Fonck1 a écrit :
donc apprends à lire (c'est dans la définition de véra!!):
"avec l'intention de détruire en tout ou en partie un groupe national, ethnique, racial ou religieux"
1-que je sache,la france n'a jamais eu l'intention (annoncée,ou pas!) de détruire les algériens,les berbères,leur couleur,ou même leur religion,ni même leur pays,qui je le rappelle a l'époque s'appelait toujours l'algérie française.
2-la france n'a pas déporté d'algériens,ouverts de camps de la morts d'algériens,il un a certes eu des massacres,qui je le rappelle ont aussi été collatéraux,mais ça,ça s'appelle la guerre,pas "un génocide".
1- Tu n'es pas dans les secrets des couloirs du pouvoir pour t'avancer de la sorte.
2- Tu n'es sais rien personne n'est venu le chanter sur les toits.
Durant la guerre d'Algérie, le Ministère de l'Intérieur français obtint en 1957 la possibilité de recourir à nouveau à l'internement administratif collectif. Plusieurs centres d'assignation à résidence surveillée furent créés en métropole sur des sites militaires : Larzac (Aveyron), Rivesaltes (Pyrénées-Orientales), Saint-Maurice-l'Ardoise (Gard), Thol (Ain), Vadenay (Marne). Près de 14 000 Algériens suspectés d'être membres du Front de libération nationale (FLN) y furent internés.
Le plus important était le camp de Larzac, à la fois par sa taille — plus de 30 km2, près de 4 000 assignés et plusieurs centaines de membres du personnel — et par sa place dans l'organisation centrale de l'internement.
Après les accords d'Évian, en 1962, plusieurs de ces camps sont dévolus de façon durable à "l'accueil" des harkis, dans des conditions de fonctionnement restant proches de celles des camps d'internement.
En Algérie même, l'armée crée des camps de regroupement. Elle chasse la population de ses habitations et la concentre dans ces camps afin de créer des « zones interdites » et de priver le FLN de l'appui de la population.
Michel Rocard est l’auteur, sous un pseudonyme lorsqu’il était administrateur sortant de l'ENA dans les bureaux de l’Armée française pendant son service militaire en Algérie, du Rapport sur les camps de regroupement en Algérie. Il les qualifie de « camps de concentration ».
L'historien Yves Courrière estime à deux millions le nombre d'Algériens ayant vécu dans ces camps durant la guerre d'Algérie.
"Les batailles de la vie ne sont jamais gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais."