La tribune de sarkozy sur l'identité nationale
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Re: La tribune de sarkozy sur l'identité nationale
interdire et liberté , tu peut admettre que ça va pas ensemble . le seul radicalisme que je vois ici c'est le tient . contrairement a ce que tu crois tu ne vaut pas mieux que les taliban , eux aussi comme toi refuse d autre mode de vie d autre pensez et d autre mode vestimentaire . vous étés pareil .
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Re: La tribune de sarkozy sur l'identité nationale
l' interret de la majorité,c'est interdire qu'une minorité impose ses règles.c'est ca la démocratie,que tu le veuilles ou non.mais je savais depuis longtemps que ton truc a toi,c'est la dictature. j'ai aucun problème de conscience avec ca.la méthode coup de pied au cul est de rigueur,pas de problème,que les vendeurs de soupe avariés aillent le faire ailleurs.Rananen a écrit : interdire et liberté , tu peut admettre que ça va pas ensemble . le seul radicalisme que je vois ici c'est le tient . contrairement a ce que tu crois tu ne vaut pas mieux que les taliban , eux aussi comme toi refuse d autre mode de vie d autre pensez et d autre mode vestimentaire . vous étés pareil .
« Ainsi s'éteint la liberté, sous une pluie d'applaudissements. » Star Wars, épisode III
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Re: La tribune de sarkozy sur l'identité nationale
Fonck1 a écrit : lavie en commun,c'est pas la priorité des minorités!
Tout juste - sauf que tu ne saisis pas qu'il y a beaucoup d'athées et qu'ils constituent la majorité des résidents .....
Le saRko s'adresse aux communautés , à savoir l'opposé de l'état républicain - les gus qui ne reçoivent d'ordre que leur dieu constituent ces communautés ; ultras, fondamentalistes et extrémistes - du beau linge, vraiment.
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Re: La tribune de sarkozy sur l'identité nationale
il verra si ca plait a la majorité,pâr les élections! cela dit,je ne l'ai pas vraiment vu prêcher plus chez les uns que chez les autres....mais contre le radicalisme.Alogos a écrit :
Tout juste - sauf que tu ne saisis pas qu'il y a beaucoup d'athées et qu'ils constituent la majorité des résidents .....
Le saRko s'adresse aux communautés , à savoir l'opposé de l'état républicain - les gus qui ne reçoivent d'ordre que leur dieu constituent ces communautés ; ultras, fondamentalistes et extrémistes - du beau linge, vraiment.
et faudrait être débile pour penser que le radicalisme a sa place sur le territoire,pour ma part,c'est non!
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Re: La tribune de sarkozy sur l'identité nationale
Fonck1 a écrit : l' interret de la majorité,c'est interdire qu'une minorité impose ses règles.c'est ca la démocratie,que tu le veuilles ou non.mais je savais depuis longtemps que ton truc a toi,c'est la dictature. j'ai aucun problème de conscience avec ca.la méthode coup de pied au cul est de rigueur,pas de problème,que les vendeurs de soupe avariés aillent le faire ailleurs.
c'est toi la minorité qui impose ses règles . ses femmes non obligez personne a portez la burka , elle respecte 10 000 fois plus l esprit républicain que toi . elle n impose rien au autre .
tu na pas de probleme de conscience tu a un probleme d intelligence . tu ne regarde pas le petit bout de la lorgnette . la démocratie c'est pas que la majorité impose ça façon de vivre au minorité c'est que tout le monde puisse vivre comme ils le souhaite . la tyranie que tu veut imposez , je n en veut pas et je suis prêt a me battre pour ça . et le coup de pied au cul c'est bien toi qui le mérite .
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Re: La tribune de sarkozy sur l'identité nationale
tu serais surpris s'il y avait un vote.même les gens de gauche sont contre.Rananen a écrit : c'est toi la minorité qui impose ses règles . ses femmes non obligez personne a portez la burka , elle respecte 10 000 fois plus l esprit républicain que toi . elle n impose rien au autre .
c'est relatif a la personne qui juge ca,venant de toi,je me fais aucun soucis.tu na pas de probleme de conscience tu a un probleme d intelligence .
si,par la voie majoritaire,et qui rassemble pas forcéement des gens du même courant,mais en fonction de leurs valeurs.tu ne regarde pas le petit bout de la lorgnette . la démocratie c'est pas que la majorité impose ça façon de vivre au minorité c'est que tout le monde puisse vivre comme ils le souhaite .
je t'attends,ya pas de problème,mais il es loin d'être mis la seule personne minoritaire qui impose aux autres ici,c'est toi non?la tyranie que tu veut imposez , je n en veut pas et je suis prêt a me battre pour ça . et le coup de pied au cul c'est bien toi qui le mérite .
tu es pret a égorger les gens,séquestrer les patrons,faire tout par la force alors que ton courant (et encore tous sont pas comme toi) ne représente même pas 5% des votants français,soit a peine 3 millions de personnes?
Mouis,t'as besoin de leçons de démocratie toi....
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Re: La tribune de sarkozy sur l'identité nationale
"L'identité nationale est un débat lancé par des arriérés pour les arriérés." Eric Cantona.
Je rajouterais: Le racisme est une idéologie de dégénéré mental qui n'a pas compris depuis qu'il est né qu'il n'y a qu'une seule race. LA RACE HUMAINE.
Je rajouterais: Le racisme est une idéologie de dégénéré mental qui n'a pas compris depuis qu'il est né qu'il n'y a qu'une seule race. LA RACE HUMAINE.
"Les batailles de la vie ne sont jamais gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais."
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Re: La tribune de sarkozy sur l'identité nationale
Maurice Faivre est un général (2S) et écrivain français né le 19 mars 1926 à Morteau dans le Doubs.
Ce texte rédigé sous le Pseudo de Cyrano est extrait de www.ripostelaique.com
Pourquoi je suis français ?
Je suis français parce que je suis de nationalité française. Que ma nationalité soit d'origine ou acquise, peu importe, pourvu que je me reconnaisse fils d'une nation, c'est-à-dire d'un ensemble d'humains unis par une communauté de territoire, de langue, de traditions et d'aspirations. Le territoire, c'est ma maison ; la langue en est la clé ; les traditions en sont les fondations ; les aspirations sont les portes et les fenêtres. Le tout, c'est mon présent. C'est ce présent localisable, parlant, historique et prospectif que j'incarne quand je me déclare français. Mon identité est donc plus que ma carte d'identité : c'est un vouloir-être qui m'oblige à réagir contre ceux qui ne veulent pas de la France alors même qu'ils y vivent ou qu'ils en vivent. Mon identité est une action ! L'histoire qui me porte est aussi l'Histoire que je porte dans un sentiment permanent d'auto-défense. Mon identité est un silence intérieur capable de colères. L'actuel débat sur l'identité nationale corrobore cette évidence. La France gronde en moi comme en chaque Français qui aspire à rester français, car l'actuelle identité de la France est en train de changer l'identité des Français ! Les Français en ont assez, en effet, de vivre au quotidien l'altération de leur être.
Être français, c'est donc être hostile à ceux qui sont hostiles aux lois françaises, à commencer par celles qui sont perçues comme lois du pays d'accueil.
Je suis français parce que je dénonce la « nouvelle France » !
Je suis français parce que je suis révolté d'entendre, sur mon sol, des manifestants hurler des slogans antisémites ou soutenir les terroristes du Proche-Orient.
Je suis français parce que je ne supporte pas que des drapeaux étrangers ou des banderoles francophobes soient brandis agressivement lors de rencontres sportives ou dans des manifestations de rue.
Je suis français parce que je ne tolère plus les personnes qui, sous le couvert de nos lois, font le lit de leur culture en défaisant celui de la République.
Je suis français parce que je ne veux plus de ces prêcheurs qui, au nom d'une religion, tiennent des discours anti-occidentaux.
Je suis français parce que je n'apprécie pas du tout qu'il y ait dans nos banlieues des hommes et des femmes pour voir en Ben Laden un saint ou un héros.
Je suis français parce que je n'ai plus la sollicitude que j'avais naguère pour les « sans-papiers » et autres hors-la-loi qui squattent nos églises et méprisent nos droits en exigeant des droits différentiels.
