TRISTESSE
À tous ceux qui m'ont demandé
À tous ceux qui m'ont demandé
Pourquoi avoir autant souri, tant aimé
À tous ceux qui m'ont demandé
Pourquoi avoir autant pleuré
À tous ceux qui m'ont demandé
Pourquoi avoir été aussi désespérée
À tous ceux qui m'ont demandé
Pourquoi avoir tout commencé
Et à la fois tout abandonné
À tous ceux qui m'ont demandé
Pourquoi avoir autant changé
Jusqu'à en être lésée
À tous ceux qui m'ont demandé
Pourquoi lui avoir laissé toute sa dignité
Alors que la mienne est embrouillée
Aujourd'hui, enfin, je peux leur répondre
Le plus simplement du monde :
Parce que c'était lui...
Pourquoi avoir autant souri, tant aimé
À tous ceux qui m'ont demandé
Pourquoi avoir autant pleuré
À tous ceux qui m'ont demandé
Pourquoi avoir été aussi désespérée
À tous ceux qui m'ont demandé
Pourquoi avoir tout commencé
Et à la fois tout abandonné
À tous ceux qui m'ont demandé
Pourquoi avoir autant changé
Jusqu'à en être lésée
À tous ceux qui m'ont demandé
Pourquoi lui avoir laissé toute sa dignité
Alors que la mienne est embrouillée
Aujourd'hui, enfin, je peux leur répondre
Le plus simplement du monde :
Parce que c'était lui...
ET NE PLEURE PAS
Viens, dis moi tout bas
Des mots rien qu'à moi
Dis moi toi et moi
Tes pas et tes bras
Le bonheur ici bas
Qu'on n'attendait pas
Sans chercher pourquoi
L'amour vient comme ça
Sans chercher comment
On oublie le temps
On voit le printemps
Face à l'océan
Oui, dis moi tout bas
Dis moi toi et moi
Et ne pleure pas
Et ne pleure pas
Bien sûr on le sait
Que l'oiseau blessé
Ne peut s'envoler
Au printemps brisé
Qu'il ne peut chanter
S'il est enfermé
S'il est prisonnier
D'une cage dorée
Qu'il ne peut partir
Si le temps s'étire
Et le fait souffrir
A perdre le désir
Mais rassure moi
Dis moi que tu crois
Que l'oiseau viendra
Qu'il s'envole là-bas
Dis moi que tu crois
A l'amour déjà
Dis moi le tout bas
Dis moi toi et moi
Le bonheur ici bas
Qu'on n'espérait pas
C'est venu comme ça
Pourquoi dire pourquoi
Pourquoi dire comment
Le ciel des amants
Peut surprendre le temps
Se moquer du vent
Dis moi le tout bas
Dis moi toi et moi
Et ne pleure pas
Et ne pleure pas
On le sait bien sûr
Sous un ciel trop pur
Sur un sol trop dur
Le blé n'est pas mûr
La fleur sans la pluie
Jamais n'éblouit
L'arbre sans le fruit
Jamais ne revit
Le rêve pleure la nuit
Si les jours sont gris
Et quand meurent l'envie
De deux cœurs unis
L'amour de la vie
En quête d'infini
Dis moi que tu crois
Encore toi et moi
Non ne dis plus rien
Et donne moi la main
Je crois au destin
A nos lendemains
Je te dis tout bas
Que j'y crois déjà
Que j'y crois encore
Que je t'aime si fort
Je suis contre toi
Je soupire parfois
L'écho de nos voix
Je désire tes bras
J'ai envie de toi
Je sais toi et moi
Toujours c'est comme ça
Non, je ne pleure pas
Je ne pleure pas
Non, ne pleure pas
Des mots rien qu'à moi
Dis moi toi et moi
Tes pas et tes bras
Le bonheur ici bas
Qu'on n'attendait pas
Sans chercher pourquoi
L'amour vient comme ça
Sans chercher comment
On oublie le temps
On voit le printemps
Face à l'océan
Oui, dis moi tout bas
Dis moi toi et moi
Et ne pleure pas
Et ne pleure pas
Bien sûr on le sait
Que l'oiseau blessé
Ne peut s'envoler
Au printemps brisé
Qu'il ne peut chanter
S'il est enfermé
S'il est prisonnier
D'une cage dorée
Qu'il ne peut partir
Si le temps s'étire
Et le fait souffrir
A perdre le désir
Mais rassure moi
Dis moi que tu crois
Que l'oiseau viendra
Qu'il s'envole là-bas
Dis moi que tu crois
A l'amour déjà
Dis moi le tout bas
Dis moi toi et moi
Le bonheur ici bas
Qu'on n'espérait pas
C'est venu comme ça
Pourquoi dire pourquoi
Pourquoi dire comment
Le ciel des amants
Peut surprendre le temps
Se moquer du vent
Dis moi le tout bas
Dis moi toi et moi
Et ne pleure pas
Et ne pleure pas
On le sait bien sûr
Sous un ciel trop pur
Sur un sol trop dur
Le blé n'est pas mûr
La fleur sans la pluie
Jamais n'éblouit
L'arbre sans le fruit
Jamais ne revit
Le rêve pleure la nuit
Si les jours sont gris
Et quand meurent l'envie
De deux cœurs unis
L'amour de la vie
En quête d'infini
Dis moi que tu crois
Encore toi et moi
Non ne dis plus rien
Et donne moi la main
Je crois au destin
A nos lendemains
Je te dis tout bas
Que j'y crois déjà
Que j'y crois encore
Que je t'aime si fort
Je suis contre toi
Je soupire parfois
L'écho de nos voix
Je désire tes bras
J'ai envie de toi
Je sais toi et moi
Toujours c'est comme ça
Non, je ne pleure pas
Je ne pleure pas
Non, ne pleure pas
- Jarod1
- Animateur
- Messages : 41523
- Enregistré le : 24 avril 2008 14:05
Re: TRISTESSE
C'est de qui ces trucs ?
"disons que la chine est un pays particulier,c'est sur,tout le monde a du travail,et ceux qui ne savent rien faire au lieu d'attendre que ça passe balayent les autoroutes.
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."
Ange blessé
Toi mon ange blessé, celui qui n’avait plus de baiser,
Laisse-moi prendre soin de tes ailes, pour qu’elles soient arc-en-ciel.
Je vais tenter de les réparer, pour que tu puisses voler à mes cotés.
Voler de nouveau bien haut, pour voir tout ce qu’il y a de plus beau.
Tu as tellement souffert, laisse-moi prendre soin de ton être.
Te ré-apprendre à sourire, reprendre le goût de vivre.
Te faire de grosses caresses, avec beaucoup de tendresse.
Je tiendrai ta main, sur le bord des ravins,
Ainsi tu ne tomberas pas et resteras dans mes bras.
Chaque fois que je pense à toi, je retiens mon souffle en moi,
Je ne veux pas le laisser aller, de peur de l’égarer.
C’est la chanson de mon âme, que je chante sans blâme,
Je veux rester près de toi, pour que tu vives en moi.
La douleur que traîne ton cœur, ne m’as jamais fait peur,
Je saurai t’amener ailleurs, pour soulager tes pleurs,
Te faire chanter, danser et raconter des contes de fées.
Ré-inventer la vie, pour qu’elle soit plus jolie,
écrire un beau récit, dont nous ferons partie.
Laisse-moi prendre soin de tes ailes, pour qu’elles soient arc-en-ciel.
Je vais tenter de les réparer, pour que tu puisses voler à mes cotés.
Voler de nouveau bien haut, pour voir tout ce qu’il y a de plus beau.
Tu as tellement souffert, laisse-moi prendre soin de ton être.
Te ré-apprendre à sourire, reprendre le goût de vivre.
Te faire de grosses caresses, avec beaucoup de tendresse.
Je tiendrai ta main, sur le bord des ravins,
Ainsi tu ne tomberas pas et resteras dans mes bras.
Chaque fois que je pense à toi, je retiens mon souffle en moi,
Je ne veux pas le laisser aller, de peur de l’égarer.
C’est la chanson de mon âme, que je chante sans blâme,
Je veux rester près de toi, pour que tu vives en moi.
La douleur que traîne ton cœur, ne m’as jamais fait peur,
Je saurai t’amener ailleurs, pour soulager tes pleurs,
Te faire chanter, danser et raconter des contes de fées.
Ré-inventer la vie, pour qu’elle soit plus jolie,
écrire un beau récit, dont nous ferons partie.
- Jarod1
- Animateur
- Messages : 41523
- Enregistré le : 24 avril 2008 14:05
Re: TRISTESSE
Pardon, je suis distrait. :content115
"disons que la chine est un pays particulier,c'est sur,tout le monde a du travail,et ceux qui ne savent rien faire au lieu d'attendre que ça passe balayent les autoroutes.
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."
L' Aube d'un rêve
A l’aube d’un jour,
Un jour banal,
Comme un autre,
Pourtant ce jour la quelqu’un,
Quelqu’un, comme vous et moi,
A pensé.
A pensé à ce monde,
Qui ne nous ressemble pas,
Et qui pourtant nous appartient.
Ce monde et ses richesses,
Qui pourtant ne suffisent pas à l’homme,
Ces richesses qui sont devant nous,
Et nous en voulons toujours plus,
Plus de choses matérielles,
Et le reste ?
Le reste nous n’y pensons guère.
Nous ne nous préoccupons pas
De ce qui est important,
Nous l’oublions.
A l’aube d’un jour, un jour comme un autre,
Quelqu’un a rêvé,
A rêvé d’un monde,
Bien différent du nôtre,
Là bas,
Ils avaient compris qu’on ne fait rien sans l’autre
Un jour banal,
Comme un autre,
Pourtant ce jour la quelqu’un,
Quelqu’un, comme vous et moi,
A pensé.
A pensé à ce monde,
Qui ne nous ressemble pas,
Et qui pourtant nous appartient.
Ce monde et ses richesses,
Qui pourtant ne suffisent pas à l’homme,
Ces richesses qui sont devant nous,
Et nous en voulons toujours plus,
Plus de choses matérielles,
Et le reste ?
Le reste nous n’y pensons guère.
Nous ne nous préoccupons pas
De ce qui est important,
Nous l’oublions.
A l’aube d’un jour, un jour comme un autre,
Quelqu’un a rêvé,
A rêvé d’un monde,
Bien différent du nôtre,
Là bas,
Ils avaient compris qu’on ne fait rien sans l’autre
Re: TRISTESSE
cest rien clint il i en na telement que oui au premier coup doeil sa le fait defoit no soucie
MUETTE
Si je pouvais te parler
Je dirais la vérité
Que je ne veux plus souffrir
Que je ne veux pas mourir...
Que seulement être avec toi
Ce serait un cadeau
Car pour moi
Tu es plus beau
Que quiconque sur la planète
Je te l'aurais dit
Je ne le peux je suis muette
Mais si tu lis ceci
JE T' AIME
Je dirais la vérité
Que je ne veux plus souffrir
Que je ne veux pas mourir...
Que seulement être avec toi
Ce serait un cadeau
Car pour moi
Tu es plus beau
Que quiconque sur la planète
Je te l'aurais dit
Je ne le peux je suis muette
Mais si tu lis ceci
JE T' AIME
AINSI VONT NOS VIES
Tendres années aux rythmes du passé
Qui reviennent peser sur les âmes oubliées
Un regard en arrière pour mieux avancer
Une larme pour ce qui est perdu à jamais…
Inexorablement la vie coule et les amours s’y noient
Petites perles englouties par les flots de la vie
Mais ainsi va la vie, il faut savoir accepter parfois
Que rien ne reste inchangé, tout passe et vieillit
A mes torts, je viens de le comprendre et l’accepter
Aussi lourd soit-il le poids de nos si grands souvenirs
Vidée, je me relève encore, lassée de tant souffrir
Et emprunte seule ce nouveau chemin, pour oublier
Si je pouvais redessiner le monde, oh crois-moi je le ferai
De milles et une couleurs je redessinerai notre terre
Juste pour retrouver, ne serait-ce qu’une poussière
Ne serait-ce qu’un soupçon de ce qu’on était
Mais dans les vagues de l’ignorance je t’ai vu plonger
Petite perle chère à mon cœur dans les flots de ta vie
Qu’importe l’amertume si c’est le bonheur qui t’a trouvé
Qu’importe alors que nos chemins se séparent aujourd’hui...
