durdur1 a écrit : les filles , on se calme , vous allez casser mon image
en plus tu es sadique eve , de la pommade sur un corps écorché , ça doit piquer
Les Sexxxtons : quand une mère et sa fille tournent des pornos ensemble
Monica, une américaine âgée de 56 ans, a lancé avec sa fille de 22 ans un site de vidéos pornographiques dans lesquelles elles ont des relations sexuelles avec le même homme.
Actrice porno de mères en filles. Un adage qui va bien à Monica et Jessica, respectivement 56 ans et 22 ans. Les deux Américaines originaires de Floride ont en effet lancé il y a un an pour faire face à leurs problèmes financiers un site de vidéos pornographique dans lesquelles on les voit ensemble. Les Sexxtons, comme elles s'appellent, ont par ailleurs commercialisé un DVD de leur exploit.
Si l'objectif premier était de ramener de l'argent dans les caisses, Monica, la fille de Jessica, a toutefois expliqué au Huffington Post qu'elle "a toujours aimé le sexe et qu'elle aime être avec sa maman. Pendant les scènes, je pense à tout l'argent qu'on va pouvoir se faire". La jeune femme, qui a perdu sa virginité à l'âge de 12 ans, ajoute par ailleurs : "J'ai toujours été exhibitionniste. C'était mon idée. J'ai quitté l'école assez tôt et me suis dit que c'était un bon moyen de gagner de l'argent. L'argent était l'une des raisons, mais le fun aussi, ainsi que faire l'amour avec des mecs sexys".
Si la mère et sa fille ont en effet des relations sexuelles en même temps, et généralement avec le même partenaire, elles ne se touchent toutefois jamais, légalité oblige. En effet, rapidement, cela pourrait tourner à l'inceste. Certains psychiatres estiment d'ailleurs qu'il s'agit déjà d'une forme d'inceste mais s'il n'y a aucun contact physique, d'"inceste émotionnel".
Jessica explique ainsi : "Nous n'avons aucun problème à se partager un homme. C'est juste que nous n'interagirons pas ensemble". Et Monica d'ajouter : "Ce n'est pas facile. Nos lèvres ne se touchent jamais et ça peut être un problème lorsqu'on tourne".
Mais les Sexxxtons ont toutefois leurs limites. Ainsi, Monica refuse de tourner avec des animaux ou son petit frère. "Il est encore puceau et je ne veux pas que sa première relation sexuelle soit avec quelqu'un qui ne le fait que pour de l'argent".
D'après une étude publiée à la mi-décembre par le site britannique Broadbandchoices.co.uk, 40 % des Anglais consacrent jusqu'à 1h30 à surfer sur Internet au lit, et, parmi eux, 15 % avouent que cette nouvelle habitude a diminué leur activité sexuelle.
"Pour avoir une relation amoureuse, il faut de l'intimité, des caresses, des paroles, du temps passé ensemble et un intérêt porté sur l'autre", rappelle, sur Europe 1 mercredi, le professeur Michel Reynaud, chef du service de psychiatrie et d'addictologie à l'hôpital Paul-Brousse de Villejuif.
Or, quand Internet, cette "machine profondément addictive", s'invite au lit, c'est au détriment du partenaire, poursuit le psychiatre : "Quand on est focalisé sur sa tablette ou son téléphone, qui sont des objets très autistisants, c'est-à-dire qu'on se replie sur son plaisir personnel, on manifeste moins d'intérêt pour l'autre et on ne crée pas la complicité nécessaire."
D'après le sondage britannique, ce sont les jeunes qui ont le plus pris l'habitude de surfer sous la couette : 67 % des moins de 30 ans y tweetent et y mettent à jour leur profil Facebook. Les personnes plus âgées préfèrent la lecture d'un livre.
Or, pour les jeunes couples, le danger serait moindre : d'après le professeur Reynaud, délaisser son/sa partenaire pour son smartphone est surtout dangereux pour les couples engagés "dans une habitude, voire une routine". "Quand on est passionnément amoureux", cela devrait avoir peu d'influence, espère le professeur.
Les études à ce sujet ne manquent pas. Un sondage mené par TeleNav aux États-Unis affirme qu'un Américain sur trois préférerait renoncer à toute relation sexuelle pendant une semaine qu'à son téléphone portable.
Les études à ce sujet ne manquent pas. Un sondage mené par TeleNav aux États-Unis affirme qu'un Américain sur trois préférerait renoncer à toute relation sexuelle pendant une semaine qu'à son téléphone portable.