats financiers du premier semestre 2008-2009.

- Mazda Motor: 1.300. Le constructeur automobile japonais va supprimer 1.300 postes occupés par des salariés sous contrat à durée déterminée (CDD) ou intérimaires d'ici la fin de l'année, à cause de la réduction de production à laquelle le contraint la crise. Mazda prévoit de ne plus employer ces 1.300 personnes temporaires (sur 1.800 dans ce cas) lorsque leurs contrats arriveront à leur terme en fin d'année.

- Nissan: outre les baisses de production, le constructeur a annoncé le fin octobre la suppression d'ici fin décembre de 2.500 emplois permanents aux Etats-Unis et à Barcelone (1.680 suppressions d'emplois dans l'usine de 4x4 de Barcelone), ainsi que 1.000 emplois temporaires au Japon.

- Michelin: 700 postes sans licenciement sec en Italie.

- Daimler/Mercedes: Le constructeur haut-de-gamme allemand va encore réduire le nombre d'emplois précaires qu'il emploie en Allemagne, en raison de la crise. Le magazine spécialisé Automobilwoche avait avancé le chiffre de 570 emplois touchés sur deux sites allemands, non confirmé par Daimler. Ces "instruments de flexibilité" selon l'expression de Daimler "protègent les salariés en contrat indéterminée", selon la porte-parole du groupe. Daimler emploie 167.000 personnes en Allemagne, pour un nombre maximum de 2.500 intérimaires.

- Mitsubishi Motors Corp, le quatrième constructeur automobile japonais, envisage, comme l'ont déjà annoncé ses concurrents, des réductions de production et d'effectifs en raison de l'aggravation de la crise économique mondiale. Mitsubishi devrait se séparer de près d'un tiers de ses 3.350 salariés temporaires dans ses 5 usines de production au Japon, en ne renouvelant pas quelque 1.000 contrats de travail de ces salariés intérimaires.

Banques

- Crédit Agricole/Calyon: 500 emplois. La banque a annoncé le 10 septembre un "plan de réduction des coûts" d'ici fin 2009 qui se traduira par la suppression de 500 emplois dans le monde, dont 250 en France, au sein de sa filiale de banque d'affaires Calyon.

- Dexia: à voir. Dexia laisse planer la perspective de suppressions d'emplois, indiquant que les partenaires sociaux "seront informés et consultés en temps utile et avant qu'une quelconque décision ne soit prise". "Des économies de 300 millions d'euros ont déjà été identifiées, avec des économies majeures déjà réalisables en 2009", a précisé l'établissement.

- Natixis: La banque d'affaires française annonce le 29 mai la suppression de 850 emplois sur 22.000, auxquels s'ajouteront selon un syndicat 800 autres suppressions d'emplois chez les prestataires extérieurs. Le calendrier n'est pas précisé.

- Caisse d'Epargne: 4.500 postes non remplacés. Le groupe indique le 10 mai qu'il va supprimer 4.500 postes d'ici 2012 en utilisant uniquement la "gestion des départs naturels".

- La banque américaine Citigroup compte supprimer très rapidement jusqu'à 50.000 postes pour ramener ses effectifs mondiaux à 300.000 personnes. L'ex-numéro un bancaire américain, sorti très affaibli de la crise financière, "table sur une réduction à court terme de 20% des effectifs par rapport à leurs sommets", selon des documents du directeur général Vikram Pandit. Le groupe employait au plus haut de son histoire (au quatrième trimestre 2007) 375.000 personnes dans le monde. A fin septembre, ses effectifs étaient de 352.000, chiffre que le groupe veut ramener désormais à environ 300.000 personnes.

- La banque britannique HSBC a annoncé récemment la suppression au sein du groupe de 1.100 emplois. Elle va supprimer 450 emplois à Hong Kong, anticipant sur la dégradation l'an prochain de l'économie mondiale. "En raison des incertitudes à venir et la détérioration de l'économie à l'étranger, nous devons être prudents sur l'environnement opérationnel l'an prochain" a-t-elle prévenu. "En raison des circonstances, nous devons passer les choses en revue", a-t-elle ajouté. La porte-parole a précisé que les personnels affectés se verraient proposer des mutations internes quand ce serait possible.

- La banque américaine JPMorgan Chase vient de commencer la suppression d'environ 10% de ses effectifs dans son activité de banque d'investissement. "Les suppressions d'emplois, qui vont intervenir dans toutes les divisions de cette activité, pourraient approcher le nombre de 3.000", sur un effectif total d'environ 30.000, ajoute-t-il. JPMorgan Chase avait déjà supprimé plusieurs milliers d'emplois après avoir absorbé sa concurrente Bear Stearns.