Il est dit que mieux vaut se séparer avant qu’il ne soit trop tard
Ne pas se désaimer tant qu’il reste encore des choses à sauver…
Il paraît que mieux vaut se quitter avant de tout gâcher
Ces bons souvenirs du passé… pour qu’il ne soit jamais trop tard…
Qui reviennent peser sur les âmes oubliées
Un regard en arrière pour mieux avancer
Une larme pour ce qui est perdu à jamais…
Inexorablement la vie coule et les amours s’y noient
Petites perles englouties par les flots de la vie
Mais ainsi va la vie, il faut savoir accepter parfois
Que rien ne reste inchangé, tout passe et vieillit
A mes torts, je viens de le comprendre et l’accepter
Aussi lourd soit-il le poids de nos si grands souvenirs
Vidée, je me relève encore, lassée de tant souffrir
Et emprunte seule ce nouveau chemin, pour oublier
Si je pouvais redessiner le monde, oh crois-moi je le ferai
De milles et une couleurs je redessinerai notre terre
Juste pour retrouver, ne serait-ce qu’une poussière
Ne serait-ce qu’un soupçon de ce qu’on était
Mais dans les vagues de l’ignorance je t’ai vu plonger
Petite perle chère à mon cœur dans les flots de ta vie
Qu’importe l’amertume si c’est le bonheur qui t’a trouvé
Qu’importe alors que nos chemins se séparent aujourd’hui...
Il est dit que mieux vaut se séparer avant qu’il ne soit trop tard
Ne pas se désaimer tant qu’il reste encore des choses à sauver…
Il paraît que mieux vaut se quitter avant de tout gâcher
Ces bons souvenirs du passé… pour qu’il ne soit jamais trop tard…
Toi et Moi
Ton corps serrer contre le mien
Sens tu la chaleur monter
Sens tu le désir qui nous fait vibrer
Tu aime me caresser, de tes douces mains
J'aime ton odeur, celle qui me réconforte
Celle qui me fais me sentir plus forte
J'aime ce moment envoûtant
Passer avec l'être que j'aime tendrement
De toi, je ne peux plus me passer
T'es caresse m'ont tant enivrées
Ton amour me fais chavirer
Je ne peux plus t'oublier
J'aime quand ton regard ce pose sur moi
Quand tu me caresse de tout tes doigts
J'aimerais que ce moment soit éternelle
Que personne ne m'arrache mes ailes
Tu me fais revivre
Tu me rend ivre
Toi qui me redonne le sourire
Toi qui me fait frémir
De toi je ne peux plus me passer
Tes baisers me font tant rêver
Sens tu la chaleur monter
Sens tu le désir qui nous fait vibrer
Tu aime me caresser, de tes douces mains
J'aime ton odeur, celle qui me réconforte
Celle qui me fais me sentir plus forte
J'aime ce moment envoûtant
Passer avec l'être que j'aime tendrement
De toi, je ne peux plus me passer
T'es caresse m'ont tant enivrées
Ton amour me fais chavirer
Je ne peux plus t'oublier
J'aime quand ton regard ce pose sur moi
Quand tu me caresse de tout tes doigts
J'aimerais que ce moment soit éternelle
Que personne ne m'arrache mes ailes
Tu me fais revivre
Tu me rend ivre
Toi qui me redonne le sourire
Toi qui me fait frémir
De toi je ne peux plus me passer
Tes baisers me font tant rêver
CHIEN ABANDONNE
Il ne comprend pas, le chien abandonné
Pour quelle raison personne ne lui donne abri.
Parce qu'être chien, c'est être ami
Et alors ? Pour quelle raison est-il déprécié ?
Le regard du chien sans maître est celui du mendiant
Non qu'il demande quelque chose, il est plein d'espoir
A nous prouver qu'il est capable
D'être utile : nous libérer du châtiment
De vivre seul, sans avoir la compagnie
D'un ami de tout occasion
Qu'en plus de la compagnie, il est protection ;
Qu'il fasse nuit, ou que ce soit de tout temps,
Ce qui distingue un chien, c'est d'être fidèle
Et un chien se réalise bien dans ce rôle.
Pour quelle raison personne ne lui donne abri.
Parce qu'être chien, c'est être ami
Et alors ? Pour quelle raison est-il déprécié ?
Le regard du chien sans maître est celui du mendiant
Non qu'il demande quelque chose, il est plein d'espoir
A nous prouver qu'il est capable
D'être utile : nous libérer du châtiment
De vivre seul, sans avoir la compagnie
D'un ami de tout occasion
Qu'en plus de la compagnie, il est protection ;
Qu'il fasse nuit, ou que ce soit de tout temps,
Ce qui distingue un chien, c'est d'être fidèle
Et un chien se réalise bien dans ce rôle.
L' amour
Lorsque l'amour m'étreint
Et je me berce de douces pensées
Je suis femme et je deviens
Esprit d'un parfum de volupté.
Ses paroles chaudes et sensuelles
M'enveloppent toute entière
Je m'y love telle la tourterelle
Dans ce nid de tendres prières.
J'y vois un monde tout autre
Des regards nouveaux et chauds
Toujours miens, devenus notre
Harmonie d'un rêve si beau...
Je nage voguant dans cet aura
Teint, de pastel, de rose
Il me conduit vers ces bras
Ou j'oublie toutes choses.
Amour tu es devenu mien
A travers un seul prénom
Je l'emprisonne, le retiens
Il se révèle ma seule raison...
Amour,
Oh toi, ma raison de vivre
Permet qu'à jamais près de lui
Je devienne femme et chavire
Dans l'océan de ses nuits...
Et je me berce de douces pensées
Je suis femme et je deviens
Esprit d'un parfum de volupté.
Ses paroles chaudes et sensuelles
M'enveloppent toute entière
Je m'y love telle la tourterelle
Dans ce nid de tendres prières.
J'y vois un monde tout autre
Des regards nouveaux et chauds
Toujours miens, devenus notre
Harmonie d'un rêve si beau...
Je nage voguant dans cet aura
Teint, de pastel, de rose
Il me conduit vers ces bras
Ou j'oublie toutes choses.
Amour tu es devenu mien
A travers un seul prénom
Je l'emprisonne, le retiens
Il se révèle ma seule raison...
Amour,
Oh toi, ma raison de vivre
Permet qu'à jamais près de lui
Je devienne femme et chavire
Dans l'océan de ses nuits...
La douleur
La douleur vient de nulle part
Et vous prend en amitié
On se réjouit de son départ
Mais elle aime s'incruster.
Pas d'autre choix
Que de vivre en sa compagnie
Je vis avec elle depuis de nombreux mois
Pourtant je m'accroche à la vie...
Quand elle me ronge à l'intérieur
Le courage vient à me manquer
Et c'est avec un petit pincement au cœur
Que je songe à me libérer.
Même si parfois j'ai envie de pleurer
Ce n'est pas vraiment par faiblesse
Il m'arrive d'être découragée
Alors, j'ai envie de crier toute ma détresse.
Qui peut mieux partager la souffrance
Que celui qui souffre lui-même
C'est pourquoi j'ai besoin de ta présence
Pour oublier les problèmes.
Et vous prend en amitié
On se réjouit de son départ
Mais elle aime s'incruster.
Pas d'autre choix
Que de vivre en sa compagnie
Je vis avec elle depuis de nombreux mois
Pourtant je m'accroche à la vie...
Quand elle me ronge à l'intérieur
Le courage vient à me manquer
Et c'est avec un petit pincement au cœur
Que je songe à me libérer.
Même si parfois j'ai envie de pleurer
Ce n'est pas vraiment par faiblesse
Il m'arrive d'être découragée
Alors, j'ai envie de crier toute ma détresse.
Qui peut mieux partager la souffrance
Que celui qui souffre lui-même
C'est pourquoi j'ai besoin de ta présence
Pour oublier les problèmes.
Adieu, je t'aime
Dans mon passé j'ai fait souffrir
Des cœurs blessés sans réfléchir
Et t'écorcher, je ne voudrais pas
Je sais que ton cœur à saigné déjà
Des nuits entières je peux passer
A rêver, à t'imaginer
Je sais maintenant que tu me lis
Je n'en demande pas plus, c'est promis
Je me dois de faire de l'ordre
Me défaire de ces chaînes, de ces cordes
Etre enfin libéré
Pour avoir le droit de t'aimer
Je sais que ton cœur a peur d'aimer
Le passé l'a tant déchiré
Mais mon espoir me permet de te dire
Q'un jour viendra où il pourra guérir
Je pense à toi
Je rêve de toi
Mais je n'ai pas le droit
Je n'ai plus le droit
Si seulement je pouvais effacer
Ce qui nous sépare et qui me fait pleurer
Et voilà que je perds à ce jour
Cette chance que j'avais de te faire la cour
J'ai déjà, dans le passé
Tenté d'aimer mais j'ai blessé
Ecervelé, inexpérimenté
Aucune idée, j'ai juste blessé
Je me plait juste de t'écrire
Peut-être y aura-t-il un avenir
De quelques jours j'ai besoin
Quelques jours, est-ce trop loin?
A tous les jours grandit en moi
L'idée folle que de moi tu voudras
Au bout des jours au bout des comptes
Serais-je de ton avenir ou un simple contact
Q'importe maintenant
Ce que tu penses, ce que tu dis
Aujourd'hui je fais le serment
De t'aimer à l'infini
Je t'écrirais tous les jours
Que tu m'aimes, que tu me hais
Moi je t'aimerai toujours
Et je ne t'oublierai jamais
Même si se termine cette douce folie
De te voir heureuse me rassasies
Je vais t'écrire mais je garderai
Pour moi le fruit de mes pensées
Adieu ma bien aimée....................
(Ce poème n'es pas de moi mais d'un homme tomber amoureux et éconduit gentiment et dont j'ai garder dans mes mails)
Des cœurs blessés sans réfléchir
Et t'écorcher, je ne voudrais pas
Je sais que ton cœur à saigné déjà
Des nuits entières je peux passer
A rêver, à t'imaginer
Je sais maintenant que tu me lis
Je n'en demande pas plus, c'est promis
Je me dois de faire de l'ordre
Me défaire de ces chaînes, de ces cordes
Etre enfin libéré
Pour avoir le droit de t'aimer
Je sais que ton cœur a peur d'aimer
Le passé l'a tant déchiré
Mais mon espoir me permet de te dire
Q'un jour viendra où il pourra guérir
Je pense à toi
Je rêve de toi
Mais je n'ai pas le droit
Je n'ai plus le droit
Si seulement je pouvais effacer
Ce qui nous sépare et qui me fait pleurer
Et voilà que je perds à ce jour
Cette chance que j'avais de te faire la cour
J'ai déjà, dans le passé
Tenté d'aimer mais j'ai blessé
Ecervelé, inexpérimenté
Aucune idée, j'ai juste blessé
Je me plait juste de t'écrire
Peut-être y aura-t-il un avenir
De quelques jours j'ai besoin
Quelques jours, est-ce trop loin?
A tous les jours grandit en moi
L'idée folle que de moi tu voudras
Au bout des jours au bout des comptes
Serais-je de ton avenir ou un simple contact
Q'importe maintenant
Ce que tu penses, ce que tu dis
Aujourd'hui je fais le serment
De t'aimer à l'infini
Je t'écrirais tous les jours
Que tu m'aimes, que tu me hais
Moi je t'aimerai toujours
Et je ne t'oublierai jamais
Même si se termine cette douce folie
De te voir heureuse me rassasies
Je vais t'écrire mais je garderai
Pour moi le fruit de mes pensées
Adieu ma bien aimée....................
(Ce poème n'es pas de moi mais d'un homme tomber amoureux et éconduit gentiment et dont j'ai garder dans mes mails)