Rananen a écrit : ah oui pardon , interdire les gens de dire ce qu il pense c'est la justice version fonck ...
Demander aux gens de ne pas dire des bêtises , c'est leur rendre service et leur éviter parfois de se couvrir de ridicule
Rananen a écrit : ah oui pardon , interdire les gens de dire ce qu il pense c'est la justice version fonck ...
Après deux plaintes en diffamation, le ministère de l'Intérieur veut obtenir des fournisseurs d'accès le blocage des "pages diffamatoires et injurieuses" du site "anti-flics" qui identifie des policiers en civil.
Une intiative supplémentaire. L'Intérieur a déposé un référé d'heure à heure, qui sera examiné le 12 octobre par le tribunal de grande instance de Paris. L'objectif: obtenir des fournisseurs d'accès le blocage des "pages diffamatoires et injurieuses" du site Copwatch qui fiche policiers et gendarmes.
Cette démarche s'ajoute à deux plaintes en diffamation déposées cette semaine par la place Beauvau, a rappelé Pierre-Henry Brandet, porte-parole du ministère.
Le syndicat Alliance (2e syndicat des gardiens de la paix) a indiqué vendredi avoir engagé des procédures identiques, en référé comme au fond.
L’intérieur demande "d'interdire l'accès aux pages diffamatoires et injurieuses et qui mettent en péril la sécurité des fonctionnaires de police et des militaires de la gendarmerie", selon Pierre-Henry Brandet.
La demande du ministère s'appuiera également sur la plainte déposée lundi en Seine-et-Marne par un fonctionnaire de la préfecture de police de Paris (PP), qui a reçu une cartouche de chasse dans sa boîte aux lettres. Dans sa plainte, il explique qu'il a été "fiché" sur Copwatch, où il figurait en photo.
Alliance a annoncé le 30 septembre que "des dizaines de policiers fichés" sur Copwatch avaient déposé plainte contre le site. Mais cela ne concernait que le "fichage" et non des menaces directes.
Le site Copwatch-Nord-Ile-de-France, qui a désormais une nouvelle adresse, a annoncé mardi qu'il «renaissait de la censure»...
Bloqué en octobre 2011 après un référé du ministre de l'Intérieur, le site internet de fichage des policiers Copwatch, qui revendique une lutte «par l'information contre les violences policières», a été réactivé mardi suscitant des réactions syndicales policières «indignées».
Sur son site, Copwatch-Nord-Ile-de-France, qui a désormais une nouvelle adresse, a annoncé mardi qu'il «renaît de la censure». «Le ministère de l'Intérieur français a voulu nous interdire. Il a échoué», ajoute-t-il.
Il y annonce à nouveau vouloir lutter contre «la répression des forces de sécurité françaises», l'Intérieur n'ayant pas exclu ce mercredi d'ester en justice à nouveau contre ce site. Des sources syndicales policières ont fait part à l'AFP de leur indignation.
Alliance (second syndicat de gardiens de la paix), par la voix de son secrétaire général adjoint, Frédéric Lagache, a ainsi déclaré avoir saisi l'Intérieur contre la résurgence de ce site. Ses auteurs «ont peur de s'identifier» et «démontrent leur lâcheté», selon lui, ils «ont peur d'être sanctionnés par les tribunaux de nouveau ce qui est inéluctable».
Le ministère de l'Intérieur veut faire bloquer la nouvelle adresse
«Nous avons pris contact avec les fournisseurs d'accès dès mardi pour voir comment sur la base de la décision rendue par la justice en octobre, nous pouvions faire bloquer l'accès à cette nouvelle adresse», a déclaré ce mercredi à l'AFP le porte-parole du ministère de l'Intérieur, Pierre-Henry Brandet. «Nous n'excluons pas de toutes façons d'engager une nouvelle action en référé», a-t-il ajouté. «Sur le fond, a ajouté M. Brandet, le ministère considère toujours que certaines des pages portent atteinte à l'honneur et à l'intégrité des forces de sécurité» et «peuvent mettre en péril la sécurité de policiers et gendarmes et de leur famille».
Le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, avait saisi en octobre 2011 la justice en référé contre Copwatch-Nord-Ile-de-France et obtenu gain de cause, le tribunal de Paris ayant ordonné le blocage complet du site et non celui de certaines pages. M. Guéant avait «salué» cette décision qui, selon lui, avait mis «fin au grave préjudice dont sont victimes les hommes et les femmes de la police nationale».
«Lutter par la transparence et l'information contre les violences policières»
Oeuvre d'un «collectif de citoyens souhaitant lutter par la transparence et l'information contre les violences policières», Copwatch-Nord-Ile-de-France avait publié des photos de policiers et de gendarmes, parfois leurs noms, en leur attribuant des propos et en portant sur eux des appréciations. Le ministre de l'Intérieur et des syndicats de police s'étaient émus de ces pratiques. A l'audience, ils avaient rappelé que l'un des 450 policiers rendus identifiables grâce à Copwatch avait récemment porté plainte après avoir reçu «une cartouche de chasse dans sa boîte aux lettres».
Le ministre de l'Intérieur Claude Guéant annonce, dans une interview publiée dimanche, dans La Voix du Nord, qu'il va «redemander» la fermeture du site Internet de fichage des policiers, Copwatch, car «un site qui incite à la haine à l'égard des policiers est inacceptable».
Bloqué en octobre 2011 après un référé du ministre de l'Intérieur, le site, qui revendique une lutte «par l'information contre les violences policières», a été réactivé mardi, suscitant des réactions syndicales policières «indignées».
Pour Claude Guéant, «il est extrêmement grave de mettre cause la sécurité de policiers et de leurs familles au motif de dénonciations dont on ne sait pas sur quoi elles reposent». Le ministre ajoute que «pour veiller à la déontologie policière, il y a la justice, la hiérarchie, la commission nationale de déontologie de la police». «Un site qui incite à la haine à l'égard des policiers est inacceptable», conclut Guéant.
Alors pourquoi toujours dans le même sens ?? Certainement par facilité et couardise.....Deux semaines après les faits, les enquêteurs de la police judiciaire de Versailles pensent avoir mis la main sur les responsables de la mort d'une octogénéaire lors de l'agression d'un couple de retraités à Porcheville (Yvelines). L'information, révélée par RTL, a été confirmée au Figaropar une source proche de l'enquête. «Cinq suspects, issus de la communauté des gens du voyage, ont été arrêtés dans le Nord-Pas-de-Calais dans le cadre de cette affaire.» Leurs gardes à vue pourraient durer jusqu'à quatre jours, puisqu'elles interviennent dans le cadre d'une enquête pour «crime en bande organisée».
Les cinq suspects, âgés de 22 à 37 ans, sont tous déjà connus des services de police pour avoir commis de multiples vols et agressions dans le nord de la France et les Yvelines. «Peu de temps avant de s'en prendre à ce couple de retraités, ils sont soupçonnés d'avoir commis une autre agression violente à seulement quelques kilomètres de là, à Gargenville», note la même source. L'équipe, très mobile et bien organisée, était depuis plusieurs mois dans le colimateur de l'office central de lutte contre la délinquance itinérante, en charge de l'enquête, conjointement avec la PJ de Versailles.