Aéronautique

- EADS: le plan Power8, annoncé en février 2007 et qui table sur 2,1 milliards d'euros d'économies d'ici à 2010 chez Airbus, vise à supprimer 10.000 postes d'ici 2010, dont la moitié chez les sous-traitants.

- Le motoriste britannique Rolls-Royce prévoit de supprimer en 2009 1.500 à 2.000 postes sur 39.000 actuellement, soit entre 4 et 5% de ses effectifs, en raison de la crise financière et des retards de plusieurs grands programmes aéronautiques. Rolls-Royce "a passé en revue l'impact potentiel des incertitudes économiques actuelles, des retards de programmes comme l'Airbus A380 et le Boeing 787, et les avantages d'une rentabilité accrue", a indiqué le groupe, qui fabrique notamment des moteurs d'avions et des turbines génératrices. Selon le groupe, il est trop tôt pour préciser la taille et l'emplacement des suppressions d'emplois. Néanmoins, il a d'ores et déjà décidé de procéder à la suppression de 140 postes dans son usine d'assemblage de Derby, en Angleterre, qui fait partie de sa division aéronautique. Plus de la moitié (22.100) des effectifs actuels du groupe sont situés au Royaume-Uni.

Distribution

- Camif: le numéro trois français de la vente à distance a annoncé le 7 novembre la suppression de 946 postes.

- La Redoute: La Redoute (groupe Redcats, PPR), a annoncé le 21 octobre la suppression de 672 emplois d'ici 4 ans.

Agro-alimentaire

- Amora: Amora Maille (Unilever) a annoncé le 20 novembre la fermeture de trois sites de production, dont celui de son usine historique de Dijon, d'ici le 31 décembre et la suppression de 296 emplois.

- Jean Caby: La société Jean Caby (groupe Aoste) a annoncé le 10 septembre la fermeture de son unité de fabrication de produits cuits de charcuterie, qui emploie 350 personnes à Saint-Priest-en-Jarez (Loire).

- Doux: Le groupe volailler annonce le 10 juillet la fermeture de deux sites à Locminé (Morbihan) et Châtelet (Cher) et la réduction de l'activité de Pleucadeuc (Morbihan), entraînant, selon les syndicats, la suppression de 647 postes au total.

- Imperial Tobacco, qui a racheté en début d'année le groupe franco-espagnol Altadis, a annoncé en juin un vaste projet de restructuration dans toute l'Europe portant au total sur la suppression de 2.440 emplois. En France, le groupe prévoit la fermeture en 2010 des sites de Strasbourg (228 personnes) et Metz (130) et des réductions d'effectifs à Riom (Puy-de-Dôme), Le Havre (Seine-Maritime), Les Aubrais (Loiret) et au siège parisien où se tenait mercredi le troisième et dernier CCE sur le plan de sauvegarde de l'emploi.

- PepsiCo avait annoncé mi-octobre un plan de redressement qui entraînera la suppression de 3.300 emplois et des économies à l'opérationnel de 1,2 milliard de dollars sur trois ans.

Informatique-Electronique

- Hewlett-Packard: 580 emplois. Le groupe informatique a indiqué le 9 octobre que son plan de suppressions d'emplois en Europe (9.330) concernera en France 580 postes.

- NXP France: 450 emplois. Le fabricant de puces électroniques NXP France (ex-Philips) a annoncé le 29 septembre la suppression de 450 postes sur 1.100.

- Tyco Electronics: 620 emplois. Le groupe électronique a annoncé le 4 septembre que d'ici 15 mois il allait supprimer en France 620 emplois suite à la fermeture des usines de Chapareillan (Isère) et de Val-de-Reuil (Eure), qui produisent des composants électroniques pour l'industrie automobile.

- Le groupe informatique américain Sun Microsystems a annoncé la suppression de 15% à 18% de ses effectifs mondiaux, soit 5.000 à 6.000 postes, pour "s'adapter au climat économique mondial". Cette restructuration, d'un coût estimé de 500 à 600 millions de dollars dans les 12 mois à venir, doit également permettre à Sun Microsystems de réorganiser son activité de logiciels pour "accélérer l'avènement d'innovations en code source libre". A terme le fabricant de serveurs et de logiciels, concepteur des systèmes d'exploitation Java et Solaris, et du système de gestion de données MySQL, escompte que sa restructuration lui permettra d'économiser de 700 à 800 millions de dollars par an. "La réduction d'effectifs sera de nature mondiale. Nous pensons que la majorité des suppressions de poste interviendra aux Etats-Unis" début 2009, a précisé une porte-parole, Kristi Rawlinson.

- Dell, qui encourage désormais ses employés à prendre jusqu'à cinq jours de congés sans solde pour participer à l'effort de réduction des coûts, a réduit ses effectifs de 10% en un an. Dell employait 80.800 personnes au 31 octobre 2008, contre 89.100 au 2 novembre 2007.