Je suis français parce que je n'accepte plus que des élèves ordonnent qu'on réécrive les cours d' Histoire au seul motif que l'enseignant leur présenterait une vision exclusivement judéo-chrétienne du monde.
Je suis français parce que je ne comprends plus que des étudiants musulmans récusent la mixité, les enseignantes, les enseignants non musulmans, la pensée déiste, encyclopédiste, athée, les Lumières, les cours de littérature, de philosophie, de physique, de biologie, de sport, en un mot tout ce qui gêne leurs convictions célestes.
Je suis français parce que je suis excédé de ne plus pouvoir mettre, à Noël, une crèche dans une vitrine ou un sapin dans une école sans déclencher une commission d'enquête.
Le Français que je suis enrage d'apprendre qu'un train peut être un lieu de tabassage ou de viol, voire un moyen de transport quasi gratuit pour ces anonymes qui tabassent et qui violent, et dont l'identité, systématiquement tue, se révèle pourtant par ce silence même !
Le Français que je suis serre les poings lorsqu'il entend Dominique Baudis avouer personnellement « ne plus pouvoir sortir dans certains quartiers sans se faire traiter de « sale Français » (FR3 Toulouse, 1999) ! Le Français que je suis souffre de savoir qu'en 2002, François Bayrou qui s'était rendu à Strasbourg dans le cadre de la campagne présidentielle a vu les vitres de la mairie où il se trouvait brisées par des pierres, comme s'il était le Mal, et qu'en 2005, Nicolas Sarkozy, visitant une cité « difficile » d'Argenteuil, a été caillassé de la même façon comme sil était le Diable !
Le Français que je suis n'est pas près d'oublier l'image incroyable du visage de Jacques Chirac couverts de crachats de « jeunes » lors d'une visite à Mantes-la-Jolie, le 4 mars 2002, ni la Marseillaise sifflée en 2001, 2007 et 2008 au stade de France !
Je suis français lorsque je m'insurge contre la tiers-mondisation de nos cités, d'où les autochtones sont chassés au prorata de l'arrivée des étrangers, conformément à une politique immigrationniste suicidaire qui aligne progressivement notre pays sur le Kosovo devenu musulman à 90% en moins de 50 ans !
Je suis français lorsque je vomis le racisme anti-blancs, comme tout autre forme de racisme, et par conséquent, lorsque je tempête contre la « discrimination positive » en laquelle j'aperçois l'avancée du « racisme positif » sitôt qu'elle se fonde sur la couleur, et du « politiquement correct » dans ce qu'il peut avoir d'imbécile et de pleutre !
Je suis français lorsque je fulmine contre les lois françaises appliquées du bout des lèvres dans les « cités » et les « banlieues ».
Je suis français en refusant de baisser les yeux quand je croise les occupants de zones hypocritement qualifiées de « non-droit ».
Je suis français lorsque je n'entends plus être une victime « ethnique » de la violence ordinaire, que ce soit pour une aile froissée, une priorité refusée, une cigarette que je n'ai pas la chance d'avoir sur moi, un sandwich au jambon jugé « insultant », un geste ou un mot interprété de travers, ou le simple fait d'être là.
Je suis français quand je constate, scandalisé, que les fêtes du Nouvel An célèbrent le renouvellement flambant neuf du parc automobile !
Je suis français quand j'exige que soient sévèrement punis ceux qui téléphonent aux pompiers et aux médecins pour les faire tomber dans d'immondes traquenards.
Je suis français quand s'agitent en ma mémoire les voyous qui saccagent nos lieux de vie parce qu'un des leurs s'est tué accidentellement au volant d'un véhicule volé, et qui, profitant de ce drame, jettent par la fenêtre de leur immeuble frigidaires, machines à laver, téléviseurs et autres objets « anodins », défoncent les devantures de locaux et de magasins à la voiture bélier, attaquent les commissariats au lance-roquette, accueillent les forces de l'ordre à coups de pierres, de boules de pétanque, de cocktails Molotov, de revolver ou de fusil, incendient tout ce qui peut brûler, trafiquent la poudre, les véhicules et les armes... quand ils ne s'engagent pas dans des cellules terroristes pour semer sur notre sol ou ailleurs la dévastation et la mort !
Je suis français quand des rappeurs veulent « niquer la France », quand Houria Bouteldja traite mes compatriotes de « sous-chiens », quand je plaide pour une Europe laïque et féministe, quand j'admire Malek Boutih, Malika Sorel, Hamid Zanaz, Kébir Jbil, Pascal Hilout, Sihem Habchi, Abdennour Bidar... tous issus de l'immigration et tous honneur de la France par leur engagement authentique en faveur des valeurs républicaines.
Je suis Français quand je soutiens les Droits de l'Homme, quand j'en appelle à l'universel par la femme qui est l'Homme et par l'Homme, qui ne vaut que par l'universel.
Je suis français plus que jamais quand, au nom de cet universel, je pense aux Français qui ont donné leur vie non seulement pour que je n'ai pas à donner la mienne, mais encore pour que je puisse vivre les valeurs qui les ont tenus debout quand tout s'écroulait autour d'eux.
Ces valeurs ne doivent pas être noyées dans je ne sais quelle honte nationale : c'est par elles et pour elles que je suis ce que je suis.
Je suis français par résistance !
Cyrano
Ce texte rédigé sous le Pseudo de Cyrano est extrait de www.ripostelaique.com
Pourquoi je suis français ?
Je suis français parce que je suis de nationalité française. Que ma nationalité soit d'origine ou acquise, peu importe, pourvu que je me reconnaisse fils d'une nation, c'est-à-dire d'un ensemble d'humains unis par une communauté de territoire, de langue, de traditions et d'aspirations. Le territoire, c'est ma maison ; la langue en est la clé ; les traditions en sont les fondations ; les aspirations sont les portes et les fenêtres. Le tout, c'est mon présent. C'est ce présent localisable, parlant, historique et prospectif que j'incarne quand je me déclare français. Mon identité est donc plus que ma carte d'identité : c'est un vouloir-être qui m'oblige à réagir contre ceux qui ne veulent pas de la France alors même qu'ils y vivent ou qu'ils en vivent. Mon identité est une action ! L'histoire qui me porte est aussi l'Histoire que je porte dans un sentiment permanent d'auto-défense. Mon identité est un silence intérieur capable de colères. L'actuel débat sur l'identité nationale corrobore cette évidence. La France gronde en moi comme en chaque Français qui aspire à rester français, car l'actuelle identité de la France est en train de changer l'identité des Français ! Les Français en ont assez, en effet, de vivre au quotidien l'altération de leur être.
Être français, c'est donc être hostile à ceux qui sont hostiles aux lois françaises, à commencer par celles qui sont perçues comme lois du pays d'accueil.
Je suis français parce que je dénonce la « nouvelle France » !
Je suis français parce que je suis révolté d'entendre, sur mon sol, des manifestants hurler des slogans antisémites ou soutenir les terroristes du Proche-Orient.
Je suis français parce que je ne supporte pas que des drapeaux étrangers ou des banderoles francophobes soient brandis agressivement lors de rencontres sportives ou dans des manifestations de rue.
Je suis français parce que je ne tolère plus les personnes qui, sous le couvert de nos lois, font le lit de leur culture en défaisant celui de la République.
Je suis français parce que je ne veux plus de ces prêcheurs qui, au nom d'une religion, tiennent des discours anti-occidentaux.
Je suis français parce que je n'apprécie pas du tout qu'il y ait dans nos banlieues des hommes et des femmes pour voir en Ben Laden un saint ou un héros.
Je suis français parce que je n'ai plus la sollicitude que j'avais naguère pour les « sans-papiers » et autres hors-la-loi qui squattent nos églises et méprisent nos droits en exigeant des droits différentiels.
Je suis français parce que je n'accepte plus que des élèves ordonnent qu'on réécrive les cours d' Histoire au seul motif que l'enseignant leur présenterait une vision exclusivement judéo-chrétienne du monde.
Je suis français parce que je ne comprends plus que des étudiants musulmans récusent la mixité, les enseignantes, les enseignants non musulmans, la pensée déiste, encyclopédiste, athée, les Lumières, les cours de littérature, de philosophie, de physique, de biologie, de sport, en un mot tout ce qui gêne leurs convictions célestes.
Je suis français parce que je suis excédé de ne plus pouvoir mettre, à Noël, une crèche dans une vitrine ou un sapin dans une école sans déclencher une commission d'enquête.
Le Français que je suis enrage d'apprendre qu'un train peut être un lieu de tabassage ou de viol, voire un moyen de transport quasi gratuit pour ces anonymes qui tabassent et qui violent, et dont l'identité, systématiquement tue, se révèle pourtant par ce silence même !
Le Français que je suis serre les poings lorsqu'il entend Dominique Baudis avouer personnellement « ne plus pouvoir sortir dans certains quartiers sans se faire traiter de « sale Français » (FR3 Toulouse, 1999) ! Le Français que je suis souffre de savoir qu'en 2002, François Bayrou qui s'était rendu à Strasbourg dans le cadre de la campagne présidentielle a vu les vitres de la mairie où il se trouvait brisées par des pierres, comme s'il était le Mal, et qu'en 2005, Nicolas Sarkozy, visitant une cité « difficile » d'Argenteuil, a été caillassé de la même façon comme sil était le Diable !
Le Français que je suis n'est pas près d'oublier l'image incroyable du visage de Jacques Chirac couverts de crachats de « jeunes » lors d'une visite à Mantes-la-Jolie, le 4 mars 2002, ni la Marseillaise sifflée en 2001, 2007 et 2008 au stade de France !
Je suis français lorsque je m'insurge contre la tiers-mondisation de nos cités, d'où les autochtones sont chassés au prorata de l'arrivée des étrangers, conformément à une politique immigrationniste suicidaire qui aligne progressivement notre pays sur le Kosovo devenu musulman à 90% en moins de 50 ans !
Je suis français lorsque je vomis le racisme anti-blancs, comme tout autre forme de racisme, et par conséquent, lorsque je tempête contre la « discrimination positive » en laquelle j'aperçois l'avancée du « racisme positif » sitôt qu'elle se fonde sur la couleur, et du « politiquement correct » dans ce qu'il peut avoir d'imbécile et de pleutre !
Je suis français lorsque je fulmine contre les lois françaises appliquées du bout des lèvres dans les « cités » et les « banlieues ».
Je suis français en refusant de baisser les yeux quand je croise les occupants de zones hypocritement qualifiées de « non-droit ».
Je suis français lorsque je n'entends plus être une victime « ethnique » de la violence ordinaire, que ce soit pour une aile froissée, une priorité refusée, une cigarette que je n'ai pas la chance d'avoir sur moi, un sandwich au jambon jugé « insultant », un geste ou un mot interprété de travers, ou le simple fait d'être là.
Je suis français quand je constate, scandalisé, que les fêtes du Nouvel An célèbrent le renouvellement flambant neuf du parc automobile !
Je suis français quand j'exige que soient sévèrement punis ceux qui téléphonent aux pompiers et aux médecins pour les faire tomber dans d'immondes traquenards.
Je suis français quand s'agitent en ma mémoire les voyous qui saccagent nos lieux de vie parce qu'un des leurs s'est tué accidentellement au volant d'un véhicule volé, et qui, profitant de ce drame, jettent par la fenêtre de leur immeuble frigidaires, machines à laver, téléviseurs et autres objets « anodins », défoncent les devantures de locaux et de magasins à la voiture bélier, attaquent les commissariats au lance-roquette, accueillent les forces de l'ordre à coups de pierres, de boules de pétanque, de cocktails Molotov, de revolver ou de fusil, incendient tout ce qui peut brûler, trafiquent la poudre, les véhicules et les armes... quand ils ne s'engagent pas dans des cellules terroristes pour semer sur notre sol ou ailleurs la dévastation et la mort !
Je suis français quand des rappeurs veulent « niquer la France », quand Houria Bouteldja traite mes compatriotes de « sous-chiens », quand je plaide pour une Europe laïque et féministe, quand j'admire Malek Boutih, Malika Sorel, Hamid Zanaz, Kébir Jbil, Pascal Hilout, Sihem Habchi, Abdennour Bidar... tous issus de l'immigration et tous honneur de la France par leur engagement authentique en faveur des valeurs républicaines.
Je suis Français quand je soutiens les Droits de l'Homme, quand j'en appelle à l'universel par la femme qui est l'Homme et par l'Homme, qui ne vaut que par l'universel.
Je suis français plus que jamais quand, au nom de cet universel, je pense aux Français qui ont donné leur vie non seulement pour que je n'ai pas à donner la mienne, mais encore pour que je puisse vivre les valeurs qui les ont tenus debout quand tout s'écroulait autour d'eux.
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Re: La tribune de sarkozy sur l'identité nationale
Puant.
"L'intransigeance est la vertu des temps difficiles." - Ch. de Gaulle
"Ceux qui peuvent renoncer à une liberté essentielle pour obtenir un peu de sécurité temporaire ne méritent ni la liberté ni la sécurité." - Benjamin Franklin
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Re: La tribune de sarkozy sur l'identité nationale
Morteau, Morteau ... c'est de la saucisse ?
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Re: La tribune de sarkozy sur l'identité nationale
En même temps je ne pense pas qu'à Monaco ce soit la même immigration qu'au Val Fourré, un peu facile de se la jouer pro-immigré
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Re: La tribune de sarkozy sur l'identité nationale
L'identité nationale, ce ne sont pas que les arabes, les noirs, l'islam, l'immigration...c'est aussi un comportement, des us et coutumes, des valeurs, des normes dont ont est est imprégné. Quand on voit Sarko avec sa breitling, son yatch, ses ray-ban et son cigare, franchement ça fait pas très français, on se croirait dans la vérité si je mens. C'est tellement caricatural que c'est grotesque.Fonck1 a écrit : Nicolas Sarkozy
Le chef de l'Etat publie dans "Le Monde" daté du 9 décembre une tribune sur "l'identité nationale"
Après la votation en Suisse où une majorité s'était prononcée contre les minarets, Nicolas Sarkozy avait fait défection vendredi au colloque de l'Institut Montaigne, qu'il devait clôturer, autour de la question : "Qu'est-ce qu'être français ?".
]
L'immigration n'est qu'une conséquence de l'ultra libéralisme.
-qui les a fait venir?
-qui a imposé le communautarisme et explosé le modèle d'assimilation?
-qui a imposé l'europe et la libre circulation des capitaux,hommes, marchandises?
Il dénonce les perversités de ce dont il est à l'origine des causes.
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Re: La tribune de sarkozy sur l'identité nationale
n importe quoi l immigration est bien antérieur au libéralisme .
sans immigration un pays se meurs , c'est la respiration d un pays .
les gens qui considéré l émigration comme un fléau sont des idiot qui n ont jamais étudie l histoire car plus il y a d immigration plus un pays avance et ça a toujours était ainsi . le probleme c'est que les idiot instrumentalise la peur et la haine des différence .
quand a sarko c'est un con et en cela il est bien français !
sans immigration un pays se meurs , c'est la respiration d un pays .
les gens qui considéré l émigration comme un fléau sont des idiot qui n ont jamais étudie l histoire car plus il y a d immigration plus un pays avance et ça a toujours était ainsi . le probleme c'est que les idiot instrumentalise la peur et la haine des différence .
quand a sarko c'est un con et en cela il est bien français !
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Re: La tribune de sarkozy sur l'identité nationale
Dans sa tribune il fait référence quand même à l'immigration afro-magrébhine et musulmane qui est arrivée en masse depuis quelques dizaines d'années. Aussi bien sur la quantité des flux migratoires que sur la culture, elle n'est pas comparable avec les autres vagues d'immigrations espagnoles, italiennes, portugaises, polonaises.
Les ultras-libéraux ont besoins d'immigrés depuis les années 70 car entre 45 et 75, il y a eu les 30 glorieuses et la croissance économique.
A partir des chocs pétroliers: chômage de masse, donc je ne vois pas comment on pourrait avoir besoin d'immigrés. Il font venir des arabes et des africains pour les sous-payer .
Les ultras-libéraux ont besoins d'immigrés depuis les années 70 car entre 45 et 75, il y a eu les 30 glorieuses et la croissance économique.
A partir des chocs pétroliers: chômage de masse, donc je ne vois pas comment on pourrait avoir besoin d'immigrés. Il font venir des arabes et des africains pour les sous-payer .