I read a Book...
- Eax
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Re: Vos lectures
Je suis vers la page 70. Déjà au début il commence par ce qu'il dit tous les jours même devant ses poissons rouges.Le règne de sarkozy (hyperactif comme il aime le dire) il parle de giscard son ami ! Toutes les trois pages tu as droit à un mot latin.Il nous parle de ses années 90.Et là je suis au passage du mot "réforme".
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Re: Vos lectures
Ah? son ami qu'il a trahi en 1993 aux législatives en présentant un candidat là où Giscard alors président de l'UDF avait déjà désigné quelqu'un ou pris des accords de coalition. Drôle d'amitié!Eax a écrit : Je suis vers la page 70. Déjà au début il commence par ce qu'il dit tous les jours même devant ses poissons rouges.Le règne de sarkozy (hyperactif comme il aime le dire) il parle de giscard son ami! Toutes les trois pages tu as droit à un mot latin.Il nous parle de ses années 90.Et là je suis au passage du mot "réforme".
Résumé - Le Centre Des Trahisons ; L'Udf De Giscard A Bayrou Auteur :Bassi, Michel ; La Loyere, Georges De
Le Centre des trahisons est l'histoire de la tentative de reconstitution du paysage politique français par Valéry Giscard d'Estaing lorsqu'il créa l'UDF. De l'élan qui se brisa d'abord sur la volonté hégémonique de Jacques Chirac, puis sur la fringale de pouvoir de ceux que VGE avait " créés " et que l'on peut appeler les " cadets de l'ambition ". Ils s'appellent Léotard, Longuet, Madelin, et quelques autres. Et bien sûr, François Bayrou. Bayrou n'était pas celui que l'on voyait le mieux dans le rôle du parricide. Des jeunes loups qui chassèrent d'abord en meute, puis chacun pour son propre compte, paraissaient posséder des dents plus acérées. Mais, patelin, Bayrou sut jouer de l'intrigue, contourner l'obstacle Chirac, et finalement s'emparer à l'issue d'un putsch rampant de ce qu'il restait de " l'UDF historique ". Il en fit la base de ses futures campagnes présidentielles. Ce livre est l'occasion de raconter l'histoire politique vue de la droite non gaulliste et permet de comprendre, pourquoi Giscard n'a pu -contre toute attente- se relever de sa défaite de 1981. C'est également un essai politique qui aboutit à la conclusion que la stratégie d'indépendance que poursuit F. Bayrou est vouée à l'échec.
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Re: Vos lectures
C'était truculent à souhait ! et ça va même pour notre époque je peux te dire que dans mon village pour le panneau d'affichage ils en sont prsque venus aux mains !
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Re: Vos lectures
Je viens de retrouver un livre du même auteur lu il y a bien des années maintenant intitulé Sainte Colline.
Gabriel Chevalier nous décrit une année scolaire dans un collège religieux Sainte Colline. Les histoires les plus savoureuse, arrivent aux fortes têtes, aux cancres mais il y a aussi quelques faibles, tous réunis dans un monde cruel avec Ragraton l'économe, Savateux le pion (espion) l'abbé Jubil ...; Ce monde cruel n'épargne pas non plus ces religieux .
Nous somme loin de l'école où l'on fait un procès aux enseignants voire aux autres élèves pour des peccadilles. Autre temps autres moeurs.
Je cite quelques passages de ce qui arrive à Garfouillat. Ce garçon était chétif, tout pâlot, tout fébrile, à la fois très en avance et très en retard pour son âge, il avait des soliloques bizarres dans les coins de la cour, où le tenait, loin de tous, son effroi des jeux violents, Toutefois il tenait de sa mère un goût maladif de l'espionnage. Mais, alors que Mme Garfouillat espionnait surtout en fouillant les poches de son mari, le petit Garfouillat ne pouvait jamais se retenir, lui, de coller son œil aux trous de serrure. En fait il avait observé sa soeur nue par un trou de serrure avait eu la mauvaise idée de raconter par le détail tout ce qu'il avait vu à ses camarades. En quelque sorte il avait pris de l'avance sur ses camarades et ceux ci ne le lui pardonnaient pas.
Année scolaire 1912-1913
A sainte-Colline, les élèves font une retraite le révérend Père Ouadat Missionnaire prêchait la retraite ...
