Clintclint a écrit :
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Ouais ! Et par contre des mecs drogués comme moi, là on peut en rire je suppose !
A part ça, il te prend quoi là ?
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Clintclint a écrit :
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Ouais ! Et par contre des mecs drogués comme moi, là on peut en rire je suppose !
A part ça, il te prend quoi là ?
alors dis le...tisiphoné a écrit : il doute de rien BHL :roll:
en quoi le fait d'être un rescapé de quoique ce soit nous ouvrirait des droits ?
je trouve ce procédé![]()
qu'il nous parle de sa vie exemplaire , si c'est le cas , depuis cet évènement , je veux bien , mais là je suis dégoutée !!!
Barbapoutre a écrit : Exactement quel est son crime?
S'agit-il d'un viol?
Ou corruption de mineur? ou atteinte sexuelle, ou agression sexuelle?
No commentEt puis tous ces sakozystes, qui ne jurent que par la "tolérance zéro" et "la loi dans toute sa sévérité" considèrent que ça ne s'applique pas à leur caste. "La loi c'est pour les autres", c'est ça la base du sarkozysme.
Quant à Frédéric Mitterrand il ferait mieux de la fermer lui qui écrivait en 2005 dans son livre "la mauvaise vie" (Robert Laffont) à propos des "jeunes garçons" qu'il se "paye" en Thaïlande et en Indonésie :
« J’ai pris le pli de payer pour des garçons [...] Évidemment, j’ai lu ce qu’on a pu écrire sur le commerce des garçons d’ici .[...] Je sais ce qu’il y a de vrai. La misère ambiante, le maquereautage généralisé, les montagnes de dollars que ça rapporte quand les gosses n’en retirent que des miettes, la drogue qui fait des ravages, les maladies, les détails sordides de tout ce trafic. Mais cela ne m’empêche pas d’y retourner. Tous ces rituels de foire aux éphèbes, de marché aux esclaves m’excitent énormément […] On ne pourrait juger qu’un tel spectacle abominable d’un point de vue moral, mais il me plaît au-delà du raisonnable […] La profusion de jeunes garçons très attrayants et immédiatement disponibles me met dans un état de désir que je n’ai plus besoin de réfréner ou d’occulter. L’argent et le sexe, je suis au cœur de mon système, celui qui fonctionne enfin car je sais qu’on ne me refusera pas. »
Quoique, on comprend mieux qu'il défende Polanski.
En 2001, une polémique éclate a propos de son livre Le Grand Bazar, où il racontait ses activités d’aide-éducateur au jardin d’enfants autogéré de Francfort. Il écrit à ce propos : « Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : “Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas d'autres gosses ?” Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même ». Et ailleurs : « J’avais besoin d’être inconditionnellement accepté par eux. Je voulais que les gosses aient envie de moi, et je faisais tout pour qu’ils dépendent de moi. »
Daniel Cohn-Bendit s'est toujours défendu en expliquant que ses textes et ses déclarations étaient à replacer dans le contexte des années 1970, aucune plainte n’ayant d'ailleurs été déposée. Des parents et des enfants de ces crèches alternatives avaient alors apporté leur soutien au leader écologiste. « Prétendre que j’étais pédophile est une insanité. La pédophilie est un crime. L’abus sexuel est quelque chose contre lequel il faut se battre. Il n’y a eu de ma part aucun acte de pédophilie. » Il ajoute néanmoins que « ce texte, qui n'avait pas fait scandale à l'époque, est aujourd'hui insoutenable », et qu'il nourrit « des remords d'avoir écrit tout cela.
Et bien figure toi que l'allusion à ce texte a complètement plombé Bayrou aux élections européennes! :roll:mum401 a écrit : Mais ou vis-je moi ?:roll: pour découvrir qu'en fait il y a beaucoup de types malsains qui nous entourent...
je suis abasourdie par les 2 textes que je viens de lire
Après la vague de soutien apportée au cinéaste Roman Polanski, arrêté en Suisse, samedi 26 septembre, dans le cadre d'une affaire de viol sur une fille de 13 ans en 1977 aux Etats-Unis, quelques voix discordantes se font entendre depuis, notamment dans la majorité présidentielle. "Roman Polanski n'est ni au-dessus ni en-dessous des lois. Nous avons une procédure judiciaire en cours, pour une affaire grave, le viol d'une mineure, pour laquelle la justice américaine et la justice suisse font leur travail", a déclaré, mercredi, Luc Chatel, porte-parole du gouvernement. "De l'autre côté, nous avons l'émotion et on peut comprendre l'émotion qu'a suscitée cette arrestation tardive, plus de trente ans après les faits et la méthode de cette arrestation", a-t-il ajouté. Contacté par le Monde.fr, la secrétaire d'Etat chargée de la famille, Nadine Morano, elle, n'a pas souhaité s'exprimer sur la question.
"La loi est la même pour les artistes et les citoyens"
Les déclarations de deux ministres sont notamment en cause. Dès dimanche, le ministre de la culture, Frédéric Mitterrand, avait qualifié d'"absolument épouvantable" l'arrestation du cinéaste "pour une histoire ancienne qui n'a pas vraiment de sens". Lundi 28 septembre, c'était au tour du chef de la diplomatie Bernard Kouchner de demander sa libération à la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton.
A la suite de ces prises de position, l'eurodéputé Daniel Cohn-Bendit (Verts) a rappelé qu'"il y a eu viol sur une jeune fille de 13 ans (...). C'est un problème de justice et je trouve qu'un ministre de la culture, même s'il s'appelle Mitterrand, devrait dire : j'attends de voir les dossiers".
A droite, ce soutien fait également grincer des dents. Pour Christian Vanneste, député UMP du Nord, Frédéric Mitterrand s'est comporté "davantage comme porte-parole du microcosme médiatico-mondain que comme ministre de la République". "J'ai été surpris, comme beaucoup de Français, des déclarations, un peu rapides, de deux ministres vis-à-vis de la justice suisse et la justice américaine", a également déclaré le député UMP de Maine-et-Loire Marc Laffineur. Sa collègue de l'Yonne, Marie-Louise Fort, auteur d'un texte sur la lutte contre l'inceste récemment voté à l'Assemblée, s'est dite "consternée par le soutien qu'apportent un grand nombre de responsables institutionnels et d'artistes à Roman Polanski". Quant au président du FN, Jean-Marie Le Pen, il est allé jusqu'à demander la démission des deux ministres.