ce n'est pas d'avoir provoqué un accident qui est grave, ça peut évidement arriver à tout le monde, non le problème vois tu, c'est que ce monsieur, c'est vu trop choqué pour porter secours aux victimes, mais suffisamment réfléchi pour demander une dépanneuse à ses collègues en leur précisant bien qu'il est inutile de venir sur place.« Tout le comportement de M. Margail est dicté par la certitude d’être positif. Chasser les témoins, dissuader les gendarmes de venir, chercher une dépanneuse, retarder l’alcootest : ce soir-là, a-t-il fait autre chose que d’organiser sa fuite ? », demande M e Eric Braun, pour les parties civiles. Son confrère M e Jean-Yves Haddad estime pour sa part que l’ancien commandant du peloton autoroutier de Phalsbourg a agi « exactement comme ceux qu’il avait traqués toute sa carrière ».
raconte une version seulement moitié moins bancale que celle-ci et tu te retrouves au trou pour homicide involontaire avec circonstance aggravante. il le sait pertinemment, c'est lui qui se trouvait de l'autre coté jusqu'à maintenant. donc la démission
tiens si jamais un jour je tue quelqu'un et que je me sauve, faudra que je pense à expliquer aux gendarmes que j'ai laissé crevé mes victimes pour cause d'état de choc à géométrie variable. (bis)
je suis désolé, j'ai conscience d'être très dur et sans pitié dans mes propos, mais c'est ce qui arrive sans doute à des dizaines de gens chaque année, avec même peut être des circonstances moins graves, et la y a pas d'état d'âme, alors je ne vois pas bien pourquoi tout à coup, il faudrait ménager le responsable.
il était gendarme ? la belle affaire, un pompier aurait eu combien de point de sympathie ? un policier, un militaire décoré, un homme politique, une bonne sœur, ta mère, mon père, le président ?
non sa position n'est pas défendable, et de mon point de vue, il ne mérite ni plus ni moins que n'importe qui. je ne veut pas m'acharner tout particulièrement sur ce monsieur, c'est votre soudaine empathie pour lui qui me fait réagir.
des mecs qui chialent et qui regrettent, les tribunaux en sont pleins à craquer.