Gabriel Chevalier nous décrit une année scolaire dans un collège religieux Sainte Colline. Les histoires les plus savoureuse, arrivent aux fortes têtes, aux cancres mais il y a aussi quelques faibles, tous réunis dans un monde cruel avec Ragraton l'économe, Savateux le pion (espion) l'abbé Jubil ...; Ce monde cruel n'épargne pas non plus ces religieux .
Nous somme loin de l'école où l'on fait un procès aux enseignants voire aux autres élèves pour des peccadilles. Autre temps autres moeurs.
Je cite quelques passages de ce qui arrive à Garfouillat. Ce garçon était chétif, tout pâlot, tout fébrile, à la fois très en avance et très en retard pour son âge, il avait des soliloques bizarres dans les coins de la cour, où le tenait, loin de tous, son effroi des jeux violents, Toutefois il tenait de sa mère un goût maladif de l'espionnage. Mais, alors que Mme Garfouillat espionnait surtout en fouillant les poches de son mari, le petit Garfouillat ne pouvait jamais se retenir, lui, de coller son œil aux trous de serrure. En fait il avait observé sa soeur nue par un trou de serrure avait eu la mauvaise idée de raconter par le détail tout ce qu'il avait vu à ses camarades. En quelque sorte il avait pris de l'avance sur ses camarades et ceux ci ne le lui pardonnaient pas.
Année scolaire 1912-1913
A sainte-Colline, les élèves font une retraite le révérend Père Ouadat Missionnaire prêchait la retraite ...
« Ah! mes enfants, si l'un de vous venait à sourire misérablement en cet instant, je le plains! (Silence.) Si l'un de vous était assez corrompu pour ne pas sentir en cet instant toute l'admirable et terrible grandeur de Dieu, qu'il tremble. (Silence.) Car la mort est ici, la mort est parmi nous, elle va frapper le coupable. »
......
« Dieu vous connaît, Dieu vous juge! Amendez-vous, pécheurs!... Ah! j'en vois qui rougissent! (Silence.) J'en vois qui pâlissent! (Silence.) J'en vois dont le regard se détourne avec honte! (Silence, suivi d'un cri terrible.) -j'aperçois parmi vous (les brebis galeuses! (Cri plus terrible encore.) Je distingue un visage sur lequel se lit la trace des impuretés abominables! Qu'il se lève, celui-là, qu'il se prosterne et se repente! »
A ce moment, dans la rangée où se tenaient Pinoche et Lamandin, coururent de mystérieux et pressants, chuchotements
« Garfouillat, ta frangine!
— Et ta soeur, dis, Garfouillat!
— Garfouillat-le - cochon! Garfouillat- le - cochon! »
Alors on vit une chose incroyable, poignante, une chose qui fit tressaillir d'horreur tout le pensionnat. On vit une ombre frêle, peureusement engoncée dans une pèlerine dont le col dissimulait le visage, quitter son banc et venir s'agenouiller, seule, en plein milieu de l'allée centrale, où elle se tint courbée et secouée de sanglots énormes, qui révélaient un trop fort, un trop douloureux chagrin d'enfant.
L'impur venait de se lever, de se désigner lui-même à l'opprobre, à la honte. C'était le petit Garfouillat, âgé de treize ans.
Le R. P. Ouabat en eut l'éloquence coupée net. Il fallut en toute hâte se porter au secours de Garfouillat, qui se trouvait mal. Et le sermon du soir finit dans un brouhaha de scandale sur lequel tombait sinistrement la nuit, pleine de menaces, de remords et de questions angoissantes pour les consciences.
Dans ce grand tumulte, qui avait saisi même les Pères, deux élèves conservaient une froide lucidité d'esprit : Pinoche et Lamandin. Ils se firent l'un à l'autre une petite grimace de l'œil, tandis qu'un rictus de jubilation déformait le coin de leurs bouches juvéniles et fraîches :
« Tu parles d'un ballot! dit doucement le premier.
Quel couillon! » lui glissa le second.
A Sainte-Colline, comme dans tous les collèges, avaient cours entre élèves des légendes interdites et ignorées des maîtres, en dépit des rapporteurs mielleux, dont les fortes têtes savaient très opportunément se méfier. Dans la division des Moyens circulait depuis quelque temps un refrain très scabreux où il faut chercher la clef de l'aventure de Garfouillat. L'auteur de ce refrain se couvrait d'un prudent anonymat, mais si l'on tient compte que Pinoche et Lamandin, en raison de leur paresse, disposaient de grands loisirs, il ne fait pas de doute qu'on ne dût à leur collaboration le détestable fragment de chanson qui faisait le bonheur de quelques initiés, lesquels s'en servaient pour persécuter secrètement Garfouillat. Voici ce refrain qu'il était, certes, très surprenant d'entendre fredonner dans un collège religieux. Justement parce que la chose est surprenante, il faut la dire sans détours :
Laquelle c'est qu'on a vue sans voiles, Et qu'a du poil, qu'a du poil
Laquelle c'est qu'on a vue toute nue, Et qu'a du poil, du poil au...!
C'est la grande sœur à Garfouillat, Qu'a beaucoup de poil, de poil au...! Miaou, miaou, miaou,
On a tout vu par le trou! (bis)
Finalement le dimache alors qu'il était heureux en famille il arriva ce qui devait arriver.Il rêvait, lui aussi, d'étonner, et, puisque la force physique lui faisait défaut, de surpasser à sa façon les Pinoche, Lamandin et autres seigneurs de moindre importance qui ne lui marquaient que du mépris. Les charmes ravissants d'Hélène Garfouillat lui fournissaient l'occasion d'une éclatante revanche. Il révéla ce qu'il avait vu, mais c'était tellement supérieur aux exploits de vacances des autres, que d'abord ils refusèrent de le croire. On interrogea Garfouillat, qui dut fournir des précisions.
« A poil, pour de vrai, tu l'as vue?
A poil, oui, monsieur, à poil!
Elle est bien foutue?
Tu peux toujours chercher!
T'y as vu tout, dis, Garfouillat, à ta soeur?
Tout, je te dis, et pas qu'une fois!
C'était bath?
Tu parles! » répondit le coupable, enivré d'orgueil.
Les mains fraternelles et ferventes de Garfouillat décrivirent dans l'espace le profil de rondeurs hallucinantes, dont la douce masse l'eût écrasé, si frêle. Les chenapans n'étaient pas loin d'admirer.
« Comme les statues des femmes à poil du monument, c'était, quoi!
Et pis mieux aussi, parce que c'était vivant, avec les couleurs en plus, et que ça bougeait, et que tu voyais des positions jamais pareilles. »
Pour des garçons comme Pinoche et Lamandin, qui avaient une réputation bien assise, il était amer d'assister au triomphe d'un petit Garfouillat tout miteux.
«T'es un beau cochon! dit Pinoche.
Pour sûr, t'es un cochon! dit Lamandin.
Reluquer les poules, et même un peu plus, j'en ai pas peur, dit Pinoche. Mais se rincer l'œil sur sa soeur, c'est pas du travail.
En tout cas, moi, j'y ferais pas! déclara Lamandin. Et pourtant, y a personne ici qu'oserait dire que je suis un capon!
T'es un dégoûtant, Garfouillat! dit Pinoche.
Pour sûr, t'es un dégoûtant! approuva Lamandin.
Et d'abord, ta sœur, elle est moche!
Pas vrai! » hurla Garfouillat, tout prêt à s'élancer malgré sa faiblesse sur les vils insulteurs d'une image qu'il chérissait. Les autres le virent sur le point de céder à l'une de ces colères nerveuses des faibles, qui ressemblent à des attaques d'épilepsie. Ils craignirent des complications, et Lamandin fit observer posément
« Et puis, on la connaît pas, ta soeur!
Elle viendra me voir l'autre dimanche.
On la reluquera! dit Pinoche.
On la reluquera! » dit Lamandin.
Là-dessus, Pinoche et Lamandin, pleins de jalousie, composèrent leur fameuse chanson. D'autres garnements la serinèrent bientôt aux oreilles de Garfouillat, que visait maintenant le remords. Et non seulement le remords, mais le désespoir, le dégoût. Il se reprochait amèrement d'avoir défloré sans profit. son précieux secret, d'avoir livré, comme nue, sa sœur, à une assemblée de gamins cyniques et malfaisants.
...
Quinze chenapans connaissaient Hélène Garfouillat dans les derniers détails, et cela sans qu'elle s'en doutât, l'innocente!
Quelques temps plus tard éloignée de la mauvaise influence de son frère Hèlène s'était mariée et ...Et soudain, les terreurs de Garfouillat reparurent, pressantes et précises. Le malheureux se vit cerné par des ennemis implacables et habiles. Une porte, qui se trouvait tout à côté de sa soeur, fut poussée brutalement. Dans l'entrebâillement de cette porte parut un visage grimaçant, barbouillé de charbon, et une voix aiguë scanda ces mots :
Miaou, miaou, miaou,
On a tout vu par le trou.
Un autre visage, non moins affreux, non moins noir, vint aussitôt se placer contre le premier, et deux voix féroces crièrent ensemble, pour la seconde fois :
Miaou, miaou, miaou,
On a tout vu par le trou.
Garfouillat s'étrangla, rota de la crème, pâlit affreusement et se mit à pleurer comme un veau. Les larmes coulaient sur son piteux visage enduit de sucreries, comme les torrents qui descendent des montagnes à l'époque de la fonte des neiges.
« Eh bien! Zido, demanda Hélène Garfouillat, qu'est-ce qui te prend?
— Miaou, miaou..., put juste articuler Garfouillat, à travers ses sanglots.
— Gros bêta de Zido, lui dit sa soeur en riant, tu as eu peur! Mais c'est drôle, ça, « Miaou, miaou, miaou, on a tout vu par le trou »! C'est très amusant! C'est une chanson du collège? »
Tant de gentillesse mit le comble au désespoir de Garfouillat. Pleurant plus fort que jamais, il se jeta dans les bras de sa sœur. Il avait envie de lui demander pardon. Il n'en eut pas le temps.
« Mon Dieu, gémit Mme Garfouillat, véritablement affolée, ce petit est malade! Sûrement, il ne fait pas son gros tous les jours.
...C'était le matin, un dimanche, et le soleil d'avril les taquinait gentiment jusque dans leur lit. où ils s'attardaient. Hélène y goûtait pour l'instant de vifs agréments. Dans cet état de doux délire, il lui vint aux lèvres, par surprise, des mots d'autrefois, des mots qu'elle ignorait savoir et que l'émoi ressuscita en sa mémoire. Ces mots, elle les prononça tendrement, sans en avoir nettement conscience, tout contre l'oreille de son mari :
Miaou, miaou, miaou,
On a tout vu par le trou.
« Plaît-il, chérie? demanda Gérard Duparc, très étonné.
Mais je n'ai rien dit, chéri!
Pardon! Tu as dit : « Miaou, miaou, « miaou, on a tout vu par le trou. » Pourrais-tu m'expliquer?
Oh! dit Hélène alanguie, c'était une chanson de Zido, mon petit frère.
Où l'avait-il apprise?
Au collège, je pense, chez les Pères.
Drôle de genre! fit Gérard Duparc. Enfin, qu'est-ce que ça veut dire?
Ça veut dire... ça veut dire : je t'aime! »
- tisiphoné
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Re: Vos lectures
Andy Mc Nab
les brumes du golfe .
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Re: Vos lectures
Je lis quitter le monde de Douglas Kennedy.
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Re: Vos lectures
Lettre ouverte au bandits de la finance Jean Montaldo
Je pensais trouver plein d'histoires sur nos bandits de banquiers bien de chez nous, ils y sont bien sûr, toutefois je n'ai pas le sentiment d'en apprendre plus que j'en sais déjà. En revanche Montaldo revient sans cesse sur les turpitudes du monde financier américain à tel point qu'à la 241° page j'ai l'impression d'avoir lu 10 fois la même histoire.
Le livre comporte 375 pages, j'irai au bout mais j'ai eu 10 fois ou plus l'envie de le lâcher.
Je pensais trouver plein d'histoires sur nos bandits de banquiers bien de chez nous, ils y sont bien sûr, toutefois je n'ai pas le sentiment d'en apprendre plus que j'en sais déjà. En revanche Montaldo revient sans cesse sur les turpitudes du monde financier américain à tel point qu'à la 241° page j'ai l'impression d'avoir lu 10 fois la même histoire.
Le livre comporte 375 pages, j'irai au bout mais j'ai eu 10 fois ou plus l'envie de le lâcher.
- Jarod1
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Re: Vos lectures
Je lis les annonces légales.
"disons que la chine est un pays particulier,c'est sur,tout le monde a du travail,et ceux qui ne savent rien faire au lieu d'attendre que ça passe balayent les autoroutes.
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."
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Re: Vos lectures
je lis dumas j'ai acheté la collec
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Re: Vos lectures
Les sept filles d'Ève.
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Re: Vos lectures
Super bouquin.