Le président Nicolas Sarkozy a affirmé qu'il voulait "que les prix de l'immobilier baissent", regrettant qu'en 2007, les prix dans ce secteur aient atteint en France "le plus haut niveau par rapport aux revenus des ménages depuis quarante ans", vendredi à Meaux.
"Nous allons faire plus pour le logement mais je ne veux pas que cela serve à maintenir les prix hauts. Ce que nous voulons, c'est que les prix baissent pour que ça reparte. C'est ça, l'économie de marché", a affirmé le chef de l'Etat, lors d'un discours sur la mise oeuvre de la politique de logement.
"En 2007, les prix de l'immobilier ont atteint en France le plus haut niveau par rapport aux revenus des ménages depuis quarante ans. Ce ne peut pas être sans conséquence, on se préparait à une crise latente", a constaté M. Sarkozy.
Il a réaffirmé que des mesures d'aide seraient prises, soulignant que "le secteur de la construction représente un million et demi d'emplois".
"Quand on arrête les programmes (de construction), le bâtiment arrête l'intérim, commence avec le chômage partiel. Puis arrive le chômage tout court", a-t-il ajouté.
Accompagné de Jean-François Copé, député-maire de Meaux, et de Christine Boutin, ministre du Logement, Nicolas Sarkozy a visité un chantier de constructions immobilières entrant dans le cadre de l'opération Vente en l'état futur d'achèvement (Vefa).
Le 1er octobre dernier, il avait annoncé que l'Etat allait racheter (par l'intermédiaire de bailleurs sociaux), à un prix décoté, plus de 30.000 logements dont les travaux n'ont pas été lancés faute de certitude sur les ventes. Sur ces 30.000 logements, 10.000 sont rachetés par la Société nationale immobilière (SNI, qui en a déjà effectivement racheté quelque 6.000), filiale à 100% de la Caisse des dépôts (CDC).
Cette "opération 30.000 logements enclenche une baisse des prix de l'ordre de 20%", a-t-il dit, ajoutant que l'Etat était "prêt à aller plus loin".
"Nous allons faire plus pour le logement mais je ne veux pas que cela serve à maintenir les prix hauts. Ce que nous voulons, c'est que les prix baissent pour que ça reparte. C'est ça, l'économie de marché", a affirmé le chef de l'Etat, lors d'un discours sur la mise oeuvre de la politique de logement.
"En 2007, les prix de l'immobilier ont atteint en France le plus haut niveau par rapport aux revenus des ménages depuis quarante ans. Ce ne peut pas être sans conséquence, on se préparait à une crise latente", a constaté M. Sarkozy.
Il a réaffirmé que des mesures d'aide seraient prises, soulignant que "le secteur de la construction représente un million et demi d'emplois".
"Quand on arrête les programmes (de construction), le bâtiment arrête l'intérim, commence avec le chômage partiel. Puis arrive le chômage tout court", a-t-il ajouté.
Accompagné de Jean-François Copé, député-maire de Meaux, et de Christine Boutin, ministre du Logement, Nicolas Sarkozy a visité un chantier de constructions immobilières entrant dans le cadre de l'opération Vente en l'état futur d'achèvement (Vefa).
Le 1er octobre dernier, il avait annoncé que l'Etat allait racheter (par l'intermédiaire de bailleurs sociaux), à un prix décoté, plus de 30.000 logements dont les travaux n'ont pas été lancés faute de certitude sur les ventes. Sur ces 30.000 logements, 10.000 sont rachetés par la Société nationale immobilière (SNI, qui en a déjà effectivement racheté quelque 6.000), filiale à 100% de la Caisse des dépôts (CDC).
Cette "opération 30.000 logements enclenche une baisse des prix de l'ordre de 20%", a-t-il dit, ajoutant que l'Etat était "prêt à aller plus loin".