OGM
"Je me prononce pour un moratoire sur les OGM, afin de sortir de la zone d'incertitude"
François Bayrou veut sortir du silence sur les OGM. Rétablir la démocratie,(c'est un voeux pieux) c’est partir d’une information scientifique indiscutable (le problème c'est qu'il n'en aura pas, à moins qu'il trafic le résultat), qui nourrisse le débat national et permette au Parlement de trancher. ( en clair ils vont trancher, en suivant la conclusion du compte rendu des scientifiques.. bigre.. quelle indépendandence de jugement.. le jeux politique n'y est pas..)
je dirait que le problème dans toutes ses facettes et leur répercussions, les dépasse.. à l'Assemblée..
" Nous manquons de savoir sur les risques que peuvent représenter les OGM. Nous avons donc besoin d’une démarche scientifique sur les effets réels des OGM et les risques qu'ils recouvrent.
donc c'est du domaine scientifique, certains politiques, vont encore parler haut et fort et appuyer ou pas les scientifiques qui leur conviennent.. les autres suivront.. c'est de la monoculture.. sans diversité
Afin de sortir de la zone d'incertitude, je saisirai, dès mon élection si elle a lieu, l’Académie des Sciences, pour que soit composée une une commission, comprenant en particulier des pharmacologues (Ah ba alors là, les pharmaco les utilisent déjà, les OGM, en milieu confiné, donc il en connaissent une partie des applications et ils sont pour, ils sont de pluss gouverné par les grands groupes pharmaceutiques équivalent aux grands groupes semencier, ils se tiennent, ils s'entendent... qu'est ce qu'il va en sortir?), qui fera la synthèse des connaissances sous la forme d'un rapport sur ce que recouvrent les OGM comme risque de dissémination, pour l'alimentation et pour la recherche pharmacologique. (bof et puis après.. un de pluss... monsanto veut sauver le monde, les pharmaco aussi... mais pour le sida et leur médicaments ils sont loin de faire du social ou de partager..business oblige..mosanto c'est pareille avec le brevetage du vivant...etc)
Ce rapport nourrira (ou manipulera) un débat national.
Le sujet des OGM révèle le manque de démocratie dans notre pays (de l'Europe.. et ça relève aussi de stratégie mondiale, de monopole et du commerce). Comment peut-on accepter que, sur une question aussi importante, qui nécessite des débats approfondis, les élus du peuple aient été tenus pour quantité négligeable ? C’est une preuve du dysfonctionnement de notre démocratie ( josé Bové n'a pas conquis la planète pour autant) que le Parlement n’ait pas été invité à discuter des OGM.
La transparence et la démocratie nous permettront de sortir du silence officiel maintenu en France sur cette question - alors qu'il y a aujourd’hui dans le monde 85 millions d’hectares de cultures OGM, dont 50 millions aux Etats-Unis, et que ces cultures se développent à vitesse croissante au Brésil, en Inde, en Chine. (tient.. la c'est bizarre, "95 millons".. "50 millons".. "à vitesse croissante", ça lui tourne à la tête, on dirait que ça le démange de sortir ses tracteurs du hangar... raaaaah!.. que je moissonne tous ces bons champs juteux d'OGM.. Dediou!!)
Cela doit aller de pair avec une grande politique de recherche française et européenne dans le domaine des biocarburants, des biomatériaux, de la chimie du végétal, des biotechnologies, du génome (ba oui on le sait bien, les américains se sont déjà lancé dans la baguarre, c'est pas "wait and see" mais "go go go on verra plus tard", seulement pour la pool position, dans la haute technologie, on est pas encore de taille, il faudra se contenter du rôle de suiveur de loin et on est pas obligés de passer dans les ornières du leader si l'on veut avancer aussi)."
je rajouterais ceci lu dans un article:
et que dire de monocultures, dont les composants sont des clône ou des frères siamois?pourquoi, dans le combat pour la productivité agricole, les OGM ont-ils monopolisé l’attention ? Pourquoi les autres voies sont-elles négligées ? Car il existe d’autres voies... On sait par exemple que certaines mauvaises herbes fixent naturellement les parasites et qu’il suffit de les planter autour d’un champ pour favoriser la protection des cultures. La diversité des espèces dans un champs est un gage de résistance tandis que la mono-spécificité constitue un facteur de fragilité.