Syrie, Iran, c'est pas bien loin, et ça évitera de faire plusieurs fois le déplacement, comme pour l'Irak...véra a écrit : ah! ça!! tu as raison, avec l'Iran !!!
Dans le même temps, on pourrait même régler le problème Israël/Palestine
Syrie, Iran, c'est pas bien loin, et ça évitera de faire plusieurs fois le déplacement, comme pour l'Irak...véra a écrit : ah! ça!! tu as raison, avec l'Iran !!!
non,ils sont en train de mettre en opposition les arabes et la chine.véra a écrit : ah! ça!! tu as raison, avec l'Iran !!!
Les forces syriennes ont bombardé samedi la ville rebelle de Homs, tuant plus de 230 civils lors d’un «massacre terrifiant», a affirmé l’opposition en appelant à un changement d’attitude de la Russie dont le chef de la diplomatie Sergueï Lavrov se rend mardi à Damas.
Une résolution condamnant la répression menée par le régime du président Bachar al-Assad, mais à laquelle la Russie s’oppose, devait en principe être soumise dans la journée au vote des 15 membres du Conseil de sécurité de l’ONU.
Face à l’escalade des violences et devant les fortes pressions sur Moscou pour que la Russie ne s’oppose pas à une résolution contre son allié syrien, M. Lavrov va se rendre en Syrie pour rencontrer M. Assad et tenter de trouver une issue pacifique à la crise, selon son adjoint.
Plus tôt dans la journée, la Russie a dit rejeter le projet de résolution soutenu par les Occidentaux et espérer qu’il ne soit pas soumis au vote du Conseil de sécurité, malgré plusieurs concessions majeures.
Obama: «Assad doit arrêter tout de suite les tueries»
Le président américain Barack Obama a accusé samedi le président syrien Bachar al-Assad d’avoir «assassiné des civils» dans les «attaques abominables» qui ont eu lieu selon l’opposition syrienne dans la ville de Homs, lui demandant de quitter le pouvoir.
«Assad doit arrêter tout de suite les tueries et les crimes contre son propre peuple, il doit quitter le pouvoir et permettre la mise en place immédiate d’une transition démocratique», a déclaré M. Obama dans un communiqué.
Le ministre belge des Affaires étrangères Didier Reynders a jugé samedi «urgent» que le Conseil de sécurité «dénonce les auteurs des crimes commis en Syrie».
Dans l’épisode le plus meurtrier en près de 11 mois de révolte populaire, plus de 230 civils, dont des dizaines de femmes et d’enfants, ont été tués dans la nuit de vendredi à samedi dans un bombardement «aveugle» par les forces du régime à Homs, selon les groupes de l’opposition.
Il n’était pas possible de confirmer l’information de source indépendante en raison des fortes restrictions imposées à la presse étrangère dans le pays.
L'organisation annonce la fin de sa mission en Syrie et préconise l'envoi de casques bleus dans le pays ravagé par des combats sanglants.
La Ligue arabe va fournir un soutien politique et matériel à l'opposition syrienne et demander au Conseil de sécurité la formation d'une force conjointe ONU-Ligue rabe, selon le communiqué final d'une réunion des ministres arabes des Affaires étrangères dimanche. L'organisation panarabe a également indiqué qu'elle appelait ses membres à rompre leurs relations diplomatiques avec Damas.
La Ligue arabe va "ouvrir des canaux de communication avec l'opposition syrienne et lui fournir toutes les formes de soutien politique et matériel", d'après le communiqué final. Dans le même temps, elle "met fin à la mission des observateurs de la Ligue arabe" en Syrie et a décidé de "demander au Conseil de sécurité d'adopter une résolution pour la formation d'une force de maintien de la paix arabo-onusienne conjointe pour superviser l'application du cessez-le-feu", selon ce texte.
En outre, elle demande à ses pays membres de rompre "toutes les formes de coopération diplomatique avec les représentants du régime syrien dans les États, les instances et les conférences internationales". La Ligue rappelle qu'elle maintient ses sanctions économiques contre la Syrie et réaffirme "l'arrêt des relations commerciales avec le régime syrien à l'exception de celles qui touchent directement les citoyens syriens". Les ministres ont enfin salué la proposition de la Tunisie d'organiser sur son sol "une conférence des amis de la Syrie" le 24 février.
Tu as des preuves que c'est Baschar qui a donné l'ordre d'attaquer des civils ???????scorpion3917 a écrit : J'ai vu des images d'enfants égorgés. Et dire que ce boucher fut l'hôte de la France en 2008.
j'ai du louper un épisode, mais je croyais que c'était la France qui avait le forcing pour convaincre les autres d'aller en LybieGEORGES a écrit : Tu as des preuves que c'est Baschar qui a donné l'ordre d'attaquer des civils ???????
On peut, pour un temps, maquiller la réalité, mais celle-ci est comme de la mauvaise herbe, elle finit toujours par s’imposer. On a beau répéter sans cesse un mensonge pour lui donner l’apparence d’une vérité dans l’esprit des gens, tôt ou tard, le mensonge sera mis en lumière.
Lorsque Collin Powel brandissait ses éprouvettes à l’ONU ou nous montrait des photos satellites de supposé transport d’armes de destruction massive en Irak, il était convaincant, mais la réalité a eu le dernier mot.
Lorsqu’une belle jeune femme s’est exprimée au Congrès US en déclarant que l’armée de Saddam tuait des bébés naissants dans des couveuses au Koweït, elle nous a tous ému, mais la réalité a eu le dernier mot.
Lorsqu’on disait que les partisans de Chávez tuaient des gens du haut du pont Llaguno, on croyait que c’était vrai, mais la réalité a eu le dernier mot.
Lorsqu’on disait que Kadhafi avait bombardé avec des avions de chasse une foule ou des quartiers, la réalité nous montre que c’était faux.
Tout comme ces ossements de chameaux qui nous ont été servis pour nous faire croire à des charniers secrets du gouvernement Kadhafi !
La réalité a toujours le dernier mot. La réalité qui s’impose aujourd’hui, c’est la terrible destruction de la Libye et la même chose suivra pour la Syrie. Tout cela pour mettre à feu et à sang le moyen Orient dont les sionistes veulent s'accaparer des richesses en sous sol
Le caniche nain ne donne pas d'ordres, il obéit. Point.tisiphoné a écrit : j'ai du louper un épisode, mais je croyais que c'était la France qui avait le forcing pour convaincre les autres d'aller en Lybie