- Le groupe d'électronique néerlandais Philips va supprimer "environ 5%" des 32.000 emplois de sa division médicale dans le monde, soit environ 1.600 emplois, a annoncé samedi un porte-parole du groupe à l'AFP.

- Le fabricant américain de photocopieurs Xerox va supprimer 3.000 emplois dans le monde, soit environ 5% de ses effectifs, afin de doper sa rentabilité en 2009. Xerox emploie environ 57.400 personnes dans le monde, dont 33.400 aux Etats-Unis. Xerox veut privilégier les départs volontaires. Un guichet départ a été proposé aux employés aux Etats-Unis sachant que le processus va s'étaler sur "un ou deux mois".

Chimie-Pharmacie

- Sanofi-Aventis: 927 emplois. La direction de la filiale commerciale du groupe pharmaceutique Sanofi-Aventis en France a annoncé le 2 octobre un "projet de réorganisation" entraînant "la suppression de 927 postes", principalement des visiteurs médicaux.

- Schering-Plough SA: 330 postes. Schering-Plough SA, filiale française du laboratoire Schering-Plough Corporation, a annoncé le 12 septembre un "projet de réorganisation" en France qui entraînera la suppression de 330 postes.

- Le laboratoire pharmaceutique britannique AstraZeneca va fermer trois usines en Europe: 1.400 postes supprimés d’ici à 2013 à Porrino (Espagne), Destelbergen (Belgique) et Umea en Suède. Les activités de deux autres sites, celui de Macclesfield, au Royaume-Uni, et de Södertälje, en Suède, seront également affectées, a précisé le groupe.

Industrie

- Le lessivier allemand Henkel (détergents, colles, cosmétiques), va fermer cinq sites en Europe dont deux en France, à Châlons-en-Champagne (Marne) et Cosnes-sur-Loire (Nièvre), soit 478 suppressions d'emplois au total. Dans le détail, Henkel prévoit de fermer les sites de production situés à Kleve (Allemagne, 137 emplois), Mezzago (Italie, 74 emplois), Newark (Grande-Bretagne, 39 emplois), Cosnes-sur-Loire (France, 166 emplois), et Chalons-en-Champagne (France, 62 emplois). Ces suppressions s'ajoutent aux 3.000 déjà annoncées au début de l'année dans le cadre d'un plan d'économie baptisé "Global Excellence".

- Le groupe suédois d'outillage industriel Atlas Copco a annoncé mercredi la suppression de 215 emplois en Suède, en raison d'une baisse générale de la demande, selon une porte-parole du groupe. "Il s'agit de 165 ouvriers et de 50 cadres" sur le site de Karlskrona (sud du pays) qui compte en tout 640 employés.

- Le groupe britannique Wolseley, numéro un mondial de la plomberie et du chauffage, particulièrement exposé à la crise immobilière aux Etats-Unis, a annoncé la suppression à venir de "plus de 2.300" emplois, majoritairement au Royaume-Uni, après en avoir déjà supprimé 5.000 au premier trimestre. Wolseley, qui avait supprimé 7.100 emplois sur l'année financière précédente, en a encore supprimé 5.000 au premier trimestre, et va donc encore en supprimer plus de 2.300, dont 2.000 au Royaume-Uni, déjà atteint ces derniers jours par une volée de licenciements, dont 10.000 chez l'opérateur téléphonique BT.

Travail temporaire

- Adecco: le groupe de travail temporaire a annoncé le 16 octobre la suppression de 600 emplois en France d'ici juin 2009.

Médias/Télécoms

- France Télévisions: alors que se prépare la suppression de la publicité sur les chaînes publiques (à partir de 20h au 5 janvier 2005 puis totalement en 2011), la régie publicitaire de France Télévisions va passer de "300 collaborateurs à 200, "sans plan social", via notamment des reclassements en interne et des départs "volontaires", a expliqué Philippe Santini, responsable de la régie publicitaire, sans préciser la date. Par ailleurs, la mutation du groupe regroupant l'ensemble des chaînes en entité unique devrait entraîner une baisse des effectifs à France Télévisions, a indiqué ce lundi Frédéric Lefebvre, l'un des porte-parole de l'UMP, à la veille de l'examen du projet de loi et d'une grève de 24 heures dans le secteur. "Les gens qui partent à la retraite, il y en a beaucoup qu'il ne faudra pas remplacer", a-t-il dit, jugeant que c'était là une "bonne nouvelle pour l'entreprise car c'est plus de moyens pour l'info, la création". "Beaucoup de personnels attendent la mise en place d'un guichet", a-t-il ajouté. Or "les gens qui souhaitent partir et qui sont dans des métiers où il y a trop de personnels à France Télévisions, il ne faudra pas les retenir". Il s'est déclaré "incapable" de chiffrer le nombre de départs que la réforme pourrait entraîner. Toutefois, interrogé sur le chiffre de 900 personnes évoqué par le patron de France Télévisions, Patrick de Carolis, il a répondu: "ça peut faire plus que 900 personnes".

- Yahoo!: 1.300 postes soit 10% des effectifs.

- SFR/Cegetel: L'opérateur de télécoms SFR-Neuf Cegetel confirme le 1er juillet la suppression de 776 postes et la création de 326 autres, soit un solde de 450 postes (5% des effectifs), dans le cadre d'un plan de départs volontaires lié à la fusion des deux groupes.

- Le Monde: le directoire du Monde a dévoilé début avril dernier un "plan de redressement" prévoyant un volet social drastique avec la suppression de 130 emplois au quotidien et la cession "des entités déficitaires ou non stratégiques" en raison de difficultés financières.

- Prisma Presse: le deuxième éditeur de presse magazine français va mettre en place un plan d'économies prévoyant notamment une trentaine de départs volontaires. Prisma Presse emploie plus de 1.000 salariés équivalents temps-plein.

Immobilier

- Le promoteur immobilier français Kaufman & Broad avait annoncé, fin septembre, la suppression de 166 postes.


Votre entreprise va-t-elle licencier?

[Crapulax]

Ah quand meme.Merci du détail
Non,pas de licenciements chez moi. :content115

[Stick]

On garde tout le monde ici aussi.

[tisiphoné]

ma petite entreprise connait pas la crise

[novisad]

Adecco: le groupe de travail temporaire a annoncé le 16 octobre la suppression de 600 emplois en France d'ici juin 2009.

ET bé, ca préfigure des lendemains qui vont déchanter......si meme les parasites qui prospérent sur la manne du traitement social du chomage, reduisent la voilure

[loindici]

Ici non plus pas trop atteint par la crise, pas de licenciement en vu, ouffff !

[tisiphoné]

Adecco: le groupe de travail temporaire a annoncé le 16 octobre la suppression de 600 emplois en France d'ici juin 2009.

ET bé, ca préfigure des lendemains qui vont déchanter......si meme les parasites qui prospérent sur la manne du traitement social du chomage, reduisent la voilure

mais c'est leur personnel interne qu'ils licencient , le reste t'inquiète , ils vont continuer à les exploiter

[Fonck1]

Adecco: le groupe de travail temporaire a annoncé le 16 octobre la suppression de 600 emplois en France d'ici juin 2009.

ET bé, ca préfigure des lendemains qui vont déchanter......si meme les parasites qui prospérent sur la manne du traitement social du chomage, reduisent la voilure

comment addeco pourrait il licencier,puisque travail par essence temporaire.... :roll:

[Crapulax]

[Stick]

comment addeco pourrait il licencier,puisque travail par essence temporaire.... :roll:

Adecco licencie ses employés permanents, ceux qui bossent pour donner du boulot aux intérimaires, qui les accueillent, qui les mettent en contact avec les entreprises et établissent les fiches de paie.

Rappel pour quelques messages plus haut : l'intérim est nécessaire, autant pour les entreprises qui l'utilisent que pour les salariés qui en bénéficient.
Mais ceci est un autre sujet, je ne développerai donc pas plus ici.

[Fonck1]

Adecco licencie ses employés permanents, ceux qui bossent pour donner du boulot aux intérimaires, qui les accueillent, qui les mettent en contact avec les entreprises et établissent les fiches de paie.

mrci pour la précision,en cela,l'intitulé est faux. dans ce cas la addeco n'est plus entreprise temporaire,du moins pour ces cas la.
mais j'avoue,je pinaille!!

[Stick]

(...) j'avoue,je pinaille!!

Tu es donc un pinailleur. Qu'en pense ta femme ?? :content101

[novisad]

Oui je sais, etant fournisseur d'Adecco .....gros consommateur de materiel electronique d'ecoute et d'emissions .....

Adec pour les intimes a de trés nombreuses filiales et ramifications, en particulier dans le recrutement des cadres ..ils se sont beaucoup diversifiés ces toutes dernieres années dans le traitement social du chomage, formations bidons sur appels d'offres ANPE ,etc .....

[Fonck1]

Tu es donc un pinailleur. Qu'en pense ta femme ?? :content101

elle participe!! bon j'ai usé mes deux floods!

[Barbapoutre]

Oui je sais, etant fournisseur d'Adecco .....gros consommateur de materiel electronique d'ecoute et d'emissions .....

Adec pour les intimes a de trés nombreuses filiales et ramifications, en particulier dans le recrutement des cadres ..ils se sont beaucoup diversifiés ces toutes dernieres années dans le traitement social du chomage, formations bidons sur appels d'offres ANPE ,etc .....

En plus d'être des négriers, des marchands de soupe en quelque sorte. :roll: